L’étrange aventure de Jessica

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Mad Hatter
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Mad Hatter »

C'est à se demander si elle ne va pas avoir besoin de soin a un moment. :ambulance
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Gwenboyfriend
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Gwenboyfriend »

Merci à Mad de m'avoir suggéré l'idée de ce nouvel épisode.

Des soins pour Natacha

Natacha se promène dans la rue aux côtés de Jessica. Les deux amies se tiennent la main. Quel soulagement d’être à nouveau libre de ses mouvements. Natacha sent encore la brûlure de ses liens qui s’enfonçaient dans sa chair. Elle se souvient de l’intervention de la police comme dans un rêve. De même que ses retrouvailles avec Jessica libérée elle aussi de l’emprise de la guilde. Bien sûr il reste encore cette sensation de brûlure. Mais elle va s’atténuer avant de disparaître.

Pourtant, elle semble augmenter. Quelles sont les voix autour d’elle. Des voix qui lui rappellent des souvenirs douloureux.
- On dirait que la petite garce s’est endormie.
- On devrait la réveiller.
- Pas tout de suite.
-
Natacha essaie désespérément de se raccrocher aux lambeaux de son rêve. Mais les voix sont de plus en plus présentes. La brûlure des liens de plus en plus réelle. Le bâillon enfoncé dans sa bouche de plus en plus envahissant. Et la pression des pinces à tétons de plus en plus évidentes.

Une violente projection d’eau achève de l’extraire de son rêve.

Elle est toujours ligotée contre ce poteau face à ses ignobles individus.
- Il est temps de passer aux choses sérieuses.

Qu’est-ce que ça signifie ? Quelles choses sérieuses ?
- Regarde, ma mignonne, on a trouvé de quoi t’installer confortablement.

L’homme désigne un matelas posé à même le sol. Cette vue serait suffisamment inquiétante sans avoir besoin d’être aggravée par les cordes posées à proximité.

La jeune femme supplie les infâmes criminels du regard. En vain. Les cordes qui la fixaient au poteau sont tranchées. Elle n’espérait que ça et soudain elle se désespère de ne plus être liée à ce poteau.

Elle n’a pas la force de tenter de s’échapper. Ni le courage d’être soulagée d’être débarrassé de la pince à tétons et de son bâillon.

Un des hommes saisit son bras pour la conduire jusqu’au matelas. Ce geste suffit à la sortir de son apathie. Elle frappe l’homme au cou. Celui-ci surpris malgré la faiblesse de l’attaque reste figé. La jeune femme ne perd pas de temps à se réjouir de sa victoire. Elle se court vers la sortie.

Un claquement retentit. Une lanière de cuir entouré ses chevilles. Elle se retrouve au sol. Visage contre terre. La lanière qui entoure ses chevilles se défait.

Natacha prend appui sur ses mains pour se relever. Un nouveau claquement se fait entendre. La jeune sent une brûlure sur ses fesses. Elle ne renonce pas. Se relève. Encore ce claquement. Cette fois la lanière entoure son cou. Elle est tirée en arrière. Elle lève les mains pour tenter de se libérer. Mais un de ses ravisseurs saisit ses poignets et tord ses bras dans son dos. Son cou est libéré de la l’infâme licol. Elle tente de donner des coups de pieds à celui qui bloque ses bras dans son dos.

Encore un claquement. Cette fois, la brûlure est entre ses seins. Comprenant l’inutilité de ses efforts, elle cesse de se débattre.
- On dirait que cette petite salope a encore de l’énergie.
- Je vous donnerai ce que vous voulez mais laissez-moi partir ensuite.
- Plus de menaces ? Plus de vengeance de la guilde ?
- Laissez-moi seulement partir.
- On dirait qu’elle ne comprend pas.

L’homme lève à nouveau la main qui tient le fouet.
- Arrête de jouer.

C’est le troisième qui a parlé. Celui qu’elle a frappé au cou.
- Tu ne veux pas lui faire payer ce qu’elle t’a fait.
- Elle paiera mais on a mieux à faire d’abord. Attachez la sur le matelas.

Natacha supplie, résiste. Mais les deux hommes sont trop forts. Elle est traînée jusqu’à l’infâme couche. Allongée sur le dos. Ses poignets et ses chevilles sont liés à chaque coin du matelas. Elle se retrouve écartelée, offerte aux appétits pervers de ses ignobles individus. Elle hurle.
- Elle nous casse les oreilles. Bâillonne la.
- J’avais pensé à un autre genre de bâillon.
- Cela viendra plus tard. Quand elle sera calmée.

L’homme une boule de chiffon sale dans la bouche de la captive puis la fixe avec une bande étroite de tissu. Son compagnon fait circuler la lanière de son fouet sur le corps de la prisonnière qui, terrifiée, tire sur ses liens et tord son corps en tous sens.
- Arrête de jouer avec ton fouet.
- Ne me dis pas que ça ne te plait pas de la voir se trémousser.
- Bien sûr mais je ne veux pas que tu l’abimes tout de suite.
- Elle a mérité une leçon.
- Et elle l’aura mais pas tout de suite. Qui passe le premier ?
- Pierre, ciseaux, papier ?

Natacha est désespérée. Ces ordures jouent à un jeu de gamin pour savoir qui sera le premier à passer sur son corps. Elle tire sur ses liens, crie dans son bâillon. Mais elle ne peut que constater son impuissance. Le gagnant s’approche d’elle. Souriant. Ses compagnons s’apprêtent à jouir du spectacle.
- Tu as de la chance. Mon ami au fouet passe en dernier.

Qu’est-ce que ça signifie ? Où est la chance ?
- Il aura besoin de te fouetter pour être efficace. Tu aurais moins apprécié de baiser avec nous.

Quels salauds. Comme si elle pouvait apprécier ce qui va arriver. Dans cet entrepôt. Allongée sur ce matelas sale et malodorant.

Elle ferme les yeux.
- Tu ne vas pas garder les yeux fermés. A moins que tu préfères pour qu’on fasse le nécessaire pour les maintenir ouverts.

À cet instant les portes de l’entrepôt explosent. Des policiers entrent et maîtrisent les trois hommes. Des infirmières s’approchent de Natacha et lui retirent son bâillon.
- Libérez-moi s’il vous plait.
- Calmez-vous êtes sauvée. On va vous libérer. Vous allez pouvoir marcher jusqu’à l’ambulance ?
- Oui.

Natacha libérée de ses liens, soutenue par les infirmières marche jusqu’à l’ambulance.

Ses sauveuses l’allongent sur une couchette. Lui injectent un calmant, soignent les marques des liens dans sa chair.
- Heureusement, ce n’est pas trop profond. Un bon bandage et ce sera très vite guéri.

Natacha se sent bien. L’infirmière s’approche avec la bande de sparadrap. Pourquoi le rouleau est-il si épais.

Prise d’une subite intuition, la jeune femme se redresse. Deux mains fermes la maintiennent sur la couchette.
- Calme toi ma chérie. Ces bandes ont entre autres des vertus cicatrisantes.
- Vous vous moquez de moi, vous faites partie de la guilde.
- Elle s’agite trop. Il va falloir utiliser les sangles.
- Non !! Vous n’avez pas le droit.
- C’est toi qui as souhaité rejoindre la guilde. Tu avais été prévenue. Quand on rejoint la guilde, on ne la quitte pas.
- Je vais hurler.
- Tu es dans une ambulance qui fait tourner sa sirène. Qui pourrait bien t’entendre.

Pendant cet échange, les infirmières ont tiré des sangles fixées à la couchette et les ont serrées sur les chevilles, les cuisses et le torse de la jeune femme. Les sangles du torse emprisonnent aussi les bras de Natacha qui continue de hurler.
- Elle nous casse les oreilles. On devrait commencer par soigner sa tête.
- Bonne idée.

Les infirmières commencent à recouvrir le crâne de leur patiente depuis le menton jusqu’au front en passant par la nuque avec des bandes de pansements qu’elles fixent soigneusement grâce à du sparadrap. Elles s’apprêtent à faire passer les bandes sur ses lèvres quand l’infirmière chef les interrompt.
- Ça ne suffira pas. Il faut aussi soigner sa bouche.
- Non, ne faites pas ça.

La supplication de la jeune femme reste sans écho. L’infirmière-chef enfonce une boule de tissu dans la bouche de Natacha que cette dernière recrache immédiatement.
- Cette idiote est têtue. Il va falloir s’y prendre autrement.

Les « soignantes » défont les bandes de pansements qui entourent le visage de leur patiente. Leur chef brandit une boule de mousse. Comprenant l’usage de l’infernal objet, la prisonnière garde les lèvres fermées.
- Pourquoi font-elles toutes ça ?
- Elles devraient comprendre que c’est inutile.
- Mais c’est amusant.

Une des femmes pince le nez de Natacha qui malgré ses efforts doit ouvrir la bouche pour reprendre sa respiration. La boule de mousse s’insinue entre ses lèvres. Les efforts de la jeune femme pour la recracher ne font que ralentir l’inéluctable progression de l’infâme matière dans sa bouche.
- C’est vrai que c’est encore mieux quand elles résistent.

Malgré les propos moqueurs et insultants de ses ravisseuses, Natacha continue de s’opposer vainement à la progression de la boule qui finit par envahir sa bouche. La main de l’infirmière appuyée sur ses lèvres lui évite la tentation de la recracher.

Le bref instant où la main est retirée pour être remplacée par une fine bande de tissu qui s’enfonce à la commissure de ses lèvres est insuffisant pour lui permettre de rejeter l’abject objet. La captive sent le nœud se serrer sur sa nuque. Achevant de la rendre inaudible sans pour autant être totalement silencieuse.
- Parfait. Nous allons pouvoir la soigner sans qu’elle nous casse les oreilles.
- Commençons par la tête.
- Il vaudrait mieux des bandes collantes que de simples bandages.
- Ça va coller à ses cheveux.
- Il suffit de lui mettre une cagoule.

Natacha hoche négativement la tête tout en tentant d’exprimer sa soumission.
- C’est trop tard ma chérie. Tu as montré que tu ne nous faisais pas confiance pour te soigner comme tu le méritais.

La captive sent qu’une cagoule est passée sur son crâne et entoure sa tête depuis le cou jusqu’au front en passant par le menton et la nuque. Le tissu du vêtement est tel qu’il se resserre sur la peau de la l’infortunée jeune femme.
- Comme ça t’es cheveux seront bien protégés.

Protégés de quoi ?

La réponse devient évidente quand une des infirmières brandit un rouleau de sparadrap.

La prisonnière tente de protester. S’agite dans ses sangles.
- C’est étonnant.
- Quoi donc ?
- Elle devrait avoir compris que cette agitation est ridicule.

Une infirmière tient la tête de Natacha pendant que sa collègue fixe soigneusement le sparadrap autour de la cagoule.

La « patiente » sent que son visage est de plus en plus immobilisé au fur et à mesure de la progression des bandes collantes. Résignées elle renonce à résister à l’avancée des « soins » qui lui sont prodigués.
- On dirait qu’elle devient raisonnable.
- Pas trop j’espère. C’est moins amusant quand elles sont trop calmes.

Les trois femmes achèvent leur travail infâme et tendent à leur victime un miroir pour qu’elle puisse constater le résultat. Une fois de plus la captive doit reconnaître la précision de l’ouvrage de ses ravisseuses. Le sparadrap est soigneusement disposé et présente un aspect esthétique indéniable.

Natacha serait admirative si ce n’était pas sa tête qui se trouvait à l’intérieur des bandes.
- Il faut achever de la soigner.

La prisonnière tente d’exprimer son incompréhension.
- Voyons ma chérie. Toutes ses cordes qui ont pénétré ta chair et ont laissé des marques. Tu dois encore en ressentir la brûlure.

Natacha doit reconnaître l’exactitude des propos.
- C’est aussi de ta faute. Tu n’aurais pas dû te débattre autant.
Bien sûr, c’est tellement facile de ne pas se débattre quand on est nue, bâillonnée, ligotée à un poteau et tourmentée par des hommes et une femme qui ne voient en vous qu’un objet permettant de libérer leurs pires fantasmes.
- Calme toi. C’est fini maintenant.

C’est vraiment fini ? Alors qu’elle est à nouveau bâillonnée. Et d’une manière pire que les précédentes. Et qu’elle est immobilisée par des sangles sur une couchette. Ces femmes se moquent d’elle.
- Tu n’es pas contente à cause des pansements sur ton visage et de sangles ? C’est pour ton bien. Tu t’agites trop.
- Quand tu auras fini de soulager cette idiote, on pourra peut-être finir le travail.
- On a le temps. On n’arrive pas au château avant une heure.

De quel château parlent-elles ? Qu’est-ce qu’elles ont préparé. Natacha recommence à se débattre.
- C’est malin. Tu l’as inquiétée et elle recommence à s’agiter.
- Comme si ça pouvait nous gêner.

L’éclat de rire des impitoyables femmes rappelle à la captive sa triste condition. Désespérée, elle cesse de se débattre stupidement.
- Commençons par panser ses jambes.

Toujours ce mot de panser. Pourquoi ne pas employer le mot de « ligoter ». C’est alors qu’elle voit une des infirmières sortir des rouleaux de sparadrap. La jeune femme comprend alors les intentions des infirmières et recommence à se débattre dans ses sangles.
- Je crois qu’elle a compris.
- Tant mieux, c’est plus amusant ainsi.

Les femmes libèrent les jambes de leur patiente des sangles qui les fixent à la couchette. Bien qu’elle soit consciente de la vanité de ses efforts, Natacha agite ses membres pour tenter de repousser l’inévitable.

Une des infirmières l’immobilise pendant que sa complice commence à appliquer l’horrible bande collante sur les chevilles et les mollets de leur victime impuissante qui ne peut qu’observer la terrible progression de l’infernale matière jusqu’en haut des jambes.
- Parfait, ses bras à présent.

Les protestations, heureusement étouffé par le bâillon, et les gesticulations de Natacha sont vaines et retardent à peine le travail de ses tortionnaires qui la retournent sur le ventre et entourent ses mains et ses bras croisés dans son dos de sparadrap. Puis, à peine leur tâche achevée, agissent de même avec son torse en laissant toutefois sa poitrine exposée.
- Cacher des seins pareils. Ce serait un crime.

La captive est bien évidemment incapable de répondre ou de résister. Elle assiste impuissante à l’achèvement du travail infâme des infirmières qui recouvrent de bandes son ventre en réussissant à laisser exposées ses fesses.
- J’espère que tu apprécies notre délicatesse. Nous avons réussi à laisser visible tout ce qui fait ton charme : tes yeux, tes pieds, tes seins et ton joli petit cul.

Natacha ne partage pas vraiment l’appréciation de son infirmière mais est bien sûr incapable d’exprimer son désaccord autrement que par un regard de rage. Mais elle aurait dû savoir que c’est encore trop et que ses ravisseuses n’acceptent aucun signe d’insoumission.
- Qu’est-ce qui se passe ? Tu n’es pas contente ?
La prisonnière tente de montrer sa soumission en baissant les yeux. Mais ses « soignantes » ne souhaitent pas la laisser en paix.
- Tu veux qu’on cache autre chose ?

Natacha, craignant une nouvelle duperie, tente de montrer qu’elle ne souhaite rien de tel. En vain.
- Je crois que c’est ce qu’elle veut.
- Oui mais quoi ?
- Ses seins ?
- Je l’ai déjà dit : on n’emprisonne pas des seins pareils.
- Ses fesses ?
- Certainement pas. C’est trop agréable de les caresser.
- Il ne reste que ses yeux alors ?
- En effet, il ne reste que ça.

Terrifiée, Natacha proteste difficilement dans son bâillon et supplie du regard les infâmes infirmières.
- Elle ne le souhaite pas.
- Qui s’inquiète de ce qu’elle souhaite.
- Ce serait dommage de se priver de ses regards terrifiés.
- Tu as raison.

L’infirmière s’adresse alors à l’infortunée jeune femme.
- Tu reconnais que tu fais des histoires sans raison.
La prisonnière hoche la tête pour montrer qu’elle admet son erreur. Sa terreur est trop supérieure à sa rage pour agir autrement.
- Tu admets avoir mérité une punition.

Devinant que si elle refuse la proposition, elle ne fera qu’aggraver son sort, elle hoche la tête à nouveau.
- Tu es raisonnable. Là punition sera moins dure. Nous nous contenterons de cinq coups chacune.

Le regard de la captive exprime davantage de désespoir que de reconnaissance mais cela ne gêne pas ses « soigneuses » qui la retournent à plat ventre sur la couchette. La malheureuse jeune femme devine qu’ainsi disposée, ses fesses sont particulièrement bien exposées. Elle ne peut évidemment rien faire pour s’y opposer.

Les infirmières saisissent des sangles. La chef se penche vers Natacha.
- On ne va pas frapper trop fort. Tu auras juste le cul un peu rouge pendant quelques jours.

Un premier coup s’abat. Suffisamment fort pour arracher un cri à la prisonnière qui constate que son corps emprisonné dans le sparadrap et ses lèvres closes par l’atroce bâillon rendent la douleur plus insupportable. Elle n’a guère le temps d’y réfléchir car un autre coup s’abat.

Les vicieuses infirmières prennent leur temps. Profitent du spectacle de leur patiente qui se tord dans ses entraves.

La captive a tenté de compter les coups. Mais elle a abandonné au troisième ou quatrième, elle ne sait plus.

Les sangles s’abattent avec une régularité terrifiante. Heureusement le bâillon l’empêche de supplier en vain. Elle devine que cela ne ferait qu’encourager ses infâmes tortionnaires.

Enfin les sangles cessent de s’abattre.
- C’était le dernier ma chérie.

Malgré son soulagement, Natacha ne réagit pas. Comment le pourrait-elle emprisonnée dans ses bandes collantes. C’est une erreur.
- On dirait que cela ne lui fait pas plaisir.
- Tu as raison. Elle n’en a peut-être pas eu assez.
- Nonnnmppffmm !!!!!

La prisonnière n’aurait jamais pensé être capable de produire un tel son. Malheureusement, elle a trop tardé.
- Ça t’apprendra à te montrer un peu plus reconnaissante.
- Assez discuté, nous serons au château dans cinq minutes.
- Tu as raison. Ne perdons pas de temps.

Les coups s’abattent à nouveau sur le postérieur de l’infortunée jeune femme jusqu’à ce que l’ambulance s’arrête dans ce qu’elle soupçonne être la cour du mystérieux château.
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Re: L’étrange aventure de Jessica

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Elle n'a que peu de répit. :lol:
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Gwenboyfriend »

Les plaisirs de Jessica

Jessica attend la maîtresse suprême. Elle ne peut rien faire d’autre, nue et écartelée sur le lit grâce aux chaînes reliées aux barreaux du lit.

Après le départ des femmes qui l’avaient ainsi entravée, elle avait tiré de toutes ses forces avant d’admettre la stupidité de ses actes qui ne contribuaient qu’à l’épuiser. Elle avait alors abandonné et attendu la visite de celle qui l’avait si habilement dupée.

Enfin la porte s’ouvre et Claudia pénètre calmement dans la pièce. Jessica ne peut pas, malgré sa situation s’empêcher de l’admirer. Sa kidnappeuse marche d’une façon digne et altière qui est la marque d’une grande dirigeante.

Claudia examine soigneusement les entraves de sa prisonnière et vérifie que les bracelets de cuir qui enferment les poignets de la captive sont soigneusement serrés. Sa victime aurait pu le lui confirmer si elle n’était pas bâillonnée par un efficace bâillon boule. Elle s’est suffisamment débattue pour constater qu’il lui était impossible de se dégager de quelque façon que ce soit. D’une certaine façon, elle devrait être reconnaissante que les bracelets soient en cuir. Ils l’auraient bien davantage blessée s’ils avaient été métalliques. Ce que ne manque pas de souligner la vicieuse ravisseuse.

- J’espère que tu apprécies notre attention. Nous souhaitons éviter d’abîmer un corps tel que le tien.

Le bâillon boule inséré entre ses lèvres évite à Jessica la tentation de répondre à la maîtresse suprême. Ce qui est évidemment préférable.

Elle était aussi distraite par la façon dont son interlocutrice parcourt savamment son corps nu et livré à l’avidité de sa tourmenteuse.

Elle doit reconnaître qu’elle a affaire à une experte qui sait jouer des doigts, des mains et de la langue avec une étonnante habileté. Elle a aussi constaté que le fait d’être bâillonnée et entravée décuple les ondes de plaisir qui la parcourent. D’autant plus que Claudia n’hésite pas à utiliser des accessoires pour rendre plus efficace ses attouchements.

Quand enfin, elle cesse, Jessica a oublié ses craintes et le sentiment de culpabilité qu’elle éprouvait pour avoir contribué à la chute de Fergie Rigdon.
- Je voulais te remercier pour l’aide que tu nous a apportés pour défaire notre adversaire.

Le sentiment de culpabilité revient aussitôt Claudia le perçoit.
- Ne te reproche rien. Tu n’étais que le plan B. C’est Natacha qui aurait dû la faire tomber mais ton idiote d’amie avait disparu et il nous a fallu des heures pour découvrir qu’elle avait été capturée par des habitants de la zone. Heureusement, j’ai une espionne parmi eux.

La surprise de Jessica est perceptible.
- Je suis la maîtresse suprême de la Guilde des Ligoteurs. Il ne peut rien arriver dans cette ville sans que je sois au courant.

La prisonnière souhaiterait poser une question. Mais elle est gênée par son bâillon.

Heureusement Claudia a deviné la question.
- Tu te demandes pourquoi je ne suis pas intervenue immédiatement pour la sauver et suivre mon plan initial ?

Jessica hoche la tête. À cet instant, elle se sent ridicule. Elle est nue, ligotée, bâillonnée, soumise aux plaisirs d’une secte dirigée par une femme impitoyable et elle s’interroge sur les motivations de cette secte.

Tout en continuant de caresser sa victime, Claudia poursuit son exposé.
- Cette petite peste de Natacha m’avait énervée. Au lieu d’agir comme prévu et de se précipiter vers l’hôtel de Fergie, elle s’était égarée dans la zone et avait attiré l’attention des habitants. Elle aurait dû être arrivée depuis longtemps quand j’ai rejoint l’hôtel de Fergie avec Emilie, ma fille.

Jessica exprime à nouveau sa surprise.
- Oui, j’ai une fille et je compte bien qu’elle me succède à la tête de la guilde. C’est d’ailleurs elle qui sera responsable de ton éducation. Et crois moi, tu regretteras que je ne sois pas ton éducatrice.

Jessica est parcourue par une onde de terreur. Bien qu’elle sache que c’est stupide et inutile, elle tire sur ses liens, bafouille dans son bâillon.
- Cesse de t’agiter ainsi. Tu ne veux pas connaître la suite de l’histoire ?Tu me trouves ennuyeuse peut-être ?

Le ton de la question ne laisse aucun doute sur la réponse attendue. La captive s’ empresse d’hocher négativement la tête.
- Par une coïncidence malheureuse, cette idiote est arrivée en même temps que nous devant l’hôtel et elle nous a vues descendre de la voiture Émilie, et moi.

Jessica ne comprend pas.
- Natacha avait été ligotée par Emilie et elle savait que sa mère était la maîtresse suprême de la guilde. Même des idiotes comme vous étaient capables de comprendre.

Jessica ne prête même pas garde à l’insulte. Elle s’efforce de paraître intéressée par le récit alors qu’elle ne souhaite que la fin de cet infernal supplice.
- Heureusement, mon espionne l’avait repérée et m’avait alertée. Nous avons donc déclenché les sextoys insérés dans son vagin et son anus. Tu aurais dû la voir courir quand elle a compris ce que nous allions faire. J’ai oublié de te dire qu’elle était toujours ligotée et bâillonnée.

La captive est effrayée par le rire cruel de Claudia. Le plus insupportable est de découvrir la duplicité de cette femme qui s’était toujours montré douce et aimable.
- Elle s’est donc évanouie et a été capturée par le groupe infiltré par mon espionne qui a pris beaucoup de plaisir à jouer avec elle. Je n’avais plus besoin de ta stupide amie. Je t’avais déjà extirpé de ton cachot et il ne me restait plus qu’à te laisser jouer ton rôle. Ce que tu as fait à merveille. Grâce à toi cette idiote de Fergie est entre nos mains et sa sœur ne tardera pas à la rejoindre.

Jessica essaie d’échapper au regard moqueur de sa ravisseuse. Elle ne peut pas se pardonner d’avoir contribué à piéger une femme qu’elle admirait.
- Pour te remercier, j’ai décidé de te faire participer à un petit jeu. Je pense qu’il devrait te plaire.

La fille de la maîtresse de la guilde rejoint sa mère. Elle porte des seaux qu’elle dépose sur le sol. Et tend à sa mère un long pinceau plat qui est la copie conforme de celui qu’elle tient dans sa main. Les deux femmes commencent à badigeonner le ventre de leur victime tout en discutant tranquillement.
- Cela ne vous manque pas mère.
- De ne plus m’occuper des idiotes que nous prenons dans nos filets. Tu n’imagines pas. C’est toujours un plaisir de se livrer à de telles tâches. Étale bien sur le torse. Je m’occupe de ses cuisses.

Le corps de la prisonnière se couvre progressivement de cette étrange matière. Claudia et sa fille progressent lentement. Jouissent littéralement du plaisir de caresser leur victime avec ses pinceaux. A l’exception du visage, aucune partie du corps n’est épargnée. Émilie s’occupe particulièrement et soigneusement de l’entrejambe de la captive.

Jessica a cessé de se débattre. Passé le premier moment d’inquiétude, elle s’interroge sur les intentions de se tourmenteuses. La crème qui recouvre son corps émet une étrange odeur mais le contact sur la peau est loin d’être désagréable. Elle ressent même un doux sentiment de fraîcheur.

Bien sûr le fait qu’elles aient été jusqu’en en recouvrir ses seins, tétons compris, ainsi que son sexe l’intrigue. Mais leurs intentions sont un mystère.
- Nous allons te laisser.
- Mais rassure toi. Tu ne seras pas seule longtemps. Tes amants vont te rejoindre.

Ses amants. De quoi parlent-elles ?
- Mais ne t’inquiètes pas. On a coupé leurs griffes.
- On devrait mettre un bandeau sur ses yeux.

Non pas ça !!!!

La captive agite sa tête pour s’opposer à l’atroce intention. Mais Claudia saisit ses cheveux.
- Tu devrais savoir que ta résistance est stupide et inutile.

Comprenant l’exactitude des propos de sa tortionnaire, Jessica laisse Émilie nouer le bandeau sur ses yeux.

Elle entend ses deux tortionnaires s’éloigner. La porte s’ouvre se ferme bruyamment. Le silence s’installe. La captive est seule, plongée dans l’obscurité et le silence.

Jessica tire de toutes ses forces sur ses entraves. En vain évidemment. Elle sait déjà qu’il est impossible de dégager ses poignets et ses chevilles des anneaux de cuir.

Soudain un son retentit. Comme une porte qui s’ouvre. Pas une porte. Plutôt une trappe. Elle devine une présence furtive. Comme si la pièce était occupée par plusieurs personnes se déplaçant silencieusement.

Pas des personnes. Des animaux. De petite taille.

Des rats ??? Des souris ???

Terrifiée elle tire à nouveau sur ses liens. Elle a le sentiment que les animaux ses figent. Qu’ils l’observent. Comme s’ils se préparaient à la meilleure attaque.

Ce ne peut pas des rongeurs, ils n’agiraient pas ainsi. Ils feraient plus de bruit. Seraient plus impatients. Plus nerveux.

Ceux-là sont calmes, posés, attentifs. Leurs griffes ont été coupées. C’est ce qu’ont dit ses geôlières.

Au déplacement de l’air, elle devine que l’un d’eux a sauté sur le lit où elle est immobilisée. Un saut élégant sans erreur. Les animaux capables d’un tel saut ne sont pas si nombreux. Cela ne peut être que… Oh non !!!

Un miaulement confirme sa déduction. Des chats elles ont lâché des chats dans la pièce.

Elle tire sur ses entraves, tente de donner un coup de pied à l’animal près de sa jambe. C’est ridicule. Même libre de des mouvements, elle serait incapable de l’atteindre. Mais écartelée comme elle l’est ses efforts sont insignifiants. Elle devine que le félin s’écarte facilement. Puis se rapproche. Hume ses pieds. Qu’est-ce que cela peut signifier ? Elle sent la langue râpeuse sur ses orteils. Éprouve une étrange sensation. L’animal prend son temps. Comme s’il prenait plaisir à cette tâche. Deux autres sauts se font ressentir sur le lit. Les deux autres chats ont rejoint leur compagnon.

Elle tord son corps entravé en tous sens. Crie à travers son bâillon pour tenter de les chasser.

Elle devine que ses mouvements sont ridicules. Que ses cris ne sont que des gémissements peut être agréables aux oreilles de ses stupides bestioles qu’elle a toujours détestées. Pourtant, les félins marquent un temps d’arrêt. Aurait-elle réussi à les décourager ?

Elle l’espère jusqu’à qu’elle sente le poil soyeux frotter contre son flanc. Elle n’arrive pas à maîtriser les sensations que lui procure cette caresse. Son corps est parcouru de frissons. Manifestement les animaux devinent qu’elle est impuissante. Livrée à leurs appétits féroces.

Elle sent de de nouveau une langue râpeuse sur ses pieds. Une autre le long de ses jambes. Puis un poids sur son ventre. Le troisième commence à lécher autour du nombril. La sensation n’est pas si désagréable. Elle ne sent plus la langue sur ses pieds. Devine que l’animal lèche à présent l’extérieur de sa jambe. Avance vers ses cuisses. Elle est tentée de s’abandonner aux étranges caresses des langues râpeuses. Se demande pourquoi les chats s’appliquent si consciencieusement. Et réalise immédiatement que c’est certainement la crème sur son corps qui en est responsable. Crème que les deux femmes ont étalé soigneusement sans oublier ses parties les plus intimes.

Elle se raidit. C’est là le jeu infâme qu’ont préparé ses ravisseuses. Déclencher l’appétit vorace de ces animaux en la recouvrant d’une substance qui excite leur gourmandise.

Jessica tente de se débattre, d’effrayer les chats par ses gesticulations et des cris. Mais ses mouvements limités par ses entraves sont inefficaces. Quant à ses cris, le bâillon les réduit à de faibles gémissements qui semblent exciter les animaux plutôt que les effrayer.

Avoir les yeux bandés est une torture supplémentaire. Elle en est réduite à imaginer les mouvements des chats à partir des sensations que lui procure le contact de leur fourrure et de leur langue contre sa peau.

Elle sent qu’être ainsi léchée et frottée l’excite malgré elle. Elle devine contre ses seins les poils de l’un des félins. Soupçonne que la langue d’un autre s’approche de sa poitrine. Tandis que le troisième lèche consciencieusement l’intérieur de ses cuisses se rapprochant lentement de…

Elle se raidit. Il ne va pas la lécher ainsi. Elle tire une nouvelle fois sur ses liens. Proteste encore dans son bâillon.

Mais rien n’arrête l’inéluctable progression des innocents mais pervers animaux.

Jessica sent les langues râpeuses de deux chats sur ses seins pendant que le troisième progresse entre ses cuisses et approche inéluctablement de son sexe.

Elle sent ses seins durcir, ses tétons se dresser. La langue du troisième chat entre ses lèvres.
Elle perd le contrôle de son corps, est parcourue de spasme. Gémit dans son bâillon. S’abandonne à l’orgasme. Honteuse.

Elle s’attend à ce que les chats s’éloignent mais ils s’allongent. Un entre ses cuisses, les deux autres contre ses seins.

Elle tente de s’agiter pour s’en débarrasser mais les félins semblent conscients de son impuissance et restent en place.

La captive comprend qu’elle ne sera libérée que quand les maîtres et maîtresses de la guilde le souhaiteront et qu’elle ne peut rien faire d’autre qu’attendre la suite des événements.
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Mad Hatter »

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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Gwenboyfriend »

Un minou pour le minou ou le point de vue des chats.

Fantom se prélasse auprès de ses deux compagnes Graziella et Fabiola. Il songe que se faire servir par des humains présente quelques inconvénients et nécessite des concessions comme accepter de se faire tailler les griffes mais ne manque pas de compensations. Et il ne pense pas au fait d’avoir son repas servi gracieusement deux fois par jour. Mais aux autres jeux auxquels celle qui se croit leur maîtresse les incite à se livrer.

Avec Claudia et ses filles, il n’est pas nécessaire de quémander les caresses ou de se frotter contre elles en ronronnant. Nul besoin de chasser les rats ou les souris. C’est un autre service que ces humaines réclament. Un service bien plus amusant.

Et quelques signes que seul Fantom sait repérer l’incitent à croire que lui et ses compagnes ne vont pas tarder à rendre une nouvelle fois ce service.

Les signes sont toujours les mêmes.

L’installation de cette couche appelée lit dont les humains se servent pour dormir ou procréer. Quoique dans le cas présent, elle soit destinée à un autre usage. Les quelques privilégiés qui s’installent dans les parties hautes de la salle au centre de laquelle se trouve le lit. Le bruit des chaînes que les oreilles hypersensibles de Fantom perçoivent. Et surtout les gémissements de deux femelles qui doivent avancer péniblement en raison de la marche maladroite à laquelle elles sont contraintes par leurs entraves. Graziella et Fabiola ont aussi perçu les sons. Elles se sont redressées et s’étirent langoureusement.

Les portes s’ouvrent et Fantom est satisfait de constater que ses sens ne l’ont pas trompé. Qu’il s’agit bien de deux femelles humaines jeunes et belles selon les goûts de cette espèce.

Elles sont nues. Fantom a des difficultés à comprendre le besoin des humains de se couvrir mais ils sait que les deux femelles sont autant gênés par leurs nudité que par leurs poignets enchaînées dans leur dos. Poignets reliés à un collier de métal qui sert aussi à les tenir en laisse.

Ainsi qu’il l’avait deviné grâce aux sons qu’il percevait leurs chevilles sont aussi enchaînées Elles ont des difficultés à suivre le rythme que leur impose leur guide. Fantom est tout autant satisfait de constater qu’une boule est insérée entre leurs lèvres et maintenue par une sangle nouée sur leur nuque. Il a compris que cet accessoire sert à empêcher les captives d’émettre des sons articulés qui leur permettrait par exemple d’appeler à l’aide.

Il s’est longtemps interrogé sur l’utilité d’un tel accessoire dans cette salle. Tant il est évident que personne n’a l’intention de les secourir. Puis il a compris que le fait d’être incapable de s’exprimer autrement que par des gémissements est un tourment supplémentaire pour les captives.

C’est une source d’émerveillement supplémentaire : l’énergie que consacrent les humains à se tourmenter les uns les autres. Qui lui rappelle le plaisir qu’il éprouve quand il prend une souris au piège. La différence est que les humains s’en prennent à ceux et celles de la même espèce. Bien sûr, les chats aussi se battent entre eux. Du moins ceux qui n’ont pas trouvé de foyer pour les accueillir. Mais leurs combats ne sont pas aussi raffinés que les tourments auxquels les humains soumettent leurs pareils ou leurs pareilles.

Les deux femelles ont été allongées sur le grand lit. Leurs bras et leurs jambes écartées liées aux barreaux qui se trouvent à chaque extrémité par des bracelets de cuir auxquels sont fixés les chaînes fixée aux barreaux.

Fantom a compris que les bracelets sont conçus de telle façon que les deux prisonnières ne se blessent pas quand elles vont se débattre.

Parce qu’elles vont bientôt se débattre et s’agiter et gémir. Le chat n’en doute pas. Comme il ne doute pas du rôle que lui et ses compagnes vont bientôt jouer.

Deux autres femelles badigeonnent le corps de leurs victimes avec la crème destinée à exciter les chats.

Fantom ne s’interroge plus sur ce mystère. Ce ne sont pas seulement les mâles humains qui soumettent les femelles. D’autres femelles prennent plaisir à soumettre leurs consœurs.

C’est même une femelle qui dirige le groupe qui l’a adopté lui et ses compagnes. Une femelle particulièrement imaginative.

Les deux prisonnières sont entièrement recouvertes de la crème odorante. Le chat aimerait parfois faire comprendre aux humains que ce n’est plus nécessaire. Qu’il jouerait leur jeu sans avoir besoin de cet adjuvant ou d’une récompense. Que lui et ses compagnes sont ravis de participer aux tourments de ces deux humaines.

Les prisonnières sont prêtes. Fantom constate avec joie que leurs ligoteuses ne leur ont pas bandé les yeux. Il aime voir le regard terrifié des captives quand il bondit sur le lit et qu’il commence à marcher sur leur corps. Puis à s’approcher de leurs mamelles. Les humains les appellent des seins. Fantom estime que c’est un joli nom. Il sait qu’elles craignent ses griffes bien qu’elles ont été soigneusement coupées.

Alors il compense cet inconvénient en se hérissant et en feulant même en crachant. Cela suffit pour que ces femmes, c’est le nom que les humains donnent à leurs femelles, se débattent dans leurs entraves et gémissent dans leurs bâillons. Fantom et ses compagnes ont progressivement pris goût à ce jeu. C’est encore plus amusant que de traquer les souris.

Il leur arrive même de prendre des initiatives qui réjouissent les humains. Se rouler sur leur corps. Se frotter contre leurs seins. Le chat a découvert que le simple contact de ses poils suffit à faire réagir les prisonnières. C’est bien sûr encore mieux quand il les lèche et qu’il les sent durcir et qu’il s’approche du sommet, le téton. A ce stade, sa victime, il a fini par comprendre le sens de ce terme qu’emploient fréquemment les humains, ne maîtrise plus son corps. Elle gémit tire sur ses entraves. Le jeu pour le chat et ses compagnes consiste à continuer son agréable tâche en évitant d’être chassé par les mouvements désordonnés du corps de la prisonnière.

Fantom est devenu un expert à ce jeu. La captive installée à droite du lit, Jessica, est bien placée pour le savoir. Il a déjà joué avec elle et elle n’a manifestement pas oublié son habileté. Contrairement à sa compagne d’infortune, dont c’est manifestement la première expérience, elle a compris ce qui l’attend et se débat vainement dans ses entraves.

Cela suffit à inquiéter son amie Natacha, Fantom a appris à retenir les noms que se donnent les humains, qui supplie Jessica du regard comme si celle-ci pouvait lui éviter ce qui va arriver. Fantom et ses compagnes attendent seulement le signal qui les autorisera à entrer en scène.

Fantom visualise déjà ce qui va suivre.

Pendant que ses compagnes continueront à s’occuper du haut du corps de la prisonnière. Lui s’installera entre ses cuisses. S’approchera du sexe ainsi offert et commencera à user de sa langue. « Un minou pour le minou » penseront certains des humains présents dans le public.
Le chat est devenu un expert en matière de plaisir féminin et il se réjouit à l’avance de l’instant où la captive exultera. Ensuite, les félins passeront à la seconde captive en souhaitant qu’elle soit aussi réceptive que la première.

Soudain la cloche retentit. Fantom prend son élan et atterrit souplement entre les jambes de Jessica. Il est décidé à commencer par elle et imagine déjà l’angoisse de Natacha quand elle constatera l’habileté des félins.

Alors qu’il s’approche de sa victime, Fantom se demande un instant si le contact des humains n’a pas perverti sa nature.
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Mad Hatter »

Mais non ils n'ont pas été pervertis ! :langue:Image Ils ont juste changé de loisir car attraper des souris avec des griffes émoussés ce n'est pas facile.

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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Gwenboyfriend »

Le professeur

Natacha et Jessica attendent sagement le professeur.

Que pourraient-elles faire d’autre, nues, assises côte à côte sur une chaise de bois. Leurs bras sont fixés par des sangles de chaque côté du dossier droit. Leur torse est maintenu par des sangles autour de la taille et sous leurs seins. D’autres sangles fixent leurs cuisses, leurs mollets, leurs chevilles aux pieds et siège de la chaise. Une dernière sangle entoure leur front et bloque leur tête contre le dossier de la chaise.

Ainsi entravées, elles peuvent seulement bouger les doigts. Elles s’inquiètent aussi des objets que leurs geôlières ont introduit dans leur sexe et dans leur anus sans donner d’explication. De même que les pinces fixées à leurs tétons.

Leurs ligoteuses après les avoir ainsi immobilisées ont quitté la salle en donnant quelques instructions.
- Ne bougez pas jusqu’à ce que le professeur arrive.
- Tu te moques d’elles. Comment veux-tu qu’elles bougent.
- C’est vrai.
- Nous ne vous avons pas bâillonnées et vous avez le droit de parler jusqu’à l’arrivée du professeur.
- Qui est le professeur ?

Jessica a immédiatement regretté d’avoir posé cette question. Une décharge électrique a traversé son corps et celui de Natacha.
- Encore une remarque comme celle-ci et vous retrouvez vos bâillons.
- Les règles sont simples. Ne jamais interrompre vos maîtres ou maîtresses. Et ne pas parler sans y avoir été autorisées.
- Et vous êtes solidaires. Les bêtises de l’une affectent l’autre.

Les prisonnières matées gardent le silence. Mais cela ne satisfait pas leurs geôlières.
- Vous tenez vraiment à retrouver votre bâillon.

Les jeunes femmes ne comprennent pas. Qu’attendent donc leurs tourmenteuses ? Terrifiées, elles voient ces dernières préparer une nouvelle sangle dont elles ne doutent pas de l’usage.

Jessica désespérée d’avoir en une seule phrase, plongé son amie et elle dans une contrainte supplémentaire n’ose plus prononcer le moindre mot.

Natacha fait une dernière tentative.
- S’il vous plaît mesdemoiselles, ne nous bâillonnez pas.
- C’est tout ce que tu trouves à dire !

Natacha cherche désespérément ce qu’elle doit dire de plus. Heureusement Jessica encouragée par la tentative de son amie comprend ce que leurs maîtresses attendent d’elles.
- Nous vous supplions de nous excuser pour notre insolence, mesdames.
- Voilà qui est mieux.

Le bâillon s’éloigne enfin.
Les captives réagissent d’une même voix.
- Merci mesdames.

Les ligoteuses sourient cruellement.
- Vous apprenez vite. C’est une chance pour vos fesses de recevoir moins de coups de fouets. Vous allez pouvoir discuter quelques minutes entre vous.

Sa complice intervient.
- Quelques conseils. Il est interdit de dire du mal de vos maîtresses.
- Ou de vous interroger sur des moyens de s’échapper.
- Ou de vous plaindre de vos punitions.
- Ou de regretter votre vie passée.
- Mais, vous êtes libres..
- ... Enfin façon de parler...
- ....De discuter de ce que vous souhaitez.

Sur ces dernières instructions et moqueries, les dominantes quittent la pièce abandonnant les soumises à leur sort.

Les captives résignées n’essaient même pas de se libérer. Elles savent que leurs entraves sont trop bien serrées.
Craignant d’aborder un sujet susceptible de justifier une punition, elles demeurent silencieuses. Le seul bruit est le tic- tac d’une antique horloge égrenant les minutes de leur captivité.

N’y tenant plus Natacha se décide à interroger son amie.
- Tu t’attendais à ça quand tu as demandé à être admise au sein de la guilde.
- Je m’attendais à un jeu. Je n’imaginais pas une telle puissance...
- ... Ni que Claudia était à sa tête.
La jeune femme éprouve soudain une indicible crainte. Elle ignore encore les règles de cette guilde infâme mais devine qu’appeler la maîtresse suprême par son prénom est une insolence susceptible de justifier une douloureuse punition.

Natacha éprouve le même sentiment et n’ose pas répondre.

Les captives songent à l’efficacité de leurs maîtres et maîtresses. Elles qui se croyaient indépendantes et audacieuses osent à peine parler de peur de justifier une nouvelle punition. Jusqu’à ce que Jessica réagisse.
- Nous sommes stupides.
- Que veux-tu dire ?
- Nous réagissons comme si nos ravisseuses avaient besoin de raison de nous punir.
- Ce n’est pas le cas ?
- Si nous ne leur en donnons pas, elles en trouveront.
- Alors, nous sommes perdantes dans tous les cas.
- Pas perdantes. Soumises. Tout ce que nous pouvons faire, c’est obéir et espérer que nos maîtres et maîtresses seront indulgents.

À cet instant, un homme entre dans la salle. Les captives éprouvent un sentiment de terreur en songeant qu’il les a sans doute écoutées et qu’il a peut-être trouvé dans leurs propos une raison de les punir.
- Bonjour Mesdames.

Les jeunes femmes réalisent qu’elles ne savent pas ce qu’elles doivent répondre ni même si elles doivent répondre. Fatale hésitation. L’homme sort de sa sacoche un martinet dont l’usage ne fait pas de doute. Jessica commet l’erreur de supplier.
- S’il vous plait monsieur, ne nous punissez pas. Nous sommes encore des débutantes.
- Des débutantes bien insolentes.

L’homme applique sur la bouche des captives une large bande de cuir à laquelle est fixé une boule de caoutchouc qui occupe la totalité de leur bouche.
Il commence par Jessica qui ne tente pas de résister, devinant qu’elle ce serait inutile. Natacha attend avec angoisse l’instant où le vil individu s’occupera d’elle.
Malgré ses bonnes résolutions, elle tente de résister en gardant ses lèvres closes. Effort bien inutile. Il suffit de pincer le nez de la naïve jeune femme pour la contraindre à ouvrir la bouche et offrir le passage à l’infect objet.

- A présent, vous allez vous tenir tranquille pour votre première leçon.

Les jeunes femmes terrifiées, à peine capables de remuer leurs doigts s’interrogent sur ce que va être cette leçon.

L’homme range le martinet au grand soulagement des captives. Soulagement contrarié quand il se saisit d'une règle et s’approche d'elles. Il en promène l’extrémité sur leur corps leurs seins. Il s’attarde sur Jessica. Bientôt la jeune femme sent qu’elle est à nouveau prise de frémissements. Que le contrôle de son corps lui échappe. Le bâillon, les sangles qui l’immobilisent l’empêchent d’exulter et une fois de plus transforme la jouissance en souffrance et en honte d’être devenue un jouet entre les mains de vils individus.

L’homme s’occupe ensuite de Natacha dont la réaction ne diffère guère de celle de son amie.
Le professeur sourit.
- On ne m’avait pas menti. Vous êtes deux petites garces vicieuses qui doivent être éduquées.

Humiliées, dans l’impossibilité de répondre les prisonnières attendent l’épreuve suivante.

Qui ne tarde pas.

Sur un tableau électronique fixé au mur, une question apparaît.
« Quel est votre statut ? Esclave, bouton gauche ? Maitresse, bouton droit ? »

Terrifiées les captives ne savent pas comment répondre alors qu’un compte à rebours apparaît et démarre à partir de quatre-vingt-dix secondes.

Les prisonnières supplient le professeur à travers leurs bâillons. L’individu se montre indifférent à leur détresse.

- C’est une question simple vous devriez connaître la réponse.

Les jeunes femmes savent bien ce qu’elles doivent répondre. Elles n’ont pas le temps de songer à l’humiliation de devoir reconnaître être des esclaves. Elles sont trop effrayées par ce qui va arriver dans à présent soixante secondes.

Alors qu’elle agite désespérément ses doigts, Natacha sent une excroissance le long du montant de sa chaise. Serait-ce un bouton ? Elle appuie dessus. Le tableau affiche « Natacha : esclave. Réponse exacte ».
Mais le compte à rebours ne s’interrompt pas. Les secondes diminuent, Natacha réalise que son amie n’a pas trouvé le bouton et qu’elle n’a aucun moyen de le lui indiquer. Le bâillon transforme ses paroles en de ridicules bafouillis. Il ne reste que dix secondes. Impitoyable le professeur observe les ridicules efforts de ses victimes en souriant.

Alors qu’il ne reste que deux secondes, Jessica trouve enfin le bouton et le presse vivement.
Le tableau affiche « Jessica : esclave. Réponse exacte ».

Le soulagement des prisonnières est de courte durée. Le professeur presse un bouton. Les sextoys dans le sexe et l’anus des jeunes femmes se déclenchent. Leurs entraves rendent les ondes de plaisir qui les traversent insupportables.

Enfin les terribles engins cessent leur action néfaste.

Le professeur s’approche sa règle à la main.
- Vous me trouvez injuste peut-être.
- Mpffnonpf.

Déformées par leurs bâillons, leurs pauvres dénégations ne semblent pas sincères. Elles sont incapables de cacher leur terreur face à l’impuissance qui est la leur.
- Vous pensez que je n'aurais pas dû déclencher les sex-toys puisque vous avez répondu à temps.
- Mppsnonpf.
- Vous répondez "non" parce que vous craignez que je vous punisse.
- Mppsnonpf.
- Je vous fais peur.
- Mppsnonpf.
- Je ne suis pas convaincu par vos mensonges. Mais vous faites des efforts. Je vais donc vous laisser une chance. Je vais vous laisser seules dans la pièce. Le tableau affichera des questions. Si vous répondez juste à toutes. Vous aurez droit à un peu de repos.

Le vicieux professeur sort de la pièce. Les questions commencent immédiatement à s’afficher.

« Le seul droit d’une esclave est-il d’obéir ?». « Une esclave doit-elle savoir pour quoi elle est punie sans que son maître le lui dise ? » « Une esclave a-t-elle le droit de faire des erreurs ? » « Une esclave peut-elle refuser d’être une esclave ? »…

Les questions s’enchaînent. Le temps pour répondre est trop court. A chaque erreur ou lenteur, les captives reçoivent une impulsion électrique.

Enfin la dernière question apparaît. Le tableau lumineux s’éteint. Les jeunes femmes profitent de cet instant de répit.

Espèrent qu’elles vont enfin être libérées.

Le professeur revient dans la pièce. Examine les résultats des réponses.
- Vous avez fait trop d’erreurs et vous êtes trop lentes. Vous allez donc répondre aux mêmes questions sans vous tromper et en faisant preuve de célérité.

Jessica et Natacha supplient l’homme du regard et aussi en criant à travers leurs bâillons. L’homme semble sensible à leur détresse.
- Seriez-vous prêtes à vous montrer reconnaissantes si je vous évitais cette dernière rafale de questions ?

Les captives ne savent pas comment répondre à cette question.
- Vous pouvez utiliser les boutons.

Les jeunes femmes appuient sur le bouton « oui ».
- Vous avez choisi d’accepter ma proposition sans même savoir ce que j’entends par « reconnaissance ». Une fellation par exemple.

Les prisonnières confirment leur choix.

L’homme sourit.
- Vous êtes vraiment incorrigibles. Vous essayez de me corrompre. Vous vous croyez en position de refuser ce que je vous demande. Quand vous avez accepté de de devenir des esclaves de la guilde. Vous n’avez plus d’autre choix que celui d’obéir et de subir.

La réaction des captives n’échappe pas au professeur.

- C’est vrai. On vous a dit que vous auriez l’occasion de revenir sur votre décision quand vous auriez compris à quoi vous vous engagez.

Les jeunes femmes tentent d’expliquer leur accord à travers leur bâillon.

- Mais vous ne deviez parler à personne d’extérieur à la guilde. Or Natacha en a parlé à Claudia. Et comme vous le savez, vous êtes solidaires. Les erreurs de l’une rejaillissent sur l’autre.

Les prisonnières, outrées de cette injustice protestent avec difficultés. Toutefois le professeur devine l’objet de leur contestation.
- Claudia est la maîtresse suprême de la guilde. C’est ça ?

Jessica et Natacha appuient simultanément sur le bouton « Oui ».

- L’important est que Natacha l’ignorait quand elle lui en a parlé. Elle a donc désobéi. Et vous avez perdu le droit de quitter la guilde.

Sur ces derniers mots, l’ignoble professeur abaisse une manette.

Natacha et Jessica comprennent que les sextoys insérés dans leur corps vont à nouveau se déclencher.
- Quand vous aurez profité de cette petite distraction, vous répondrez à nouveau aux questions. Et si vous faites la moindre erreur ou si vous êtes toujours aussi lentes vous devrez répondre à nouveau. Et ceci jusqu’à ce que vous ne fassiez plus la moindre erreur.

Sur ces derniers mots, le professeur sort de la pièce.

Abandonnant ses victimes face au compte à rebours qui leur indique combien de secondes il reste avant le début de leur supplice.
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eric
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par eric »

Quel plaisir la suite des aventures de Jessica.
Merci pour ce partage :bravo:

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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Mad Hatter »

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La pénitence est douce
Et ron et ron petit patapon
La pénitence est douce
Nous recommencerons, ron ron
Nous recommencerons
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