BondageStef a écrit : ↑21 févr. 2023, 19:03
Bonjour, je m'appelle Stéphane. Je me suis inscrit il y a une semaine, il est grand temps que je me présente (attention, pavé très... trop ?... immense) :
J'ai 40ans, je suis attiré par le bondage depuis tout jeune, et je me suis inscrit ici car ce site correspond parfaitement à mes fantasmes. Je ne suis attiré que par les liens, mais pas par tout ce qui est SM ou dominations extrêmes...
J'ai découvert pour la première fois ce plaisir étant tout jeune (5 ans environ), grâce à ma sœur aîné (6ans de plus que moi) qui devait me surveiller car on était que tout les 2 à la maison.
Elle m'a juste attaché les poignés par devant, ainsi que les chevilles, caché mes yeux et bâillonné la bouche, tout ça à l'aide de 4 foulards et écharpes.
J'ai découvert ce jour là, la sensation de la boule de plaisir qui apparaît dans le ventre quand je pratique ce genre de jeux. Je me rappelle qu'après avoir savouré l'instant sans comprendre d'où ça venait, j'ai réussi à me libérer juste les yeux (ma sœur était très douée avec les nœuds), et j'ai réussi à me lever pour sautiller malgré mes liens aux chevilles et poignés, dans toute la maison pour chercher ma tortionnaire. J'ai fini par la retrouver devant une armoire pleine de provisions, elle était en train de se gaver de friandises en cachette... J'ai pu partager son festin en restant attaché après lui avoir promis de ne rien dire aux parents.
Voilà mon déclic pour l'amour des liens, c'est marrant comment certains souvenirs restent ancrés dans la mémoire malgré les années qui passent.
Depuis, le bondage, ou du moins l'amour des liens ont toujours fait parti de ma vie. Pour commencer, durant ma jeunesse avec mes 2 frères (3ans de plus et 3 ans de moins), et toujours avec ma sœur qui s'amusait souvent à nous attacher pour nous lancer des défis afin de savoir qui était le plus rapide d'entre nous pour se libérer.
C'est grâce à elle que j'ai découvert le plaisir d'avoir les poignés attachés en croix dans le dos (ma position favorite), et ce sentiment d'impuissance si jouissif que j'ai toujours réussi à cacher (par honte je ne sais pas ?)
C'est aussi grâce à elle que les liens faisaient parti de nos jeux à mes frères et moi. Je la remercierai jamais assez pour ça.
Il m'arrivait parfois quand ces jeux devenaient trop rares à mon goût de provoquer la situation avec l'un de mes frères. Ma technique consistait à sortir une corde de mon chevet en étant pas très discret devant mon frères (le plus âgé, bien plus costaud que moi) qui était souvent dans ma chambre à cause de la télé et la console de jeux qui s'y trouvaient.
Après avoir caché ma corde dans ma poche arrière de mon pantalon, toujours de manière pas très discrète, je cherchais la bagarre avec lui en essayant de le pousser sur le lit... Et au final, c'est moi qui me retrouvait à plat ventre, plaqué sur le matelas, en faisant mine d'être surpris quand mon frangin sortait la corde de ma poche arrière :
"mais comment tu savais ?"
Je me rappelle m'être souvent retrouvé les poignés ligotés dans le dos, mais je ne pourrais plus dire combien de temps il me laissait dans cette position avant de me libérer.
Je me souvient qu'une fois, pendant une partie de jeux vidéo en 1vs1, il était tellement frustré de me voir gagner qu'il m'a attaché dans la même position en me laissant ma manette dans mes mains bloquées dans mon dos, pour enfin réussir à me battre à ce jeu vidéo .
Je pourrais vous raconter également la fois où l'idée m'est venu de lancer un défi qui consistait à s'attacher à une chaise de bureau à roulette :
Après avoir libéré l'un de mes 2 frères qui avait perdu, j'avais pris soin de cacher juste avant que mon tour n'arrive, une paire de ciseaux dans un tiroir de mon bureau qui se situait, d'après mes calculs, à la bonne hauteur de mes mains, lorsque celles-ci seraient ligotées au dossier de ma chaise.
Je peux ressentir encore aujourd'hui cette sensation d'être ligoté pour la première fois à un objet, chaque boucle de cette corde qui entouraient mes poignés fixés en croix au dossier de la chaise,... du serrage de chaque passages de ces liens qui augmentait cette impression de solidité de mes entraves, qui me rendaient si vulnérable pour mon plus grand plaisir.
Je savais qu'avec mon arrogance et mes provocations volontairement exprimée juste avant mon ligotage par des phrases du type "trop facile pour moi, vous êtes nuls..." je ne serais pas libéré de si tôt. C'est pourquoi j'avais préparé mon plan d'évasion avec ma paire de ciseaux pour pouvoir apprécier le moment tout en sachant que je pourrais me libérer quand l'envie me viendra.
Je peux ressentir encore aujourd'hui cette boule qui apparut dans mon ventre quand la porte de ma chambre se referma juste après que mes 2 frères me souhaitèrent bonne chance en ricanant tout en sortant de la pièce ...
Je n'avais jamais ressenti être autant abandonné, impossible de bouger mes poignés ne serait-ce que d'un minimètre, c'est comme si mes poignés et le dossier de ma chaise ne faisait qu'un.
J'ai savouré ce moment une bonne demi-heure. Mais là où mon plaisir frôla l'orgasme, c'est au moment de chercher ma paire de ciseaux et de me rendre compte qu'elle était beaucoup plus difficile à atteindre que prévu due à l'étroitesse de mes liens si bien exécutés.
J'ai bien cru que j'allais y rester plusieurs heures, mais un quart d'heure plus tard, en basculant ma chaise difficilement, je fini quand même à atteindre cette fameuse paire pour enfin me Libérer...car il faut savoir que j'avais une réputation de houdini à préserver. C'est d'ailleurs grâce à cette réputation que mes frères et ma sœur ne pouvaient soupçonner le plaisir que je pouvais éprouver lors de ces jeux. Ils devaient croire que j'aimais juste me prendre pour le roi de l'évasion...
Souvent j'ai repensé à ce jour en me disant que j'ai été trop bête de m'être libérer aussi rapidement, une occasion comme celle-ci étant si rare...
D'ailleurs, en parlant de rareté, c'est vers la fin du collège, que ces petits jeux ont commencé à être moins fréquents à mon grand regret, et c'est comme ça que je me suis découvert un don pour le self bondage.
Mais je ne vais pas tout détailler ici, car ma présentation devient déjà trop longue, et j'aimerais encore évoquer rapidement ma vie actuelle liée au bondage... :
Donc comme je le disais, le self bondage à pris une place importante dans ma vie pendant mes dernieres années de collège jusqu'à la fin de mes 4 années de lycée (bac pro).
Je n'ai jamais eu de copines jusqu'à là, alors que ce n'est pas les occasions qui manquèrent (on m'appelait souvent beau gosse), mais ma timidité m'empêchait d'accepter les avances de jolies demoiselles (je répondais souvent pour être tranquille que j'avais déjà une copine) ... Vous pouvez me traiter d'idiot, je ne vous en voudrez pas, je me suis traité moi même de la sorte bien avant . Lol
Après obtention de mon bac pro, j'ai commencé des petits boulot, et enfin profité un peu plus de la vie (avec mes petits salaires) en rencontrant une bande de potes, ce qui m'a amené pas longtemps après, à rencontrer ma femme (bien que pas marié, nous estimons ne pas en avoir besoin pour rester fidèles) avec qui je vis encore aujourd'hui dans notre petite maison.
Et les liens dans tout ça ? Et bien pas grand chose pendant les 10 premieres années... Je n'avais jamais osé en parler. C'est fou comment la honte peut vous pourrir la vie.
Durant cette période, j'ai n'ai eu de mémoire qu'une seule expérience avec ma chérie lié aux liens :
Lors de l'un de ses anniversaires (je devais avoir 22 et elle 21 environ), des copines lui ont offert des menottes avec la fameuse mousse de protection. On m'a chambré en disant que j'allais finir attaché, et vous n'imaginez pas combien il était difficile pour moi de ne pas rougir pour ne pas dévoiler l'excitation qui s'éveilla en moi à ce moment là. Malheureusement, j'avais un poignet dans le plâtre à cette période, pas très compatible avec des menottes... vous pouvez imaginer mon impatience de pouvoir enfin l'enlever pour pouvoir enfin profiter de son petit cadeau.
Elle les utilisa qu'une seule fois, pour fêter l'enlèvement de mon plâtre, les menottes dans le dos, elle me donna du plaisir. Heureusement, le métal était bien plus solide que la plupart des menottes bon marché (incassable même en tirant fort) , il fallait juste que je fasse l'abruti qui ne sait pas qu'on peut les ouvrir sans clé pour que ce moment fasse partie de nos bons souvenir...
Mais sinon, croyez-le ou pas, depuis ce jour, il m'aura fallu presque 10 années de plus pour oser remettre un peu de liens dans notre couple...
C'est d'ailleurs pour ça que je témoigne de mon expérience aujourd'hui, je veux encourager les personnes qui n'osent pas révéler leur secret à leur conjoint(e) à se lancer... Tout en douceur bien sûr... Mais se lancer ! Avec BEAUCOUP de patience... Mais tôt ou tard... se lancer !
Pour ma part, ça doit faire environ 5-6ans que j'ai franchi le pas. Je lui ai expliqué que j'aimerai rajouter un peu de liens dans notre vie. D'abord en lui proposant de l'attacher elle, bien que je savais qu'elle déteste être ne serait-ce que coincé, alors attachée, c'était juste hors de question. Mais elle me dit qu'elle ne voit pas d'objection à m'attacher moi. Je lui dis que ça me va, ça tombe bien, car en plus j'ai justement une PETITE préférence pour être attaché (gros menteur que je suis. Ça serait plutôt GROSSE préférence. Lol)
Je me rappelle lui avoir dévoilé pleins de mes secrets ce jour là, pratiquement tout ce que j'ai écrit plus haut, ce fut une discussion très longue (plusieurs heures), car on traversais un cap difficile dans notre couple, et je pense que de devoir cacher mon amour pour les liens y jouait une grande importance...
Je fus surpris par son ouverture d'esprit, par sa grande écoute, sans aucun jugement de sa part... Cela m'avait mis tellement en confiance que jai même partager avec elle des vidéos de bondage.
Je me rappelle certaines de ses réactions du genre :
"attacher les chevilles et les coudes ? c'est quand même Abusé. Lol"
"ha non, la boule dans la bouche... Ça me rappelle un film, je sais plus lequel, ça fait un peu trop sado mazo "
Je lui ai répondu :
"le film c'est pulpe fiction, lol...c'est à cause de ce genre de films que la boule fait penser au SM... Mais ne t'inquiète pas, ça ne m'attire pas tout ça, juste les poignés, et peut-être à la limite les chevilles attachés... Ça suffit, je veux juste me sentir à ta merci..." (encore une fois, gros menteur que je suis, mais fallait pas lui faire peur non plus)
Ce fut une très longue discussion, et j'étais tout excité les jours qui suivirent à me demander comment elle s'y prendrai pour son premier bondage ...
Je ne vais pas détailler ce chapitre ici, je vais juste vous dire qu'il y'a eu beaucoup de liens depuis ce jour. Un peu trop facile à défaire au début, avec beaucoup de cours de ma part sur les nœuds durant les premières séances... Et quelques grands étonnements de sa part quand elle me voyait délivré, pourtant solidement attaché une heure avant... Heureusement, elle a beaucoup progressé depuis.
Allez, je vous livre juste une petite expérience qui date de nos début (environ 1an après notre discussion) :
Pendant une semaine de congés, elle me lança le défi de m'attacher pendant qu'elle irait chez le coiffeur.
Pour retrouver le plaisir de mon enfance de la chaise raconté plus haut, nous avions choisi un haut tabouret de bar, avec un petit dossier, et une assise en cuir assez confortable.
Mon issu de secours en cas de problème était d'avoir mes pieds nus libres, afin de pouvoir utiliser mon téléphone placé sur le canapé clic clac accessible depuis mon tabouret à l'aide de mes orteils.
*J'avais déjà utilisé cet échappatoire pour réveiller ma copine qui dormait déjà, lors d'un self bondage qui a mal tourné, c'est dingue comment on peut devenir agile des orteils lorsque les mains sont bloquées... *
Mais pour cette expérience, je lui ai réservé une petite surprise :
Quelques heures avant, je me suis pris en selfie devant mon écran TV avec à l'image un jeu vidéo dont elle savait que je voulais y jouer, si nous n'avions pas ce défi à réaliser. Sur le selfie, je faisais une grimace arrogante avec le pouce en l'air.
J'ai pris soin de programmer un sms automatique avec ce selfie en écrivant : "trop facile ! ".
J'ai programmé discrètement l'heure de l'envoi juste avant de commencer le défit bondage, de manière à ce que ma femme le reçoive 40min plus tard : ce qui laissait 20min le temps de me faire attacher (torse avec épaules, et poignés en croix dans le dos, liés solidement au dossier du tabouret) , et 20 min de plus, le temps qu'elle arrive chez son coiffeur....
Quand j'ai entendu la voiture de ma dominatrice sortir du garage, j'ai retrouvé quasiment la même sensation que j'ai pu éprouver lors de mon jeune âge. Voir même plus intense, car je savais que le sms programmé allait partir avec ma photo si je ne me libère pas dans les 20min.
Et j'ai beau avoir essayé, sans trop forcer non plus pour ne pas risquer de me blesser dans ces conditions risquées... J'ai du me résoudre à laisser partir ce sms laissant croire à ma compagne que j'étais déjà libéré...
5min après, elle me répond :
"c'est pas possible, comment t'as fait ? je viens à peine d'arriver chez le coiffeur ! "
J'avais programmé un 2ème sms pour qu'il parte 10min plus tard .
Ce qui laisse le temps à ma femme de se questionner :
"tu joue déjà à ton jeu vidéo? Tu ne me répond plus ?"
2min après, mon 2ème sms programmé part enfin, et moi impuissant qui assiste à cet échange depuis mon tabouret :
"En fait, c'était une blague, j'ai programmé ce sms avant que tu ne m'attache, si tu l'as eu, c'est que tu as bien appris tes leçons, et que je suis encore saucissonné comme tu m'a laissé.. Félicitations !"
Je dirais de mémoire que je suis resté attaché encore 30-40min après le dernier sms. Puis sachant qu'elle venait de partir de chez le coiffeur grâce à son dernier message, je décidais de forcer plus sur mes liens pour tenter une évasion. Si les liens se serrent trop, je n'aurais qu'une dizaine de minutes à tenir avant ma libération.
J'avoue que j'ai eu du mal, mais à force de forcer sur la dernière boucle, j'ai pu serrer l'ensemble des liens afin de détendre la dernière boucle pour y sortir une de mes main, ce qui a donné du mou au reste des liens.
Avant qu'elle ne rentre, j'étais libéré. Elle n'en croyais pas ses yeux. J'avoue que moi même je ne pensais pas réussir à me libérer. Je m'en suis même voulu de m'être libéré, mais le houdini qui sommeille en moi n'a pas pu s'empêcher de me défaire de ces liens. Je me dis que ce n'est que partie remise, et que cette évasion obligera ma femme à être encore plus stricte dans ses prochains ligotages. Lol
A son retour, elle m'a confié être un peu stressée chez le coiffeur, mais en même temps elle a senti une petite excitation, elle avait du mal à penser à autre chose. Et elle était gênée à la réception de mes messages, elle avait peur de les ouvrir et qu'elle se fasse surprendre avec une de mes photos de moi attaché. Lol
Nous n'avons jamais reproduit ce genre de défit (moi attaché en son absence) , nous avons mesuré les risques trop élevés après coup... Mais il arrive parfois qu'on fasse allusion à un nouveau défi de ce genre. Je pense qu'on finira bientôt par en refaire un, dans des conditions biens réfléchies, ce n'est qu'une histoire de temps et de réflexion ...
En attendant, les liens pimentent notre vie d'une autre façon. Souvent le week-end, le matin au réveil, elle me saucissonne, parfois les chevilles, genoux, torse, et mains croisées dans le dos, avec un bâillon balle dans la bouche (ça par contre c'est récent)... Alors que, rappelez vous, elle qui disait plus haut dans mon récit que c'était Abusé d'attacher les genoux et torse, et trop SM le bâillon balle ... Comme quoi, la patience fini par payer !
Parfois, les liens se font oublié, trop rares à mon goût (plus de 2/3 semaines) , ou je trouve qu'elle ne me laisse pas assez longtemps profiter de son ligotage (les rares fois furent pendant qu'elle prenait sa douche, et l'autre fois pendant son petit déjeuner)...
Pour palier à ce manque, je me suis perfectionner dans le self bondage. Maintenant qu'il n'y a plus de secret entre nous, je peux me permettre des selfs bondages beaucoup plus corsés...
Je fais ça plutôt les matins pendant le week-end, car ma femme se lève très tôt, et moi souvent, je fais un peu la grasse matinée...
Ce qui me laisse du temps, dès son réveil, pour mes petits défis personnels... :
Par exemple, je suis capable de me ligoter les chevilles et genoux (facile jusque là. Lol) ainsi que le torse avec bras y compris (la corde passant également entre le torse et chaque bras pour resserrer encore plus les liens sous les aisselles ), et surtout, je suis capable de m'attacher très fermement les poignés dans le dos en croix, sans qu'il soit possible de m'en défaire, parole d'Houdini ! (je ferai un tuto si ça intéresse quelqu'un).
Mais avant que je mette à exécution mon self bondage, je prends soin de programmer un sms, me laissant une, voir deux heures de temps pour profiter de mon ligotage, avant que mon SOS automatique soit envoyé à ma gentille femme, pour qu'elle vienne en aide à son pauvre houdini qui s'est encore trop surestimé...
Ensuite, je n'ai plus qu'à profiter de l'instant T, de totalement lâcher prise avec mon bâillon balle dans la bouche me rappelant à quel point je suis vulnérable...
Quelle meilleur moyen d'oublier une semaine difficile au boulot, que d'être sévèrement ligoté, attendant patiemment que ma femme reçoive un sms, laissant tout le temps de m'imaginer le traitement qu'elle va me faire subir avant de me libérer. Souvent cela se termine par des chatouilles, de longs baisés, quelques petites fessés, et un joli feu d'artifice pour conclure....
Elle m'a déjà dit qu'elle éprouvait du plaisir en ressentant mon excitation. Et qu'elle ressent clairement que lorsque je suis attaché, mon excitation se décupler, ce qui n'est pas pour lui déplaire.
J'essaie de lui rendre la pareil. Une fois, je me suis acheté un costume de policier, et après avoir caché dans son sac à main des petits sachets avec de la farine pour faire croire à de la cocaïne ainsi qu'un autre avec des pillules faisant allusion à des extasies . Je me dirige dans le salon pendant qu'elle lit un livre.
Elle me voit avec mon képi sur la tête, mes lunettes de soleil façon pilote d'avion, ne laissant transparaître aucune expressions de mon visage, mes menottes (des vraies, pas du toc) bien visible attachées à ma ceinture côté droit, et ma chemise noire avec ses insignes de police sur le devant et sur les épaules ...
Devant mon air autoritaire, elle ne peut s'empêcher d'éclater de rire. Je lui dit :
" madame, veuillez me suivre s'il vous plaît, nous avons des soupçons très graves à votre égard, je vous conseille d'obtempérer !"
Elle continu de rire à la limite des larmes, ce que j'avais prévu, à ce moment, je prends un ton plus autoritaire en montrant le bâton magique (vibromasseur ressemblant à une matraque) qui est accroché à ma ceinture côté gauche, moins visible que les menottes avant que je me tourne légèrement sur ma droite pour laisser apparaître ma menace :
"madame, je vous conseille d'obtempérer ! Ne m'obligez pas à utiliser ma matraque !"
Comme prévu, elle éclate encore plus de rire, et elle fini par jouer le jeu en me suivant dans notre pièce à billard.
Après avoir insister plusieurs fois, et en la plaquant avec douceur mais fermement contre le billard, je réussi à la convaincre de mettre ses mains derrière son dos pour la menotter.
Je peux enfin commencer ma fausse perquisition et je fini par tomber rapidement sur son sac à main.
A chaque élément sorti, elle pète de rire.
Le sachet de farine :
"ben voyons, on dirait bien que nos informateurs n'ont pas menti à votre égard ! A votre place je ne rigolerais pas !"
Le sachet de pilules :
"comme si la cocaïne ne suffisait pas, votre cas s'aggrave"
Et vînt après les petites surprises que j'ai rajouté en dernière minute, juste avant de me déguiser :
"un vibromasseur ? Je vois que madame aime se faire plaisir !"
"Un bâillon boule ? Si vous continuez de rire, je vais finir par vous le mettre !"
"des cordes de bondage ? Je vois que madame a des loisirs plutôt douteux et original ! À moins que vous comptiez kidnapper quelqu'un ?"
Vous avez de la chance, je suis un flic très souple, avec la drogue que vous avez sur vous, vous risquez de nombreuses années de prison, heureusement, je suis prêt à accepter le paiement en nature.... Il suffit de vous laisser faire ! Car après tout, vu les objets que vous possédez, vous avez l'air d'aimer ça ? De vous laisser faire, non ?
Après quelques fou rires nerveux (je rappelle qu'elle a toujours eu la phobie d'être attachée) , elle fini enfin par succomber au plaisir du vibromasseur, surtout après mes embrassades pour la rassurer.
Le reste je vous laisse l'imaginer, ce fut un agréable moment qu'on garde dans nos souvenirs partagés secrets. D'ailleurs ça me rappelle qu'il serait temps que je le ressorte ce costume...
Voilà, ma présentation touche à sa fin, j'espère qu'elle pourra inspirer certains lecteurs, et pousser d'autres à franchir le cap de divulguer leurs fantasmes à leur partenaire....
Je viens de m'apercevoir de la longueure de mon pavé. Je m'en excuse. Quand je commence à écrire, j'ai du mal à m'arrêter. J'espère ne pas avoir été trop difficile à lire, veuillez m'excuser si je fais trop de répétitions, c'est mon grand défaut, et si j'ai fait de mauvaises tournures de phrases, ainsi que des fautes d'orthographe. J'ai fais du mieux que j'ai pu pour être le plus lisible possible.
Si mon texte est trop long ou n'a rien à faire dans ma présentation, faites le moi savoir, je le posterai ailleurs et raccourcirais ma présentation...
Sur ce, je remercie les plus courageux de m'avoir lu jusque là, et les autres aussi pour avoir essayé. Lol
Désolé de ne pas m'être plus décrit (physiquement, lieu d'habitation, profession, noms de les frères et sœur et de ma femme ...), mais m'étant mis à nu sur mon passé et mes fantasmes, je préfère rester le plus anonyme possible pour l'instant.
Je vous souhaite à tous, de trouver le bonheur par les liens qui vous unient à vos fantasmes les plus fous...
Mais surtout, n'oubliez jamais que la patience est la clé de la délivrance (dans les 2 sens du terme) !
Elles ne savent pas ce qu'elles loupent 
