Le jeu des grands

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LeClézio

Le jeu des grands

Message par LeClézio »

Bonjour. Cette histoire est la première que j'écris, j'espère donc qu'elle va vous plaire. Je suis parfaitement conscient que pour une première, j'aurais du faire une histoire plus courte, mais je n'avais pas envie de me limiter et j'ai écrit ce que j'avais envie sans tenter de me limiter. Cette histoire est censé ce dérouler dans un futur proche, ce qui me permet de justifier tous les détails qui me dérangent à l'aide d'une technologie innovante qui n'a pas été découverte.

Introduction :

Le jeu des grands, c'est ainsi qu'on la nommé... A la base, ce n'était censé être qu'une simple expérience sociale, un moyen d'analyser les désirs des jeunes adultes et la manière dont ils influençaient les stratégies de chacun. Le principe est simple. 66 joueurs (surnommés entreprenants) sont placés dans un lieu défini et sont répartis en quatre équipes : les rouges, les verts, les bleus et les noirs. Les trois premières équipes sont composés de 20 entreprenants : 10 garçons et 10 filles. La dernière équipe quand à elle n'est formé que de 6 entreprenants, 3 garçons et 3 filles. Cette différence de nombre s'explique par le fait que les noirs sont des espions qui vont être infiltrés dans les différentes équipes. Ainsi, lorsque le jeu commence, les rouges, les bleus et les verts comptent chacun parmi eux 22 joueurs dont deux traîtres. Chaque équipe possède une base qui comporte différentes installations : réfectoire, dortoir etc... Le but du jeu est très simple, chaque équipe doit réussir à capturer le maximum de joueur ennemi dans leurs bases. Pour se faire, les joueurs sont équipés d'une MONTRE : Module à Objectif de Neutralisation et de Télécommunication Remis aux Entreprenants. Cet objet, semblable à un long bracelet, doit être accroché à l'avant bras et permet d'envoyer des messages aux différents membres de son équipe et des décharges électriques à ses adversaires.
Personne n'aurait pu prévoir l’ampleur qu'à pris le jeu des grands et nul ne saurait réellement l'expliquer. Lors de la divulgation des résultats de l'expérience, un groupe important de personne avait souhaiter observer les entreprenants capturés, ce qui avait motivés le pdg d'une des plus grandes firmes internationales à acheter l'idée du jeu et en avait réalisé une nouvelle saison entièrement filmé et diffusé. Ce fut le plus grand buzz de l'histoire de la télévision. Bien vite, ce jeu devint mondial, et une école spécialisé dans la formation d'entreprenant fut créer afin de fournir au jeu des joueurs maître dans l'art d'attacher les gens. Malheureusement, les gens oublièrent bien rapidement l'aspect stratégique censé être l'un des aspects fondamentales du jeu pour ne se concentrer que sur la manière d'attacher les perdants.

La chasse aux espions :


J'observe mon visage dans le miroir, calme. J'y vois un homme, brun, aux yeux bleus, un loup déguisé en agneau. Je regarde l'heure, plus que deux minutes avant le début de l'épreuve. Je me nomme Gabriel et je m’apprête à participer au jeu pour lequel je me suis préparé durant toute ma vie. Je regarde une dernière fois l'équipe qui ma été assigné, équipe noire lié aux rouges. C'est parfait. J'ai vécu toute ma vie en cachant qui j'étais, en dissimulant le manipulateur que j'étais, et aujourd'hui, je me libère. Je met avec calme ma MONTRE, en riant de la coïncidence. Le second noir infiltré chez les rouges n'est nul autre que ma petite amie, Marie. Je sais bien que le hasard n'est pas le seul responsable de cette coïncidence. Même si j'ai dissimulé mon don aux autres élèves, nombreux sont les professeurs à m'avoir remarqué. Mais c'est un cadeau précieux qui m'a été fait, et je saurais l'utiliser. Je vais montrer à tous ces crétins ce que c'est que de l'art. Enfin, la porte s'ouvre. Avec calme, j'avance et observe la base rouge. C'est une importante bâtisse en bois, se situant au centre d'une clairière. Autour de moi, les autres membres de l'équipe rouge sortent et admirent ce lieu. Alors que je suis en pleine contemplation, j’entends quelqu'un m'appeler. Lorsque je reconnais Marie, je lui souris, m'avance vers elle et l'embrasse. J'y met toute ma tendresse, il faut que tous ceux réunis dans cette clairière y croit. Je m'arrête finalement, prétexte vouloir visiter les chambres avec Marie et me rend dans l'une d'elle où je pourrais trouver toute l'intimité dont j'ai besoin. Tandis que nous nous déplaçons dans les couloirs, à la recherche d'une chambre, j'observe les habits de Marie. Elle est vêtu d'une robe simple, noir avec le dos ouvert. Pour ma part je suis habillé d'une chemise noir et d'un pantalon beige. Les tenus étant libre, bon nombre de personne choisissent des tenues vulgaires, mais ni moi ni Marie ne sommes du genre à nous mettre en avant de la sorte, nous sommes des chasseurs, pas des proies. Finalement, après avoir erré pendant un bon quart d'heure, nous trouvons les chambres. Nous nous installons dans l'une d'elle et je commence à écrire le message que je souhaite envoyer aux autres noirs depuis ma MONTRE : « Surtout personne n'agit sans mon accord. Je vous dirais quand agir et sur qui, ne vous inquiétez pas, chacun aura droit à sa part mais agir imprudemment est le meilleur moyen de vous faire prendre. » J'hésite sur la suite du message, que dire, je connais très peu deux des quatre autres noirs. Toutefois je connais très bien la fille noir infiltré chez les bleus, Mathilde, qui est une combattante experte et une de mes meilleurs amies, et le garçon infiltré chez les verts, Henry, qui est un sacré boulet. Ne sachant que dire de plus, j'interroge Marie du regard. Avec calme, elle se met à côté de moi et se met à écrire : « On va se poster en embuscade, nombreux sont les entreprenants à vouloir explorer les environs le premier jours, prévenez nous si jamais vous voyez une cible. » Je la regarde pendant qu'elle écrit, quelques mèches de cheveux lui tombent sur les yeux, je ne l'ai jamais trouvé aussi belle que lorsqu'elle chasse. Lorsque le message est envoyé, elle me prend la main, prétexte aux autres une envie de ballade et nous sortons en amoureux. Ce n'est pas dangereux que nous disparaissions à deux tant qu'aucune disparition n'a lieu dans notre camps, ainsi personne ne pourra nous soupçonner d'être des traîtres. Et comme les combats entre les trois équipes colorés n'ont pas encore démarré et que nous contrôlons tous les noirs, il n'y a aucun risque. Il faut précisez une règle importante qui n'a toujours pas été révélé : La chasse aux espions. Durant les trois premiers jours du grand jeu, les combats entre les trois équipes colorés sont interdits, les seuls pouvant capturer ou être capturer sont les noirs. Habituellement, la totalité des espions sont capturés avant la fin des trois jours mais il est hors de question que cela se déroule comme ça. Soudain, nous recevons un message de notre espion bleu, une cible isolé. Je m'élance rapidement, en priant. Marie et moi avons un marché : les garçons sont pour elle, les filles pour moi. A travers les feuilles, j’aperçois soudain une fille, il semblerait que la chance soit de mon côté... Je m'arrête, entendant Marie commencé à se plaindre, me baisse pour qu'elle ne risque pas de me voir et observe ma cible. Elle a les cheveux teints en violet, et possède d'immense et magnifique yeux verts. Cerise sur le gâteau, elle possède une poitrine imposante. J'observe à présent ses habits, elle portait un tee-shirt rose qui s'arrêtait à son nombril, une veste noir et un pantalon noir aussi. Je reste immobile, patient, attendant qu'elle s'approche suffisamment. Les décharges électriques de la MONTRE nécessite un contact direct avec la cible. Et soudain, je bondis sur ma proie, la pauvre n'a pas le temps de réagir qu'elle est déjà dans les pommes. A peine est-elle par terre que je la menotte, ne prenant aucun risque. Je ne m'attarde pas sur son cas pour l'instant, je m'en occuperais dans le QG des noirs. Avec adresse, je la soulève dans mes bras, et observe Marie. Elle m'annonce qu'elle va continuer à chercher un garçon à ramener. De toute façon je n'ai pas besoin d'elle pour m'occuper de la fille. Comme tous les noirs sont encore en infiltration, il semble que je vais avoir le privilège de visiter en premier la base des noirs. J'avance dans les bois, tenant toujours la fille dans mes bras, jusqu'à un vieil arbre au bord d'un lac. Je l'observe en détail jusqu'à trouver ce que je cherche, un trou dans la souche. J'y entre avec difficulté, tenant toujours mon paquet dans les mains, et actionne le bouton caché dans le bois. Aussitôt je sens que je tombe, et après une dizaine de seconde d'attente, j'arrive dans une salle de notre repère. Le lieu est semblable à l'intérieur d'une vieille usine, dans un style assez steampunk. J'aime bien l'endroit. Tout comme la base des rouges, le lieu est immense et je me balade avec ma prise pendant plusieurs minutes, cherchant un lieu où l'attacher. Je trouve finalement une petite pièce, vide, qui ferra parfaitement l'affaire pour ce que je souhaite faire. Je couche la fille par terre. Elle dort toujours, c'est vraiment très efficace la MONTRE. Je lui retire les menottes, tape sur ma MONTRE tout ce dont j'ai besoin, attend quelque seconde, ressort de la pièce et trouve tout ce que j'ai commander par terre. Comment ? Grâce à l'intelligence artificielle qui dirige ce jeu. Il a longtemps été reproché au jeu des grands d'avoir trop d'interférence extérieur qui selon certains téléspectateur « nuisait à l’immersion ». C'est à cette fin qu'à été créer cette intelligence artificielle. Elle permet entre autre de fournir le matériel nécessaire au bondage et nourrit les prisonniers tout en surveillant leurs fonctions vitales afin de s'assurer qu'ils ne courent aucun risque. Je me saisis de mon matériel et retourne auprès de ma victime, elle dort toujours à point fermé... Je reçois soudain un message sur ma MONTRE, c'est Marie qui m'annonce qu'elle vient de ramener un homme dans la base, je ne vais pas être le seul à m'amuser... Je m'approche du matériel quand je détecte un mouvement de la part de ma cible, elle vient de se réveiller. Ni une ni deux, je lui saute dessus et la met KO avant qu'elle ne fasse le moindre mouvement et commence à la préparer. Tout d'abord, je la met entièrement nue. Puis je me saisis d'un outil spécial, des gants qui ne possède pas de doigts. Ce sont simplement des boules que l'on enfile autour de la main de la victime, et qui l’empêche de saisir quoi que ce soit. Je lui met avec rapidité au deux mains. Suite à ça, je me saisis du ruban adhésif noir et lui attache chaque avant bras aux épaules. Après ça, je lui attache, toujours avec du ruban adhésif, les mollets aux cuisses. Je me saisis alors de pinces téton terminé par des grelots, que je lui accroche. Je lui met des oreilles de chat, que je lui attache avec une ficelle. Je lui accroche un collier noir, simple et me saisis de mon dernier objet. C'est une grande muselière que je lui met avec difficulté. Je reste de longue minute sur place, occupé à la regarder. Sa poitrine se soulevant lentement à chacune de ses respirations. Elle ouvre finalement les yeux, doucement, je l'observe tenter de bouger, tirant sur ses bras et ses jambes pour tenter de se détacher. Elle tente de hurler, mais la muselière ne laisse passer que de petits jappements. A chaque mouvement qu'elle effectue, les grelots qui lui sont fixé à la poitrine créer une mélodie dont j'apprécie toute la saveur. Je pense que j'aurais pu passer tout le reste de ma journée à l'observer ce débattre, mais c'est finalement un message de Marie, m’annonçant qu'elle a fini, qui me décide à bouger. Je la retrouve finalement dans l'entrée, je ne sais pas ce qui est arrivé au garçon mais les cris que j'entends au loin me laisse à penser que je ne souhaiterais pas être à sa place. Marie et moi ressortons main dans la main, heureux de notre matinée et content d'avoir intégrer le jeu.
Nous retournons finalement au camps des rouges, et aidons les autres dans le préparatif du camps. Les taches sont nombreuses et le temps presse, sous peu, la guerre des couleurs commencera. Et je dois reconnaître que j'ai aussi beaucoup à effectuer pour préparer la victoire des noirs. Après le déjeuner, je prétexte une mauvaise digestion, et me rend aux wc afin de réfléchir sur les personnes que je dois capturer en priorité. Afin d'éviter de me faire déranger, j'ai préféré me rendre dans les toilettes intérieur, où je l'espère, vu l'heure, personne ne viendra. J'y reste un bon quart d'heure, donnant des ordres à chacun avant d'être déranger par un timide tapotement à la porte, suivit d'une voix claire et mélodieuse qui me demande : « Vous en avez encore pour longtemps, je ne souhaite pas vous déranger mais j'ai un besoin pressant et et je n'ai pas envie d'aller dans les toilettes extérieurs, qui sont selon moi trop sale. » Je retiens un cri de colère, j'ai de toute façon pratiquement fini ce que je souhaitais faire, ce n'est pas dérangeant si je laisse ma place. Lorsque j'ouvre la porte, je reste quelques secondes pétrifiés par le spectacle devant lequel je tombe. Je me retrouve nez à nez devant Hélène, la fille dont j'étais secrètement amoureux il y a quelques années, et qui m'a collé un râteau impressionnant. A peine je la vois que je sens mon cœur à nouveau chavirer, elle est devenu encore plus belle qu'autrefois : Elle a de long cheveux châtains qui tombe en boucle jusqu'à ces épaules, de beaux yeux brins, une lèvre pulpeuse et un nez fin. Elle porte un tee-shirt bleu affichant un profond décolleté et un mini-short gris mettant en valeur ses jambes fines. Je ressent aussitôt l'envie de l'attacher et je dois faire preuve de toute ma volonté pour ne pas lui sauter dessus. Je la laisse passer, me réfugie dans une pièce et ordonne aussitôt à Henry de venir à proximité du camps et d'attendre mes ordres. Je ne peux pas me permettre de disparaître à nouveau avant ce soir, les rouges trouveraient sa trop suspect, je vais donc devoir faire faire le sale boulot par un autre. Je sors dehors voir les autres, et me proposent de les aider. Comme je l'avais prévu, ils me demandent de monter sur le toit avec les autres gars pour aider à installer la plateforme de guet. J'ai de cet endroit une vue imprenable sur toute la clairière et je peux patiemment attendre que tout ce mette en place. Je discerne au loin, maladroitement caché dans les buissons Henry qui attend. Il va finir par nous faire griller ce crétin. Après un temps qui m'a semblé être une éternité, je vois Hélène sortir de la maison et se diriger avec deux amies dans les bois. Tout va être affaire de timing... J'attends le moment où les trois filles arrivent à la lisière des bois, et je pousse une poutre du haut du toit. Le résultat ne se fait pas attendre, elle se fracasse violemment en bas... Marie, qui était posté à côté se met à hurler, appelant à l'aide et criant qu'elle est blessée. Au moment où les deux amies de Hélène commencent à s'approcher de Marie, Henri surgit des bois, sautent sur Hélène et avant que quelqu'un le voit, l'emmène dans la forêt. Je lui envois rapidement un message, lui disant d’enfermer Hélène quelque part et descend voir Marie. Elle joue à merveille la comédie, se roulant par terre et hurlant de douleur. Au bout de quelques minutes, elle se calme finalement et j'entends tous les garçons commencer à se disputer pour décider du responsable de cet accident. Évidemment personne ne pense à moi, et c'est tranquille que je repars dans la maison afin d'aller m'installer dans ma chambre. Tout se déroulait parfaitement quand je reçoit un message de Henry, m’expliquant qu'il souhaite s'occuper lui-même de Hélène. Je manque de m'étouffer quand je vois ça. Je lui réponds rapidement un message, lui expliquant que si il faisait ça, je n'aurais d'autre choix de me débarrasser de lui. Et je pense mes mots, si il désobéis à cet ordre, je l'offre en pâture a Marie. Je passe l'après-midi dans un état d'excitation important, cherchant le premier prétexte pour m'échapper. C'est finalement à la tombée de la nuit, que l'occasion se présente. Je prétend aller me coucher, monte dans ma chambre avec Marie, verrouille ma porte et m'échappe par la fenêtre. J'avance discrètement dans les bois, regardant fréquemment derrière moi pour m'assurer que personne ne me suis. J'arrive finalement enfin devant l'arbre. J'actionne avec rapidité le passage secret, et arrive dans notre repaire. Je fais quelque pas et j'entends quelqu'un cogner au loin, il semblerait que Henry est respecter mes consignes. J'avance jusqu'à la source du bruit et suis pris d'une colère folle. Hélène est bien enfermer dans une cage, mais elle est attachée avec des menottes au plafond et un gode lui a été profondément enfoncé. Le bruit que j'entends est celui qu 'elle produit en tapant avec ses pieds. Je garde mon calme, je m'occuperais de ce crétin plus tard. Je m'avance devant la cage, assomme la fille avec une décharge puis la libère. Je commande tous les objets dont j'ai besoin à l'aide de ma MONTRE, puis retourne chercher la fille chat que j'ai préparée la dernière fois. Je la met KO, la détache et l'emmène dans la même salle que Hélène. Je commence par m'occuper de la fille chat. Je lui enfile une combinaison intégrale en latex violet, avec pour cagoule une tête de chat, avec des petites oreilles blanches et une longue queue qui ressort à l'arrière. Ensuite, je lui met les gants coussinets que je lui avais mis la dernière fois, lui attache les pieds et les poignets avec des sangles qu'elle ne pourra retirer avec ses coussinets, puis j'attends qu'elle se réveille. Ça ne lui prend que quelques minutes pour qu'elle ouvre les yeux, je l'observe se débattre en tentant de se libérer, mais les liens sont solidement attachés. Puis j'entre dans la cage ou se trouve Hélène, m'assure que la fille chat me regarde bien puis je commence mon œuvre. Je me saisis d'une combinaison en latex assez spéciale, et je m'approche de Hélène. Cette combinaison a été faite spécialement à ma demande avant le jeu, et est unique en son genre. Elle s'apparente à un grand sac en latex, n'offrant qu'un trou pour la tête et un long zip sur toute la longueur. Toutefois, une fois enfilé, le sac va expulser tout l'air se situant entre lui et la personne, si bien que la combinaison va se coller au contours de sa victime, ne lui laissant aucun espace libre pour qu'elle puisse bouger. En effet, les bras seront ainsi maintenus le long du corps et les jambes collés entre elles sans la moindre possibilité de ce déplacer. Je me saisis d'une paire de ciseau, que je montre bien à la fille chat, que je place à l'intérieur d'un gode avant de l’insérer à l'intérieur du vagin de Hélène. Puis, je lui met la combinaison. Je me délecte de voir ses formes sublimés de la sorte, ses tétons qui pointent à travers la combinaison, ses hanches qui ont un si beau contours. Je referme le zip jusqu'au coup de la demoiselle, puis j'y place un collier en métal solidement cadenassé. Puis, je commence à sangler ma prisonnière. Non pas que ce soit réellement nécessaire, mais afin de la rendre encore plus belle. Je lui passe une première sangle au niveau des pieds, et une seconde au talon. C'est à ce moment là qu'elle reprend connaissance, je la vois s'agiter, tenter de se détacher. Continuant mon œuvre, je lui sangle les genoux, puis les mollets. C'est à ce moment là qu'elle commence à me supplier, m'implorant de la détacher. L'ignorant, je continue, passant une nouvelle sangle au niveau des hanches. Je respire, c'est à ce moment que je dois me concentrer, je dois créer l'harmonie parfaite. Ignorant ses supplications, je lui passe une sangle sous les seins, tirant afin de lui relever au maximum ces derniers, puis avec vitesse, je lui en passe un autre juste en dessous, afin de définitivement les coincer. Avec calme, je me saisis alors de ses vieilles chaussettes sales, que Henry m'a gentiment laissé, je lui met dans la bouche et lui met par-dessus avec vitesse une cagoule en latex ne laissant qu'un espace pour les yeux. La pauvre se retrouve ainsi solidement attaché, ne pouvant faire le moindre mouvement. Mais le pire pour elle reste encore à venir. Je me relève, me recule et aussitôt la fille chat lui saute dessus afin de tenter de récupérer les ciseaux. J'observe avec délice cette dernière caresser de toute part le corps de Hélène, tenter de lui retirer la combinaison. Je referme la porte de la cage, mais continue de regarder les deux filles lutter. Je vois Hélène rouler, tenter de hurler à travers sa cagoule, la fille chat lui sautant constamment dessus. Je m'attarde sur le visage de Hélène. Je peux voir ses magnifiques cheveux sortir par le dos de sa cagoule, ondulant contre sa combinaison. Puis elle roule, et je peux voir ses yeux, magnifiques, cherchant désespérément quelqu'un du regard, quelques mèches de cheveux passant devant son regard, sublimant encore plus la beauté de cet instant. La fille chat ne semble pas comprendre qu'il est impossible de retirer la tenue, et elle continue de sauter inlassablement sur Hélène, pour mon plus grand plaisir. Finalement, alors que le spectacle battait son plein, je reçoit un message de Marie m’annonçant que tous les noirs m'attendent dans la salle principale de notre base afin d'assister à la réunion que j'ai demandé. J'observe quelques secondes encore ce spectacle magnifique, regarde la magnifique tenu dans laquelle se trouve Hélène, puis quitte la pièce et retourne dans le la salle principale, le spectacle ne fait que commencer.
Lorsque j'entre dans la pièce, chacun est occupé à crier dans son coin. A l'instant où j'entre dans la pièce, Marie me saute dessus et commence à me faire un résumé de la situation. C'est basiquement assez simple, chacun voulait attacher plus de monde. J'observe les quatre personnes présentent dans la pièce, il y avait tout d'abord Mathilde et un certains Thomas infiltré chez les bleus, et pour les verts, les deux infiltrés sont Henry et Elena. Je ne connais pas Elena, mais à en croire Mathilde, c'est une combattante extraordinaire, encore plus doué que Mathilde. Je m'avance calmement, et annonce avec calme que notre vraie opération allait commencer demain, et que chacun aurait ce qu'il mérite. Puis, ignorant les réflexions de chacun, j'annonce mon plan. Je finis mon exposé à peu près une demi-heure après l'avoir commencé, et je sors rapidement, accompagné de Marie, afin que nous puissions rejoindre la base rouge. Je passe une nuit calme et paisible, mon sommeil seulement troublé par mon excitation. Le lendemain, lorsque je me réveille, Marie dort encore. Ne voulant la déranger, je sors discrètement et part observer les aménagements du camps. La tour de guet est pratiquement finis, et plusieurs pioches ont été ramenées, probablement pour creuser des pièges. Alors que j'observe tranquillement le lieu, j'entends une voix que je n'apprécie pas du tout. Je me retourne et tombe sur Sophie, Thérésa et leur bande de lèche botte. Sophie et Thérésa sont basiquement des pétasses. Grandes, blonde aux yeux bleus et poitrine provocante pour l'une, brune aux yeux bleus et poitrine encore plus provocante pour l'autre. J'ai été leur souffre douleur pendant de nombreuses années, endurant des humiliations toujours plus terrible. Mais à présent que je me suis libéré, je ne compte pas me laisser faire, je répond à chacune de leurs piques du tac au tac, me moquant d'elles et les humiliants devant leurs amies. Grave erreur. Soudain, je vois Sophie légèrement reculer son bras possédant sa MONTRE, elle se prépare à m'attaquer. Je recule légèrement mon pied, l'attendant de pied ferme, quand soudain je comprends. J'ai caché mon talent pour le combat à tous mes camarades, je ne peux pas me défendre contre ce coup que je ne suis pas censé l'avoir prévu. Avec rage, je ferme les yeux et la laisse me taser. Je m'écroule par terre. Toutefois, je n'ai pour ma part besoin que de quelques secondes pour récupérer connaissance. Je reste immobile au sol, entendant Sophie et Thérésa s'éloigner au loin. Je ne peux pas bouger, personne n'est censé récupérer en seulement quelques secondes. J'ai du m'entraîner de longues années à m'infliger des décharges pour atteindre ce niveau de résistance. Soudain, j'entends un cri au loin, Marie vient de me repérer. Elle me prend et péniblement me tire dans un lieu isolé. A peine sommes nous à l'abri que je me relève avec vitesse, des flammes coulant de mes yeux. Et pour la première fois, je vois chez Marie un sentiment : La peur. Cette peur laisse rapidement place à son regard sadique, elle sait qu'elles vient de libérer leurs pire cauchemars. Je change mes plans, donnant des ordres à Mathilde et Elena. Je veux mes meilleurs agents sur le coup. J'attends une petite heure, que chacun se mette en place, et je lance mon plan. Au réveil, j'ai pu remarqué que les rouges avaient fait une grande fête hier soir. La maison est dans un salle état, et je vais m'en servir. Je propose à toute l'équipe rouge de ranger la maison, et chacun accepte et commence à se mettre à l’œuvre. Après ce qui c'est passé, si les deux pétasses disparaissaient, je serais le suspect numéro 1, je vais donc me construire un alibi en béton. Comme on pouvait s'attendre de ces deux idiotes, elles ont discrètement filés afin d'éviter la corvée générale. C'est presque trop facile, cinq minutes plus tard, je reçoit un message m'annonçant que le poisson est attrapé. Le timing est parfait, sa n'a même pas décalé les plans que j'ai conçu hier soir. Les seuls personnes qui se retrouvent réellement gênés sont Marie et moi mais ce n'est pas bien grave, Marie aura le temps de s'occuper de ce que je lui ai demandé cet après-midi, je ne m'inquiète pas. J'attends patiemment que la disparition des filles soient remarqués, finis de ranger puis m'éclipse discrètement. J'arrive dans la base des noirs en trépignant d'impatience. J'entends au loin Thomas occupé avec un garçon, semblant bien s'amuser, et me rends dans la partie du bâtiment qui m'a été réservé. En effet, personne n'a osé amené leurs prisonniers dans le même endroit que moi, je suis donc seul maître du lieu dans lesquels sont enfermés mes proies. Arrivant dans le lieu, je vois dans la cage la fille chat allongée sur Hélène, endormie. Je continue mon chemin, et j'entends finalement dans une petite pièce annexe deux filles occupées à parler. J'ouvre la porte et je suis agréablement surpris de voir que mes deux agents m'ont préparés les filles. En effet, leurs vêtements civils ont été retirés, au profit de soutien gorge et de string, tous deux en latex noir, ainsi que des bottes à talon. A peine ai-je ouvert la porte que les deux filles me sautent dessus, tentant de s'enfuir. Je n'ai aucun mal à les neutraliser. Je me dépêche de commander tous le matériel nécessaire à leurs emprisonnements, et l'attend patiemment. A peine est-il arrivé que je met à l’œuvre. Tout d'abord, je leur sangle les bottes au niveau des talons et des mollets. Puis, je passe deux sangles à chacune au niveau de leurs seins, une au dessus et l'autre au dessous. Leurs poitrines est sublimé, les seins ainsi mis en avant. Ensuite, je me saisi d'un armbinder et me lance dans la tache la plus complexe, j'entre le bras droit de Sophie ( la blonde ) dans l'armbinder, puis le bras gauche de Thérésa ( la brune ) dans le même armbinder. Me saisissant d'un second armbinder, j'y place cette fois le bras droit de Thérésa et le gauche de Sophie. Une fois cela fait, je me saisis de nouveau de plusieurs sangles et commencent à solidement attacher les bras entre eux. Continuant sur ma lancée, j'attache les mollets des deux filles ensemble, puis à l'aide d'une dernière sangle, je colle la taille des deux filles entre elles. Je met alors un collier à chacune des deux filles, puis à l'aide d'une corde, les relie afin de coller les deux filles l'une contre l'autre C'est un spectacle magnifique que je vois, les corps des deux filles collés l'un contre l'autre, immobilisé. Je m'attarde quelques secondes afin de regarder les poitrines des deux filles. Les seins s'écrasant les uns contre les autres, se compressant. Mais mon œuvre n'est pas finie. Passant une autre corde dans les colliers des deux filles, je la relie à un crochet situé dans le plafond et tire jusqu'à ce que les deux filles se retrouvent à la verticale. Sans m'arrêter, j'accroche une corde au talon de Thérésa, que j'accroche ensuite à la sangle situé à la taille. Rapidement, j'effectue le même procéder pour Sophie. Enfin, j'accroche une autre corde aux chaussures de Thérésa, que j'accroche cette fois par terre, et je fais la même chose pour Sophie. Je m'arrête pour observer mon travail. Le corps de deux filles, une blonde et une brune sont collés l'un contre l'autre à l'aide de différentes sangles, leurs bras se mélangeant dans deux armbinders et les filles sont maintenus à la verticale à l'aide d'une corde, qui ne laisse que leurs genoux toucher le sol. De plus, leurs pieds sont solidement maintenus dans un angle à 45° à l'aide de deux cordes différentes pour chacune d'entre elles. Je décide d'apporter la touche final à ma création. Je me saisis de deux bandeau en cuir, que je leur enfile au niveau des yeux, puis me saisis de deux baillons boules reliés entre eux par une chaîne, que je leur met en place, puis j'attends patiemment qu'elle se réveille. Finalement elles reprennent connaissance, je les observe ce tortiller, se débattre. Je les vois tirer sur leurs liens, agiter la tête pour tenter de chasser leurs bandeaux, je les entends pousser de petits cris atténués par leurs baillons. Je reste de longues secondes à regarder le mouvement des seins, semblant mutuellement se caresser avec une tendresse infinie. Finalement, je me retourne, me lève et quitte la pièce, tranquillement, sans un regard en arrière pour ses deux filles.
Je passe l'après-midi à diriger les noirs depuis le camps rouge, j'ai trop disparut du camps c'est deux jours, je dois attendre patiemment que les choses se calment. Je passe aussi une soirée tranquille et m’accorde même une grasse matinée le lendemain. Enfin, c'est ce que j'espérais. Aux alentours de 9h30, Marie est entrée à toute vitesse dans ma chambre, visiblement très inquiète. Je me suis assis sur le lit et l'est écouté parler :  « On a un problème, tu te rappelles que pour te venger de Henry, tu ne lui a pas confié la moindre mission hier ? Et bah il a pété un câble, ce matin, il a essayé de capturer un vert, il c'est fait prendre. » Je reste silencieux quelques secondes. Pour que mes plans se passent comme prévu, j'ai besoin qu'au moins un espion soit en activité dans chaque équipe. Or, connaissant Henry, il allait probablement marchander son coéquipier pour être attaché d'une manière plus confortable. Le pire scénario est en train de se dérouler sous mes yeux, et je ne peux pas l'arrêter. Mais qu'est-ce qui m'arrive, suis-je du genre à me défiler de la sorte ? Je réfléchis à toute vitesse, tenter de délivrer Henry serait du suicide, ils comprendraient immédiatement qu'on est des noirs et ils nous captureraient. Je dois donc le faire libérer, mais comment ? La réponse est simple, je dois trouver un bouc émissaire. Je donne avec vitesse mes ordres à tous les autres noirs, puis me lève et me rend rapidement dans la cour. Je cherche pendant quelques secondes Maxime, puis lorsque je la vois, je cours vers elle. Maxime est une des idiotes qui faisaient parties du groupe des deux pétasses. Cheveux noirs comme la nuit, coupés au carrée, des yeux bleus, et une petite poitrine. Elle porte un uniforme semblable à ceux utilisé par les écolières anglaises : chemise blanche, petite jupe à carreau et une cravate argenté. Je m'avance vers elle et lui annonce alors : « Les autres se sont concertés et ils sont venus à la conclusion que la seule personne qui n'a aucun alibi pour l'enlèvement de Sophie et de Thérésa, c'est toi, ils viennent de capturer. Je te préviens parce que je te connais et que je sais que tu est innocente, ils sont simplement manipulés par Camille. » Je la vois éclater de rire devant mon histoire, elle n'est pas convaincu. Toutefois au bout de quelques secondes, je vois son rire se transformer en grimace, et je la vois se retourner et s'enfuir dans la foret. Derrière moi, la grosse majorité du camps rouge arrive en courant. Je laisse Enzo, un jeune blond charismatique, me faire un résumé de la situation que je connais déjà. Marie leur a suggérer de poser des questions à Maxime sur l'enlèvement des deux filles. Je lis son incompréhension sur son visage devant la fuite qu'elle a faite, et je me propose d'aller la récupérer. Mais je n'irais pas seul, je demande à Marie et Camille de m'accompagner. Camille est une fille amoureuse de moi depuis toute petite, cheveux roses, gros seins, personne n'a jamais compris pourquoi j'ai refusé de sortir avec elle. Je n'ai d'ailleurs moi-même pendant très longtemps pas su l'expliquer, mais j'avais à présent compris que c'était simplement parce qu'elle était fade, une simple bimbo qui ne m'intéressait guère. Mais elle allait à présent m'être très utile. Nous partons dans les bois, et au bous de quelques secondes, je l'entends me demander : « C'est vrai ce que m'a dit Marie ? » Je souris, et lui répond avec froideur : « Malheureusement oui. » En effet, j'ai demandé à Marie d'aller raconter à Camille que nous avions découvert que Maxime était un des deux espions. La pauvre idiote nous a crus sur parole, et heureusement d'ailleurs. Nous avançons dans les bois, jusqu'au moment où nous tombons sur un groupe de vert mené par Elena. Lorsqu'ils nous interroges sur la raison de notre ballade en forêt, je leur répond que nous traquons un espion. Ils se proposent alors de nous accompagner. Étant en supériorité numérique, ils espèrent probablement nous voler notre espion. De toute façon c'est Elena qui mène le groupe, et elle répète mot pour mot ce que je lui ai demandé de dire. Où se réfugie une bête blessé qui sent sa dernière heure arrivé ? Auprès des gens en qui elle a confiance. Et puisque je me suis débarrasser des deux pétasses, ont pourrait penser qu'elle n'a nul part où aller. Sauf si bien sur on la connaît depuis la maternelle, et que l'on sait que ses deux amis d'enfance ce trouvent dans le camps vert, mais à part moi, qui pourrait bien le savoir ? Nous continuons notre traque, jusqu'à tomber sur nos victimes. Elles sont au nombre de trois. Tout d'abord il y a Maxime, puis Charlotte, une magnifique fille aux yeux verts et possédant des cheveux teints en rouge, et enfin Josh, un grand mec brun au yeux bleus. A peine voient-ils Camille qu'ils se mettent devant elle, en position de combat, près à frapper. Ils changent aussitôt de posture lorsqu'ils voient le groupe vert arrivé. J'ai demandé à Elena de ne choisir que des personnes détestant Charlotte et Josh, et je comprends au murmure surgissant du groupe vert qu'elle a bien fait son travail. Ce qui est encore plus impressionnant, c'est l'audace avec laquelle elle commence à argumenter, prouvant par plusieurs fameux raisonnements qu'il est évident que ça ne pouvait être qu'eux les espions depuis le début. Tandis qu'elle parle, je me décale de façon à me retrouver entre Elena et nos victimes. Finalement, elle s'élance vers eux, me rentre dedans et nous fais tomber tous deux par terre. Me relevant vivement, je vois les trois camarades d'enfance s'enfuirent dans les bois. Je me confonds en excuse pendant plusieurs secondes, jusqu'à ce que Elena m'électrocute et annonce qu'elle retourne annoncer la nouvelle au reste de la base. Marie et Camille, quand à elle, s'enfuient en courant aussi vite qu'elles le peuvent. Une fois que tout le monde a disparut je me relève rapidement et me lance dans les bois, il ne manque plus qu'à faire disparaître les trois accusés et tous ce sera passé sans encombre. Après tout, les absents ont toujours tord. J'arrive devant un spectacle insolite. Je vois Charlotte, Josh et Maxime tous les trois allongés par terre, ko, avec au-dessus d'eux Mathilde, m'attendant. Sans un mot, je me rends à ses côtés, et nous commençons difficilement à transporter nos trois proies dans la foret. Au bout d'un bon quart d'heure, nous finissons finalement de transporter les trois personnes dans notre base. Je soulève une fille sous chaque bras et les emmène dans mon repaire. Je décide par commencer de m'occuper de Maxime. Pour elle rien de compliquer, je souhaite utiliser le maximum de temps pour m'occuper de la belle fille au cheveux rouge. Je conduis Maxime dans un débarras, lui laisse ses habits mais déboutonne sa chemise, puis commence mon œuvre. Je lui met les mains dans le dos, puis lui scotch les mains avec du gros scotch gris. Je fais de nombreux tours, m'assurant qu'elle ne peux pas se détacher, puis lui scotch les pieds de la même façon. Je passe ensuite de nombreux tours de scotch sous la poitrine de la fille, et autant juste au-dessus afin de lui mettre la poitrine en valeur. Je me saisis d'un vieux torchon qui traînais dans le coin, lui enfonce dans la bouche et passe de nombreux tour de scotch, afin qu'elle ne puisse pas le recracher. Je me recule et regarde mon œuvre. L'ensemble est correct, sans être extraordinaire mais je n'ai pas le temps de faire mieux, une idée me trotte dans la tête pour Charlotte et elle va me demander beaucoup de temps. Je ressors du débardas et tombe sur Marie. Elle semble très énervé que je ne lui ai pas garder Josh pour elle. Mais je suis pressé pourquoi elle vient me déranger ? J'essaie de passer, l'ignorant mais elle me bloque le passage. Je commence vraiment à m'énerver, cette histoire va mal finir. Soudain, Henry arrive. C'est la bien la première fois que je suis content de le voir celui là. Je commence à m'approcher de lui pendant qu'il parle : « Oh mon sauveur ! Je te serais éternellement reconnaissant. Enfin tu aurais pu te dépêcher et agir un peu plus vite, j'ai les bras tout engourdis maintenant. Et tu pourrais me remercier, j'étais vraiment à de doigts de vous vendre et il m'a fallut toute ma détermination pour... » Je ne le laisse pas dire un mot de plus, d'un coup de poing rapide, je l’envoi au tapis. Par pur précaution, je lui envois une décharge pour m'assurer qu'il ne se relève pas avant un bon moment, puis je me tourne vers Marie, et lui annonce en montrant Henry du doigts : « Tiens je te le confie et je compte sur toi, celui là tu me le bichonne. » Finalement débarrasser de Marie, je me dirige vers Charlotte. Je l'observe quelques secondes. Ses cheveux rouges sont étalés sur le sol, sa poitrine se soulève lentement au rythme de sa respiration. Et pour la première fois de ma vie, j'hésite sur la manière d'attacher quelqu'un. Je vois dans mon esprit des milliers de possibilité défiler dans mon esprit, mais je n'arrive à en saisir aucune. Je décide finalement de commencer par la préparer afin de me laisser du temps pour réfléchir. Je commande l'habit, attends quelques secondes puis lui enfile. Je lui met une robe en latex noir, qui s'arrête juste sous ses vesses mais qui possède des manches longues. La tenue est parfaite et lui convient à merveille. Ses cheveux rouges semblent se mettre en harmonie avec la tenue, créant un mélange magnifique à voir. Je peux voir ses tétons pointer sous la tenue, et lui ajoute des bottes montantes en cuir afin de parfaire l'ensemble. C'est en continuant de l'admirer que je comprends, elle ne doit pas être cacher, mais sublimé. Je commande tout le matériel dont j'ai besoin, puis traîne la fille jusqu'au mur au fond de la pièce, puis je commence mon travail. Je la relève d'une main, la plaque contre le mur et lui passe une chaîne au niveau de la taille, que je visse ensuite dans le mur. Je la lâche, me recule et regarde mon travail. Le corps de la fille ne s'écroule pas par terre lorsque je la lâche puisque sa taille reste collé au mur, maintenu par la chaîne. Je décide aussitôt de continuer. Je lui passe une chaîne à chaque genou, que je vais ensuite fixé au mur derrière moi de la même manière que sa taille. Continuant mon travail, je fait la même chose pour les pieds et les mains de la fille. Je me recule pour regarder à nouveau. La fille est à présent collé au mur, ses longs cheveux flottants, se déplaçant au gré des minces courants d'air de la pièce. Pour terminer, je passe une dernière chaîne juste sous les épaules de la fille, afin de lui retirer toute possibilité d’effectuer un mouvement. Finalement, je met à la belle un énorme bâillon boule et rajoute plusieurs tour de ruban adhésif pour être sur qu'elle ne puisse rien dire. Je reste en contemplation devant son corps parfait, ses formes épurés et ses tétons sortants. Finalement, je vois ses grands yeux verts s'ouvrir, et j'attends sa réaction. Je ne vois chez elle aucune peur, aucune tristesse, aucune colère, aucune joie, aucune animosité, aucune compassion. Elle ne bouge pas, se contentant de me regarder, me défiant du regard. Je recule vivement d'un pas, apeuré. Qui est cette fille ? Tout son corps respirent la perfection, son bondage lui va à merveille, la met parfaitement en valeur, mais son comportement fait tâche avec le reste. Ne sachant comment réagir, que faire, je me retourne et sort vivement de la pièce. En passant, j'entends Maxime qui frappe de toute ses forces contre la porte du débarras, probablement avec ses pieds. Je ressort et croise le reste des noirs, qui patiemment m'attendait devant l'entrée. Tous ensemble nous ressortons de notre base. La fraîcheur de la nuit me surprend. Le temps est passé si vite, et cette douce température me rappelle que la chasse aux espions finies ce soir. Dès demain, le vrai combat commencera. Ce sera un affrontement sanglant, mais je ne serais pas seul à me battre. Je me retourne, observe mes différents compagnons et souris, ensemble, nous les capturerons tous.

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elias_
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Re: Le jeu des grands

Message par elias_ »

Bonjour et bienvenu ;)
Je te demanderai de passer tout d'abord par le réglement intérieur du forum ainsi que par la case présentation de la section appropriée ;)
Ensuite, de déplacer ce message dans la section appropriée aux histoires, afin de garder un semblant d'ordre.
Merci !

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moimoi2
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Re: Le jeu des grands

Message par moimoi2 »

Salut !

J'ai pas encore pu tout lire mais le peu que j'ai vu ça a l'air sympa et bien écrit (même si la mise en forme ressemble à un gros pavé ^^).

Effectivement il faut se présenter dans le registre et placer cette histoire dans l'aire d'affichage ;)

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