Les aventures de Katy Stone

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Gwenboyfriend
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Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Voici le premier épisode d'une histoire que nous avons imaginée, Nina et moi, dans le cadre d'un jeu de rôle. Je l'ai remis en forme et je le publie avec son accord. Nous espérons que vous vous amuserez autant à le lire que nous à l'imaginer


Business class

Katy Stone déguste son champagne, elle est surprise de voir qu’il n’y a que trois personnes dans la business class.
Elle demande à son garde du corps de faire un tour à l’arrière pour vérifier si l’avion est aussi vide dans la classe des pauvres.
Elle espérait profiter du vol pour draguer un ou deux passagers. C’est pour ça qu’elle préfère les vols commerciaux à l’avion privé de son père ou elle ne voit que les mêmes gens ennuyeux. Elle s’ennuie facilement et vite. Elle aime le changement. Et elle a besoin de se détendre après la semaine passée à négocier la construction d'un barrage au Corto Maltèse.

Elle se concentre sur son voisin de siège. Il semble plutôt tendu. Elle pensait que c’était parce qu’il souhaitait l’aborder. Ce serait bien normal. Elle s’est habillée pour la circonstance avec une tenue sexy. Une chemise blanche qui découvre ses bras, une jupe qui s’arrête au-dessus des genoux. Des chaussures à talons, des bracelets aux poignets. Et ses cheveux soigneusement ondulés qui semblent faire des vagues quand elle bouge la tête. Un atout dont elle n’hésite pas à se servir. Et que son voisin a remarqué. De même que ses tétons qui pointent sous sa chemise.

Mais son inquiétude semble être d’un autre ordre. Elle décide de déroger à son habitude et de faire le premier pas.
- J’ai l’impression que vous n’aimez pas l’avion.
L’homme esquisse un léger sourire.
- ça se voit tant que ça ?
- Pas beaucoup mais un peu.
- Vous, en revanche, semblez très à l’aise.
- Des hôtesses prêtes à vous servir, du bon champagne, un homme charmant à mes côtés. Que demandez de plus.
- Vous me flattez. C’est plutôt vous qui êtes resplendissante.

Elle rit comme si elle appréciait le compliment maladroit. Le vol dure plusieurs heures et elle ne va pas décourager cet homme tout de suite. Un mouvement du rideau qui sépare les deux classes attire son attention. Le garde du corps est de retour. D’un signe de tête, il lui fait comprendre que tout va bien.

Elle sent la main de l’homme sur son poignet. Voilà qu’il devient audacieux.
- J’ai l’impression que vous avez soudain moins peur de l’avion.
- C’est votre présence qui me donne du courage. Je m’appelle Richard. Richard Starck.
- Et moi Katy Stone.
- Vous êtes la célèbre Katy Stone ! La fille de William.
Elle sourit.
- J’espère que vous n’allez pas vanter les mérites de mon père.

Tout en parlant, elle mêle ses doigts à ceux de l’homme. Elle le voit bouger sur son siège comme s’il était soudain gêné. Aurait-elle déjà réussi à le faire bander?

- C’est plutôt les vôtres que j’ai envie de découvrir et de flatter.
- Vous voilà bien audacieux. J’espère que vous n’êtes pas le genre d’homme qui collectionne les femmes et ne pense qu'à se vanter de ses succès.

Leurs doigts sont entremêlés. Elle est sûre qu’il bande à présent. Elle devine son autre main qui s’approche timidement de sa cuisse. Elle la saisit et la pose sur son genou. Il n’hésite pas et la glisse sous sa jupe.

Elle sent que les hôtesses et le steward les observent. Sans doute outrés. Mais elle s’en moque.

Elle est Katy Stone, l’opinion des vulgaires employés d’un avion ne la concerne pas. Les deux autres passagers dorment profondément. Quant à son garde du corps, il a l’habitude de ce que son père appelle « ses extravagances ».

Elle colle ses lèvres contre celle de Richard. Ils s’embrassent goulûment. Finalement, ce vol a toutes les chances d’être agréable. Leurs lèvres se séparent à l’instant où le pilote annonce que suite à un problème technique, ils doivent faire demi-tour et atterrir au Corto Maltese.

Allons bon, elle va revenir dans ce pays minable même pour quelques heures et en plus ça va sans doute refroidir les ardeurs de Richard.

Apparemment pas. Au contraire.
- Vous n’avez pas peur Richard ?
- Si, j’ai peur de ne jamais pouvoir vous faire l’amour.
- Ce serait dommage. Vous n’avez jamais baisé dans un avion, Richard ?
- Je doute que le personnel nous laisse faire
- Vous pensez être capable d’atteindre les toilettes.
- Vous voulez dire malgré ma peur.
- Non malgré votre érection.
- ça devrait être possible.
- Alors allons-y.
- Vous avez raison. Autant nous écraser en baisant.

Ils se lèvent ensemble. Elle s’amuse de voir qu’il a un peu de mal à se déplacer.
- Essayez de rester dans cet état jusqu’aux toilettes.
Ils avancent. Contrairement à ce que pensait Katy, l’hôtesse a un sourire complice. Elle ferme même le rideau derrière eux. Peut-être n’auront-ils pas besoin des toilettes finalement.
C’est à cet instant que tout bascule.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Soudain Richard saisit les deux bras de Katy et les tord dans son dos. Plus que la douleur, c’est le changement d’attitude de cet homme qui l’inquiète. Elle tente de plaisanter.

- Il fallait me dire que vous aimiez l’amour vache, Richard. En tous cas, je vois avec plaisir que votre peur de l’avion est guérie. Vous pourriez peut-être demander à l’hôtesse de nous laisser. A moins que vous ayez besoin de spectateurs.

Elle a parlé suffisamment fort pour être entendue par son garde du corps et elle espère qu’il va réagir. Au mouvement du rideau, elle devine que l’autre hôtesse se tient devant. Mais ce n’est pas elle qui l’arrêtera. Au pire, elle le ralentira.

- Retournez-vous asseoir, Monsieur.
- Je dois voir si ma patronne va bien.

Katy pense que c’est le moment d’appeler au secours. Elle ouvre la bouche mais n'a pas le temps de crier.
- Jimggggmmfff.
L’hôtesse vient d’enfoncer un épais chiffon roulé en boule dans sa bouche.

De l’autre côté du rideau un mouvement se fait sentir. Elle entend un corps s’écrouler. Le rideau s’ouvre. Katy horrifiée, voit son garde du corps allongé sur le sol hissé par un des stewards et installé sur un des sièges à l’avant.
- Très efficace cette drogue.
L’hôtesse montre une petite bague à laquelle est fixée une aiguille.

Katy affolée essaie de recracher la boule de chiffon qui envahit sa bouche. Elle devine que les minutes qui viennent vont être cruciales. Elle entend des passagers qui se sont déplacés depuis la classe éco. Retenus par la troisième hôtesse.

Celle qui l’a bâillonnée semble être la donneuse d’ordre.

- Ferme ce rideau et va aider Nora à retenir les passagers pendant qu’on finit avec cette petite garce.

L’hôtesse obéit pendant que sa chef applique plusieurs bandes de sparadrap sur la bouche de la captive.
Les bras de Katy sont solidement immobilisés par Richard et elle sent qu’elle ne pourra pas s’en libérer. Désespérée, elle tente de lui donner des coups de pieds.

- Qu’est-ce que tu attends pour lui attacher les chevilles.
- Si tu crois que c’est facile avec cette idiote qui remue sans arrêt. Heureusement que le pilote n’arrête pas de faire des annonces pour couvrir le bruit.

De l’autre côté du rideau, Katy a entendu les hôtesses expliquer qu’une passagère a eu un malaise et que le personnel navigant s’en occupe. Annonce relayée par le pilote. La malheureuse jeune femme entend que les passagers convaincus retournent s’asseoir. Emportant ses derniers espoirs. D’autant plus que l’hôtesse a enfin réussi à immobiliser ses chevilles et à les ligoter. Elle fait de même pour ses cuisses.

Les liens sont très serrés et la captive comprend qu’elle a perdu toute chance de triompher de ses adversaires. Seuls ses bras sont libres mais Richard les tient solidement.

- J’ai cru que tu allais la baiser d’abord.
- Ce n’est pas l’envie qui m’en manquait mais on n’avait pas le temps.
- Tu auras d’autres occasions pendant une semaine.
- Je doute qu’elle soit aussi coopérative.
- Avec une salope comme elle, je m’attends à tout.

Katy est furieuse de s’entendre traitée ainsi par ces ignobles individus. Et malgré ses liens tente de se libérer des mains fermes de Richard.

Celui-ci se penche vers elle et lui chuchote à l’oreille.
- Tu devrais te calmer, ma chérie. Tes ennuis ne font que commencer. Au fait, je ne m’appelle pas Richard mais Marc. Marc Sauvage.

Ce simple nom suffit à effrayer la jeune femme. L’écologiste membre des gardiens de la terre. Prêt à tout pour faire triompher sa cause. Cette découverte suffit à la calmer. Elle cesse de se débattre et laisse ses kidnappeurs lui attacher les poignets puis les bras au-dessus et au-dessous des coudes.

La porte du cockpit s’ouvre et le copilote apparaît. La captive se tourne vers lui dans l’espoir qu’il va réagir. En effet, il marque un temps d’arrêt, observe le visage bâillonné de la jeune femme, les liens des chevilles et des cuisses. Puis ceux des poignets et des bras. Sourit.
- Vous avez fait du bon boulot. Je voulais vous prévenir qu’on atterrit dans un quart d’heure. J’espère que ça vous laisse assez de temps pour finir le travail et préparer le débarquement de cette charmante demoiselle.

L’ironie des dernières paroles de l’individu n’échappe pas à la prisonnière. Elle se reproche sa naïveté, elle aurait dû deviner que tout l’équipage était complice. Et que le but était de la ramener au Corto Maltese. Elle se demande ce qui l’attend pour être débarquée. Mais elle est sûre qu’elle ne va pas aimer.
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fredchl
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par fredchl »

Un très beau début de récit !
Je vois très bien se profiler une demande de rançon ou une certaine forme de chantage à l'horizon ! :bravo:
La suite nous le dira...

gloubiboulga
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par gloubiboulga »

Cela commence en effet d'excellente façon....

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Gwenboyfriend
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Retour au Corto Maltese

Les ravisseurs contraignent Katy à se mettre à genoux. Ses bras sont collés contre son dos par des cordes qui entourent son torse au-dessus et au-dessous des seins. La jeune femme sent les liens très serrés s’enfoncer dans sa tendre chair à travers ses légers vêtements. Elle gémit à travers son bâillon.

Marc se penche sur elle.

- Je savais que j’arriverai à te faire gémir.

L’hôtesse réagit.

- Je me demande si tu es bien la bonne personne pour cette mission.

- C’est trop tard pour changer. Et ne t’inquiète pas. J’admets que cette garce m’excite mais je ne suis pas amoureux d’elle.

- Tu as seulement envie de la baiser et c’est déjà dangereux.

- Surtout pour elle.

L’hôtesse sourit.

- Tu as raison. J’espère que tu auras l’occasion de t’amuser. Mais je ne peux pas m’empêcher d’être jalouse. J’aurais préféré t’accompagner.

- Tu sais que ce n’est pas possible. Finissons le travail. Et met lui un bâillon plus épais. Elle gémit un peu trop fort.

La cruauté de cette dernière remarque renforce le sentiment de désespoir de la captive qui comprend qu’elle n’a aucune pitié à attendre de son ravisseur.

L’hôtesse ne se fait pas prier et retire le sparadrap qui clôt la bouche de la jeune femme. En souriant, elle passe la main sous sa propre jupe et retire son slip qu’elle enfonce dans la bouche de sa victime. Les deux autres hôtesses font de même avec leur sous-vêtement.

- J’espère que tu apprécies notre cadeau, ma chérie.

Elle applique à nouveau de solides bandes de sparadrap sur les lèvres de la jeune femme humiliée et désespérée.

D’autant plus que Marc n’est pas resté inactif et a lié les cuisses et les mollets de Katy les uns contre les autres l’obligeant à rester à genoux.

L’homme appuie ensuite sur la tête de sa victime, l'obligeant à se baisser jusqu'à ce que son torse touche ses genoux. Il fixe ensuite une corde sur la nuque de la captive qu’il fait passer sous ses cuisses derrière ses genoux pliés. Il fait de même avec une autre corde fixée sur le dos de la jeune femme et reliée aux liens de ses bras. Une troisième corde entoure le dos et les chevilles de la prisonnière. Il complète son travail en reliant les liens des poignets à ceux des chevilles et tire sur la corde jusqu’à ce que Katy la sente s’enfoncer entre ses fesses puis serre le nœud au maximum.

L’hôtesse examine son travail et décide qu’on peut l’améliorer et ajoute une corde qui relie entre elles celles qui entourent le corps et les jambes de Katy puis la fait passer sur les fesses de la jeune femme impuissante et la relie aux cordes de l’autre côté.

- C'est un bien joli paquet que tu as fait là.

- Oui, je pense qu’ainsi, elle va se tenir tranquille.

- Il vaut mieux vérifier.

Marc assène une violente claque sur les fesses de la captive qui ne peut qu’émettre un faible gémissement et agiter faiblement ses doigts.

- Elle peut tout juste frémir.

- Et à peine bouger le petit doigt.

- Il faut bien qu’on lui laisse un peu de liberté.

Les criminels éclatent de rire.

- Finissons le travail. On va bientôt atterrir.

Les hôtesses approchent un des chariots équipé pour proposer des repas aux passagers. Une d’entre elles ouvre le panneau sur le côté pendant que Nora tire sur les cheveux de Katy pour l’obliger à relever la tête et voir ce qui l’attend.

La malheureuse jeune femme comprend que ce qui a l’air d’un chariot classique a été aménagé pour qu’elle puisse être installée à l’intérieur dans une cavité préparée pour la recevoir ligotée en balltie.

Ce que font ses ravisseuses en un instant sous le regard amusé de Marc qui s’approche et ferme lui-même le panneau qui plonge la captive impuissante dans le noir.

Elle constate que la cavité est adaptée à sa taille. Ce qui signifie qu’il s’agit d’un enlèvement préparé de longue date. Il est évident que l’objectif est de faire pression sur son père.
Mais ils vont être déçus. Son père n’est pas du genre à céder au chantage. Même pour sauver sa fille.
Il va lâcher ses hommes de mains qui les traqueront sans relâche.
Ce qui n’arrange pas vraiment les affaires de la captive.
Elle a toujours admiré le caractère inflexible de son père mais pour une fois préférerait qu’il soit plus conciliant.
Peut-être qu’elle aura l’occasion de lui parler de lui montrer sa peur. De le supplier.
Non. Ça ne servira à rien, il détestera la voir effrayé, suppliante. Et ce sera pire.
C’est alors qu’elle réalise qu’elle est vraiment effrayée.
Elle est incapable de se libérer. Elle a beau tirer de toutes ses forces, elle ne réussit qu’à resserrer ses liens.
Son garde du corps est endormi sans doute pour plusieurs heures.
L’avion va atterrir, elle va être débarquée. Puis l’avion repartira sans elle à bord.
Le vol est prévu pour durer douze heures sans escale.
Cela signifie que personne ne saura qu’elle a été enlevée avant ce délai.
Plus le temps qu’ils comprennent comment cela s’est produit.
Ses ravisseurs ont largement le temps de la transporter n’importe où dans ce pays de merde.
Elle imagine la colère de son père. Il lui a toujours dit de ne pas prendre les vols commerciaux d’utiliser l’avion privé. Il ne comprenait pas qu’elle aime cette sensation d’être entourée de gens inférieurs.
Comment aurait-elle pu lui dire que c’était un des rares moments où elle se sentait vraiment libre.

Libre ! Quelle ironie. La voilà bien privée de liberté à présent. Livrée à des gens sans scrupules. Des criminels qui ne comprennent pas qu’elle ne fait pas partie des gens ordinaires avec des besoins ordinaires. Inconsciemment, elle continue de tirer vainement sur ces liens. Elle réalise qu’elle continue de se penser supérieure alors qu’elle est ligotée, bâillonnée et enfermée dans une boîte minuscule. Mais cela lui permet de repousser la panique, de penser qu’il n’y a aucun moyen d’échapper à son destin.

Elle sent le choc des roues sur la piste d’atterrissage. Elle doit reprendre son calme.
Pour l’instant, elle est prisonnière, personne ne sait qu’elle a été enlevée, personne ne peut la secourir.
Pour l’instant, les écologistes triomphent et elle n’a aucun moyen de s’y opposer.
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fredchl
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par fredchl »

Personnellement, je n'ai pas de mot !
L'intrigue est là...
La description est soignée.
C'est d'une construction digne d'un architecte.
Les dialogues viennent renforcer le récit...
Lorsque j'écris une histoire , j'essaie de captiver le lecteur, du moins l’intéresser à mon récit, mais j'avoue que lire les récits de Gwen, j'ai un peu l'impression de suivre un double qui écrit...
:bravo:

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Gwenboyfriend
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Merci de ton message fredchi. Je dois préciser que le personnage de Katy Stone doit beaucoup à Nina. Voici la suite.


Tarmac

L’avion s’est immobilisé. Les portes s’ouvrent.
Katy devine plus qu’elle ne sent que son chariot est déplacé.
Elle tente de maîtriser sa panique.
Quand elle aura quitté l’avion, il n’y aura plus de passagers, plus de garde du corps. Elle sera à la merci de ses ravisseurs.
Elle tire encore sur ses liens.
En vain.
Marc et ses complices connaissent leur travail.
Ils ont raison, elle peut à peine frémir et bouger le petit doigt.
Elle devine qu’à présent elle roule sur le tarmac.
Progressivement le son des avions diminue.

Elle entend vaguement la conversation des deux hommes qui poussent le chariot où elle est prisonnière.Ils ne semblent pas au courant de ce qu’ils transportent. Si elle pouvait signaler sa présence. Ils pourraient la libérer.
Elle hait ses ravisseurs qui ont fait d'elle une victime contrainte de supplier. Mais elle n'a pas le choix.Elle tente d’appeler à l’aide. Mais ce maudit bâillon est bien trop enfoncé. Ces cris ne sont que des gémissements ridicules totalement inaudibles.

Pourtant les hommes réagissent. Ils s'arrêtent.
- Tu n’as pas l’impression d’entendre quelque chose.
- Comme quoi ?
- Des soupirs.
- Des soupirs de qui ? De ta femme ?
- Bon ça va.
Les deux hommes se remettent en marche. Elle doit attirer leur attention.
Si elle pouvait donner des coups de pieds contre la paroi de la boîte. Elle doit le tenter. Elle le tente.La paroi n’est qu’à quelques centimètres de ses talons. Elle tire de toutes ses forces sur ses liens. Les cordes se tendent. Pénètrent sa tendre chair.Se bloquent. Bloquent ses pieds.

La paroi est inaccessible.

Peut-être peut-elle toucher le haut avec ses mains, ses doigts, ses ongles. C’est impossible. Ses poignets sont collés à sa taille.

Combien de temps reste-t-il avec que les hommes ne livrent leur paquet? Voilà qu'elle pense comme ses ravisseurs. Qu'elle se voit comme un paquet. Il n'en est pas question. Elle est Katy Stone pas une stupide gamine juste bonne à obéir et subir. Elle doit se faire entendre. Elle ne peut que gémir dans son bâillon. C’est ce qu’elle va faire. Tant pis pour l’humiliation.

- Gmmmpppfff

Cette fois, ils ont entendu tous les deux.

- Tu vois qu’il y a quelqu’un qui soupire là-dedans.
- Quelqu’un. T’es malade. Ce doit être un animal.
- Oui tu as raison.
Un animal ! Comment peuvent-ils la confondre avec un animal ! Elle recommence ses appels. Ses gémissements. Ils vont bien comprendre que ce n’est pas un animal qui crie comme ça.

- Il faut que je sache.
- T’es vraiment pas bien. On est là pour trimballer les chariots. Ce qu’il y a dedans ne nous regarde pas.

Katy est folle de rage. Sa liberté dépend de deux abrutis incapables de se mettre d’accord sur ce qu’ils doivent faire.

- Tu as raison. Et on est presque arrivé à l’entrepôt.

Le chariot se remet à rouler. Katy tire sur ses liens. Tente à nouveau de heurter la paroi avec ses talons. En vain. Un cri de rage et de désespoir transformé en sanglot par son bâillon lui échappe.

- C’est pas possible, il faut que je regarde.
- D'accord mais dépêche toi.

Katy n’ose pas y croire. Elle a réussi à attirer leur attention. Ils vont ouvrir cet infernal chariot et la libérer. Elle avait tort de les mépriser ainsi. Elle va être sauvée par deux hommes simples mais honnêtes.

- Zut, il y a un cadenas.

La jeune femme sent ses espoirs s'envoler. Ses adversaires n'ont rien laissé au hasard.

- Un cadenas. Tu es sûr, c'est bizarre. On met rien de précieux dans ces chariots.

Quelle chance, ces hommes ne sont pas stupides. Ils ont deviné qu'il se passait quelque chose d'étrange. Ils vont agir. La sauver

- De toutes façons ça ne nous regarde pas. Si quelqu'un a mis un cadenas, c'est qu'il a une bonne raison. On ne doit pas s'en mêler.

Ce n'est pas possible. Quel abruti. C'est à cause de lâches comme lui que des femmes sont victimes de criminels. Mais son compagnon semble plus courageux. Elle doit encore tenter d'attirer son attention. Elle gémit à nouveau. Elle se déteste. Mais c'est sa seule chance.

- Je te dis qu'il y a quelqu'un. Reste prêt du chariot, je vais chercher un coupe-boulon.
- Tu vas nous attirer des ennuis pour une personne qu'on ne connaît même pas.
- Toi aussi, tu sais qu'il y a quelqu'un.
- Oui et je m'en moque. On est payé pour pousser un chariot pas pour s'inquiéter de ce qu'il y a dedans.

Quel cynisme. Comment peut-il exister de tels individus. Pourvu que son compagnon ne se laisse pas convaincre.

- Tu devrais réfléchir. Ceux qui ont enlevé cette femme ne sont pas là. Ils devaient penser qu'on la déposerait sans se poser de questions.
- Et alors.
- Alors, ils vont pas venir la réclamer.

Qu'est ce qu'il veut dire?

- Et on peut en profiter.

Non ce n'est pas possible. Elle n'est entourée que de criminels et de violeurs en puissance.

- Elle est peut-être laide.
- Tu crois que ceux qui l'ont enlevé ce seraient donné tout ce mal si elle était moche.
- Et qu'est-ce que tu crois qu'ils feront quand ils ne la trouveront pas.
- Qui te dit qu'ils ne la trouveront pas. On la sort de sa boîte. On joue avec et on la remet dans la boîte.
- Et si elle se plaint.
- A qui? A ses ravisseurs?

De mieux en mieux. Non seulement, ils veulent la violer mais en plus ils ne la libèreront pas.

- Ses ravisseurs peuvent arriver d'un instant à l'autre.
- Et nous on peut se tromper d'entrepôt.

La captive est désespérée. Ceux en qui elle mettait ses espoirs ne valent pas mieux que les autres. Mais comment a-t-elle pu penser autrement? Les habitants de ce pays ne sont que des êtres vils et stupides.

Elle devine que le chariot a changé de direction. Elle entend des portes qui s'ouvrent. Le chariot avance. Les portes se referment. Elle est seule avec ces deux hommes. Elle regrette d'avoir attiré leur attention. Ils sont pire que ce Marc Sauvage. Soumis à des instincts bestiaux.

- Voilà le coupe-boulon.

La prisonnière entend le bruit du cadenas qui cède et qui tombe sur le sol. Dans quelques instants, la trappe va s'ouvrir et elle sera à la merci de ces salauds.
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gloubiboulga
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par gloubiboulga »

Cette histoire prend une tournure aussi inattendue qu'intéressante......

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Gwenboyfriend
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

L'entrepôt

La trappe s'ouvre. Katy sent le regard des deux hommes pose sur elle. Fascinés.
Ligotée comme elle est, elle ne peut même pas tourner la tête pour voir à quoi ils ressemblent.
C'est peut-être mieux ainsi. Imaginer leur désir est déjà suffisamment éprouvant.

Soudain les mains la saisissent la posent sur le sol.
Elle s'attend à ce qu'ils coupent une partie de ses liens mais rien ne se passe. Elle les devine au dessus d'elle. L'observant comme un plat de choix qu'on se prépare à déguster.

- Putain, attachée comme ça t'es super bandante.

La jeune femme n'apprécie pas le compliment douteux.
- Elle proteste plus, j'aimais bien les sons qu'elle faisait à travers son bâillon.
- ça doit pouvoir s'arranger.

La captive reçoit alors un coup de pied sur son postérieur particulièrement bien exposé aux regards et aux coups des vicieux convoyeurs. Sous l'effet de la douleur et de l'humiliation, elle laisse échapper un gémissement étouffé par son bâillon.
- Je crois qu'on va bien s'amuser.
- Je pourrais la regarder des heures comme ça.

Non ! Ce n'est pas possible. Si elle reste ligotée ainsi, elle ne pourra jamais se libérer... Mais s'ils la détachent ce sera pour abuser d'elle... Elle ne sait plus ce qu'elle doit espérer... Ou craindre...

La voix d'un des convoyeurs lui rappelle que ce n'est pas elle qui décide.
- Dommage qu'on n'ait pas des heures devant nous.
- T'as raison, il faut trouver un endroit où s'installer confortablement.
- Tu t'inquiètes de son confort.
- Pas du sien. Du nôtre.

Quels ignobles individus. Ils ne pensent qu'à leur plaisir. Katy tire sur ses liens. Hurle à travers son bâillon. Sans succès évidemment.
- On dirait qu'elle s'agite.
- C'est bien. plus elle se débattra. Mieux ce sera.

Ils ont raison. Elle ne réussit qu'à resserrer ses liens et à attiser leur vil désir. Et ses protestations étouffées par le bâillon ne font qu'exciter davantage ces salauds.

- Bon, c'est pas tout ça, on l'attache comment
- On pourrait l'allonger, les jambes bien écartées. Et ensuite on tire au sort qui passe le premier.
- Elle va se débattre, ça va pas être facile.
- Mais ça va être amusant.
- Et puis, y a pas d'anneaux dans le sol pour l'attacher il va falloir qu'y en ait un qui la tienne.

Katy n'arrive pas à croire que ces deux hommes parlent ainsi de la façon de la maîtriser comme d'un simple problème à résoudre. Mais le pire est à venir.

- Par contre, il y a le crochet au plafond
- Et alors?
- On pourrait la suspendre à ce crochet.

Son complice ne cache pas son enthousiasme

- Bonne idée, comme ça on en profitera tous les deux en même temps.
- Parfait. Qu'est-ce-que tu préfères, devant ou derrière.
- Peu importe, elle nous connaîtra tous les deux par devant et par derrière.

Katy est terrifiée, le cynisme de ces hommes est sans pareil. Ils vont abuser d'elle au delà de toute raison.

- Mais si on la garde trop longtemps, on pourra la remettre à l'endroit où ses ravisseurs s'attendent à la trouver.
- Pourquoi on ferait ça?
- C'était ton idée.
- C'était avant que je la vois. C'est pas tous les jours qu'on a une femme pareille entre les mains. Cet entrepôt n'est utilisé que par nous. On va s'amuser avec elle jusqu'à la nuit puis on la transportera ailleurs.

NOOON !!!!

Cette pensée occupe tout le cerveau de Katy. C'est encore pire que ce qu'elle imaginait. Ces ordures, vont profiter de son corps jusqu'à la briser puis certainement se débarrasser d'elle.

- Il viendra bien un moment où on devra s'en débarrasser.
- On la vendra. Je connais pas mal de gens qui seraient intéressés par un lot pareil.
- Même après qu'on soit passé et repassé dessus.
- Au contraire, on l'aura matée et même dressée. Faut juste faire attention à pas trop l'abimer.
- Tu as raison, passons aux choses sérieuses et suspendons notre petite chérie.

Katy est horrifiée des propos de ces deux hommes et du traitement qu'ils sont prêts à lui faire subir. Elle sait qu'elle doit profiter de la moindre occasion. Ils vont devoir couper ses liens pour la suspendre. Ce sera l'occasion de se défendre peut-être même de les attaquer. Ils sont trop confiants. Elle doit en profiter.

Malheureusement, elle doit déchanter. Les hommes la portent encore ligotée en balltie jusque sous le crochet. Ils tranchent la corde qui relie ses chevilles à ses poignets pour qu'elle puisse déplier ses jambes. Ce qu'elle s'empresse de faire.
Ses cuisses et ses chevilles sont toujours ligotées. Elle tente pourtant de frapper un des deux hommes avec ses deux pieds entravés.
Mais elle est trop faible et gênée par ses liens dans sa maladroite tentative. L'homme n'a aucun mal à éviter le coup.

- T'as vu ça, elle a encore du répondant, cette petite salope.
- Tant mieux. Ce n'en sera que plus amusant.`

Les deux criminels la soulèvent et coupent les liens de son torse pour tirer ses bras en arrière pendant qu'un d'entre eux relie les liens de ses poignets au crochet suspendu à une chaîne au dessus d'elle.

La captive est à genoux. Ses bras liés en arrière dans son dos sont douloureux. Un des hommes fait tourner une manivelle qui actionne une poulie à laquelle est reliée la chaîne qui porte le crochet auquel ses poignets sont ligotés.

Au fur et à mesure de l'enroulement de la chaîne, la prisonnière sent ses bras tirés vers le haut puis et obligée de se lever jusqu'à être complètement debout.
Mais l'homme continue de tourner la manivelle jusqu'à ce que seule la pointe des pieds de sa victime soit en contact avec le sol.

La tension sur les bras de la jeune femme est presque insupportable. Face au regard des infâmes individus qui profitent du triste spectacle qu'elle propose, elle réalise qu'elle est impuissante. A la merci des vils désirs de ces deux minables.

- Il ne nous reste qu'à détacher ses jambes et lui retirer sa jupe.
- Gnnnompfff!!!!
- On lui retire son bâillon?
- Pas tout de suite, on lui demandera d'utiliser sa bouche quand on l'aura bien matée. Et puis j'aime bien l'entendre protester dans son bâillon.

Katy est désespérée. Elle est à la merci de ses porcs qui vont la violer sans le moindre remord.

C'est à cet instant qu'une nouvelle voix se fait entendre.

- Qu'est-ce que vous foutez?
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Floxy
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Floxy »

J'ai hâte de lire la suite.... :langue:

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Gwenboyfriend
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Séduction

Katy reconnait la voix de Marc. Elle est presque rassurée. Son ravisseur lui semble préférable à ces deux vicieux personnages. L'homme avance vers eux. Il s'agit bien de Marc. Comment va-t-il réagir?

- La gamine tentait d'appeler au secours pendant qu'on la transportait. ça nous a paru amusant de lui faire croire qu'on allait la sauver.

Qu'est-ce que ça veut dire. Ils parlent comme s'ils connaissaient Marc. Comme s'ils savaient depuis le début qu'elle était prisonnière à l'intérieur de cet horrible caisson.

- ça ne donnait pas l'impression que vous alliez la sauver.

Et Marc les connaît. Elle a été stupide d'un bout à l'autre. Stupide de croire que les convoyeurs pouvaient ne pas faire partie du complot. Stupide de croire qu'ils pouvaient la sauver. Et la voici à présent impuissante entourée de deux hommes qui ne semblent pas décidés à renoncer à leur bonne fortune. Et un troisième dont elle ignore les intentions mais qu'elle implore du regard.

- On avait un peu changé de jeu. On a pensé qu'elle avait besoin d'une bonne leçon. Que ça lui apprendrait à tenter d'appeler au secours.

- Et jusqu'où allait votre désir de la punir.

- On n'avait pas fixé de limites. Mais tu es le bienvenu. Tu sais ce qu'on dit. Quand il y en a de la place pour deux...

L'autre individu complète.

-... Il y a de la place pour trois.

Katy horrifiée parce qu'elle entend gémit dans son bâillon, tire une nouvelle fois sur ses liens. Elle ne réussit qu'à recevoir une nouvelle tape sur les fesses.

- Reste tranquille toi. Tu vois bien qu'on discute entre hommes.

Marc semble réfléchir à la proposition.

- On n'a pas le temps pour ça. Allez plutôt chercher le van pendant que je m'occupe d'elle.

- Tu veux la garder pour toi. C'est ça.

- ça suffit, c'est notre prisonnière mais il n'a jamais été question de la maltraiter. Allez chercher le van pendant que j'essaie de corriger vos bêtises.

Les deux hommes s'éloignent en maugréant. La captive espère que son ravisseur va la libérer de cette douloureuse suspension. Mais il reste debout face à elle, figé, subjugué par ce corps qu'il trouve encore plus beau ainsi exposé et martyrisé.

Il s'approche d'elle et commence à caresser son visage, passe la main dans son dos, descend jusqu'à ses fesses.

Katy sent les mains de son ravisseur qui se promènent sur son postérieur. Leurs visages sont proches. Il caresse à nouveau son visage. Passe les doigts sur son bâillon.

- Ce que tu peux être belle. Je pourrais passer la nuit à te regarder. A te toucher. Je ne sais pas ce que je préfère, tes yeux, tes seins, tes fesses...

Elle n’arrive pas à le croire. Elle est prisonnière d’un homme tellement fasciné par elle qu’il semble avoir oublié pourquoi il l’a kidnappée.

Au moins, il ne songe pas à la violer. A la séduire plutôt. Comme si l'homme qui l'a enlevée, ligotée, bâillonnée pouvait la séduire.

Evidemment, il l'a aussi sauvée des ces deux immondes salauds. Et peut-être que si elle l'encourage habilement, il la délivrera et elle trouvera un moyen de s'échapper. Si elle pouvait lui parler. Elle n'a pas le choix.

Elle déteste ce qu’elle va faire mais elle recommence à supplier à travers son bâillon en espérant que ça va le faire réagir. Son père lui avait appris qu’elle faisait partie des dominants et la voilà réduite à gémir pour qu’un homme la libère de ses liens.

En tout cas, cela a un résultat.

- Tu veux que je te détache ma chérie.

Comment ose-t-il l’appeler ma chérie. Enfin, ce n’est pas le moment de faire la fière.

- Mpffgnnoui.

Elle espère que ce bafouillis dans son bâillon et ses mains qui s’agitent sont suffisamment explicites.

- Tu promets d’être sage ?

Nouveau bafouillis. Il semble la croire. Mais il ne coupe pas ses liens, il se contente de tourner la roue, jusqu'à ce que les talons de la captive reposent sur le sol. Ce qui représente pour elle un motif de soulagement. Mais ses bras demeurent douloureux. Elle tente de le lui faire comprendre par de nouveaux gémissements. Il semble comprendre et continue de tourner la roue. Katy sent qu'elle peut descendre ses bras mais à peine.
Marc revient vers elle.
- Je ne peux pas trop baisser la chaîne. Tu aurais du mal à rester en équilibre avec tes chevilles et tes cuisses ligotées.
Quel crétin. Pourquoi ne pas les détacher dans ce cas? Katy contient sa colère, elle réalise qu'elle ne doit pas contrarier cet homme qui semble le seul obstacle entre elle est les deux violeurs.

Pour l’instant, il s’intéresse plutôt à sa chemise. Ce qu’il y dessous en fait. Il déboutonne un bouton puis un autre.
Elle arrive à contenir un mouvement de recul. Ne pas lui faire voir que ce qu’il fait la dégoute. Au contraire faire semblant d’y prendre plaisir. Et obtenir qu’il lui retire ce fichu bâillon. Il passe sa main sous le tissu et lui caresse les seins. Cela pourrait être agréable dans d’autres circonstances.

Elle gémit différemment dans son bâillon comme si elle aimait ça. Cela attire son attention. Elle le regarde intensément. N’a pas de mal à faire couler quelques larmes. Il semble avoir compris.
- Tu veux que je t’enlève ton bâillon ?
Elle hoche la tête.
- Bien, mais n’essaie pas de crier. Cet entrepôt est à l’écart personne ne t’entendra mais je te bâillonnerai à nouveau.

Elle hoche la tête pour montrer qu’elle a compris. Il enlève le sparadrap puis retire le chiffon qu’elle avait dans la bouche ainsi que le slip de l’hôtesse.
- On a un peu de temps avant le retour de mes complices.

Sa main glisse sous la jupe de Katy.
- Qu'est-ce-que vous faites. Arrêtez immédiatement.
- Tu n'as peut-être pas remarqué mais tu n'es pas vraiment en position de donner des ordres.
- Vous voulez me violer, vous aussi. Je n'aurais jamais cru ça d'un homme tel que vous.
- Non je ne veux pas te violer. Ne me confond pas avec mes complices

La main de l'homme remonte le long des jambes de la captive jusqu’au slip qu’il arrache d’un coup sec et ramène sous ses yeux.
- Je voulais un souvenir de toi.
- Vous voulez m'humilier davantage. A quoi bon, vous m'avez enlevée, je suis ligotée à votre merci. Et je ne comprends pas ce que vous attendez de moi.
- On souhaite contraindre ton père à abandonner son projet de barrage dans ce pays
- Vous avez tort, ce projet apportera beaucoup au pays et à la région.

Elle réalise sa stupidité. Discuter du bien fondé du barrage avec ce type n'a aucun sens. C'est un militant extrêmiste.

- Va raconter ça aux villageois qui vont devoir quitter leurs maisons.
- Ils seront relogés ailleurs dans de plus belles maisons.

Qu'est-ce qui lui prend de vouloir se justifier auprès de cet individu. ça ne sert à rien. Elle n'est coupable de rien. Elle défend les intérêts de son père.
- Ce n'est pas leur avis. Et je m’inquiète aussi pour les milliers d’espèces végétales et animales qui vont être détruits.
- Et pour ça, vous ne reculez pas devant l’enlèvement et la menace. Ni la torture. Mes bras me font souffrir. Et Mes liens sont horriblement serrés.
- Tu as ce que tu mérites
Faire appel à sa pitié n'est vraiment pas efficace. Elle doit changer de méthode. Il ne semble pas indifférent à son charme et il ne se comporte pas comme ses deux ignobles complices. Elle doit tenter une autre approche.

- Mon père ne cédera jamais.
- Il aura une semaine pour décider s’il préfère son barrage à sa fille.

Il y a peut-être une ouverture.
- Vous voulez dire que je vais rester une semaine votre prisonnière ?

Elle a mis tout ce qu’elle pouvait de sensualité dans question.
- On dirait presque que ça te plait.
- ça pourrait me plaire si je n'étais pas aussi durement ligotée. Et si je ne m'inquiétais pas de ce qui se passera quand mon père aura refusé.
- Tu es si sûre qu’il t’abandonnera.
- Non, il mettra tous ses moyens et tous ses hommes en œuvre pour me retrouver. Et quand ça arrivera, il… il…

Des larmes coulent sur les joues de Katy.
- Qu’est-ce qu’il fera s’il nous trouve.
- Pas "si", "quand". Il vous tuera. Toi et tous tes complices.

Marc sourit.
- Et tu veux me faire croire que tu as de la peine pour moi.
- Oui parce que malgré ce que vous me faites subir, je crois que vous êtes un homme bon. Et puis…
- Et puis ?
- J’ai beaucoup aimé ce qui s’est passé dans l’avion.
- Quand je t’ai ligotée.
- Vous êtes méchant de vous moquer de moi alors que je suis toujours votre prisonnière et que ces cordes me font mal.

Tout en parlant, Katy gonfle sa poitrine, utilise le jeu que lui laisse les chaînes qui tirent ses bras en arrière pour donner un peu de sensualité à son inconfortable position.
- Mais peut-être que c’est ce qui te plait me voir ligotée et à ta merci.

Marc ne peut pas résister. Il s’approche. Enlace le corps entravé de la captive, l’embrasse. Elle lui rend son baiser. Elle sent les mains de l’individu qui parcourent son corps. Caressent ses fesses. Elle s’efforce malgré ses liens de s’offrir de son mieux, de lui faire croire qu’elle aime ça.

Ils se séparent. Elle prend le risque de parler à nouveau.
- Je savais que toi aussi tu avais aimé ce qui se passait dans l’avion et je ne parle pas du ligotage.

Marc ne répond pas. Elle ne doit pas lâcher prise maintenant.
- Tu ne trouves pas que c’est dommage ?
- Quoi donc ?
- Que je ne puisse pratiquement rien faire pour te donner du plaisir parce que je suis ligotée.

Elle marque un temps d’arrêt.
- Mais peut-être que ça t’excite.

L’homme sourit.
- Tu pourrais me donner une preuve de ton affection en étant ligotée.
- Le baiser n'a pas suffi.
- A part t’embrasser ?
Marc tourne la roue la chaîne descend. La captive a du mal à garder son équilibre.
- Qu'est-ce-que tu attends pour te mettre à genoux.

Katy obéit.
- C'est donc tout ce que tu attends de moi. Tu es bien un mec.
- Ce serait une preuve de ta sincérité. Et ne me fais pas croire que tu ne l'as jamais fait.
- Ce n’est pas ça. Mais tu n’imagines le plaisir que je pourrais te donner si j’étais libre de me mouvement
- Ou le mal que tu pourrais me faire.
- Tu crois vraiment que je pourrais me battre contre toi. Tu n’aurais aucun mal à me maîtriser.

Elle se tord autant qu’elle le peut dans sa position délicate
- Ensuite tu pourrais me ligoter de nouveau. Ce serait notre secret. Je suis sûre que tu aimerais ça. Mais si je dois commencer par te sucer, je suis prête à le faire, et tu as raison, ce ne sera pas la première fois. Mais c'est dommage parce que je pourrais te donner beaucoup mieux.

Marc dégage les liens des poignets de la jeune femme du crochet qui l'obligeait à garder ses bras en l'air. Katy ressent un immense soulagement.
- Merci.
Elle joue à peine la comédie. Ses bras étaient vraiment douloureux.
- Mes pauvres bras me font mal, tu veux bien me détacher.
- Tu n'a pas besoin de tes bras pour écarter les jambes.
- J'en ai besoin pour t'enlacer.
Katy est assise sur le sol. Bien qu'elle est beaucoup progressé, elle n'est toujours pas libre de ses mouvements. Et cet homme bien qu'attiré par elle continue d'être méfiant. Il s'assoit à ses côtés. Elle approche son visage du sien et colle ses lèvres aux siennes. Il l'enlace lui rend son baiser. Elle tente d'approcher son corps malgré ses liens. Elle sent qu'elle va réussir. Que dans un instant, il va la libérer et qu'elle aura une chance de s'échapper.

A cet instant, un bruit de moteur se fait entendre.
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Don't struggle, it's no use !

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