La fête foraine

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Gwenboyfriend
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Re: La fête foraine

Message par Gwenboyfriend »

Les apprenties

La cage est suspendue à un portique. Le bas de la cage se trouve quelques centimètres au-dessus du sol. Elle suit les courbes de Gwen qui se trouve à l’intérieur. Ce qui est normal pour une cage faite sur mesures. Comme les trois autres parfaitement adaptées aux corps des amies de la prisonnière. Pour l’instant, elles sont vides. Celles à qui elles sont destinées étant les victimes d’autres attractions.

Emprisonnée dans cet ignoble instrument, les poignets liés dans son dos Gwen est incapable du moindre mouvement. De la moindre parole aussi. Ses lèvres sont closes par une bande de métal appliquée sur sa bouche et un ergot qui appuie sur le bas de son menton. Son corps vêtu des seules bandes métalliques de sa prison est ainsi exposé à l’entrée de la fête foraine. Les visiteurs et les visiteuses ne manquent pas l’admirer. Certains vont même jusqu’à caresser sa peau nue et douce. Les plus audacieux vont jusqu’à effleurer ou pincer ses seins.

La malheureuse jeune femme peut voir Diana à quelques mètres transformée en poney-girl.

La captive, elle aussi entièrement nue est attelée à une carriole par une ceinture métallique qui entoure sa taille. Ses mains sont enchainées et fixées à l’avant de la ceinture.
« Ce sera plus facile si tu as des portails à ouvrir quand tu transporteras des clients. » Les mots d’Alexandra résonnent encore dans la tête de la prisonnière dont la bouche est bloquée par un mors auquel sont fixés des rennes. « C’est simple : quand on tire à gauche, tu tournes à gauche. A droite tu tournes à droite. Quand on tire en arrière. Tu t’arrêtes. Les chevaux y arrivent. Tu devrais y parvenir. » Diana n’a pas non plus oublié ces propos humiliants. Pour l’instant, elle n’a transporté personne et elle peut difficilement se déplacer avec ses pieds étroitement enchaînées. Bien que marcher avec des entraves fasse partie des premières leçons qu’elle et ses amies ont dû subir dès leur premier jour de captivité.

Cela a fait à peine cinq jours qu’elles ont été capturées. Cela lui semble pourtant être des années. A tel point qu’elle craint d’oublier ce qu’était sa vie et celle de ses compagnes avant ce tragique événement.

Elle se souvient de son désespoir quand elle avait vu que Phyllis aussi avait été capturée. Puis quand elles ont été rejointes par Gwen tenue en laisse par Alexandra. Et par Beth transportée comme un animal par deux de leurs ravisseuses qui la portaient suspendue tête en bas fixée à une barre de bois.

Les captives avaient été conduites dans une roulotte. Le plus terrifiant fût de constater qu’elles passaient au milieu des visiteurs et qu’aucun ne semblaient choqué de leur tragique condition.
Un fois dans la roulotte, les jeunes femmes avaient été libérées de leurs entraves. Elles avaient un instant été tentées de s’attaquer à leurs tourmenteuses. Mais un regard de ses dernières leur avait fait comprendre qu’elles n’avaient aucune chance. Elles s’étaient alors laissées enchaîner contre le mur. Les poignets au-dessus de leurs épaules, les chevilles et les cuisses, le cou et enfin la taille. Leurs entraves étaient métalliques à l’exception du bâillon de cuir serré sur leur bouche.
- Je crois qu’elles vont se tenir tranquille.
- C’est tout ce qu’elles peuvent faire.

Sur ces paroles cruelles, les ravisseuses étaient sorties. Abandonnant leurs victimes face à un immense miroir qui leur permettait de constater leur triste situation.
Ce dispositif supplémentaire constituait la touche finale de leur supplice en leur permettant de constater leur impuissance et la stupidité de leurs efforts ridicules pour se libérer en tirant sur leurs chaînes.

Elles étaient pourtant incapables de s’en empêcher. De même qu’elles ne renonçaient pas à tenter de parler malgré leur bâillon qui transformaient leurs vaines paroles en marmonnements ridicules.

Elles ignoraient combien d’heures étaient passées avant que leurs ravisseuses ne reviennent.

Leur prison n’avait aucune ouverture. Elles ne pouvaient même pas savoir s’il faisait jour ou nuit. Elles avaient sombré plusieurs fois dans un sommeil fiévreux où elles se rêvaient libres quelques minutes puis étaient rappelées à la réalité par le contact froid du métal sur leur corps qu’elles devinaient secrètement exposé aux regards de leur geôlières.

Enfin, Alexandra entourée de ces complices qu’elle leur avait présentées sous le nom de Mona et Moira était revenue. Une quatrième personne les accompagnait.

Les prisonnières avaient reconnu Ingrid. Celle qu’elles prenaient pour une amie et qui, elles le comprenaient à présent, les avait soigneusement précipitées dans ce piège.

Alexandra et ses assistantes avaient soigneusement vérifiées leurs entraves et avaient souri en constatant que leurs victimes étaient incapables de se libérer.

Alexandra avait alors pris la parole.
- Je pense que vous avez compris que vous êtes nos prisonnières.

Les captives avaient alors protesté dans leur bâillon. Mais s’étaient calmées quand Alexandra avait levé sa cravache.
- Je n’ai pas ordonné que vous soyez bâillonnées pour être interrompue à chaque instant. Un avertissement s’impose.

Des pointes étaient alors surgies du mur au niveau des fesses des prisonnières. Les contraignant à avancer leur bassin pour fuir les piqûres qui menaçaient leur postérieur. Outre le caractère à la fois sensuel, douloureux et ridicule de la position qu’elles prenaient. Le fait de tirer sur leurs entraves rendait se supplice encore plus blessant.

- Vous avez eu un bon réflexe en fuyant ses aiguilles. Elles sont recouvertes d’un produit qui ne mettra pas vos jours en danger mais qui rendra chaque piqûre extrêmement désagréable.
Convaincues de la véracité des propos de leur ravisseuse, les captives s’étaient efforcées de demeurer dans cette délicate position et de ne plus protester stupidement dans leur bâillon.

Alexandra avait alors repris la parole.
- Comme je le disais, vous êtes nos prisonnières. Ou mieux, nos esclaves. Dans le monde tel qu’il est aujourd’hui, personne ne viendra à votre secours.

Alexandra avait alors remarqué le regard qu’avait échangé les captives.
- Vous ne me croyez pas alors qu’Ingrid est à mes côtés et que c’est elle qui vous a conseillées la logeuse qui vous a envoyées ici.

La criminelle avait alors marqué un temps pour que ses victimes assimilent l’horrible information.
- Oui, vous avez été vendues, par Ingrid, la logeuse et les parents de Maud et Myriam en échange de la liberté de leurs deux filles. Vous me croyez à présent.

Il restait Maud et Myriam justement. Alexandra avait deviné leurs pensées.
- Ces deux idiotes ne sont libres que parce que leurs parents vous ont recueillies en sachant qu’ils vous vendraient à leur place. Mais si elles interviennent, l’accord sera annulé et nous aurons gagné deux esclaves de plus.

Ingrid n’avait pas pu se retenir.
- J’adorerais ça.

Alexandra avait souri.
- Tu auras peut-être la chance de voir ton rêve se réaliser.

Elle s’était à nouveau adressée aux prisonnières.
- J’espère que vous avez compris.

Les quatre jeunes femmes avaient baissé la tête pour montrer leur assentiment désespéré.
- Vous allez devenir des attractions très prisées. Nous restons encore un mois dans la ville. Le temps pour vous d’apprendre à obéir. Votre première leçon commence dans quelques heures. Je vous conseille de de vous reposer. La journée sera dure. Nous vous laissons vos bâillons pour vous éviter de discuter inutilement entre vous.

Les pointes qui menaçaient le postérieur des captives s’étaient réinsérées dans le mur et les prisonnières avaient retrouvées une position plus « confortable ».

Leurs ravisseuses étaient sorties, les abandonnant à leurs sinistres pensées. Elles avaient stupidement tiré sur leurs chaînes. Le seul résultat avait été que les pointes avaient surgi du mur à nouveau. Elles n’avaient pas été suffisamment rapide pour s’écarter et cette fois avaient compris ce qu’Alexandra voulait dire en parlant de piqûre extrêmement désagréable. Leur cri de rage et de douleur étouffé par leur bâillon était un supplice supplémentaire. Les pointes avaient réintégré le mur. Cette fois la leçon avait été comprise et les captives étaient demeurées calmes, résignées, consciente de leur impuissance face à d’impitoyables adversaires.

Quand Mona et Moira les avaient délivrées du mur, elles s’étaient laissé enchainer les poignets tordus dans le dos reliés à un collier métallique dentelé. Elles n’avaient pas davantage résisté quand leurs chevilles avaient été enchaînées avec une chaîne si étroite qu’il leur était difficile de seulement marcher et avaient accepté une fois mise en laisse de suivre leurs tourmenteuses. Elles avaient constaté que c’était le matin et qu’il y avait peu de visiteurs dans l’immense fête foraine.
Elles étaient enfin arrivées à ce qui ressemblait à une piste de course entourée par une clôture de bois. Elles avaient été accueillies par une femme prénommée Marlène et par Ingrid qui affichait toujours le même sourire cruel.

L’ordre de Marlène était simple. Se rendre sur la piste et faire un tour complet aussi vite qu’elles s’en sentaient capables avec leurs entraves.

Les captives avaient obéi et avaient commencé à marcher. Honteuses de leur nudité. Consciente que des spectateurs commençaient à s’installer le long de la piste. Elles avançaient maladroitement gênées par leurs chaînes et gardaient la tête basse. Tentant d’ignorer les moqueries des spectateurs de plus en plus nombreux.

Enfin le tour s’était achevé et elles étaient à nouveau face à Marlène qui les avait durement réprimandées.
- Vous n’êtes pas capables d’aller plus vite !!!

Le regard des captives avait exprimé l’incompréhension.
- Vos chevilles sont enchaînées. Et vous ne pouvez faire que des petits pas. Et bien faites de petits pas rapides.

Il n’y a pas que ça, avaient tenté d’exprimer les prisonnières.
- Vos bâillons vous gênent. Apprenez à respirer par le nez. Reprenez la piste. Vous devez faire le tour en dix minutes. Chaque minute en plus signifiera un coup de fouet sur vos jolies petites fesses.

Les captives avaient repris la piste. S’efforçant d’avancer aussi vite que leurs chaînes le permettaient. Très vite, Gwen s’était laisser distancer. Refusant de l’abandonner, ses trois amies avaient ralenti leur allure.

La voix de Marlène s’était élevée.
- Inutile de l’attendre. C’est celle qui arrivera la dernière qui déterminera le nombre de coups de fouets. Mais si vous ralentissez pour elle, ce nombre sera doublé.

Les captives avaient donc repris une allure plus « rapide ». Consciente de la responsabilité qui était la sienne, Gwen s’était efforcé d’avancer plus rapidement. Quand elle était arrivée bien après ses amies. Elle était désespérée.

- Vingt minutes. Ce sera donc dix coups de fouets. Vous les recevrez ce soir. Avec ceux qui vont s’ajouter.

Le pire pour les captives était de deviner la présence d’un public de plus en plus nombreux et ravi d’assister à leur humiliation.
- Vous allez recommencer. Cette fois, il n’est pas nécessaire d’avancer rapidement mais de garder la tête bien droite. De montrer de la fierté.

Les prisonnières ne comprenaient. De quoi auraient-elles pu être fières ?
- Vous devez montrer la fierté d’être nos esclaves pour que nous soyons fières de vous posséder. Donc reprenez la piste et gardez la tête haute.

Les captives avaient repris leur marche et s’étaient efforcées de garder la tête bien droite. C’était évidemment difficile au milieu de ce public moqueur qui s’amusait de leur désarroi.

Quand le tour s’était terminé et qu’elles s’étaient retrouvées face à Marlène. Elles étaient terrifiées à l’idée d’une nouvelle punition.
- Ce n’était pas parfait mais vous avez fait un effort. C’est bien.

Elles avaient alors éprouvé un lâche soulagement. Mais le pire était à venir.
- Je réduis votre punition à cinq coups de fouets.

Le soulagement s’était transformé en reconnaissance. Elles en avaient ressenti de la terreur. Elles réagissaient comme des esclaves.

Marlène avait décidé d’accentuer cet avantage.
- Nous allons mettre une petite planche de bois sur votre tête. Si une seule d’entre vous arrive à faire le tour sans qu’elle tombe. J’annule votre punition. Vous n’êtes pas obligées de marcher vite.

Obéissant à cette proposition infâme, les captives avaient repris leur marche. Elles étaient épuisées mais ne voulaient pas laisser passer leur chance d’échapper au fouet.

Beth avait été la première à perdre la planche. Puis s’avait été le tour de Diana et celui de Phyllis. Gwen s’était retrouvée seule alors qu’il restait plus de la moitié de la piste à parcourir. Chaque pas était un supplice. Elle était tentée d’accélérer mais savait que les chaînes de ses chevilles étaient si étroitement serrées qu’elle perdrait l’équilibre et que la planche tomberait.
Elle avançait à petit pas sous le regard inquiet de ses amies qui la suivaient et ne tentaient pas de la dépasser de peur de la troubler. Elles auraient souhaité l’encourager mais leurs bâillons constituaient un obstacle indépassable.

Gwen avait le sentiment que la ligne d’arrivée s’éloignait au fur et à mesure qu’elle avançait. Elle devinait l’angoisse de ses compagnes d’infortune. Elle devinait aussi la contrariété du public qui espérait que cette planche allait enfin en tomber. Elle comprenait aussi que les sentiments de Marlène étaient plus complexes. Elle serait sans doute ravie de les fouetter. Mais elle se réjouissait certainement de voir les captives se montrer soumises et obéissantes.

Gwen s’efforçait alors d’étouffer le désir de révolte qui l’animait et l’incitait à rejeter l’infâme planche de bois comme une marque de sa soumission.

Enfin elle avait franchi la ligne d’arrivée et était parvenue à garder la tête haute jusqu’à ce que Ingrid retire la planche. Elle avait alors commis l’erreur de relâcher légèrement la tension qui l’animait.
- Qui t’a autorisée à baisser la tête ?
Gwen ne comprenait pas. Elle avait respecté la règle de ce jeu infâme.
- Cela ne s’arrête pas quand on enlève la planche. Tu dois garder la tête haute en permanence. Quel dommage. Vous aviez presque échappé au fouet.

Devant le désespoir des prisonnières, la terrible Marlène avait souri.
- Comme c’est votre premier jour de captivité, je veux bien me montrer clémente.
Les jeunes femmes avaient éprouvé un instant de soulagement et de reconnaissance à l’égard de leur geôlière.
- Si personne dans le public n’est volontaire pour vous fouetter, vous échapperez à la punition.

Les captives avaient été conduites sous un portique. Leurs poignets enchaînés avaient été reliés à la barre supérieure du portique et les chaînes de leur cheville avaient été fixées à un anneau planté dans le sol.

Marlène leur faisait face.
- Vous êtes superbes. Nous avons eu tellement de volontaires que nous avons dû tirer au sort. Pour une première fois, nous n’avons retenu que des femmes.

Le regard des prisonnières c’était fait suppliant. Elles avaient tenté de supplier à travers leur bâillon. Leur geôlière avait levé la main et le supplice avait commencé.

Les tortionnaires des quatre jeunes femmes avaient fait preuve d’habileté, les coups avaient à peine effleuré leur postérieur. Suffisamment pour qu’elles ressentent la brûlure et l’humiliation mais pas assez pour imposer une marque durable. Les captives avaient deviné que leurs tourmenteuses n’avaient pas été choisies au hasard. Elles avaient ensuite été libérées du portique et reconduites dans la roulotte qui servait de prison.

Leurs bâillons leur avaient été retirés et des servantes leur avaient donné à manger. Elles étaient toujours enchaînées contre le mur et avaient été contraintes d’accepter d’être nourries puis lavées par les soubrettes qui avaient pris leur temps pour cette dernière tâche puis étaient parties sans leur remettre leur bâillon.

Pendant les minutes qui avaient suivi, craignant quelque nouvelle duperie, elles n’avaient pas osé parler entre elles.

Diana avait été la première à décider.
- Nous devons trouver un moyen de nous échapper.

C’est Gwen qui avait répondu.
- Tu es consciente que nos ravisseuses nous observent et nous écoutent à cet instant.
- Tu ne peux pas en être sûre.
- Je suis restée prisonnière dans la roulotte de la diseuse de bonne aventure et j’ai assisté à vos captures à toutes les trois sur des écrans de télévision sans pouvoir faire autre chose que regarder.
- Gwen a raison, ces femmes ne font rien au hasard. Nous n’avons aucune chance de nous échapper.
Beth qui était resté silencieuse avait pris la parole.
- Alors que devons nous faire ? Obéir ? Apprendre à marcher enchaînées ? Accepter d’être bâillonnées ? Humiliées ? Devenir des bonnes esclaves ?
- Vous avez le choix. Vous pouvez vous rebeller. Refuser d’obéir et de vous soumettre. Vous punir sera aussi très agréable.

Les captives cherchaient encore d’où pouvait venir la voix d’Alexandra quand celle-ci entra dans la roulotte.
- Comme c’est le premier jour, je ne vous punirai pas pour cette conversation mais vous devez retenir que Gwen a raison. Nous écouterons tout ce que vous direz les rares instants où vous ne serez pas bâillonnées et envisager de se révolter est aussi punissable que refuser d’obéir.

Phyllis avait alors réagi.
- Pourquoi nous traiter ainsi ?
- Parce que nous le pouvons. Et parce que cela nous plait. Mais nous avons suffisamment discuté pour ce soir.

Alexandra s’était alors tourné vers ses assistantes qui l’avaient rejointe.
- Bâillonnez les solidement. Qu’elles puissent à peine soupirer.

Elle s’était adressée une dernière fois à ses victimes.
- Je vous conseille de vous reposer et d’essayer de dormir. Demain votre apprentissage va vraiment commencer et cela va être très dur.

Sur ces mots, elle était sortie abandonnant les prisonnières à leur triste sort.
Epuisées par les épreuves, les captives s’étaient enfin endormies malgré leur position difficile et les chaînes qui enserraient leur cou, leurs poignets, leur taille, leurs cuisses et leurs chevilles.

Au matin, elles avaient été réveillées par un jet d’eau violent sous l’œil amusé du quatuor responsable de leur nouvelle éducation. Leurs bras à nouveau enchaînés dans leur dos, elles avaient été contraintes de manger à la façon des animaux en lapant l’eau comme la nourriture dans des récipients posés sur le sol qui accentuaient leur sentiment d’humiliation.

Conduites en laisse vers la piste d’entrainement, elles avaient repris l’apprentissage consistant à marcher la tête droite dans un temps limité. Conscientes qu’elles n’avaient pas le choix, elles s’étaient efforcées de réussir ces douloureux exercices. Pour les aider Marlène leur avait adjoint à chacune une tutrice qui les incitait à conserver un rythme efficace en les accompagnant et en effleurant leurs fesses de l’extrémité de leur cravache.

Au bout de quelques heures, cette méthode s’était avérée efficace. Les prisonnières ne s’inquiétaient plus du public moqueur qui assistait à leur supplice mais se concentraient sur leur marche et la nécessité de se tenir bien droites.

Quand cette dure journée s’était achevée, Marlène les avait félicitées pour leurs efforts. Elles avaient éprouvé un immense soulagement à l’idée d’échapper au fouet. Soulagement amoindri par l’annonce que si elles ne maintenaient pas leurs efforts le lendemain, la punition serait doublée.
Conduites à nouveau à la roulotte, elles avaient constaté que quatre couchettes avaient été installées. Leurs bâillons avaient été retirés et leurs poignets enchaînés devant leur taille. Un repas avait été servi sur une table. Pour la première fois depuis leur capture, elles pouvaient s’asseoir et manger presque normalement. A cet instant, Alexandra était entrée dans la roulotte.
- Bonsoir mes chéries.

Les captives avaient commis l’erreur de rester silencieuses et avait reçu un coup de cravache soigneusement appliqué sur leur postérieur.

Gwen avait compris leur erreur et avait répondu.
- Bonsoir Madame.
Un nouveau coup de cravache avait souligné sa maladresse et elle avait aussitôt enchaîné.
- Bonsoir Maîtresse.

Alexandra avait souri.
Comprenant qu’elles ne devaient pas tarder, les trois autres prisonnières avaient salué leur ravisseuse de la même façon.
- Je vois que vous faites des progrès. C’est bien. Marlène m’a dit que vous avez fait des efforts. Vous avez mérité d’être récompensées. Profitez de votre repas. Ensuite vos tutrices vous aideront à vous installer sur vos couchettes.
- Merci Maîtresse.

Gwen avait réalisé que leur reconnaissance était sincère. Elles étaient reconnaissantes de ne pas avoir été fouettées, de ne plus être bâillonnées, de ne plus être aussi durement enchaînées.

Elles étaient aussi reconnaissantes de passer la nuit sur des couchettes au point de ne pas remarquer les sangles qui leur étaient destinées.

Au regard qu’échangeaient ses compagnes d’infortune, Gwen avait compris qu’elles arrivaient aux mêmes conclusions. Elles raisonnaient comme des esclaves dont le seul souci était de satisfaire leur maîtresse.

Mais elles devaient admettre qu’elles n’avaient pas d’autre choix et avaient profité d’un repas peu copieux, il faut surveiller votre poids avait dit Alexandra, puis s’étaient docilement installées sur les couchettes. Elles avaient été libérées de leurs chaînes. Un instant, Gwen avait envisagé la possibilité d’une lutte. Elle avait croisé le regard de Diana et compris qu’elle y pensait aussi. Mais leurs ravisseuses étaient plus nombreuses, plus fortes plus aguerries. Et il était déjà trop tard. Les sangles emprisonnaient déjà leur buste et leur taille. Cela avait le tour de leurs cuisses, de leurs chevilles, de leurs bras, de leurs poignets.

Les couchettes étaient disposées deux par deux puis face à face. Les quatre prisonnières pouvaient ainsi s’observer dans leur triste situation.
Un instant, elles avaient espéré pouvoir parler, trouver des mots d’encouragement.
- Qu’est-ce que vous attendez pour les bâillonner.

Phyllis avait tenté de négocier.
- S’il vous plait, ne nous bâillonnez pas. Laissez nous parler un peu
- Pour que vous puissiez vous plaindre d’être maltraitées.
- Nous ne plaindrons pas.
- Commencez par apprendre la politesse.
- Nous ne plaindrons pas, Maîtresse.
- Voilà qui est mieux. Cela ne vous évitera pas un petite punition.
- Mais je suis la seule à avoir été insolente Maîtresse.
- Vous êtes solidaires. Quand une agit mal. Les quatre sont punies. Ça suffit. Il est temps que vous retrouviez vos bâillons.

Les captives n’avaient plus tenté de protester et avaient laissé leurs tourmenteuses enfoncer dans leur bouche un cône de de caoutchouc fixé sur une bande de cuir sanglé sur leur nuque.
Les criminelles avaient achevé leur travail en emprisonnant le front de leurs victimes avec une sangle de cuir qui maintenait leur tête appuyée contre la couchette.

Les malheureuses jeunes femmes avaient constaté qu’elles étaient totalement immobilisées collées à leur couchette. A peine capables de remuer leurs doigts.

Elles avaient senti des boutons placés sous leurs mains et avaient été tentées de les actionner.
Alexandra avait souri cruellement.
- J’éviterais de jouer avec ça à votre place qui sait ce qui pourrait arriver.

À cet instant les prisonnières avaient senti qu’une vibration envahissait leur sexe et leur anus. Se propageant dans tout leur corps. Les ondes de plaisir qui parcouraient leur corps se transformèrent en souffrance insupportable du fait de l’immobilisation totale dont elles étaient victime et de leur bâillon qui bloquait toute exultation.

Dans le brouillard qui les environnait, elles avaient entendu la voix d’Alexandra qui leur conseillait de presser leurs mains sur les boutons. Elles avaient suivi ce conseil. Les vibrations avaient cessé. Progressivement leur corps s’était apaisé. Elles avaient soulevé leur main. Et avaient deviné la reprise progressive des vibrations. Elles avaient alors à nouveau pressé les boutons.
- Je vois que vous avez compris la règle de notre petit jeu. Tant que vous maintenez vos mains appuyées sur les boutons, les sex toys insérés dans votre corps demeurent inactifs.

Les captives étaient terrifiées. Comment maintenir leurs mains appuyées tout en dormant.
- En fait, il suffit qu’une de vous quatre maintienne une de ses mains appuyées. Les trois autres pourront dormir pendant ce temps. Évidemment, il sera difficile de vous mettre d’accord en étant bâillonnées.

Sur ces mots cruels. La ravisseuse avait quitté la roulotte. Abandonnant ses victimes face à ce terrifiant dilemme.

Heureusement les captives se faisait face et pouvait échanger des regards. Diana réussit à faire comprendre à ses amies qu’elle allait tenter de rester éveillée le temps que les trois autres puissent dormir. Une d’entre elles devrait faire de même quand elle ne pourrait plus résister au sommeil. La lumière commença à diminuer.
Épuisées par les efforts de la journée les trois captives s’endormirent laissant Diana seule avec ses pensées et ses efforts pour ne pas lever la main. Malgré elle le sommeil finit par la gagner.

Par chance sa main resta posée sur les boutons pendant quelques temps. Jusqu’à ce qu’elle la déplace dans son sommeil et que les terribles sex toys se mettent en marche. Les captives incapables de se dominer tordaient leur corps dans les sangles gémissaient dans leur bâillon. Jusqu’à ce que Gwen réussisse à appuyer sur les boutons.

Le reste de la nuit s’était déroulé dans une alternance d’instants de sommeils entrecoupés par le réveil de de leur corps mobilisé dans un besoin qu’elles ne pouvaient pas satisfaire.

Au matin, Alexandra était venue les narguer
- Vous avez passé une bonne nuit.
Toujours sanglées et bâillonnées sur leur couchette, incapables de répondre en raison de leur bâillon, les captives ne pouvaient que jeter des regards suppliants à leur infâme tortionnaire.

Celle-ci avait alors souri.
- C’est simple. Si vous persistez dans vos efforts et vous comportez comme de bonnes esclaves, vos nuits seront moins mouvementées. Considérez cela comme un avertissement.

Les prisonnières avaient alors été libérées de leur couchette puis enchaînées, lavées, nourries et conduites au circuit d’entraînement. A la fin de la journée, elles avaient été une nouvelle fois félicitées par Marlène pour leurs efforts conduites jusqu’à leurs couchettes sur lesquelles elles avaient été encore une fois sanglées et bâillonnées.
Alexandra s’était approchée. Leur avait caressé le visage.
- Vous avez été sages. Pas de sex toy cette nuit.

Le soulagement perceptible des captives leur avait montré qu’elles avaient renoncé à toute résistance et qu’elle ne songeait plus qu’à satisfaire leurs impitoyables maîtresses.

Les deux jours suivants avaient permis de parfaire leur dressage.

Diana n’avait pas résisté quand elle avait été attelée à la carriole. Gwen s’était montrée tout aussi docile quand elle avait été enfermée dans sa cage et suspendue à l’entrée de la fête foraine.

C’est à peine si elle avait échangé un regard avec Beth et Phyllis quand elles étaient conduites dans un autre lieu.

Gwen, à présent suspendue au milieu des visiteurs qui s’amusent d’elle, attend sa prochaine épreuve dont elle devine qu’elle ne tardera pas.
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Mad Hatter
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Re: La fête foraine

Message par Mad Hatter »

On sent une descente aux enfers pour notre quatuor.
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Ou est-ce l'inverse ?
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moimoi2
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Re: La fête foraine

Message par moimoi2 »

Je me demande bien comment va se passer la suite. En tout cas, c'est une grande traque qui s'achève et une nouvelle vie qui commence dans un certain sens.

On attend la suite ;)

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Gwenboyfriend
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Re: La fête foraine

Message par Gwenboyfriend »

La cage

Depuis combien de temps est-elle enfermée dans cette cage ? Gwen serait incapable de le dire même si elle n’était pas bâillonnée. Elle croise les regards des visiteurs qui franchissent l’entrée de la fête foraine. Espère voir dans leurs yeux de la compassion. Mais elle ne voit que du plaisir, de la moquerie de la cruauté. Certains s’approchent. La détaillent. Elle a toujours été fière de son corps mais ne supporte pas d’être ainsi exposée à des regards salaces. De voir des sourires cruels.

Les plus audacieux n’hésitent pas la caresser. À pincer ses seins. À effleurer ses fesses. Sur un plateau sont posées une plume une baguette et la clef du cadenas qui verrouille la bande de métal appliquée sur sa bouche. Une feuille est posée sous la clef qui indique « pour interroger cette esclave, déverrouillez le bâillon ».

Mais les visiteurs qui ne choisissent pas la baguette préfèrent utiliser la plume. Certains se montrent de véritables experts dans l’art de la caresse. La malheureuse prisonnière, incapable de maîtriser son corps se tord entre les barreaux de sa cage qui adhèrent à sa peau et ajoutent à son supplice. De même que l’infernal bâillon de métal bloque les gémissements provoqués par les caresses de trop habiles visiteurs.

Soudain, Gwen croise le regard d’un couple. Elle reconnaît ceux qui l’avaient découverte dans la roulotte. Ils s’approchent.
- Je te dis que c’est elle.
- Tu as raison. Elles ont trouvé un moyen de l’empêcher de s’évader.
- C’est pour se moquer d’elle. Elle était incapable de se libérer.
- Sa nouvelle robe lui va bien.
- Faut que tu la dragues à chaque fois que tu la vois.
La femme saisit la baguette.
- Tu vas arrêter d’essayer de me piquer mon homme, salope.
Gwen reçoit un coup de baguette sur les fesses et ne peut que gémir sous la douleur du coup porté par la cruelle visiteuse.
- Ne soit pas si dure envers elle.
- Et en plus, tu la défends.
Gwen reçoit un nouveau coup de baguette.
- Allons. Tu sais bien que je ne m’aime que toi.
- Prouve le.
La femme tend la baguette à son compagnon. Gwen lance à l’homme des regards suppliants qui n’échappent pas à sa compagne.
- Tu crois que je ne vois pas ton petit jeu, sale garce.
-
Tout en parlant, elle pince le téton de la prisonnière qui ne peut que gémir et supplier du regard sa tourmenteuse.
L’homme intervient.
- Je vais te prouver que tu n’as rien à craindre de cette idiote.

L’homme assène un coup de baguette sur les fesses de Gwen. Il a frappé durement et le gémissement de la malheureuse jeune femme rend compte de la douleur et de la violence du coup.

La compagne de l’ignoble individu passe la langue sur ses lèvres.
- Tu ne vas pas en rester là.
- Évidemment.
-
La baguette s’abat une nouvelle fois. Puis une autre. Puis encore. Puis encore.

La captive se débat stupidement dans la cage sous le regard amusé des nombreux spectateurs de cet insupportable spectacle.

La femme arrête le geste de son compagnon.
- Cela suffit. Elle a compris la leçon.

Elle embrasse fébrilement l’homme. Le couple s’éloigne. Les spectateurs se dispersent. Rapidement remplacés par un nouveau groupe au sein duquel la captive remarque deux hommes et une femme qui s’approchent d’elle et examinent les fesses de la captive marquées par les coups de baguette.

Un des hommes suit la trace des coups du doigt. Passe à un autre coup parcourt ainsi le postérieur de l’impuissante jeune femme qui frémit et gémit malgré elle.
- N’aie pas peur ma mignonne. Nous ne sommes pas aussi cruels.

Gwen a du mal à croire ce que prétend l’ignoble individu.
- On va faire le maximum pour te faire plaisir.

Non !! Pas la plume. Être traversée par des ondes de plaisir emprisonnée dans cette cage n’est qu’un nouveau supplice. Mais ces lâches sont insensibles à ses yeux suppliants et l’amènent à un nouvel orgasme qui la laisse honteuse et désespérée.

C’est alors qu’une des femmes remarque le message à côté de la clef du cadenas.
- Regardez. On peut l’interroger.
- Qui s’intéresse à ce qu’elle a à dire.
- Cela peut être amusant.
- Après tout.

La femme déverrouille le cadenas. Gwen n’a pas oublié ce qu’elle doit dire et s’exécute même si elle a honte de sa servilité.
- Merci Madame.
- Pourquoi me remercies tu, petite idiote ?

Gwen reste silencieuse.
- Et bien tu es devenue muette ? Dans ce cas autant retrouver ton bâillon.

Désespérée Gwen ne répond toujours pas. La femme va appliquer la bande de métal sur sa bouche quand son compagnon l’interrompt.
- Attends. Il y a un mode d’emploi de la petite garce. D’abord, toutes tes phrases doivent se terminer par une insulte à son égard quand tu lui parles.
- Je l’ai traitée d’idiote. Cela doit convenir.
- C’est parfait. Tu peux la traiter de garce, salope, esclave. Tout ce qui peut la rabaisser.
- Pourquoi est-ce qu’elle ne répond pas à mes questions.
- Tout ce qu’elle a le droit de faire, c’est te remercier d’avoir retiré son bâillon.
- Elle ne peut rien dire d’autre ?
- Pas tant que tu ne l’as pas autorisée à parler.
- C’est vrai, petite pute ? Tu ne peux rien dire tant que je ne l’autorise pas ?

Gwen baisse les yeux pour montrer que c’est exact.
- Qu’est-ce qui se passe si tu réponds sans que je t’y autorise ?

Tout en parlant, la femme pince le téton de la prisonnière qui s’efforce de maîtriser ses gémissements et résiste à la tentation de répondre à la question.
- J’ai le droit de te tourmenter parce que tu ne me réponds pas ?
Gwen baisse une nouvelle fois les yeux.
- Mais tu seras punie si tu réponds sans que je te donne l’autorisation.
Nouvel assentiment de la malheureuse jeune femme.
- Cela veut dire que tu es surveillée mais que personne n’interviendra pour t’empêcher de te tourmenter.

Le pincement se fait de plus en plus fort. L’homme intervient.
- Tu comptes la pincer encore longtemps ?
- Ça te dérange.

Gwen espère que l’homme va prendre sa défense.
- Non mais tu devrais utiliser la pince à téton qui est fournie avec le mode d’emploi.
- Bonne idée. Fais le.

L’homme obéit sans hésitation au grand désespoir de la prisonnière qui s’efforce de ne pas gémir sous l’effet de la douleur.
Malheureusement l’impitoyable visiteuse est décidée à poursuivre son vil interrogatoire.
- Il y a une autre pince. Si continues de ne pas me répondre. Je vais l’utiliser. Je répète ma question. Pourquoi m’avoir remerciée ?

Gwen résiste à la tentation de répondre.
- Tu crois que je vais hésiter pour la deuxième pince.

Gwen ne le croit pas mais elle continue de rester muette. La femme fixe la deuxième pince sur le téton de la prisonnière.
- Incroyable. Tu continues de ne pas parler.
- Manifestement, ce que tu lui fais subir n’est rien par rapport à ce qui l’attend si elle te répond sans que tu l’aies autorisée.
- Mais j’ai le droit de continuer à la punir parce qu’elle ne me répond pas. Les organisatrices de cette attraction sont génialement cruelles.
- Tu pourrais te montrer magnanime.
- Je te reconnais bien là. Il suffit qu’une petite garce te regarde tristement pour que tu aies pitié d’elle.
- Je suis surtout curieux de ce qu’elle pourrait nous raconter. Et on peut lui laisser les pinces sur les tétons. Cela devrait suffire à lui rappeler sa condition. Sans parler de la cage.
- Tu as raison. Je t’autorise à répondre à mes questions, esclave.
- Merci madame.
- Tu me remercies de t’avoir autorisée à parler.
- Oui Madame, c’est ce que doit faire une esclave quand sa maîtresse fait preuve de mansuétude envers elle.
- Tu veux dire que je suis ta maîtresse.
- Tant que vous n’aurez pas quitté l’attraction, vous le serez, Madame. M’autorisez vous à vous rappeler un détail, Madame.
- Te voilà bien insolente. J’ai bien envie de te punir.
- Vous en avez le droit, Madame, et vous pouvez user des différents objets à votre disposition. Mais je suis contrainte de vous rappeler que vous oubliez quelque chose.

La femme saisit la baguette et effleure les fesses de la captive.

- Tu crois que j’hésiterais à me servir de cet objet ou que je ne sais pas m’en servir.
- Je suis certaine que vous êtes très habile, Madame, et je mérite d’être punie pour mon insolence mais je le mériterais encore plus si je ne vous dis pas ce que vous avez oublié.

La baguette s’abat sur les fesses de la malheureuse prisonnière qui s’efforce de retenir ses cris de douleur.
- Dis moi donc ce qui est si important
- Vous avez oublié de finir vos phrases par une insulte qui me rappelle ma condition.
- Tu as raison, salope. Pourquoi ne pas l’avoir dit plus tôt, idiote ?
- Une esclave ne doit pas faire de remontrance à sa maîtresse, Madame. Elle doit toujours demander la permission de lui rappeler un oubli et faire preuve d’humilité. Je mérite d’être à nouveau punie pour mon insolence, Madame.
- Et que se passerait-il si je décidais de ne pas te punir, putain ?
- Je devrais insister. Une esclave ne doit pas encourager la faiblesse de sa maîtresse, Madame.

En prononçant ces mots, Gwen réalise qu’elle a fait une erreur. Heureusement, la femme ne semble pas l’avoir remarqué. Mais c’est compter sans son compagnon
- Cette salope vient de dire que tu étais faible.
- Non, ce n’est pas ce que je voulais dire, Monsieur.

Gwen comprend top tard qu’elle vient de faire une nouvelle erreur.
- Je ne me rappelle t’avoir autorisée à parler à mon mari, sale pute.
- Je suis désolée, Madame.
- Tu n’essaierais pas de me le voler par hasard. Salope.
- Je n’en ai pas le droit, Madame.
- Tu reconnais mériter une punition, sale pute.
- Je le reconnais Madame.
- La baguette me paraît trop douce. Mais tu as peut-être une suggestion.

Gwen est consciente que les spectateurs se sont rassemblés autour d’elle et de cette cruelle visiteuse. Ravis du spectacle qu’elle et cette femme offrent.
- Vous pouvez activer le sextoy qui est inséré dans mon sexe. Madame.
- Un sextoy. Pourquoi, est ce que je t’offrirais ce plaisir. Salope.
- Quand je suis enfermée dans cette cage, le plaisir devient vite insupportable. Et je n’ai aucun moyen d’y mettre fin. C’est encore plus dur si je suis bâillonnée. Vous pouvez le déclencher avant de partir pour continuer la visite de l’attraction. Il ne s’arrêtera pas tant qu’un autre visiteur n’y mettra pas fin. C’est un supplice raffiné qui amuse beaucoup mes maîtresses, Madame.
- Mais imaginons qu’un visiteur interrompe le supplice trop tôt. C’est peut-être ce que tu cherches, petite pute.
- Vous pouvez fixer une durée minimale. Cela continuera même si un visiteur l’interrompt. Madame.
- Pourquoi me donner toutes ces précisions. Je finis par croire que tu aimes ça, salope.
- Une esclave n’a pas à aimer ce qu’elle subit. Sa seule satisfaction doit être le plaisir qu’elle donne à ses maîtresses, Madame.
- Je vois que tu as été bien éduquée. Depuis combien de temps es-tu prisonnière de la fête foraine, chienne ?
- Une esclave ne doit parler de sa vie avant d’être esclave, Madame.
- Admettons. Tu es la seule esclave de cette fête foraine, putain.
- Non Madame, il y a Diana que vous pouvez voir un peu plus bas, Madame
- La poney-Girl.
- Oui Madame, si vous le souhaitez, elle vous transportera dans toute la fête foraine, Madame.
- Une amie à toi, salope.
- Une esclave n’a pas d’amie, Madame.
- Était-elle ton amie avant que vous deveniez des esclaves, putain ?
- Une esclave ne doit pas parler de sa vie d’avant, Madame
- Mais moi je veux que tu te rappelles et que tu me le racontes. Et tu dois m’obéir, garce.
- Je vous en supplie Madame, je serai punie pour avoir parlé de ma vie passée.
- Mais je te punirai pour m’avoir désobéi. Et tes maîtresses te puniront pour la même raison. Je me trompe ?

Gwen comprend que la cruelle visiteuse a raison. Et commence à raconter son histoire. La visiteuse exige qu’elle raconte sa capture et celle de ses amies. Elle obéit. Cruellement, la visiteuse exige des détails. Qu’a-t-elle ressentie la première fois qu’elle a été bâillonnée ? Ligotée ? Enchaînée ? Que ressent-elle dans cette cage dans laquelle elle ne peut faire aucun mouvement ? Est-elle en colère envers ses ravisseuses ?

La captive sait que ses propos sont écoutés et enregistrés et qu’elle sera punie si elle montre une trop grande franchise. Elle répond donc comme elle l’a appris qu’une esclave n’a pas à avoir de sentiment et surtout pas de colère envers ses ravisseuses. Sa seule pensée doit être de satisfaire le plaisir de ses maîtresses.

C’est alors que la visiteuse pose une question que Gwen n’espérait plus.
- La clef qui ouvre le cadenas de ton bâillon, est-ce qu’elle ouvre les dix autres cadenas qui t’emprisonnent dans cette cage ?

La captive sait que c’est le cas. Mais il lui est interdit de le dire.
- Pour le savoir, vous devez l’essayer, Madame.
- Tu m’as l’air bien tendue. Comme si tu souhaitais que je teste cette clef. Qu’est ce que tu espères salope ?

Gwen n’a pas le droit de dire que si elle est libérée de la cage, elle sera définitivement libre et ses amies aussi.
- Une esclave n’a rien à espérer Madame.
- Dis moi la vérité petite garce. Tu espères que je vais essayer la clef et que ces cadenas vont s’ouvrir.

Gwen est désespérée du jeu auquel joue cette femme. Ses ravisseuses l’avaient pourtant prévenue. Elle n’a rien à attendre des visiteurs de la fête foraine qui ne feront que jouer avec elle. Elle tente encore d’amener cette femme à essayer la clef sur les cadenas.
- C’est à vous de décider ce que vous préférez Madame. Je n’ai aucun souhait à émettre.

La femme se penche vers les cadenas, les examine. Gwen essaie de cacher l’espoir qui l’anime à l’idée que cette femme est tentée d’ouvrir les cadenas et qu’elle va la libérer.

Mais la visiteuse se redresse et sourit.
- Non, ce n’est pas la peine d’essayer. Il est évident que cette clef n’ouvre pas les autres cadenas. Tu es d’accord salope ?

Gwen s’efforce de surmonter son désespoir. Et de répondre à la cruelle femme qui l’observe avec un sourire qui signifie « je sais que je pourrais te libérer mais je n’en ai pas l’intention.
- C’est vous qui décidez Madame. Une esclave a juste le droit d’obéir et subir.
- Cela ressemble plutôt à un devoir, putain.
- Le devoir de l’esclave est de satisfaire les désirs de ses maîtres et maîtresses. Leur joie est sa récompense, Madame.
- Et bien tu peux considérer que tu as ta récompense. Salope.

Les propos infâmes s’accompagnent d’une tape sur le postérieur de la captive qui doit pourtant poursuivre son humiliation.
- Merci Madame, je suis heureuse d’avoir satisfait vos désirs.

La visiteuse repose la clef près du cadenas qui sert à fixer le bâillon de l’infortunée jeune femme et commence à s’éloigner. Gwen réalise qu’elle doit encore supplier la visiteuse. S’infliger une dernière humiliation.
- S’il vous plaît Madame, pouvez-vous fixer à nouveau mon bâillon.

La visiteuse sourit.
- Tu aimes donc être bâillonnée. Tu es vraiment une salope.
- Ce qu’aime ou n’aime pas une esclave n’a pas d’importance, Madame. Seul compte ce qu’elle doit faire et être.
- Et tu es d’accord avec ça, putain ?
- Mon avis d’esclave est sans intérêt, Madame.
- Mais tu en as bien un. Ne me mens pas.

Gwen est terrifiée. Quelle que soit sa réponse, elle court le risque d’être punie.
- Une esclave ne doit pas avoir d’avis, Madame. Son seul souci doit être l’obéissance ou la soumission.
- Mais tu me désobéis en refusant de me donner ton avis. J’ai donc le droit de te punir pour ça, garce.

Gwen tente une dernière fois d’éviter le piège qui lui est tendu.
- Je mérite d’être bâillonnée puisque mes maîtresses le souhaitent, Madame.
- C’est ton avis d’esclave. Tu mérites d’être bâillonnée.
- Oui Madame.
- Je ne suis pas d’accord avec toi et je ne te bâillonnerai pas, idiote.

La captive désespérée devine que la visiteuse ne fait que jouer avec elle.
- S’il vous plaît Madame, bâillonnez moi.
La cruelle visiteuse se tourne vers son compagnon.
- Que dis tu de ça ? Cette idiote est obligée de me supplier de la bâillonner.
- Je dois reconnaître que c’est remarquable.
- Et qu’arrivera-t-il si je ne te bâillonne pas, salope ?
- Je serai punie.
- Mais tu m’as demandé de te bâillonner et tu n’as aucun moyen de m’obliger à le faire.
- Une esclave qui n’est pas capable d’obtenir ce qu’elle mérite n’est pas une bonne esclave et doit être punie.
- Arrive-t-il qu’une esclave soit récompensée ?
- La seule récompense que désire une esclave c’est d’avoir donné satisfaction à ses maîtresses.

La femme éclate de rire.
- La cruauté de ces femmes est une merveille. Quoique je fasse, cette idiote dans sa cage est perdante.

Elle s’adresse à nouveau à Gwen.
- Es-tu sûre de vouloir être bâillonnée, stupide esclave.
- Ce n’est pas ce que je veux, c’est que je mérite, Madame.
- Ce n’est pas mon avis. Je pense que tu mérites d’être punie parce que tu ne souhaites pas être bâillonnée et que tu le demandes uniquement par peur d’être punie puis bâillonnée, salope.

Gwen est désespérée. Elle sait que cette ignoble femme joue avec elle pour l’obliger à l’humilier davantage. Elle devine plus qu’elle ne voit les spectateurs de plus en plus nombreux ravis de ce funeste spectacle.
- Je vous promets Madame que je souhaite seulement devenir une esclave soumise et respectueuse. Si vous estimez que je mérite d’être punie, je n’ai pas le droit de le nier mais je dois vous indiquer une punition qui sera vraiment douloureuse.
- Je suis curieuse de l’entendre.
- Vous pouvez me bâillonner puis me frapper avec la baguette…
- Tes fesses ont déjà connu ça.
- Vous n’êtes pas obligée de vous contenter de mes fesses. Tout mon corps vous est offert.
- Pourquoi te bâillonner.
- Ne pas pouvoir crier rend la punition encore plus douloureuse.

L’homme intervient.
- Et si on enfonçait une boule de tissu dans sa bouche avant de de refermer la cage sur ses lèvres. Ce serait encore plus douloureux. Non ?
- Est-ce qu’elle ne risque pas de s’étouffer.

Gwen est outrée d’entendre ce couple parler d’elle ainsi. Elle doit pourtant s’humilier davantage.
- Mes maîtresses m’ont appris comment éviter de m’étouffer dans ces conditions, Madame. De toutes façons je suis très surveillée. Elles interviendraient immédiatement si j’étais en danger.
- Ainsi, elles te font souffrir mais elles te maintiennent en vie. Tu ne trouves pas ça étrange, Garce ?
- Une esclave comme moi a beaucoup de valeur, Madame.
- On dirait que tu en es fière.

Gwen n’en peut plus de cette conversation qui la contraint à s’humilier mais elle doit continuer.
- Une esclave n’a pas à être fière mais elle doit rendre fières ses maîtresses. Reconnaître qu’elle a de la valeur en fait partie, Madame.
- Parfait, tu vas donc hériter d’une pièce de vêtement digne de ce que tu es.

La visiteuse passe la main sous sa robe et retire son slip qu’elle roule en boule. Et l’approche des lèvres de la captive. L’infortunée jeune femme songe un instant à résister face à cette nouvelle humiliation mais elle sait qu’elle n’a aucune chance de triompher et laisse sa tortionnaire enfoncer le sous-vêtement dans sa bouche. Avant qu’elle soit tentée de le recracher la plaque de métal est fixée sur ses lèvres la réduisant à s’exprimer par de faibles et ridicules gémissements. Elle s’attend à recevoir sa punition mais découvre que la visiteuse et son compagnon sont encore plus cruels et imaginatifs qu’elle le craignait.

La femme se tourne vers les visiteurs qui se sont agglutinés pour jouir de ce triste spectacle.
- Mes amis, je crois que cette petite dinde a besoin d’apprendre l’humilité. Elle se montre bien orgueilleuse de prétendre être une esclave modèle. Je vous propose de prendre la baguette et de lui assener chacun à votre tour un coup sur ce corps qu’elle a effrontément offert. Si une personne parmi vous souhaite interrompre ce supplice pourtant mérité, il lui suffira de poser la baguette sur la table. Je promets que je ne la reprendrai pas.

Un instant de silence suit ces dures paroles. Une femme s’avance s’empare de la baguette et s’approche de Gwen, lui sourit et la frappe durement sur les fesses. Elle lève à nouveau la baguette mais est interrompue par celle qui dirige cet horrible supplice.
- Un seul coup.

Elle s’adresse aux visiteuses massées devant la cage.
- Seulement les femmes et un seul coup. Vous pouvez l’insulter si vous le souhaitez.

Commence alors un ignoble défilé. Gwen ne sait pas combien de femmes se succèdent pour la frapper avec la baguette, l’abreuver des noms de « garce », « salope », « putain », « pute » et n’épargner aucune partie de son corps. Elle constate à quel point le fait d’être bâillonnée et immobilisée dans cette cage rend les coups encore plus douloureux.

L’infernal supplice prend fin quand la dernière visiteuse pose la baguette. La femme qui a tourmenté longuement Gwen et qui a eu l’idée de ce douloureux défilé s’approche de sa victime.
- Je crois que tu as droit à un peu de repos. Je vais proposer aux organisatrices qu’on retire cette table. Les prochains visiteurs se contenteront d’admirer ton superbe corps embelli par les marques de la baguette.

Elle se tourne vers son compagnon.
- Profitons de la poney-girl pour visiter le reste de la fête.

Le couple s’éloigne sous le regard désabusé de Gwen consciente que personne ne prendra sa défense ou celle de ses amies.
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Re: La fête foraine

Message par Mad Hatter »

:o Impressionnante cette torture mentale.
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nonobound
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Re: La fête foraine

Message par nonobound »

mais ou est passé ton cerveau? mdr
cette suite est dingue, ou vas tu chercher tant d'idée atroce pour cette pauvre femme???

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Gwenboyfriend
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Re: La fête foraine

Message par Gwenboyfriend »

L’idée de la cage vient de John Willie et des aventures de Gwendoline. J’ai toujours trouvé dommage qu’il expédie cette idée démente en deux ou trois cases. C’est une forme d’hommage.

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Re: La fête foraine

Message par nonobound »

en tout cas leur aventures sont intenses

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Re: La fête foraine

Message par Gwenboyfriend »

Diana poney girl

Diana voit approcher le couple infâme avec terreur. Bien qu’étant éloignée, elle les a vus tourmenter Gwen et compris quel plaisir ils prenaient à le faire. Elle voudrait fuir mais elle en est bien incapable, harnachée au char à deux places. Les chevilles enchaînées par une entrave étroite qui lui permet seulement de marcher à petits pas. Et où irait-elle ? Elle est entourée de tortionnaires qui prennent plaisir à la tourmenter et à l’humilier en admirant et en caressant son corps nu offert aux yeux de tous. Ses seules amies sont prisonnières comme elle. Si elle peut voir la malheureuse Gwen, elle ignore où sontt Beth et Phyllis. Elle imagine que leur situation ne doit pas être plus brillante que la sienne ou que celle de Gwen.

Le couple est déjà là. L’homme consulte son mode d’emploi. Elle a un mode d’emploi. Ce n’est qu’une humiliation de plus.
- Il faut défaire son bâillon boule et l’interroger.
- Comme sa petite copine.
- Il n’est dit nulle part que ce sont des copines.

La femme défait le bâillon de Diana.
- Merci madame.
- Je vois que tu as reçu la même éducation que ton amie.
Diana ne répond pas.
- Et comme elle tu ne peux pas répondre tant que je ne t’autorise pas à parler.

Diana ne peut que rester silencieuse. La femme l’examine, flatte sa croupe comme si elle était une jument. La captive ne peut que supporter son humiliation et tenter de dissimuler sa rage d’être ainsi traitée.
- Je t’autorise à parler, petite garce.
- Merci madame.
- Je vois que tu connais les règles de la politesse. Explique nous comment nous pouvons t’utiliser.
- Je peux vous conduire à travers la fête foraine, Madame.
- Et comment cela se passe-t-il ?
- Il y a un plan de la fête foraine dans le char. Vous m’indiquez où vous voulez aller et je vous y conduis.
- Avec tes chevilles enchaînées. Est-ce que tu n’oublies pas quelque chose, petite idiote.
- Vous avez raison madame. Je serais plus efficace si vous libérez mes chevilles. Quand je vous aurai conduits là où vous le désirez, vous pourrez les enchaîner à nouveau.
- Et où est-ce que je trouve les clefs, salope ?
- Elle sont suspendues à ma ceinture, Madame.

La femme sourit.
- Quel supplice, cela doit être. L’instrument de ta liberté. Suspendu sur ton ventre presque à portée de tes mains.

Les poignets de la malheureuse captive sont en effet emprisonnés dans des bracelets de métal fixées de chaque côté de la ceinture métallique au niveau des hanches de la jeune femme. Devant la serrure de la ceinture sur le ventre de l’infortunée jeune femme pend, suspendue à un anneau, la clef qui permet de la déverrouiller et de déverrouiller aussi les chaînes de ses chevilles. Cette clef est totalement inaccessible pour la prisonnière.
- Tes maîtresses sont vraiment des expertes en matière d’humiliation. Ce serait un plaisir de les rencontrer.
- Si vous le souhaitez, je peux vous conduire à la roulotte d’une de mes maîtresses, elles aiment rencontrer les personnes qui apprécient leur travail.
- Elles t’ont vraiment bien dressée, petite pute.
- Elles m’ont appris quelle était ma véritable condition, madame.
- Et quelle est cette condition, salope.

Diana a soudain du mal à répondre à la cruelle question qui lui est posée. Elle tente de cacher son émotion. D’oublier l’espoir qu’elles avaient ressenti quand elles avaient rejoint la ville avant de découvrir qu’elles étaient tombées dans un piège.

Son hésitation entraîne une réaction rapide de la cruelle visiteuse qui lui assène une violente claque sur les fesses.
- J’attends ta réponse.

Diana tente de se reprendre. Comme a-t-elle pu oublier la première règle que doit respecter une esclave ? Ne pas se souvenir de son existence avant sa capture.
- Excusez-moi Madame.
- Tu me donne un ordre sale garce.
- Je vous supplie de bien vouloir m’excuser Madame.
- Voilà qui est mieux. Dis moi connais-tu la petite garce qui est exposée à l’entrée ?
- C’est une esclave comme moi Madame.
- Mais la connaissais tu avant de devenir une esclave ?
- Une esclave doit oublier ce qu’elle était avant.
- Tu ne veux pas me répondre ?
- Je ne le peux pas, Madame.

L’homme intervient.
- Cesse donc de tourmenter cette petite idiote.
- Aurais-tu pitié d’elle ?
- Non mais je préfère qu’elle nous promène à travers la fête foraine et qu’elle nous amène voir les autres prisonnières
- Comment sais-tu qu’il y en a d’autres ?
- C’est indiqué sur le plan. Il y en a deux autres.

La femme s’adresse à Diana.
- Parfait, amène nous voir les autres esclaves.
- Vous devez d’abord m’équiper Madame.
- Comment ça.
- Vous devez fixer le mors dans ma bouche pour me diriger.
- Et comment je procède, putain.
- Une fois le mors installé, vous tirez à droite pour me faire aller à droite. À gauche pour me faire aller à gauche. Et vous tirez en arrière pour m’arrêter.
- En somme, tu es un parfait petit cheval.

L’homme intervient.
- Plutôt, une parfaite petite jument. Dont il est bien tentant de caresser la croupe.
L’ignoble individu joint le geste à la parole. Diana ravale son humiliation et retient ses larmes de rage. Elle sait qu’elle doit s’habituer ces humiliations. Mais elle n’y parvient pas. C’est sans doute ce qui amuse ses tortionnaires. Elle doit pourtant répondre à ses deux tourmenteurs.
- J’ai quelques avantages sur une jument, Madame
- Tu me sembles bien prétentieuse, salope. Hormis que j’ai plus de plaisir à caresser ta croupe, je ne les vois pas.
- La fête comporte de nombreuses attractions fermées par des barrières. Mes maîtresses ont habilement enchaîné mes poignets pour que je puisse les ouvrir sans que vous ayez à descendre de la carriole.
- Mais comment feras-tu pour les refermer, petite idiote ?
- Si personne ne les ferme derrière moi, je serai punie.
- Qui pourrais les fermer ?
- Je l’ignore madame
- Tu n’aurais pas l’insolence de nous demander de le faire, salope ?

Diana ne peut pas cacher sa terreur.
- Non madame, ce n’est pas à vous de le faire.
- Tu reconnais donc ton incompétence et t’être vantée en te prétendant supérieure à une jument.

Diana baisse la tête.
- Vous avez raison madame. Je mérite une punition.
- Ne t’inquiète pas. Tu l’auras, petite putain. En attendant tu vas nous conduire à travers la fête foraine.
- Je vous amène aux autres esclaves, Madame ?.
- Amène nous d’abord à un endroit où je peux m’entraîner à te guider et te maîtriser.
- La piste de course.
- Très bonne idée.

La femme infâme donne une tape sur les fesses de Diana pour la féliciter. La jeune femme ravale ses larmes de rage. Elle sait qu’aucune infamie ne luis sera épargnée.
- Dis moi salope, comment est-ce que je t’ordonne d’avancer ?

Diana espérait que l’impitoyable visiteuse ne poserait pas cette question et elle tente d’éviter de répondre.
- Vous pouvez me l’ordonner.
- Mais si je veux que tu ailles plus vite ?
- Vous pouvez crier et je l’entendrai.
- Et tu obéiras ?
- Je vous le promets Madame.

Diana croit un instant avoir convaincu la visiteuse.
- Cela ne me semble pas très amusant.
Diana est terrifiée.
- Je vous assure que j’obéirais.
- Et moi je crois que tu es une menteuse, petite salope.
Diana comprend qu’elle a échouée dans sa tentative d’échapper à une humiliation supplémentaire.
- Vous pouvez utiliser le fouet qui est dans le chariot.
- Je préfère ça. Je serais d’ailleurs tenté de l’utiliser dès maintenant pour t’apprendre à avoir tenté de me duper.
Diana baisse la tête.
- Vous avez raison, Madame. Je mérite encore d’être punie.

La jeune femme songe qu’aucune humiliation ne lui sera épargnée et que ses efforts pour échapper à son triste sort ne font qu’empirer les choses.
- Nous réglerons ça plus tard. En attendant tu vas nous conduire à cette piste.
La femme passe la main sur les fesses de la prisonnière.
- Cela va être un plaisir d’effleurer ce postérieur avec un fouet.
- Tu vas te contenter de l’effleurer ?
- Peut-être pas. Viens donc m’aider à fixer le mors dans la bouche de cette petite pute.

L’homme s’approche et l’infâme objet est fixé entre les dents de la malheureuse jeune femme. Diana entend l’impitoyable couple s’installer à l’arrière devine qu’ils sont confortablement assis au mouvement de l’attelage qui la relie au véhicule. Elle entend le sifflement du fouet suivi presque aussitôt de la brûlure sur ses fesses. Elle commence à avancer lentement. Le poids des deux passagers la gêne pour prendre de la vitesse. La réaction ne se fait pas attendre. Le fouet s’abat à nouveau. La prisonnière accélère et commence à courir. Elle voit la piste de course mais elle lui semble horriblement loin. La brûlure du fouet lui rappelle qu’elle ne va pas assez vite. Elle voudrait se révolter. Refuser d’avancer. Mais ce serait stupide. Cela signifierait de nouvelles punitions.
Elle envierait presque Gwen dans sa cage. Immobilisée, exposée. Mais n’ayant pas à courir pour satisfaire les visiteurs dégénérés de cette horrible fête.

Enfin, elle atteint le champ de course. Elle s’arrête pour ouvrir la barrière et reçoit un nouveau coup de fouet. Le sentiment d’injustice se confond avec la douleur.

Elle ouvre la barrière et avance sur la piste. L’horrible attelage franchit la barrière. Diana se prépare à s’élancer sur la piste quand une traction sur le mors la rappelle à l’ordre.
- Attend un instant, idiote. Nous allons refermer la barrière pour t’éviter d’être punie.
- Je me demande pourquoi nous faisons tant d’efforts. Cette salope ne montre aucune reconnaissance.

Diana attend servilement que l’homme est refermé la barrière puis remonte dans le char. Elle avait espéré un instant qu’il ne remonterait pas pour profiter du spectacle et être ainsi libérée de son poids. Ce n’était qu’une nouvelle erreur. Le fouet claque à nouveau. Diana s’élance.
- Tu as toute la piste pour toi. Cours plus vite si tu ne veux pas goûter du fouet.

Diana s’élance autant qu’elle le peut. Mais ce n’est pas assez rapide. Elle sent plusieurs fois la brûlure du fouet. Sa tourmenteuse s’amuse à tirer à gauche et à droite sur le mors pour l’obliger à changer de direction alors qu’il suffirait de laisser la captive suivre les tournants. Enfin le tour s’achève. Diana ralentit s’arrête.

Et reçoit un nouveau coup de fouet sur les fesses.
- Qui ta autorisée à t’arrêter salope.
Diana obéit et reprend l’interminable course. La fin du deuxième tour arrive mais la femme ne l’interrompt pas. La captive continue de courir. Elle sent alors une traction sur le mors et s’arrête.

Soulagée. Et honteuse d’être soulagée.

La femme s’approche. Caresse ses fesses meurtries.
- Tu as été obéissante. Je te laisse te reposer un instant puis tu nous promèneras dans la fête à présent que je sais comment te diriger.

Le repos de Diana est de courte durée.

Une fois le portail franchi. Diana s’arrête pour que ses « maîtres » puissent fermer le portail. Le sifflement du fouet la rappelle à l’ordre.

Elle reprend sa course en sachant que le portail restera ouvert et qu’elle sera punie pour cette faute mais qu’elle ne peut pas s’y opposer.

Cruellement la visiteuse la dirige, en manipulant le mors, vers un endroit où les visiteurs abondent. Le sifflement du fouet manié par son compagnon rappelle à la captive qu’elle doit obéir et maintenir son allure. Le fouet ne fait à présent que l’effleurer mais cela suffit à la convaincre d’avancer. Diana essaie de faire taire la petite voix dans sa tête qui lui dit que le dressage dont elle est la victime a porté ses fruits et qu’elle se comporte comme une parfaite esclave.

Conscients des difficultés de la captive, les visiteurs tardent à s’écarter. Rient des coups qui effleurent le postérieur de la jeune femme. Les hommes comme les femmes en profitent pour caresser la prisonnière qui a de plus en plus de mal à progresser. Elle a le sentiment que le chariot et de plus en plus lourd.

Soudain, le mors la tire en arrière. Diana s’arrête devant une pancarte sur laquelle est écrit « Venez participer à la punition de Beth et Phyllis ».

Diana a honte du soulagement qu’elle éprouve à la pensée que ce couple infernal va la laisser tranquille pendant quelques instants. Le temps de tourmenter ses amies.

La femme se baisse et enchaîne les chevilles de la captive.
- Je garde les clefs. Nous espérons bien poursuivre la visite avec toi. J’espère que ça te fait plaisir.
Honteuse de sa servilité, Diana baisse la tête pour montrer son approbation.

Après une dernière tape sur le postérieur de la prisonnière, l’homme suit sa compagne sous le chapiteau.
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Mad Hatter
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Re: La fête foraine

Message par Mad Hatter »

Une humiliation pleines de tourments. :bravo:
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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les synonymes de fou sont intéressants Image

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