La Prison "western" (histoire d'Anne)

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Bouya2

La Prison "western" (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Autant pour Les Ligoteurs des Tentes, j'avais dit que c'était une des rares nouvelles d'Anne que je n'aimais pas. Autant pour cette histoire-là, La Prison "western", c'est une de mes préférées ! Dommage qu'elle ne soit pas terminée.
Bonne lecture !

La prison « western » - 2012/08/03

L'idée d'organiser un jeu de rôles avait été lancée par un jeune homme de dix-neuf ans, Patrick. C'est un joli garçon aux courts cheveux noirs, mince et sportif. Il était venu avec sa copine, Françoise, une jolie fille de vingt ans, svelte au teint hâlé dont les longs cheveux noirs ondulent harmonieusement jusqu'aux omoplates. Ses yeux d'un vert profond contrastent avec sa chevelure et lui donnent un regard magnétique. Le troisième participant était Doug, un américain très joli garçon de vingt-deux ans aux cheveux blonds. Il parlait parfaitement le français mais avec un fort accent qui me faisait littéralement craquer.

Il faut reconnaître que Françoise est une fille splendide aux longues jambes fuselées et à la taille fine. Sa poitrine est généreuse et admirablement proportionnée. Il émane de ses formes parfaites une féminité remarquable et j'avoue avoir moi-même failli lui caresser les fesses quand elle est passée à côté de moi. Elle aime manifestement les talons aiguilles et porte généralement des pantalons ultra moulants faits de tissu légèrement élastique collant merveilleusement à la peau. Pour être honnête, je dirai même que je la jalouse un peu pour son physique.

Pour ce petit jeu « western », j'étais habillée dans le style cowgirl, en jupe avec de jolies bottes de cuir blanches et à talons. Mon chemisier à carreaux était très serrant et j'en avais négligemment laissé les trois premiers boutons ouverts. Je portais noué au cou un joli petit foulard satiné de couleur bordeaux orné de larges marques jaunes. Le joli gilet de daim sans manches que je portais ouvert était agrémenté de franges et complétait parfaitement mon apparence cowgirl. Cela mettait ma poitrine en évidence sans en avoir l'air.

Évidemment, vu la présence prévue de Françoise, je me devais d'être aussi sexy que possible et j'avais donc choisi de porter une mignonne minijupe de daim. Cette jupe est vraiment une arme quand il y a des garçons dans le secteur. Faite d'un matériau très fin et particulièrement moulante, minimaliste au point de poser un problème dès qu'il s'agit seulement de m'asseoir avec, c'est vraiment la plus courte de ma garde-robe. La jolie ceinture blanche qui me ceint la taille est du plus bel effet et achève fort joliment ma tenue. Mes longues jambes sont mises en valeur par des bas satinés légèrement foncés.
Je retrousse les manches de mon chemisier au-dessus des coudes et me voilà prête.

Notre village est composé de deux cabanes en bois séparées par un chemin de terre battue. D'un côté, il continue entre les champs et de l'autre il s'enfonce dans le bois. La cabane qui fait office de bureau du shérif est divisée en deux zones, l'une contient un vieux bureau de bois face à la fenêtre, une étagère et deux chaises de bois. L'autre a été aménagée en cellule avec un grillage métallique muni d'une porte. Je note que ce bricolage a été fort bien fait. L'intérieur de la cellule est vide à part une banquette rabattable fixée au mur. Curieusement mon regard a immédiatement été attiré par plusieurs rouleaux de corde blanche qui pendaient à une patère, derrière la porte.

Je trouvais Doug très mignon et je me suis immédiatement portée volontaire pour être shérif. Je me disais que comme cela, j'allais interroger Doug, ce qui me donnerait le prétexte de le faire venir dans mon bureau. Vu ses réponses insatisfaisantes, je pourrai probablement le mettre en cellule et ensuite, je n'aurai plus qu'à utiliser les jolies cordes oubliées dans la cabane pour ligoter le garçon en cellule. Si j'y parviens, il se rendra compte qu'il existe des filles aux mains baladeuses.

J'avais laissé ma voiture un peu plus loin car tout le chemin n'est pas carrossable, et je marchais en imaginant comment j'allais le persuader de se faire attacher. La main pressée sur mon sac, je souriais en sentant le bâillon boule qui m'accompagne partout.

Doug était déjà sur place et il m'a annoncé à mon arrivée que Françoise et Patrick n'arriveraient que plus tard. En leur absence, j'ai donc pris l'étoile de shérif et l'ai arborée fièrement devant Doug. Le garçon lorgnait alternativement sur mes cuisses et mon décolleté.
-Et bien, c'est la première vois que je vois un shérif aussi sexy !
-Pas de baratin. Suivez-moi au poste, je dois vous interroger. Et pas de blague !
-Mais je n'ai rien fait...
-Ce n'est que pour un interrogatoire de routine.
-Bien.

Une fois au poste, je lui ai posé quelques questions, puis je lui ai demandé de s'appuyer au mur, les mains largement écartées et en écartant les jambes car ses réponses ne me satisfaisaient pas. J'étais désolée mais j'allais devoir le fouiller.
Il s'est exécuté. Je me suis placée derrière lui et ai passé les mains sur ses fesses, puis je me suis accroupie et ai palpé ses jambes en remontant jusqu'à son entrecuisse, puis je me suis redressée et ai posé les mains sur sa poitrine. Il a eu un sursaut mais semblait apprécier la situation. Mes mains sont descendues doucement vers sa ceinture, mais il a vivement réagi en saisissant rudement mes poignets.
-Eh là ! Ce n'est pas comme cela qu'on fait une fouille !
-Aïe !

Il a pivoté en me tenant face à lui et a jeté un regard à la ronde. Il m'a brusquement fait tourner sur moi-même de manière à me coincer en me maintenant les mains derrière le dos d'un bras passé autour de mes coudes.
-Eeeeh... Mais !
Il a attrapé une des cordes et s'est promptement mis à m'attacher les poignets derrière le dos !
-Voilà ! Je vais te montrer comment on fait une fouille. On va commencer par ton sac.
-Hiiii ! Mais... Brute !!!

Je résistais mais, ainsi que je le supposais, ce garçon est vigoureux et il m'a fermement poussée vers le bureau sur lequel j'avais posé mon sac. Il l'a ouvert et renversé de sa main libre, répandant tout son contenu sur le meuble.
Se sont étalés sur la table mon porte-clés, mes clés de voiture, mon portefeuille, rouge à lèvres... et au milieu de tout cela, mon bâillon boule.
-Tiens donc ! Voyez-vous cela !

Il tendit le bras et saisit l'objet en me regardant.
-Les shérifs sont bien équipés dirait-on, en plus de porter des minijupes et d'avoir la main baladeuse !
-Laisse ça !
Sans plus discuter, il m'a enfoncé la balle de latex dans la bouche. Je me tortillais furieusement mais il m'avait bel et bien coincée contre le bureau et il serrait implacablement la sangle de cuir du bâillon.
-Mmmhmh !!! ... mmh...

Il m'avait à nouveau empoignée par les bras, mais avec plus de vigueur que la première fois et mes coudes s'étaient rapprochés facilement durant le mouvement.
-La vache, tu es plutôt souple !
-Mmh... mmmh... !!!! ghhh !!!

Il m'a fermement poussée vers la cellule en emmenant une seconde corde avec lui. Une fois derrière le grillage, il m'a attaché les bras avec les coudes presque joints.
-Regarde bien comment on fouille quelqu'un maintenant.
-Mgnnh... hgnhh...

Il m'a faite tourner rapidement de dos, de face, de profil au point que j'en perdais presque l'équilibre. Il me tenait solidement par les bras pendant que, de sa main libre, il tâtait consciencieusement ma poitrine, puis il a palpé mes fesses et mes cuisses, profitant de l'occasion pour jeter un coup d’œil sous ma jupe. Puis il m'a plaquée contre le mur et s'est mis à me fouiller très minutieusement. Mes piaillements étouffés de volaille en train de se faire plumer ne le dérangeaient absolument pas.
Puis il a baissé la couchette, m'a assise dessus et est sorti de la cage en fermant la porte. Contrairement à la première impression, on dirait que c'est très solide à en juger au bruit qu'a fait la porte en se claquant.

Je me suis relevée d'un bond et suis allée contre la grille en essayant de crier.
-mmh !!! ... ... mhmhh !! ... ... ... mh !!!

Prise à mon propre jeu, je me trouvais stupide et je grognais en secouant la tête. Il m'avait rudement bien bâillonnée et je ne m'attendais pas à me retrouver attachée en cellule. Mes talons martelaient le plancher tandis que je me déplaçais toute agitée le long du grillage.
-mmmmh !!! ... ... mmmhmhh !! ... ... mh... ... ... mh !!!
-Oh ! Silence, femelle ! J'ai du travail...

Il me tournait le dos, assis au bureau ! Alors j'ai donné des secousses au grillage avec l'épaule. Je voyais qu'il était en train de fouiller mon portefeuille. Il en sortait minutieusement chaque papier et le posait soigneusement sur le bureau après l'avoir regardé très indiscrètement. Il me jetait parfois un coup d’œil narquois avant de se replonger dans l'analyse du contenu de mon sac.
-mmmh !!! Mgnhhhgh !... ... nhmnhhhh... !!!
-Je secouais sans cesse le grillage en soufflant furieusement dans mon bâillon. Au bout de quelques minutes, il s'est levé.
-Ah ! Zut, à la fin ! Cette fois, tu l'auras voulu !
-Mmh... mmmh... hhh... !!!

Il a pris les cordes et est revenu dans la cellule, l'air déterminé. Il m'a poussée vers l'angle de la cellule où il m'a coincée. J'essayais de ruer et de le pousser mais il m'a attaché solidement les chevilles jointes et il a implacablement serré le lien qui a formé une bande de corde immobilisant rigoureusement mes chevilles. Juchée sur mes hauts talons, debout dans le coin de la salle, j'ai vu le garçon se pencher et entreprendre résolument de m'attacher les cuisses juste au-dessus des genoux. Une fois que le ruban de corde à atteint environ quatre centimètres de largeur, il s'est activé à sécuriser très solidement le lien.

Il passait franchement la main entre mes cuisses en serrant la corde avant de terminer par une traction sèche finalisant un solide nœud situé entre mes cuisses. Appuyée au mur, je soufflais dans mon bâillon et secouais la tête en tendant le cou pour voir par dessus mes seins le garçon occupé à me ligoter aussi froidement qu'il l'aurait fait pour un vulgaire objet.

Il y allait rondement, sans prononcer un mot.

Il s'est accroupi à mes pieds et s'est mis à serrer rigoureusement un nouveau lien juste au-dessous de mes genoux de manière à finir d'immobiliser totalement mes jambes. Là encore, après avoir brutalement serré le lien, il l'a sécurisé énergiquement de manière à peaufiner mon immobilisation.
-gh... !! ... gnmphhhh !!... ... ... mfnhhhh... !! ...

Il m'a donné une tape sur la fesse et s'est redressé pour me faire pivoter face au mur contre lequel il m'a poussée, si bien que mes seins se sont trouvés écrasés un instant contre les planches. Il a passé plusieurs tours de corde autour de ma taille avec laquelle il m'a strictement attaché les poignets à la taille, puis il a fait de même avec une autre corde passée sous mes seins qui me plaquait rigidement les coudes au torse. Il profitait vicieusement de chaque passage de la corde pour m'effleurer les seins. Il a ensuite serré implacablement un nouveau lien au-dessus des coudes de manière qu'ils soient jointifs et l'a serré minutieusement plusieurs fois au-dessus de mes seins.

Comme il a marqué un temps d'arrêt, j'ai pu me retourner de profil. Stupéfaite, je l'ai vu faire un gros nœud dans une corde double qu'il a ensuite attachée à mes poignets et passée entre mes jambes pour en faire un crotchrope. Le garçon était parvenu à positionner le nœud très exactement sur mon sexe !
Souriant, il a tiré vigoureusement sur cette corde de manière à la tendre au plus serré de sorte que la pression du nœud m'a arraché une exclamation effrayée.
-Mmh !!!! ... Mrgnrhhhmmh !!!

Avec cette corde, je faisais nettement moins la maligne et mes glapissements sont devenus inquiets.

Toujours sans un mot, il m'a prise par les épaules et m'a allongée sur la couchette, puis il m'a brusquement forcée à plier les jambes. J'ai alors été minutieusement mise dans un hogtie ultra strict avec une corde qui faisait deux aller et retour des chevilles aux coudes en passant par les poignets.

Mais il n'avait pas encore terminé, je faisais de gros efforts pour le regarder faire quand il a serré une corde fixée à mes chevilles autour de mes cuisses. Mais mes cheveux défaits diminuaient mon champ de vision. Il a fait deux tours en enserrant mes chevilles et cuisses de manière que mes mollets soient fermement pressés sur mes cuisses et que mes talons se trouvent collés à mes fesses.
Je poussais des cris étouffés en secouant frénétiquement la tête pendant que les liens se resserraient inexorablement.
-Mhnmhhmmhmhhh !! Mrgnhhhh... ... !!!

Doug a ensuite consolidé le lien fixant mes poignets à ma taille en le sécurisant de telle sorte que je sois parfaitement incapable de déplacer les poignets. Il a ensuite fait pareil aux coudes.
Je l'ai alors vu rassembler mes longs cheveux et en faire une queue de cheval à laquelle il a attaché une corde qu'il a fixée au lien du hogtie. Il a tendu ce nouveau lien en me forçant à relever franchement la tête.

Une fois satisfait, le garçon a emporté les cordes restantes sans un mot et est sorti de la cage qu'il a refermée derrière lui.
Il a posé les cordes sur le bureau et s'est tranquillement assis pour continuer à explorer le contenu de mon sac.
-... h... ... ... !! ... h... ... !... h... h... ... ... h !!!
Je ne pouvais plus remuer que les doigts et un tout petit peu les pieds. Je soufflais dans mon bâillon, mais avec la tête tirée en arrière la balle entre plus profondément et son efficacité s'en trouvait renforcée.

Ligotée sur la couchette, je regardais le garçon à travers le grillage en essayant vainement de remuer. Vu sa position et la manière dont il m'avait ligotée, j'offrais malgré moi au garçon une spectaculaire vue plongeante sur mon décolleté largement ouvert et sur mes cuisses.
Il s'est alors rejeté en arrière et m'a regardée en souriant.
-Maintenant tu as compris que je voulais le silence. Je suis du Texas et c'est comme cela qu'on attache les filles chez moi.
-... ... h... ! ... ... h...
-Et maintenant, le shérif c'est moi. Tu devras attendre ton jugement en cellule.
-... h... ... h... !!!
-En fait, je me demande comment Françoise sera habillée... C'est moi qui ai apporté toutes ces cordes hier, et il y a encore du matériel dans ces tiroirs. Et j'espère bien la ligoter. Avec toi comme appât, cela devrait être possible, non ? J'espère qu'elle aura un des ces pantalons tellement moulants...

Il est alors venu déplier une couverture sur le sol à côté de la couchette sur laquelle il m'avait ligotée.
-Ce sera pour Françoise. Je pense la ligoter exactement comme toi...
-... ... h... ...hh !!
-Je me demande si elle a des seins fermes... Je suis impatient de vérifier.

Dix minutes plus tard, il est venu dénouer le lien de mes cheveux ce qui m'a permis de bouger la tête.
-Ce sera plus confortable.
-Mmh... ... ... ! ... mh !!!
-Mais dès que les autres arriveront ou si tu recommences à faire trop de bruit, je la remets.
-mh... ... ... ghh... ... mgn... ... !!! ... ... nnhmhh !!!
-Je vais voir si les autres arrivent. Sois sage en attendant.

Il est sorti quelques instants, mais j'ai eu peur qu'il ne me laisse seule ligotée comme cela.
Quand il est revenu, il a annoncé que les autres étaient en vue. Il a mis l'étoile du shérif en souriant.
-Personne ne se doutera que c'est toi le vrai shérif et que je suis un imposteur.
-Mmmh... ... ... ggnhhh !!!
-Ah oui, en effet... il faudra que tu restes parfaitement silencieuse pour les accueillir. Pas de contact avec les visiteurs quand on est en prison.

Et il a posément pris la corde sur le bureau et est venu remettre en place la corde me forçant à lever la tête au maximum. Cette fois-ci, il l'a tendue au plus strict et m'a ensuite pincé un téton pour s'assurer de l'efficacité. J'ai sursauté violemment en hurlant, mais cela s'est traduit par une imperceptible secousse et pitoyable halètement.
-... ... ... h ... ... !
-Parfait, ma jolie. Parfait !

Doug est sorti et je l'ai entendu accueillir les autres. Françoise avec les cheveux libres et portait un chemisier serrant avec un pantalon satiné noir ultra moulant du plus bel effet qui mettait merveilleusement ses longues jambes en valeur. Cette tenue allait particulièrement bien avec les petits souliers noirs à talons aiguilles qu'elle avait choisi de porter. Elle avait ramené ses longs cheveux noirs en une jolie queue de cheval très sexy.
-Salut ! Ça va ?
-Ça va. Un peu difficile à trouver mais nous voilà... Anne n'est pas encore arrivée ?
-Si, elle est là. Mais je suis le shérif et j'ai été forcé de la mettre en prison.
-Ah ? Qu'a-t-elle donc fait ? Questionna Françoise.
-Trouble de l'ordre public, alors je lai enfermée... elle est en cellule.
-Ah, ah, ah !!! Voyons cela... Répondit Patrick hilare.

Ils sont entrés et m'ont vue sur la couchette. Françoise a ouvert des yeux ronds et a regardé Doug d'un air affolé alors que Patrick avait l'air de trouver la situation très intéressante.
-Mais Doug ! Tu es fou !
-Pas du tout ! C'est Anne qui m'a demandé de l'attacher comme cela. Menti effrontément Doug.
-Quoi ? S'exclama Françoise en me regardant avec incrédulité.
-Mais oui, et elle avait même apporté un bâillon. Dès qu'elle est arrivée, elle a insisté pour que je sois le shérif. Et ensuite elle a dit qu'elle était très dangereuse et que je ferais bien de l'enfermer.
-Ben ça ! Dit Françoise en s'accroupissant près de moi.
-Et après, elle a dit qu'un vrai shérif serait certainement extrêmement strict avec une prisonnière aussi dangereuse qu'elle et que je ferais bien de la ligoter solidement. Et comme elle continuait de crier des insanités j'ai fini par être obligé de la bâillonner.

Je ne pouvais même pas secouer significativement la tête ni émettre le moindre son intelligible. Pourtant j'essayais désespérément en roulant les yeux de faire comprendre à Françoise qui m’examinait que tout cela était inventé.
-... ... h... ... ... h ! ... ... ... h ... h......
-Mais ce n'est pas trop serré ? Ca doit lui faire mal, non ? S'inquiéta Françoise.
-Pas du tout. En fait, elle m'a même demandé de serrer encore bien plus fort mais j'ai refusé. Ca me semblait bien suffisant comme cela.
-Bon, dit Patrick en quittant la pièce, je vais m'occuper de nos bagages.

Doug l'a regardé partir en souriant.
-Alors c'est vrai ? Reprit Françoise. C'est elle qui a voulu que tu l'attaches comme cela ?
-Oui. Mais chez moi, c'est assez courant de voir une fille qui aime être ligotée. D'ailleurs, toi-même, tu n'as jamais eu cette envie, Françoise ?
-...h ... ... h !!! ... ... !!... ... !

Françoise continuait de me regarder en parlant.
-Euh... franchement... parfois en voyant certains films... oui, c'est un peu vrai. Je dois bien l'avouer.
-Et en regardant Anne qui a trouvé son bonheur ?
-Ben... oui... c'est vrai que ça provoque quelque chose...
-Oh, ben alors c'est le moment d'essayer. On a justement tout ce qu'il faut sous la main.

Françoise m'a regardée et s'est méprise sur mon expression.
-C'est vrai au fait... pourquoi pas ? Répondit-elle naïvement.
Doug a pris quelques corde et a rapidement commencé à ligoter Françoise debout près du bureau. Je l'ai vu commencer par les bras, exactement comme il l'avait fait pour moi, puis les jambes. Il était en train de la ligoter vraiment très solidement et je le voyais tendre les liens et les sécuriser très méthodiquement sur la jeune femme souriante.

Au but de quelques minutes la jeune femme était rigoureusement ligotée, debout devant lui. Elle souriant en observant sa situation avec intérêt. Ses bras étaient très solidement attachés à son torse et à sa taille, ses coudes étaient aussi rapprochés que possible et ses jambes étaient solidement attachées aux chevilles, au-dessus et au-dessous des genoux.
-Dis donc, ça fait terriblement ressortir la poitrine ! C'est étonnant !
-Tu as de la chance, menti le garçon, Anne avait justement apporté deux bâillons avec elle. Tu vas voir, si tu ne connais pas, c'est vraiment une expérience étonnante.
-Ah oui ? Gazouilla Françoise intéressée. Comme celui qu'elle a en bouche ? C'est tellement sexy, mais cela n'est certainement pas aussi efficace qu'elle voudrait de me le faire croire !

Et il a sorti un second bâillon boule de ses propres affaires et est revenu vers Françoise.
-Non, bien sûr... Ouvre une grande bouche, Françoise.
Elle s'est exécutée, les yeux pétillants d'excitation et le garçon a enfoncé la grosse balle dans la bouche de la jeune femme. Apparemment il a du forcer un peu pour le faire entrer et l'a ensuite sanglé très rigoureusement, faisant rouler de grands yeux surpris à Françoise.
-mmgmhhh !
-Encore un petit cran, et voilà !
-mh... ... ... mh ! ... ... mh !!!

Françoise incrédule essayait de produire un son mais elle découvrait avec stupéfaction l'efficacité de ce type de bâillon.

Le garçon est venu se camper devant la jeune femme en souriant, puis a posé franchement les mains sur les seins offerts ce qui a fait sursauter violemment Françoise suffoquée.
-mmh !!! mmmh !!! ... ... mmh !!!
Sans se soucier des gémissements étouffés de la fille impuissante, il a tout simplement continué de lui tâter minutieusement les seins.
-Ah oui, ils sont très fermes ! Splendides !
-... mmh !!!... Mmh !!!... Mmh... !

Doug s'est écarté un instant, laissant la jeune femme debout dans la pièce, incapable de bouger. Il a placidement fait un gros nœud dans une corde double sous le regard inquiet de Françoise avant de revenir vers la jeune femme d'un pas lent. Je l'ai vu tendre la main et la poser tout simplement dans l'entre jambes de Françoise stupéfaite, la faisant sursauter violemment en poussant une série de grognements étouffés. Mais sans se soucier de l'affolement de la fille, il promenait les doigts sur le sexe de la jeune femme à la recherche de l'endroit exact où positionner le nœud. Cela fait, il appliqua la corde, la guidant minutieusement des doigts avant de serrer vigoureusement le crotchrope de Françoise suffoquée qui se tortillait de son mieux.

Quelques instants plus tard, il empoignait la belle et la portait près de moi, dans la cellule. Impuissante, elle a rapidement été allongée sur la couverture et le garçon l'a placée dans un hogtie aussi strict que le mien avant de terminer en consolidant très rigoureusement l'immobilisation de ses bras.
Une fois Françoise parfaitement immobilisée, il est retourné chercher une corde et est revenu vers elle pour la saisir par les cheveux et attacher sa queue de cheval au hogtie exactement comme il l'avait fait pour moi.
-h... ... ... ... ... ... m... ... ... ... h... ...
-Ah oui, ça surprend... tu es très sexy, Françoise. Un vrai plaisir.
-... ... h... ... ... ... h... ... ... ...

Il s'est penché et d'après les réactions, il a du lui prendre un sein.
Françoise était manifestement aux prises avec son crotchrope étroitement serré quand Patrick est revenu.
-Oh ! Françoise s'y est mise aussi ?
-Oui, voir Anne comme cela lui a donne l'envie d’essayer aussi.
-Ah, ah, ah ! C'est bien elle, ça. Ça va Françoise ? Heureuse ?
-... h... ... ... ... ... ... h ... ... ... h !!!!!

Il s'est accroupi et l'a roulée sur le flanc pour apprécier son ligotage, puis l'a remise sur le ventre.
-Au fond, il n'y a pas de raison que les filles soient seules à s'amuser. On pourrait immortaliser le moment... j'ai justement apporté mon caméscope.
-Bonne idée, répondit Patrick. Elles ne font certainement pas cela tous les jours et elles seront heureuses de conserver un souvenir. Vas-y.
Dernière modification par Bouya2 le 28 sept. 2015, 15:24, modifié 1 fois.

Scorpion

Re: La Prison "western"

Message par Scorpion »

J'adore ton texte! Bien ecrit!

Je veux bien etre mise en cellule moi aussi

Bouya2

Re: La Prison "western"

Message par Bouya2 »

Merci, mais ce n'est pas de moi. Il a été écrit par une ancienne membre sur d'autres forums de bondage (aujourd'hui sur plus aucun forum du tout), qui se faisait appeler "Anne". Je vois que j'ai oublié de le préciser dans le titre de l'histoire, je vais l'y mettre tout de suite.

rocame
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Ce que j'adore : Les histoires de bondage !
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Re: La Prison "western" (histoire d'Anne)

Message par rocame »

Une prison dans laquelle on aimerait bien être prisonnier..... Quels ligotages !

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