L'asso

Œuvres des membres (textes, histoires, dessins, photos...) Rappel du règlement du forum: Interdiction de publier des récits dessins photos etc...mettant en scène des mineurs.
Règles du forum
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
Avatar de l’utilisateur
Utten
Passionné(e) de JdL
Messages : 229
Inscription : 20 janv. 2014, 08:09
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Localisation : 29

Re: L'asso

Message par Utten »

Je parle, je parle, désolée, je m'arrêterais bien pour enlever votre bâillon mais il nous reste à peine cinq kilomètres, je préfère vous le laisser, on verra ça en arrivant avec Camille. C'est elle qui m'a dit de passer à l'association aujourd'hui pour trouver quelqu'un, vous en l'occurrence, parce qu'elle avait envie de momification et que son mari est en voyage. Maintenant que je le dis, je sais pas qui doit être momifié, elle? moi? vous? C'est vrai ça, elle n'a pas précisé. Bah, peu importe, l'un ou l'autre, ça me convient.

Il y avait pas mal de monde cet après-midi, j'ai trouvé. Six plus vous plus votre femme, ça en fait des menottes... Je dois dire que je n'ai reconnu personne, à part votre femme. Le monsieur qui l'a choisie, juste avant moi, avait l'air très bien, très poli et très sympathique. Il m'a tendu la tablette quand il m'a vue et proposé de regarder les photos avec lui. Il a hésité entre elle et la vieille dame aux cheveux gris mais je crois que c'est la photo où vous êtes tout nu sous un porche qui l'a décidé, celle où elle porte ce maillot de bain une pièce brillant et des tennis blanches en appuyant sur votre bouche avec la main pour vous empêcher de parler.

Moi j'aime bien celle toute simple où l'on vous voit tous les deux en tenue de soirée, debout de chaque côté d'une grosse poutre en bois, les mains attachées au dessus de la tête avec des menottes en cuir et bâillonnés avec un foulard en satin.

La deuxième fois où je me suis proposée aux enchères de l'asso, c'est un vieux monsieur qui m'a choisie et qui m'a attachée un peu pareil, les mains au dessus de la tête avec des grosses menottes, nue sauf mes bottes à talons. Il a passé son temps à mes pieds à me lécher les bottes et à les frotter avec un chiffon. Trop bizarre. Si je faisais du bruit, il se relevait et me plaquait la main sur la bouche en menaçant de me bâillonner si je ne me taisais pas. A chaque fois il parlait d'un nouveau bâillon. Je faisais oui de la tête et il se remettait à lécher mes bottes. J'aurais pu crier autant que je voulais en fait. Mais au final, c'est sa femme qui m'a collé un gros morceau d'adhésif en travers de la bouche en souriant. Et...

Ah, on y est. Regardez, là-bas, c'est Camille, elle nous attend.

En fait je m'étais trompée: ça n'était pas Camille mais la ressemblance était tout à fait surprenante, la taille, la chevelure, la carrure, les jambes élancées, jusqu'à la forme du nez. Identiques, de loin. De près, on notait quelques rides discrètes et la couleur des yeux bien plus soutenue qui faisaient la différence. Là, impossible de s'y tromper.

Elle s'appelait Karine et arborait à la main gauche l'anneau des fondateurs de l'association, ceux-là qui avaient accès à tout et toutes les permissions ou presque. Dans la limite des règles de l'asso. Elle était là lors de mon admission, je me rappelle très bien, mais je ne l'avais pas croisée très souvent. La dernière fois, elle était toute nue dans un immense garage vide accolé à une maison moderne. On l'avait ligotée là sur un tabouret en bois avec de la corde blanche, les chevilles attachées de par et d'autre sans toucher par terre, les genoux serrés également attachés, poignets attachés dans le dos, les coudes peut-être aussi, d'où partait une corde fixée à un barreau horizontal du tabouret. Pas un cheveu ne dépassait du bonnet de bain en silicone qui lui recouvrait la tête, bleu, brillant, assez flashy je dois dire. Elle était bâillonnée avec un ballgag rouge de taille moyenne. Le couple qui m'accueillait était fier de m'annoncer une invitée exceptionnelle et le temps de notre visite, à peine trois minutes, s'empressa de lui enfiler un sac poubelle noir dont il avaient percé le fond par dessus sa tête, du cou jusqu'au bassin donc, collé contre le haut de son corps par quatre bandes de tape rouge qui dessinaient ses formes. Je me rappelle aussi de son regard lorsque nous sommes ressortis en la laissant seule, lumière éteinte.

J'étais tout juste sortie de ma voiture quand j'ai réalisé à qui j'avais à faire. Un peu surprise, j'ai sorti le mari d'Isabelle de là et nous nous sommes avancés jusque dans le hall de la maison. Camille se trouvait là, perchée sur des talons de dix centimètres, les bras en l'air, menottée très haut à la rambarde de l'escalier, un très gros morceau d'adhésif blanc sur la bouche. Fatiguée de toute évidence. Elle portait un chemisier bleu foncé qui vu la position laissait deviner son nombril, et un collant noir, sans culotte.

Sur un air taquin, Karine me demanda si ça me plaisait, ajoutant que Camille était toujours très belle dans la contrainte.

Moins de trois minutes plus tard, j'étais attachée de la même manière à côté d'elle. Il avait suffi à Karine de me menotter un poignet et de mon quelques marches de l'escalier en me laissant en bas et de refermer les menottes sur mon autre poignet lorsqu'elle avait le point le plus haut que je pouvais atteindre. Puis elle m'avait bâillonnée d'un simple morceau de tape noir posé sur les lèvres avant de m'enlever culotte et pantalon et de nous abandonner là toutes les deux pour s'occuper du mari d'Isabelle. Si proche de Camille que nos corps pouvaient se toucher, nos jambes, nos seins. Ah! c'est vrai qu'elle était belle attachée. Appétissante même: j'aurais voulu qu'on me détache une main au moins pour la caresser ou qu'on enlève ce maudit bâillon pour l'embrasser de partout. A défaut nous pouvions nous frotter l'une à l'autre, nous embrasser malgré nos bâillons mais sans que goûter véritablement la bouche de l'autre, soufflant et gémissant toutes les deux. Que c'était à la fois frustrant et délicieux!

Je n'imaginais pas que j'allais rester là plus d'une heure et quart dont au moins quarante minutes toute seule après que Karine fut venue récupérer Camille en coup de vent, quarante minutes ponctuées d'éclats de voix. Les murs étouffaient les sons: impossible de savoir qui criait ni pourquoi mais c'était suffisant pour imaginer tout et n'importe quoi et m'inquiéter.

Quand elle revint me chercher, elle portait un tablier à bretelles en vinyle ou simili-cuir sans rien en dessous a priori qui lui recouvrait la poitrine et descendait à mi-cuisses. Et des gants de ménage rouges en caoutchouc très longs qui montait presque jusqu'au coude. Assortis à ses bottes en caoutchouc, rouges également. Elle prit tout son temps avant de me détacher pour frotter ses gants partout sur moi de la plus sensuelle des manières allant jusqu'à lécher mon bâillon et m'embrasser par dessus. J'étais toute chose.

Sans résistance de ma part, je fus amenée de l'autre côté de la maison dans ce qui ressemblait à une chambre ou un bureau, quasiment vide. Il n'y avait là qu'un placard à portes coulissantes, une chaise en bois moderne, un tabouret, Camille et le mari d'Isabelle.

Avatar de l’utilisateur
Utten
Passionné(e) de JdL
Messages : 229
Inscription : 20 janv. 2014, 08:09
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Localisation : 29

Re: L'asso

Message par Utten »

Celui-ci se trouvait dans le placard à gauche, la porte était coulissée à droite, dans le côté penderie, complètement nu, à genoux, le sexe en érection, les mains attachées à la barre transversale de la penderie, un peu plus haut que sa tête, avec du scotch noir large. Il était bâillonné avec le même scotch enroulé tout autour de sa tête, ses genoux, ses cuisses et ses chevilles attachés par des bandes d'adhésif très larges et très solides. Une posture efficace en tout cas qui ne lui permettait pas de défaire son bâillon s'il en avait eu envie. Ah! et il avait les yeux bandés par une sorte de bandeau noir échancré au niveau du nez fait dans une matière plastique un peu brillante.

Camille quant à elle était allongée par terre sur le côté. On l'avait affublée d'un trench coat en plastique noir presque transparent, serré à la taille avec la ceinture, boutonné au plus haut et qui ne tombait qu'au genoux, à peine. Pieds nus, elle était ligotée à la corde blanche pliée en chien de fusil, les mains attachées devant elle, poignets croisés et fixés à la corde qui lui liait les genoux au dessus. Une autre corde lui passait sous les genoux, une troisième lui attachait les chevilles. Sa poitrine était écrasée par un harnais de corde qui passait dessus-dessous les seins, noué dans le dos. Bien sûr elle était bâillonnée, avec un vieux bandana de couleur jaune avec un gros nœud au milieu, tout humide, qui lui passait entre les dents.

J'aurais voulu qu'elle me regarde, juste un instant, par solidarité ou par complicité je ne sais pas, surtout parce Karine devenait de plus en plus impressionnante et que toute trace de gentillesse avait disparu, mais elle restait immobile, les yeux fermés. De sa voix sèche elle m'obligea à retirer le tape de ma bouche puis à enlever mon top. Je me retrouvai habillée de mon seul soutien-gorge blanc, ne sachant plus où mettre mes mains. Enfin elle me lança un collant noir que je manquai d'attraper et dû ramasser. Tout humide, poisseux, j'avais peur de deviner ce qui l'avait mouillé de la sorte et c'est avec dégoût que je l'enfilai.

Elle me poussa alors contre le mur pour pouvoir me ligoter avec de la corde, les bras dans le dos placés à l'horizontale, poignets attachés, d'où une corde partait sous mon aisselle gauche qui remontait sur mes épaules en traversant la nuque et redescendait sous mon aisselle droite jusqu'aux poignets avant de remonter à la corde et d'être tendue au maximum. Mes bras devaient ressembler à des équerres, c'est la sensation que ça me laissait. Après avoir confectionné un crotchrope avec une deuxième corde, elle m'allongea au sol, m'attacha les chevilles puis les genoux. Puis elle me tourna sur le côté, les jambes repliées vers le buste et maintenues dans cette position en passant une corde derrière la nuque et sous les genoux. Et enfin elle m'enfonça dans la bouche un bâillon-boule bien serré par des sangles larges qui évitaient de me pincer la peau.

Du coin de la pièce où je me trouvais, en redressant la tête, je pouvais voir Camille, prostrée, silencieuse, et plus vers le bas le mari d'Isabelle dans sa position moins confortable, remuant et gémissant de temps en temps mais toujours le sexe en érection. Sauf le bâillon-boule bien plus gros que ce à quoi j'étais habituée et le collant souillé que je portais, ma posture était supportable sans être véritablement confortable, qui me permettait de gigoter un peu, si bien que je pris mon mal en patience.

Karine était partie aussitôt après m'avoir ligotée. Elle revint longtemps après, toujours vêtue de ses bottes et de son tablier mais sans les gants. En silence, elle fit un tour dans la pièce et repartir à nouveau. Je commençais à sentir ma mâchoire; bientôt mon bâillon deviendrait douloureux. Camille ouvrit les yeux à ce moment-là. Je n'attendais pas à la voir si ravie d'être ainsi ligotée et bâillonnée, ça me redonna du courage. Et il m'en fallait.

Plus d'une heure après au bas mot, enfin je fus détachée si l'on peut dire. Karine avait emmené Camille une dizaine de minutes avant en lui promettant une petite surprise, et fermé la porte du placard où était toujours le mari d'Isabelle. Il s'y trouvait toujours ligoté des pieds à la tête, bâillonné mais ses poignets n'étaient plus fixés à la barre transversale. Et son sexe était depuis longtemps au repos. Elle me conduisit jusqu'au salon en me tenant par le poignet et sans que je résiste: je ne pensais à cet instant-là qu'à détendre ma mâchoire et la masser de ma main libre.

Camille était agenouillée au pied de son canapé vert foncé. Elle se débattait aussi discrètement que possible dans une camisole blanche en toile, bel ensemble qui lui maintenait les bras croisés sur le ventre, sanglée fortement de toute part. On devinait même deux sangles un peu plus fines lui passer entre les jambes et probablement fixées quelque part dans son dos. Chevilles attachées à ses cuisses par deux ceintures en plastique ou caoutchouc (une pour chaque jambe), je ne vois pas comment elle aurait pu bouger de là. Cerise sur le gâteau, elle était bâillonnée avec une muselière noire qui lui barrait tout le bas du visage, du menton jusqu'au nez, et dont les straps passaient en haut, en bas et même sous sa gorge.

En arrivant, je m'inquiétai de voir sur le canapé une autre camisole en latex celle-là mais en fait Karine me réservait tout autre chose: elle me demanda d'ôter mon soutien-gorge puis je fus plaquée contre le pilier au milieu du séjour, les bras de part et d'autre, les mains à plat, puis enveloppée de film plastique noir, celui qu'on utilise pour filmer les palettes de marchandise. Le film était étirable et elle tirait si fort dessus que j'étais complètement collée au poteau. A vrai dire, ça n'était pas désagréable. D'abord les jambes - serrées l'une contre l'autre - jusqu'à la taille. Ensuite le haut du corps jusqu'au épaules. Et entre les deux, elle m'avait collé quelques morceaux d'adhésif rouge sur le bout des seins, formant un X. A la fin, j'étais dans un cocon tout lisse tout brillant, très serré mais presque confortable et totalement impuissante.

Très impressionnée également. Tellement que je n'osais pas dire un mot. Pourtant je n'étais pas bâillonnée...

Camille l'était elle et sévèrement je crois, ce qui suscitait quelques plaintes et gémissements, surtout lorsqu'elle n'arrivait plus à retenir des filets de salive, un peu d'agacement aussi de me voir sans bâillon. J'en étais sincèrement désolée. Heureusement elle le cachait pour le mieux lorsque Karine repassait. En fait, elle allait et venait. D'ici on l'entendait passer des coups de fil. L'un d'eux évoquait clairement notre situation, plein de compliments à l'attention de Camille, comme d'habitude précisa-t-elle, un vague avis sur... sur... Ah oui, c'est ça le mari d'Isa, je n'arrivais plus à retrouver qui c'était, et à une recommandation en ce qui me concerne. Aucune idée à qui s'adressait cette recommandation bien sûr.

Répondre