Le crime ne paie jamais ...

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Mars34230
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Le crime ne paie jamais ...

Message par Mars34230 »

Voici une nouvelle histoire, en attendant de tenter de me lancer dans un projet, assez délicat, dès que j'aurai les éléments nécessaires, d'un multivers entre les aventures d'Harry Potter et les aventures de Mercredi Addams .... En attendant, voici le début de cette nouvelle histoire !

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Chapitre 1 : Culpabilité, découverte et piège

Un soir d'orage, en pleine forêt, Martin regarde ses mains sanguinolantes.... A ses pieds, se trouve le cadavre d'une jeune femme âgée d'environ d'une trentaine d'années, à demi-nue maculée de sang, les mains attachées dans le dos et un foulard comme bâillon.... Elle se prénommait Sandra, elle voulait juste devenir médecin, avec succès, fonder une famille avec un homme de bien, elle avait les cheveux bruns, longs et les yeux bleus... Mais hélas, ce soir là, elle avait croisé la route de ce jeune homme, âgé comme elle d'une trentaine d'année, les cheveux courts, coiffés en brosse, un corps musclé et les yeux émeraudes ... Pourtant ils étaient de bons amis et il pouvait tout confier à cette fille mais ce soir là il restait là, le regard dans le vide à se demander comment ce drame était arrivé, il essayait en vain de se convaincre que ce n'était qu'un accident mais il venait bien de tuer son amie avec un couteau, après avoir volé une partie de son intimité, mais surtout, pris de violence et de jalousie, après avoir découvert que son amie entretenait depuis quelques semaines une relation amoureuse avec un jeune homme qui venait de s'installer comme médecin orthopédique proche de chez la jeune femme, qui avait aussi son cabinet de gynécologue pas bien loin du domicile.

Il se met à pleurer en repensant aux souvenirs, il se rappelle que la dernière fois qu'il lui a parlé, il avait le regard noir, une détermination psychotique et il lui a dit, pendant que Sandra était ligotée et bâillonnée dans le coffre de la voiture :

"Ma chère amie, on va rouler quelques instants loin de la ville, après, je vais prendre possession de ton corps, si tu résistes, je te tuerai !"

Sa jalousie et sa colère venaient de lui faire commettre l'irréparable et l'effroyable crime ...Il se rappelle lui avoir ôté le bâillon quelques instants avant que la belle s'endorme éternellement et dans un dernier murmure, il entend ses paroles lui dire :
"N'oublie jamais, un jour tu paieras ton crime... Va, je te pardonne !
Il frissonne, regarde son amie s'endormir pour toujours, et ensuite, Il prend son téléphone et appelle la police :

"Bonsoir,

Je m'appelle Martin P., je viens de commettre un meurtre... Par crise de jalousie, de colère, j'ai tué mon amie Sandra L.. Vous trouverez le corps au croisement entre le chemin des crètes et le sentier des pins, en plein coeur de la forêt... Quant à moi, vous ne me retrouverez aucune trace de moi, je vais aussi disparaître car ma culpabilité est telle que je ne peux plus me montrer au monde ni me voir dans une glace ... Je regrette mon geste, je plaide coupable mais plutôt que de vivre avec cette culpabilité, je préfère effacer toutes mes traces ...
"

Il dépose soigneusement un drap blanc sur le corps, à côté l'arme du crime, son téléphone portable et il laisse sa voiture, comme indice... Il court à travers bois, il pleure, gémit et se rappelle ces dernières paroles de Sandra ... Il comprend qu'un jour il se fera rattraper d'une façon ou d'une autre ..... Il aperçoit, perdue au milieu de la forêt, une petite maison qui semble abandonnée... Il y pénètre et se barricade.

Il s'assoupit sur le canapé et, dans son sommeil, une main féminine, gantée de cuir, lui plaque un mouchoir de chloroforme sous le nez, Martin trop fatigué pour lutter, se réveille tente en vain de se débattre et s'abandonne au produit qui le maintient endormi ... Il dort plusieurs heures, et à son réveil il se retrouve les mains, nettoyées de leur sang, attachées dans le dos, enroulées dans du tape gris,le corps attaché,par des cordes,sur une chaise juste en caleçon de latex et les chevilles lieés aux pieds de ladite chaise.... Une boule comme bâillon et il voit une fille s'approcher, cheveux noirs longs lissés jusqu'en bas du dos, une robe et des gants de cuir, un mascara noir et un fard à paupières rouge ainsi qu'un rouge à lèvres éclatant. Elle dit en pointant Martin de sa cravache :

"Toi, petit impertinent ! Qui es-tu pour pénétrer chez moi? Je vais ôter ton bâillon et j’attends tes explications…dans tous les cas, tu ne reverras jamais la lumière du jour, bienvenue en soumission !! Au passage, tu es bien plus appétissant le torse nu et juste ce petit caleçon de latex, prisonnier de ces liens que dans ton style chemise, jean de petit garçon modèle…Bien assez parlé, à toi de me raconter ton histoire…

À ces mots, la dominatrice ôte le bâillon boule, toujours sanglé autour du cou de Martin, pour le lui remettre une fois que le jeune homme aura terminé son histoire… timidement et emplit de honte, le fugitif débute ainsi :

«  Je me nomme Martin et je me suis réfugié dans cette maison que je croyais abandonnée dans le but de fuir à la fois la prison, ma honte et mes remords d’avoir commis un crime horrible !

J’avais une amie très proche à qui je confiais tous mes soucis, tous mes troubles mais dès qu’elle a rencontré un autre homme et qu’elle est tombée amoureuse de lui, dans un délire passionnel et épris d’une jalousie sans fin, je l’ai attachée, bâillonnée et transportée jusqu’au milieu des bois pour la violer, conquérir son coeur mais la colère, la douleur et la jalousie m’ont, face à sa résistance poussé à la tuer et je regrette ce qu’il vient de se passer…

J’ai voulu effacer mes traces, me faire passer pour mort et j’ai trouvé cette petite maison isolée, je m’y suis caché car je ne savais pas qu’elle était habitée…
 »

Il cesse ainsi son récit et laisse échapper quelques larmes à l’instant où la mystérieuse femme lui remet son bâillon… elle reprend la parole et dit :

Alors donc tu es un mauvais garçon et il faut te punir…. Déjà je vais me présenter, je m’appelle Pauline, je suis une maîtresse qui réduit en soumission tous ceux qui osent s’aventurer sur mon territoire sans autorisation… ton histoire et ton cas me plait bien Martin, je vais réfléchir à ce que je pourrais bien faire de toi…

Je te propose deux possibilités, petit enfoiré, soit je te remets à la police et je dis que j’ai attrapé le meurtrier des bois, car on parle de ça depuis quelques heures déjà aux informations, avec tentative de cambriolage et là tu passeras la fin de tes jours derrière les barreaux ou alors je te propose une autre sorte de prison : attaché, bâillonné, à obéir à mes ordres… une soumission entière à ma personne ! Enfin pour te faire disparaître, il faudra te « transformer » en femme… quelques traitements hormonaux et quelques tenues t’iront à ravir …

Enfin saches que cette petite maison abandonnée est juste mon piège pour les petits curieux, elle est juste derrière mon manoir et je sais, grâce à des caméras, qui pénètre dans mon territoire, c’est un peu ma toile d’araignée, malheureux petit insecte ! Je te laisse désormais le choix : la prison avec des barreaux à vie ou la féminisation et la soumission définitive, pour t’effacer et te créer une nouvelle identité… je reviens te voir dans trois heures en attendant les volets, les portes seront verrouillées et je te laisse dans le noir…
 »

À cet instant elle impose un bandeau noir à Martin, il a désormais trois heures pour choisir entre devenir quelqu’un d’autre mais soumis à une maîtresse ou affronter la justice et finir sa vie derrière les barreaux… reste à savoir laquelle des deux prisons est préférable….
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Crazycoyote
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Re: Le crime ne paie jamais ...

Message par Crazycoyote »

J'aime beaucoup l'intro. Très originale

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Mad Hatter
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Re: Le crime ne paie jamais ...

Message par Mad Hatter »

À titre purement personnel, mettre en scène un féminicide pourquoi pas, ça peut servir à raconter une histoire sur la valeur de la vie comme dans le chat potté 2

Le protagoniste n'est pas très fréquentable, il voulait garder Sandra pour lui seul, sans qu'elle n'ait son mot à dire.

Mais les personnages possessifs sont intéressants à explorer.

Sandra est un personnage qui me semble assez christique, même avant d'être saisie dans l'éternité de la mort, elle trouve la force de pardonner qui vient de raccourcir dramatiquement sa vie.

Que le protagoniste soit rongé par les remords c'est intéressant car la il n y a plus aucun retour en arrière de sa part concernant Sandra, il l'a tuée (vraisemblablement poignardée.

A-t-il tout de suite mesuré qu'à travers les blessure)s infligée à Sandra c'était la vie de Sandra qui s'évaporaient à travers les plaies ?

A-t-il despérément tenter de colmater la brêche par où la vitalité de Sandra s'échappait ?

À la réflexion l'appel téléphonique est contre productif à mes yeux, peut-être que le personnage aurait dû se mettre à errer en ruminant les choses.

Là je pense au tome un des " Les 7 vies de l'Épervier" " La Blanche Morte. Le protagoniste se sent coupable d'avoir causé la mort de Blanche, mariée à son frère, in croise en route une dame.

Dame :sage: - Oublie ton passé, chevalier. L'herbe repousse toujours, qui efface les vieilles traces...

Personne ne peut lutter contre l'herbe qui pousse.

Pense au présent et à l'avenir...

Chevalier :chevalier: - Le présent m'est trop douloureux. Quant à l'avenir, je n'en ai guère, en fait je n'ai plus goût à rien.

Dame :sage: - Allons donx ! La vie est teop rare pour qu'on parle ainsi de la perdre...

... D'autres que toi en ont besoin ! Donne-la, au lieu de la jeter !
À mon avis la piste qui serait intéressante à creuser serait que le protagoniste cherche à empêcher de nouveaux féminicides, en attachant les meurtriers en devenir et réussir à les convaincre que leurs exigences ne soient pas acceptables. Si besoin en leur donnant un aperçu des conditions féminines. ;)
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Mars34230
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Re: Le crime ne paie jamais ...

Message par Mars34230 »

Je vais essayer d’explorer au mieux les différentes options pour la suite de cette histoire 😉😉 j’essaie aussi de finir quelques histoires en cours, laissées à l’abandon depuis pas mal de temps, et ensuite quand le temps et que les éléments regroupés je travaillerai sur mon projet multiversel 😉
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Mars34230
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Re: Le crime ne paie jamais ...

Message par Mars34230 »

CHAPITRE 2 : SOUMISSION OU LE PACTE DES BOIS



Cela fait désormais plus de cinq heures que Martin est prisonnier sur sa chaise, toujours aucun signe de Pauline, elle avait pourtant dit qu’elle revenait d’ici trois heures mais, attaché, bâillonné et les yeux bandés, le jeune homme n’avait plus aucune notion du temps, chaque seconde lui semblait une éternité et il commençait à s’assoupir face à cette longue attente… Il avait eu le temps de réfléchir, des maux choisir les moindres, de décider de son sort … toujours pris par la culpabilité et les remords, il savait très bien qu’il n’y aura plus de retour en arrière…..

C’est alors qu’un frisson, la vibration d’un objet posé sur son sexe à pleine puissance, vient le sortir de sa léthargie ! C’était comme électrisant, il ne savait pas si il devait céder aux pulsions ou se contenir… A cet instant, la personne qui tient le vibromasseur lui murmure à l’oreille :

« Avant d’entendre ta décision, désolée du retard, entre la police qui te recherche et une soumise que j’ai dû sévèrement punir, je n’ai pas pu venir te voir dans les trois heures promises mais je vais t’enseigner la première leçon que j’enseigne à mes petits jouets comme toi, mes soumises dont tu feras bientôt partie mon petit Martin … La première leçon est d’obéir aux ordres et, pour débuter, dès maintenant tu m’appelleras Maîtresse, je t’interdis de jouir, je ne veux pas voir la moindre goutte de semence … sinon tu seras puni dès le retour au manoir… Je garde l’engin ainsi sur ton sexe pour écouter ta décision… Le bandeau te vas si bien tu vas le garder encore un peu…. »

C’était Pauline, et apparemment , elle se sentait confiante sur la décision du jeune homme qui, une fois le bâillon ôté de sa bouche, sous les gémissements que lui procurent le vibromasseur, réponds :

« Maîtresse… Je veux … vous être soumis,… perdre mon identité, … ma masculinité,…je veux vous servir !... La meilleure prison… est ma soumission ! »

Pauline remets le bâillon à Martin et éteint le vibromasseur, cela permet au jeune homme de reprendre son souffle … elle lui met un collier auquel elle attache une laisse et, après avoir enlevé le bandeau, fait sortir de la maisonnette son nouveau captif, ils traversent tous deux le grand parc du manoir de la Maîtresse et pénètrent dans le vestibule… Sans perdre de temps, Pauline monte Martin dans sa suite de dominatrice, et là, se trouve une place vacante : une cage vide dans un coin de la chambre avec une pancarte : « Esprit de la Forêt »… Elle déshabille le jeune homme de son caleçon de latex, lui attache les poignets au plafond et commence à lui imposer une cage de chasteté, ensuite elle lui épile l’intégralité du corps :jambes, torse, bras … Elle lui rase même le crâne… Désormais nu, elle le fait boire mais dans le verre se trouve la première pilule d’un traitement hormonal pour entamer la féminisation.

La Maîtresse colle des faux seins sur le torse de son nouveau jouet, l’habille avec de la lingerie noire en latex, lui colle une longue perruque blonde sur la tête et maquille avec rouge à lèvres, fard à paupières, blush, mascara le visage du jeune criminel… Elle achève la tenue avec une tenue de soubrette en latex avec le petit chapeau de domestique sur les cheveux blonds, que Pauline coiffe avec deux couettes de part et d’autre du visage… Elle finit de préparer son nouveau jouet avec un bâillon boule noir cette fois, les bras attachés dans le dos par de fines bandes de tape noir aux poignets et aux coudes et enfermés dans un armbinder. Des escarpins de 18 centimètres, des bracelets aux chevilles, verrouillés par un cadenas et reliés par une petite chaine très courtes réduisant ainsi les déplacements. La Dominatrice amène un miroir pour montrer au jeune criminel quelle sera son quotidien désormais…. La transformation, sans les hormones, est déjà très réussie ! Elle s’approche de Martin et lui murmure à l’oreille, une nouvelle fois :

« Bien ma jolie, désormais tu peux oublier l’homme que tu étais, Martin est bel et bien mort… Désormais tu répondras au nom de Catherine, tu me seras soumise à vie ! En revanche, vu que tu es le meurtrier du bois, tu me dois réparation pour avoir profané mon territoire avec le sang innocent de ton amie … Ainsi, tu devras empêcher d’autres féminicides sur ce territoire qui sera aussi le tien désormais… Je veux que chaque petit idiot qui voudra faire du mal à une femme dans cette forêt soit puni, c’est-à-dire ligoté, bâillonné et amené dans mes cachots jusqu’à ce que je décide de leur sort … Quant à toi, tu as choisi la soumission et la féminisation… Bienvenue à la maison Catherine…Tu seras mon « Esprit de la Forêt » ! »

Ces propos réveillent un frisson de culpabilité chez Martin, mais il hoche la tête comme si il acceptait son sort, sa fatalité et la mission qui sera désormais la sienne entre la soumission et la protection des bois … Par contre, sa nouvelle vie de femme et son éducation de soumise ne font que débuter….
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Re: Le crime ne paie jamais ...

Message par Mad Hatter »

Je reconnais bien là ces changements d'identité, assez fréquent dans tes récits. Mais pour Martin ça tombe arrive assez rapidement. En réaction au féminicide commis par lui peut-être ?

Ensuite entre un changement d'identité politique (de mes quinze ans à mes trente ans je me suis gauchisé, la vingtaine a été laborieuse, avant de trouver de bonnes sources) et un changement de genre il y a des différences mis à part que l'identité passé ne convient pas à une identité désirée.

Je suis curieux de voir dans quelles dimensions ; mondes parrallèles tu vas nous enmener.
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Re: Le crime ne paie jamais ...

Message par Mars34230 »

Voici la suite

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CHAPITRE 3 : LA GARDIENNE DE LA FORET



Quelques semaines se sont écoulées depuis sa « capture » et sa soumission, et Martin, désormais répondant au nom de Caroline, a subi une vaginoplastie et une implantation de prothèses mammaires et son traitement hormonal touche bientôt à son terme. Sa voix est déjà plus féminine, sa perruque a laissé place à de vrais beaux cheveux blonds, longs jusqu’au milieu du dos et coiffés toujours en deux couettes… Son nouveau rôle de soubrette, soumise et docile, avec des liens, des bâillons au quotidien, commence à trouver sa place dans l’esprit de cette nouvelle femme… Mais voilà, le temps de sa féminisation, de son éducation, la forêt n’était pas surveillée… C’est alors que Pauline, après avoir créée sa soumise parfaite, le premier soir où elle pense qu’elle est prête pour accomplir sa mission, décide de l’attacher au milieu de sa chambre les poignets suspendus et en simple lingerie et lui dit :



« Ma jolie Caroline,

Ma sublime soumise, tu es désormais parfaite en tant que femme… j’ai pris tellement de temps pour te créer, effacer ce criminel d’homme nommé Martin que tu étais que j’en ai oublié ton véritable rôle… Cette cage de verre, « Esprit de la Forêt » est la tienne mais tu n’y reviendras qu’une fois que, chaque soir, tu te seras assurée que les bois sont tranquilles et apaisés… Je ne tolèrerai plus aucun sang de femme sur mon territoire, sinon tu seras punie très sévèrement ! En attendant voici ta tenue d’Esprit … »

Une fois la présentation ferme de sa maîtresse finie, Caroline se retrouve les yeux bandés, le temps pour la dominatrice d’aller chercher, dans un dressing, quelque chose… Elle s’approche de la soumise, lui ôte le bandeau et lui présente une robe à volants bleue marine avec des diamants et un diadème orné des mêmes diamants que la robe, avec pour illuminer le tout quelques diodes led blanches invisibles entourant la silhouette…

Caroline est détachée et enfile sa tenue de « gardienne », d’esprit de la forêt et, la nuit tombant, libre de tout lien, bâillon, s’en va dans la forêt explorer et protéger le territoire de sa maitresse, ce domaine qu’elle, il n’y a pas si longtemps en arrière, a souillé en tant qu’homme avec le sang de son amie... elle porte, dans un sac de sport, quelques cordes, menottes, tape, bâillon et tenues féminines, pour stopper les éventuels criminels …

Elle s’avance dans la sombre forêt avec sa tenue étincelante et s’approche du lieu où Sandra avait été tuée, ce souvenir, malgré la transformation, reste une vive blessure… Là, Caroline aperçoit une femme ligotée et bâillonnée sur l’herbe et un homme s’approche d’elle avec un couteau à la main… Dès lors, elle sort face à la pauvre demoiselle en détresse et face à cet homme armé … N’écoutant que son courage, elle laisse le sac derrière un arbre, s’arme juste de boules somnifères et elle dit avec une voix fantomatique :

«Je suis l’Esprit de la Forêt, je suis là afin d’empêcher de nouveaux meurtres sur cette terre… J’ai été moi-même tuée ici il y a plusieurs années, désormais pour réparer je dois empêcher que ça arrive à nouveau ! Chaque homme avec de mauvaises intentions se trouvera travesti et prisonnier des liens…. Attention à vous ! »

L’homme visiblement alcoolisé ricane à cet avertissement et réponds :

« Je vais m’occuper de cette pétasse et après je te ferai disparaître aussi espèce d’esprit à la con ! »

C’est alors que Caroline lance les fumigènes pour masquer son attaque, protéger la fille et s’occuper du mauvais garçon …. Dans la direction de l’homme elle lance aussi une bombe lacrymogène et un somnifère… Le temps que ça agisse, elle tire la jeune femme derrière un arbre, pour la mettre en sécurité, une fois les différents gaz et fumées dissipées, elle s’approche de l’inconscient, le déshabille et le vêtit d’un ensemble de lingerie en latex, lui colle de faux seins sur le torse,, une perruque rousse sur la tête et habille le jeune homme avec une minijupe en cuir, une paire de collants et un top sans manche… Caroline maquille le criminel avec fard à paupières, rouge à lèvres, mascara et l’attache avec des cordes, les poignets et les coudes dans le dos, les jambes et les genoux bien liés et le paquet consolidé en un hogtie. Un bandeau noir sur les yeux, l’esprit en profite pour délivrer la jeune femme qui, pour remercier cette inconnue qui l’a sauvée, veut participer à la punition de ce monstre, féminisé, prisonnier des liens… Elle enlève sa culotte humide, lui enfonce dans la bouche et Caroline, en bonne gardienne, achève le bâillon avec plusieurs tours de tape…

La soumise raconte son histoire à la victime qui l’a sauvée et demande de raconter en ville la légende de cet esprit vengeur dans la forêt…La jeune femme répond :

« Merci Caroline pour ton histoire, je me nomme Laura, cette crapule voulait me tuer car j’ai refusé de me mettre nue devant ses amis pour qu’ils abusent de moi… Je venais à peine de rencontrer Johnny mais au final, j’espère qu’il aura une bonne punition … »

A ces mots, la jeune fille repart avec le véhicule qui l’a conduite, attachée, bâillonée et dans le coffre, jusque dans ces bois … De son côté, Caroline ramène Johnny, l’homme aux mauvaises intentions dans les cachots de Maîtresse Pauline… Son sort sera étudié le lendemain matin … En attendant, Caroline se met à rêver, si c’était possible, à une relation amoureuse avec sa maîtresse, car entre la soumission et le rôle d’esprit de la forêt, elle sait qu’elle est la principale gardienne des clés du domaine …Et si tout cela était possible ??
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