D'un extrême à un autre

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TheDeviantFlame
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Ce que j'adore : J'aime vivre, et ressentir les histoires que je lis, j'aime rentrer totalement dans la peau des personnages, et me sentir autant attaché et vulnérable qu'eux. Après avoir lu de nombreuses histoires en anglais et en français et notamment la plupart de ce forum, je voulais à mon tour participer à augmenter ce magnifique univers. J'aime voyager parmi les univers de tout les auteurs et découvrir de nouvelles inventions.
Ce que je déteste : Les histoires qui n'ont pas de fin ou de début, qui ne se concentrent que sur les actes érotiques. Je trouve ça sans saveur, je préfère avoir un contexte, ça permet de ressentir plus d'émotion ;).

D'un extrême à un autre

Message par TheDeviantFlame »

ATTENTION : L’histoire que vous vous apprêtez à lire contiens des scénarios de non-consentement et n’est destiné qu’aux adultes. Tout le monde réel du bondage doit TOUJOURS être fait avec le consentement des deux parties et fait d’une façon sécurisée. N’essayez en aucun cas de reproduire tout aspect de l’histoire d’une façon non sécurisée et sans consentement.

C’est une fiction… Les femmes méritent toutes d’êtres égales avec les hommes. Il y aura toujours des cons et des connes mais aussi des gens gentils, généreux et bienveillants.
Certains lecteurs peuvent trouver cette histoire vulgaire et violente, la discrétion du lecteur est conseillée.

Si tu veux directement aller au contenu chaud, n’hésite pas à scroll jusqu’à la – HOT LINE –


D’un extrême à l’autre
Le président des Etats-Unis vient de tomber… La personne la plus protégée sur Terre vient de mourir de la Misandryne. Ça ne fait seulement que quelques années que le Covid a disparu qu’une nouvelle pandémie ravage la Terre.

La Misandryne est apparu il y a deux semaines, elle est hautement contagieuse mais n’est absolument létale que pour le genre masculin. Mon père et mon frère sont décédés il y a deux jours, comme 40 % du genre masculin. Le monde est dans le chaos le plus totale, les gouvernements tombent les uns après les autres. En seulement deux semaines, la Misandryne est la pandémie la plus meurtrière de l’histoire de l’espèce humaine.
Et moi je suis là, enfermé dans mon appartement, figé devant l’écran de mon ordinateur. Je m’appelle Alexandre CANEROT et je suis un jeune homme de 19. Je ne me voile pas la face, je sais très bien qu’il n’y a aucune chance que je ne survive. Je ne peux ni sortir pour aller me réapprovisionner ni demander de l’aide, les femmes étant quasiment toute contagieuse.

On a passé les 60 % des hommes disparus dans la nuit, la courbe augmente considérablement sans sembler ralentir.
Dans la matinée les premières opportunistes reprennent le pouvoir, remplaçant les cadavres encore chaud des politiciens. Dans le chaos, il n’y a pas de vote, ce sont les premières arrivées, premières servies. En quelques heures, les sièges de l’Assemblée National sont remplis de tous les extrêmes, les plus réactifs face à la situation. Même en tant que femme les jours meilleurs ne sont pas prêt d’arriver…

Dans l’après-midi, un nouveau sujet s’impose sur toutes les chaînes de télévision : la reproduction de l’espèce humaine. On parle des banques de spermes, de combien tiendrait leur stock, de l’éventualité de l’extinction de l’espèce humaine si le genre masculin venait à totalement disparaître.
Soudain, une sonnerie se réveille sur mon ordinateur, c’est ma meilleure amie qui m’appelle :
- Alex ? Tout va bien ?
- Oui, Léna, je suis encore vivant. Mais il va falloir que je sorte pour me réapprovisionner. Je sais pas comment je vais faire.
- Il faut surtout que tu te barres ! J’arrive dans deux heures te chercher, prépare tes affaires !
- Quoi mais pourquoi, je suis bien chez moi ?
- T’as pas vu les infos ? Le gouvernement est complètement dingue, ils vont essayer de pomper les derniers mecs pour remplir au maximum les réserves de spermes. J’ai peur pour toi, Alex. On sait pas ce qu’il serait capable de faire. Il faut fuir !

Très vite, je recherche sur internet et constate en effet, les prises de décision en cours assez effrayante. En vérité les banques sont quasiment vide, et le seule moyen viable pour une potentiel repopulation reste un homme. Je lui demande alors :
- Mais comment t’es sûr que tu n’as pas la Misandryne ?
- Ils ont sorti un test hier, je viens de me faire dépister, je suis négative.
- Wow, ils sont rapides !
- Ouais, le Covid a bien aidé là-dessus. Bon à tout à l’heure. Et prépare des affaires chaudes on va à la montage !

Sur ce, elle raccroche, je me rue sur mon armoire, saisit un sac à dos et commence à le remplir du maximum d’habit que je peux emporter. Je prends un duvet et les dernières provisions qu’il me reste dans mon appartement. Et puis j’attends.

Au bout de quelques minutes, je trouve un site qui diffuse en direct les débats de l’Assemblée. Les débats vont vite. En une heure on passe de la collecte de sperme des survivants, au confinement obligatoire de tous les survivants, puis carrément avec l’état d’urgence et à la perte de droit des hommes.

Pitié Léna, dépêche-toi !

Des folles complotistes prennent d’assaut plusieurs banques de sperme dans l’espoir dans récolter et d’avoir la chance d’être peut-être l’une des dernières mères du monde. Au final, dans un bain de sang, la totalité des échantillons partent soit en fumée ou explosé entre les mains de dégénérées. La police totalement dépassée est totalement démunie face à la situation.

Il reste moins d’un million d’hommes en France, quand la loi sort. Je viens de perdre tout droit légal, j’en ai maintenant autant qu’une vache à lait. Je ne suis plus qu’une ressource.

Ça fait un peu plus d’une heure et demie, quand les premières opérations de chasse à l’homme sont lancées. Heureusement, le chaos ralentit les choses, il faut trouver des femmes non contaminées, les faire tester, les regrouper et organiser les chasses.

Je tremble, mon manteau et sac sur le dos. J’habite à Paris, une chance ou pas, une grande ville mais là où tout commence. Léna arrivera-t-elle à temps ?

Soudain, l’interphone sonne, un frisson me parcourt. Je décroche doucement et ma voix la plus féminine possible je demande :
- Hallo ?
- Descend vite ! s’exclame Léna.

Soulagé, je m’empresse d’ouvrir la porte et de dévaler quatre par quatre les marches. Devant l’immeuble, Léna m’attend dans sa voiture garé en double file prête à partir. Dès qu’elle me voit elle me fait signe de me dépêcher car au loin une sirène de police retentit.

Je cours vers sa voiture, m’empresse de jeter mon sac à l’arrière, saute sur le siège passager à l’avant. Léna démarre en trombe. La pression redescendant je lui lance souriant :
- Merci beaucoup.
- Cache-toi, hurle-t-elle.

Aussitôt, je me plis en deux du mieux que je peux pour ne pas être visible. Quelques secondes après elle lâche :
- C’est bon tu peux te relever. Bon ça va ?
- Ça pourrait aller mieux et toi ?
- J’avais pas imaginer mes vacances comme ça.
- Et Tom ?

Une larme se met à couler sur sa joue. Tom est son petit ami depuis un peu plus d’un an. Je suppose qu’il est parti.
- Je suis désolé, lui dis-je. Merci d’avoir pensé à moi.
- J’ai déjà perdu trop de monde. Tu es le dernier mec que je connaisse. Même Camille a perdu son mec.

Camille, faisait partie de notre trio d’amie, on se retrouvait souvent pour faire des parties de jeu-vidéo ensemble. Elle avait quasi dix ans de plus que moi et elle devait se marier dans deux mois.
- Ah merde.
- Bon sinon on a quatre heures de routes. Je t’ai acheté une fausse poitrine et des fringues. Si on veut tenir il faut que tu ressembles à une femme au maximum. Cache ton visage un maximum avec tes cheveux longs et ça devrait le faire.

Je m’exécute aussitôt en me recoiffant devant le miroir du pare-soleil. Le visage caché par mes cheveux je ressemble à une fille peut-être mais surtout à celle d’un film d’horreur. Mais bon de toute façon ce n’est pas vraiment le problème, et l’égo et l’apparence n’ont plus vraiment d’importance maintenant.

Elle tend le bras vers l’arrière et récupère une sorte de crop top couleur chair rembourré devant pour former une poitrine. J’enlève mon T-shirt et enfile le faux volume, alors que je m’apprête à renfiler mon T-shirt quand Léna tend une nouvelle fois un bras vers l’arrière en s’exclamant :
- Nan attend mets ça.

Elle me tend un haut noir très féminin assez couvrant. Ce n’est clairement pas mon style mais face à la situation je n’ai pas trop le choix. Ensuite pour cacher mes formes en bas elle me tend une longue jupe noire plissé.

Sur le siège avant, je bouge dans tous les sens pour retirer mon pantalon et enfiler la jupe.

Enfin je me regarde dans le miroir. Surpris je m’exclame :
- Je pensais pas que ça m’irait aussi bien.
- Ouais bah fait gaffe, c’est une robe que j’aime bien, dit-elle en rigolant.

Je réalise quelque chose :
- Mais attends c’est bien beau tout ça, je ressemble peut-être à une femme mais il en faudrait peu pour voir que je ne le suis pas. Juste m’entendre suffirait à me démasquer. C’est impossible que je vive comme ça !

- Ouais bah j’ai fais ce que j’ai pu. Sinon t’avais qu’un te démerder tout seul.
- Nan, je suis désolé, c’est pas ce que je voulais dire.

Je fais une pause et continue timidement :
- T’as prévu de faire quoi après ?
- J’ai un pris un bon paquet de nourriture dans le sac, on va aller se cacher dans la montagne une ou deux semaines le temps que ça se calme.
- Et après ?
- Bah je sais pas, j’y suis pas. On verra.

Le trajet continue, nous sommes tous les deux pensifs, silencieux. Quand soudain, on approche d’un barrage. Léna ordonne :
- Ne parle surtout pas !

Il y a trois voitures devant nous. Juste le temps de paniquer un maximum. Je tente de rester le plus calme possible et de ne pas penser à l’éventualité de se faire prendre.

Quand vient notre tour, je suis en sueur. Une policière se penche dans la fenêtre ouverte de Léna en s’exclamant :
- Bonjour mesdames !

Je hoche la tête timidement pendant que Léna :
- Bonjour.
- Elle ne parle pas votre amie ? demande la policière.
- Nan, excusez là, avec toute cette pandémie, le stress la rendue aphone, me couvre Léna.

Elle commence à sortir son permis quand la femme rétorque :
- Pas besoin de vos papiers, on cherche de potentiels hommes fuyant Paris. Pouvez-vous ouvrir votre coffre s’il vous plaît.

Je me mets à trembler en l’entendant. Je suis pris de bouffées de chaleur à cause de l’anxiété. Je croise les bras pour masquer mes mains tremblantes.

Léna, elle, sort de la voiture et ouvre son coffre à la police. Après une vague inspection, elle rentre dans la voiture, et la police nous fait signe de circuler d’un geste de la main.

Dès qu’on est éloigné, je respire de nouveau sortant de l’apnée involontaire. Léna demande :
- Ça va ? T’es blanc.
- Ouais. Je pensais pas que ça passerait. Mais c’est quoi ce bordel. Je pensais pas qu’on en serait à ce point-là !
- Respire, c’est sûrement pas le dernier. Je vais mettre la radio pour qu’on suive un peu ce qu’il se passe.

Aussitôt la radio allumée que la voix de la nouvelle présidente gronde :

« Vous nous avez exploitée, soumise, battue, violée. Et maintenant vous fuyez votre devoir comme des lâches ? Vous n’avez nulle part où aller, rendez-vous ou mourrez de la Misandryne en assassinant lentement vos filles et vos femmes. Sans enfant, le monde est amené à mourir, et vous le tuez en fuyant votre seul espoir de vie ! »

- Mais elle est folle, soupire Léna.

« Femme ! Nous avons enfin ce que beaucoup ont tant rêvé depuis si longtemps ! Nous avons enfin le pouvoir, le droit à la parole. Cette Misandryne est l’aubaine que l’on attendait pour réparer les erreurs des hommes ! »

- Elle décrédibilise tout le féminisme, je soupire à mon tour.

« Et pour toute celle, qui voudrait assassiner la République en aidant des hommes à s’enfuir, vous passerez devant le tribunal pour complicité de meurtre de masse ! A vous de choisir les filles, même si je pense qu’il n’y a pas vraiment de questions à se poser ! »

Le sang se glace dans mes veines. Maintenant Léna est une criminelle, à cause de moi. Je la met en danger par ma faute. Je vais lui ruiner sa vie. Avant même que je ne dise quoi que ce soit Léna me coupe dans mes pensées et s’exclame sévèrement :
- Arrête d’y penser ! C’est moi qui suis venu. C’est moi qui aie décidé de t’aider. Je suis responsable, tu n’as pas à t’en vouloir.
- Mais… T’es sûr ?
- Oui, sûr et certaine ! Maintenant repose toi. On va avoir pas mal de marche à faire de nuit. Il faut que tu sois en pleine forme.
- Ça va aller la route ?
- Oui, t’en fais pas pour moi.

Je me tourne, appuie ma tête contre la vitre. Avec le manque de sommeil accumulé par le traumatisme des pertes de mes proches, je m’endors en quelques secondes. La présence de Léna est rassurante et agréable, absorbant toutes les mauvaises pensées qui m’empêcherais de sombrer.

Je rouvre les yeux quelques secondes avant de les refermer. Nous sommes arrêtés à une station essence. Qu’est-ce que j’aurais aimé faire ça avant, mais sans tout le contexte actuel. En plus Léna est ma meilleure amie, j’ai même secrètement des sentiments pour elle. Mais elle était avec un mec et je n’ai pas envie de sauter sur l’opportunité laissé par un mort.

Je me demande tout ce que ça va changer à ma vie. J’ai toujours cherché une fille, une petite amie mais je n’ai jamais réussi à être suffisamment convainquant, romantique, charismatique. Bref toutes les conneries de la séduction qui ne servent qu’à ce moment-là.

Je suis alors réveillé par Léna qui me secoue l’épaule, en disant :
- On est arrivé ! Remet un pantalon et on grimpe. Il faudrait pas traîner, Saurou commence à se chauffer dur pour trouver des mecs. Depuis ce matin, elle a réussi à attraper aucun mec vivant. On a dépassé les 95 % de disparition masculine.
- Saurou ? C’est qui ?
- Tu suis pas ! C’est la nouvelle présidente ! Natalia SAUROU.
- Ahh oui, ok.

Une fois changé, je sors de la voiture. Léna m’attend déjà un immense sac de randonnée sur le dos. Elle me tend le mien et s’élance sur le sentier devant la voiture. Je lui emboîte le pas avant de trop me faire distancer.

On marche silencieusement, pendant plusieurs heures, avant de quitter le sentier en slalomant entre les pins. Au bout d’une bonne heure. Léna s’arrête, et explique qu’on va installer le camp ici pour la nuit.

Une fois les tentes montées, le feu allumé, assis autour du feu, on commence à discuter :
- Pourquoi tu m’aides ? je lui demande.
- Parce que t’es mon ami.
- Nan arrête. On s’est vu deux fois, en vrai, le reste du temps on fait des games ensemble, on ne parle de rien d’autre chose que du jeu. Je suis pas forcément beau, intéressant ou même drôle. Et tu es prête à tout sacrifier pour moi.
- Arrête de dire ça ! Je trouve très intéressant et ça t’arrive d’être drôle ! Et puis toi, t’aurais fais quoi toi pour moi ?
- La même chose, mais c’est différent.
- Pourquoi ? Parce que t’es un mec ?
- Nan mais parce que t’es ma seule amie. Tu ne dois pas n’avoir que moi.
- A qui je tiens vraiment, maintenant si.

Je suis alors touché. Je ne pensais pas qu’elle m’appréciait autant. Moi qui me pensais seul, et vaguement aimé, une larme coule sur ma joue. Je n’aurais jamais pensé qu’on soit vraiment capable de faire ça pour moi. J’ai été aveugle, je m’en rends compte seulement maintenant que le monde s’effondre. C’est triste.

Elle me regarde amusée et me lance :
- Tu ne t’en rends compte que maintenant ?
- De quoi ?
- Que je tenais à toi.
- Oui, la distance n’aide pas et j’ai tendance à toujours imaginé le pire.

Un silence s’installe, nos regards se perdent dans les flammes. Epuisé, je glisse dans ma tente en souhaitant une bonne nuit à Léna.

Soudain je suis réveillé par le bruit d’un hélicoptère. Je me redresse aussitôt. Comment nous ont-ils retrouvé ? Soudain la voix d’une femme est propulsée par de puissant haut-parleur :
- Alexandre ! Tu es le dernier français, donc le dernier espoir de la France. Ne fais pas l’imbécile ! Rends-toi !
Je sors de la tente, le cœur battant fort. Léna est aussi dehors, je la regarde ne sachant que faire. Les larmes perlent sur ses joues, mon cœur se serre.

Les haut-parleurs reprennent :
- Rends-toi et ton amie sera gracié ! Toute la montagne est cernée, tu n’as pas d’échappatoire.

Je ne veux pas être égoïste, elle a déjà beaucoup fait pour moi. Je ne veux pas qu’elle perde tout ce qu’elle a durement réussi, tout ça pour ma faute. Je ne veux pas pourrir sa vie, pour moi, des amis comme moi, elle pourra s’en faire des milliers…

Des cordes se déroulent du haut de l’hélicoptère en vol stationnaire juste au-dessus de nous, et des femmes en combinaisons de combat noires en descendent en rappel.

Léna me regarde encore plus intensément. Sans prévenir, elle se jette à mon coup et m’embrasse. Je ne m’y attends pas.
Mais je savoure cette première fois, c’est si bon, je regrette de ne pas l’avoir expérimenté avant tout ces problèmes. Je ne veux pas que ça s’arrête, je veux que ça dure pour l’éternité.

J’enlace fortement Léna, pleurant de notre séparation imminente. Quelques secondes après, j’en suis violemment arraché, on l’éloigne brusquement, les cris et les pleurs sont étouffés par le vacarme de l’hélicoptère.

On me traîne en arrière, sans ménagement, en même temps que des menottes me sont cerclés autour des poignets et des chevilles. Les menottes sont si serrées que je ne peux même pas tenir debout.

Quand je relève la tête, c’est une vision d’horreur qui se projette à moi. Face à moi le visage de deux femmes, masqué d’un horrible masque à gaz aux lunettes teintées. D’ailleurs quelques secondes après ce même masque m’est fixé sur la tête, sauf que ces lunettes sont complètement teintées. Respirer dedans demande un peu plus d’effort, mais toute ma concentration.

Je sens un harnais mettre ceinturés avant d’être brusquement soulevé de sol. En quelques instants, j’ai perdu toute notion, d’espace et de temps. Je suis balloté, de bras en bras, assis de forces sur des sièges. On m’arrache mon T-shirt, je sens une piqûre dans l’épaule.

Isolé de la vue et de l’ouïe avec le fracas des pales d’hélicoptère, je ne suis qu’à la merci des femmes et des mouvements de l’hélicoptère.
Soudain à travers le bruit des moteurs, j’entends des cris de joies. Qu’est-ce qui se passe ? Seulement quelques instants plus tard, je suis relevé, et on me traîne. Toujours aveugle et immobilisé par les entraves, je suis complètement à leur merci et dans l’impossibilité de savoir ce qui m’attends.
Quelques minutes plus tard, on m’assoit dans un canapé moelleux, on me retire toutes les menottes, puis finalement le masque m’est retiré.

Je suis dans une petite chambre luxueuse, le sol est tapissé d’une moquette rouge en face de moi un grand lit qui prend la majorité de l’espace de la chambre. Sur le mur face à moi j’aperçois des hublots. On est dans un avion ? On est où ? C’est pas du tout le type de laboratoire que je m’attendais à arriver pour prélever le sperme.

Je n’ose pas poser la question aux quatre soldats qui me fixent avec une sorte d’admiration assez perturbante. Tout ça parce que je suis un garçon ? Mais même pour cette raison ça ne fait que quelques jours qu’ils ont disparu.

Mettant fin à toutes ces questions sans réponses, une femme rentre en trombe dans la chambre. Et se plante devant moi me dévisageant de haut en bas. Elle s’exclame :
- Vous avez réussi à vous en procurer un ! Pas trop mon style… Mais on va dire qu’il n’y a plus beaucoup de choix.
- C’est le dernier madame la Présidente, explique une autre femme en tailleur noir la suivant. Il semble avoir des gênes résistant à la Misandryne. Sa descendance masculine pourrait donc survivre dans notre monde.
- Je m’en fiche des autres, de ce qu’il a dans le ventre. Tout ce que je veux c’est vivre un plaisir bientôt disparu. Je ne veux pas attendre quelques choses que je n’aurais probablement jamais.
- Mais à quel prix madame la Présidente. Il faudrait penser à l’avenir de l’humanité, la France est l’une des dernières nations à encore disposer d’hommes.
- Elle a raison, je l’appui.
- Tais toi ! s’exclame la présidente. Vous laissiez le choix aux femmes avant de les violer ?
- Mais moi je n’ai jamais violé personne ! je proteste. Il ne faut pas faire des généralités !
- Facile à dire quand on a perdu l’avantage. Et puis de toute façon il n’y a pas que vous les hommes qui ayez des besoins ! Ça fait deux semaines que j’attends j’en peux plus. J’espère que tu as du talent !
- J’ai surtout pas d’expérience, je rétorque reculant le plus possible dans le canapé pour m’éloigner d’elle.
- Alors tu auras tout le temps d’apprendre !
- Madame, sauf votre respect, l’interrompt la femme. Ce n’est vraiment pas une bonne idée de le garder pour vous. Il faudrait vraiment le partager avec toutes les autres nations ou en tout cas ses semences.
- Ta gueule ! hurle la présidente. Personne le touche ! Il est à moi.
- Mais je sais pas, si je vais y arriver de toute façon, je lâche timidement. J’ai pas trop envie.
- Pourquoi, tu me trouves pas belle ?

Elle ressemble à ma mère, avec des cheveux fin et bruns, un corps fin voire squelettique. Et puis j’ai rien contre les vieux, mais c’est pas mon fantasme quoi… J’ai que 19 ans, moi. Cette femme m’effraie plus qu’elle m’excite.
Pour sortir de cette situation embarrassante je me lève en disant :
- Vous n’êtes pas mon genre.

Aussitôt debout, les soldats me mettent en joues. Dans leur regard, je comprends leur impuissance. Elles ne peuvent pas tirer, je suis le dernier, elles n’ont pas le droit. Je me dirige vers la sortie. La président d’un air plein de défiance s’exclame :

- Léna. C’est comme ça qu’elle s’appelle ?



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Mon cœur s’arrête. Elle continue :
- Tu es libre de choisir. Tu restes, tu deviens mon jouet, tu combleras tous mes besoins et tu rempliras des éprouvettes de temps en temps pour renflouer les caisses de l’Etat. Tu seras mon chien, ma chose, officiellement ta vie s’arrêtera là.

Sympa le programme… J’en ai absolument aucune envie mais je crains ne pas avoir le choix. Elle m’achève :
- Je te laisse partir. L’Etat français t’oublie et tu fais ce que tu veux. Par contre Léna devient un ennemi public et passera le reste de sa vie derrière la vie pour meurtre de masse en ayant tué un homme.

La question est très vite répondue. J’ai passé toute ma vie seul comme un con dans mon appart à chercher l’amour qui n’est jamais arrivé. Aujourd’hui, si je sors de cet avion, des millions de femmes me sauteraient dans les bras.

Je fais demi-tour, je regarde la présidente en respirant un grand coup.

Je m’avance vers elle. Léna m’a donné l’amour que je convoitais tant, des millions de femmes ne pourront la remplacer. Je préfère mourir. Alors voilà, j’ai laissé mon esprit à la porte, je suis mort en faisant demi-tour. Léna je t’aime trop pour te perdre.

- C’est bien. Elle recevra des aides bonus, pour ta coopération, lance-t-elle d’un ton superficiel.

Elle regarde la femme et lui lance :
- Je vous ferais parvenir des échantillons de spermes. Maintenant partez et laissez-moi tranquille !
- Que disons-nous aux français ? réplique-t-elle.
- Trouver un truc élégant pour dire que le dernier homme est décédé, mais que nous allons donner des primes, pour compenser les pertes.
- Très bien madame.
- Maintenant partez ! Tous ! ordonne-t-elle en désignant aussi les soldats.

Les soldats la saluent et quitte la petite chambre en fermant la porte derrière elle.

La présidente, s’avance vers moi et commence à me caresser mon torse encore nu. Je suis timide et je ne sais pas comment réagir. Elle approche son visage de mon oreille et chuchote :
- Tu es tout à moi maintenant ! J’attends ça depuis tellement de temps ! Déshabille-toi, tout de suite !

J’hésite un peu. Passer le pas est un peu compliqué. A part ma mère ou mon père personne ne m’a jamais vu nu. Elle ajoute :
- Tu es un coincé ! Il fallait que ça tombe sur un nerd…

Elle fait une pause avant d’esquisser un sourire. Qu’est-ce qu’elle a encore derrière la tête ?
- Tu n’est pas très entreprenant… Mais j’ai ce qu’il me faut !

Elle me regarde et d’un regard sévère s’exclame :
- Déshabille-toi ! Vite, avant que je change d’avis sur ta Léna.

Sous la menace je m’empresse de m’exécuter. Quelques instants, je suis nu sur la moquette de l’avion présidentielle. Une scène totalement utopique une semaine avant.

Elle ouvre la table de chevet, et me tend un masque de nuit, avant de m’ordonner tout aussi sèchement de le mettre sur mes yeux et d’ajouter :
- Si c’est mon physique qui te bride, on va faire sans.

Une fois plongé dans le noir, elle tourne autour de moi. Puis d’un coup s’éloigne, farfouille dans des placards.

Je suis là, planté les yeux bandés, ne sachant que faire sans oser bouger. Pendant ce temps-là, je l’entends taper sur un clavier. Puis elle s’exclame :
- C’est ce qu’est bien quand on est président on a accès à des technologies avancées ! Ok maintenant ferme les yeux… Ah nan c’est vrai qu’ouvert ou fermé c’est la même chose pour toi. Bref imagine que je suis Léna.

Un peu difficile quand le seul référentiel auquel je peux m’accrocher c’est la voix qui est totalement différente de celle de Léna.

La présidente me tourne de nouveau autour comme un requin autour de sa proie, m’effleurant de part en part jusqu’à se frotter complètement contre moi. Soudain je sursaute quand la voix de Léna me susurre à l’oreille :
- Tu as un beau corps. Ta peau est propre et douce. Elle est si agréable.

Je lève les mains pour retirer le bandeau et voir Léna, quand la femme dans la pièce me saisit les mains en me disant :
- C’est fou l’IA, hein ? Gâche pas le plaisir, garde le bandeau.

D’un réflexe que je ne contrôle pas, je bande. Disons que déjà le bandeau avait fait son effet mais là les mains immobilisées dans celle de la présidente, je suis un peu dans mon fantasme coupable. D’ailleurs, elle le remarque :
- Dis donc, tu t’es mis à imaginer d’un coup ou c’est autre chose ?

C’est quelques choses que j’ai toujours eu du mal à évoluer, mais disons que là, j’ai plus vraiment grand-chose à perdre. Perdu pour perdu autant prendre du plaisir en enfer :
- Euhm, je sais pas trop comment le dire. Mais le bandeau et le fait que je ne peux pas l’enlever m’excite. Mon fantasme c’est le bondage.

Je ne pensais pas que ça pouvait être aussi gênant à dire. Je me sens rougir, mon visage semblant être en fusion. Toujours avec la voix de Léna elle s’exclame :
- Ahh, le petit nerd se débloque. On va pouvoir s’amuser !

J’entends un store s’ouvrir derrière moi. Elle me prend les bras, les lève au-dessus de ma tête et me fait reculer en frottant sa poitrine contre la mienne. Quelques instants plus tard des bracelets de cuirs se referment sur mes poignets.

Sans prévenir, elle me chatouille les aisselles. Je tente aussitôt de rabattre mes bras pour stopper les chatouilles, mais dans un bruit de chaînes, il reste en l’air. Elle s’exclame :
- Par contre j’aime pas trop les poilus.

Je suis gêné, j’ai jamais eu envie de me raser ou épiler autre chose que la barbe. Et puis c’est pas comme si j’avais prévu de coucher avec la présidente française…

Un frisson me parcourt le dos. Quand elle dit quelque chose, c’est jamais vraiment par hasard.

Soudain une sorte de papier se colle sur mon aisselle droite. Je sens sa main à travers appuyer dessus de façon à ce qu’il se colle le plus uniformément possible. Elle me souffle à l’oreille d’un air sadique :
- Tu sais ce que c’est ?

Je hoche la tête, crispé comme jamais. Elle me caresse la peau, sa main frôle la feuille collante. Plusieurs fois, elle feint de l’arracher. Puis finalement c’est quand je mis attends le moins qu’elle l’arrache d’un coup sec.

Mes bras se contractant brusquement, me soulève presque de terre. Je pousse un cri de douleur, sous la brûlure du débroussage.

Mais haletant, à peine remis, que plusieurs autres se collent. Je supplie terrifié mais aussi paradoxalement terriblement excité :
- Nan, là je peux pas, vraiment s’il vous plait. Ça fait trop mal !
- Tu m’appartiens tu n’as pas le choix !
- S’il vous plaît, au moins une pause ! Je …

Avant que je ne puisse finir, un bâillon boule se glisse dans ma bouche et est cerclé derrière ma tête.

Un de mes fantasme se réalise. L’impuissance, la soumission, la torture, le bâillon, jamais je n’aurais pu imaginer que je vivrais ça.

Mon corps se met à trembler, à convulser, mon bassin s’active tout seul d’un mouvement de balancier avant arrière en même temps qu’un plaisir infini envahi tout mon corps. Quelques instants plus tard, jailli contre ma volonté une volée de vies blanches, signant l’apothéose du bonheur.

D’un coup tout retombe, et une sensation de fatigue m’achève. Je me laisse pendre par les poignets toujours maintenu dans leurs entraves de cuirs. La présidente soupire :
- Un vrai puceau. On avait à peine commencé ! T’es vraiment pas drôle !

Je n’ai même plus la force d’écouter ses caprices, avant qu’une gifle me ramène à la réalité :
- Relève-toi ! Tu m’as frustré ! Tu seras puni ! A cause de toi, je ne vais pas pouvoir m’amuser. Bon allez finissons vite fait et après je te range.

Je me relève péniblement pour éviter d’aggraver mon cas et surtout de ne pas impliquer Léna. En quelques instants elle retire les dernières bandes d’épilations. Je tortille de douleur, sans l’excitation c’est encore moins agréable qu’avant, je me crispe, gigote dans tous les sens mais rien n’arrête les mains vicieuses de cette redoutable femme.

Mais alors que je pensais, la torture terminée, une énième bande se colle sur mes poils au-dessus de mon entre-jambe.

Je hurle à travers mon bâillon. NAN ! Pas là ! Ça va faire trop mal ! Pendant que des larmes de frayeurs coulent sur mes joues, je tente d’écarter mon corps le plus loin possible de l’ennemi invisible. Mais rien n’y fait, la bande est arrachée comme toutes les suivantes qui vont éradiquer chaque brin de poils sur tout l’entrejambe et l’entièreté de mon corps.

A la fin, je tiens à peine debout. J’ai perdu toutes notions d’espaces, et je n’arrive même plus à me concentrer, je suis épuisé.
- Il y a un sommet de l’OTAN pour gérer la crise. D’ailleurs, je sais pas si tu l’as remarqué mais nous avons déjà décollé depuis un peu moins d’une heure. C’est fou comment le temps passe vite quand on s’amuse.

Elle fait une petite pause avant de continuer :
- On arrive bientôt et je ne veux pas te laisser là. Je ne fais confiance à personne, et les américains ne rateront pas l’occasion de récupérer une importante valeur stratégique. Maintenant que tu es tout nickel, ce serait dommage de te perdre non ?

Je l’entends fouiller dans un placard. Ce n’est jamais bon signe… Elle n’en a jamais sorti une bonne nouvelle.

Quelques instants plus tard, elle détache mes liens et me retire le bandeau sur mes yeux. Devant moi, de nombreuses ceintures de cuirs noir. Qu’est-ce qu’elle prépare encore ?

Je m’assois pendant que mes nerfs se relâchent. Mon cerveau est comme en pause et cesse de réfléchir. Comme si elle le savait, elle me bouge, me positionne comme un pantin. Elle me recroqueville sur moi-même, le front contre les genoux, les mains enveloppantes mes tibias.

Puis avant que je ne réalise, je suis enlacé dans les sangles de cuirs, m’immobilisant totalement. Elle me couche sur le flanc avant de lâcher :
- Tu as l’air épuisé. Mais rappel toi que tu m’as bien frustré. Alors j’espère que tu as bien profité de ce petit instant de repos.

Je sens alors un métal froid rentrer en contact avec mes fesses, puis se frayer peu à peu un chemin, vers mon anus. Toujours bâillonné, je ne peux pas protester face à l’intrusion que j’appréhende avec beaucoup d’anxiété, ni même l’éviter. Je suis immobilisé, impuissant face aux gestes pervers de la présidente.
Après quelques frictions, l’objet prend sa place, c’est si étrange, je me sens plein. Un mélange de gêne, d’excitation, de plaisir, de douleur.
Mais comme si ce n’était pas assez, elle pose devant moi un grand bagage à main rose sur roulettes renforcées. Je sens la très mauvaise idée arriver…
Et elle ne tarde pas. La présidente tape sur la valise et s’exclame :
- Là-dedans, tu seras incognito, toujours prêt de moi. Question confort, ça va être terriblement douloureux. Mais où est le fun sinon ?
Mais qui est cette psychopathe ? Comment a-t-elle pu devenir présidente ?

Elle ouvre le bagage, et le dispose à côté de moi avant de pousser un soupir de soulagement :
- Ça va rentrer tout juste.

Elle me roule dans la valise, m’appuis sur ma tête, pousse les parties de mon corps qui dépasse sans ménagement, afin que mon corps rentre dans la valise. Ensuite elle referme l’autre côté de la valise, et me replonge une nouvelle fois dans le noir. Elle n’hésite pas à monter sur la valise pour réussir à fermer totalement la fermeture éclaire heureusement renforcée vu sa brutalité.

Quand elle redresse la valise, mon corps se tasse, se replace, et ma peau rentre encore plus encore en contact avec le plastique froid.
Alors que je pensais être au bout de mes supplices, j’entends sa voix sadique :
- Si tu pensais que j’allais te laisser tranquille…

Le plug se met alors à vibrer, en émettant par moment des décharges électriques. Alors que la valise roule pour ne rien arranger, des frissons me parcourt le bas du ventre, en fait j’aime pas du tout, ça me chatouille, me démange, seul mon corps répond à l’excitation. Et il remplit le peu d’espace qu’il me reste, et augmente l’inconfort dans lequel je suis. Je crois que je suis en vraiment en enfer.

Epilogue :
A des milliers de kilomètres de là, Léna ferme la porte de chez elle et allume la télé le cœur brisé. Elle vient de perdre son deuxième coup de foudre.

Alors qu’elle pleure devant son téléphone qui repasse en boucle l’annonce de la mort d’Alexandre, derrière la télé diffuse les images de la présidente française descendre l’escalator électrique de l’avion présidentielle, un bagage à main rose à la main.

Fin

Merci beaucoup à toi d’avoir lu jusqu’au bout. J’ai vraiment adoré écrire cette histoire, et pour une fois j’en suis plutôt fière. J’ai envie d’en écrire beaucoup plus c’est pour ça que j’aimerais beaucoup un retour sur ce que tu as aimé et pas aimé afin que j’améliore les prochaines histoires.

Un épisode 2 si vous êtes chaud ! N’hésite pas à proposer de potentielles idées pour la suite…
Dernière modification par TheDeviantFlame le 22 mai 2023, 20:37, modifié 1 fois.

TheDeviantFlame
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Ce que j'adore : J'aime vivre, et ressentir les histoires que je lis, j'aime rentrer totalement dans la peau des personnages, et me sentir autant attaché et vulnérable qu'eux. Après avoir lu de nombreuses histoires en anglais et en français et notamment la plupart de ce forum, je voulais à mon tour participer à augmenter ce magnifique univers. J'aime voyager parmi les univers de tout les auteurs et découvrir de nouvelles inventions.
Ce que je déteste : Les histoires qui n'ont pas de fin ou de début, qui ne se concentrent que sur les actes érotiques. Je trouve ça sans saveur, je préfère avoir un contexte, ça permet de ressentir plus d'émotion ;).

Re: D'un extrême à un autre

Message par TheDeviantFlame »

Un peu longue celle là... :timide:

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moimoi2
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Re: D'un extrême à un autre

Message par moimoi2 »

Hello la flamme ! (plus court c'écrire comme ça :P).

Une fois j'avais pensé à créer une histoire ayant à peu près le même thème que toi (presque tous les hommes ont disparus).

Si tu veux quelques idées :

- retranscrire les brutalités des hommes sur les femmes (interdiction d'aller étudier, enfermées à la maison, femme au foyer; mariage forcé etc)
- des sortes de harem masculins ,
- comme il y a peu d'hommes, ils doivent rester dans un endroit sûr pour la survie de l'espèce humaine, peut-être inventer des "prisons dorées"
- à un certain âge, ils auraient l'obligation de donner leur sperme tous les X temps ou être obliger de s'accoupler avec X femmes ?
- on peutimaginer que parmis les hommes survivants; beaucoup sont stériles ce qui fait que les hommes encore en possibilié de procréer sont encore plus rares, (trafic etc.).


Voilà pour les idées. En fait l'idée est simple : prendre tout ce qui a été fait aux femmes dans l'histoire de l'humanité et le retranscire aux hommes. Une sorte d'inversion des rôles si je puis dire.


Amse toi bien pour la suite ! il y a beaucoup à faire ^^

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BondageStef
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Ce que j'adore : Être attaché les poignés dans le dos, ainsi que les chevilles, les genoux, et le torse. Et tenter désespérément de me libérer le temps que ma femme décide enfin de venir me taquiner avant de me libérer.

J'aime tout type de lien, mais mes préférences se tournent plutôt vers les menottes (pour leur côté rapide et efficaces), mais surtout vers les cordes (chanvre, coton, polypropylene...) qui permettent une immobilisation beaucoup plus efficace avec une sensation sur la peau très agréable.

J'apprécie depuis peu les bâillon boule, car je trouve que ça renforce grandement l'impression de vulnérabilité du fait de ne pas pouvoir l'enlever une fois les mains bien attachées.

J'adore mon chat également, à part quand il vient me déranger pendant un bondage...

Et j'adore surtout ma femme qui me permet de m'épanouir encore plus dans mon amour pour les liens !
Ce que je déteste : Un bondage trop facile à défaire. J'en ai déjoué un paquet, même difficile au premier abord, mais cela devient de plus en plus rares grâce à l'expérience grandissante de ma femme (pour mon plus grand plaisir), et ma capacité à pratiquer le self bondage de manière toujours plus efficace.

Je n'aime pas non plus tout ce qui s'apparente à du SM hard. La domination doit rester très soft pour que j'apprécie.

Je déteste les courbature pendant un bondage, notamment les douleurs à l'épaule, ce sont elles qui limitent le temps à ne pas dépasser lors de mes séances de ligotage.
C'est pourquoi il est très important de connaître ses limites avant de pratiquer les jeux de liens en étant abandonné ! Toujours prévoir une issue de secours pour se libérer !
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Re: D'un extrême à un autre

Message par BondageStef »

Salut, merci pour l'histoire. Franchement, j'ai bien accroché, j'espère que tu trouvera le courage de continuer.
L'idée de départ est excellente et permet plein de portes ouvertes à pleins de fantasmes les plus fous :bravo:

Ça me rappelle un jeu vidéo que j'ai découvert en VR (mais qui peut aussi se jouer sur écran) qui s'appelle "Femdomination 2" et développé par Citor3...

C'est plutôt des vidéos qui se succèdent qu'un vrai jeu à vrai dire...

On y incarne un jeune homme (vu à la 1ère personne, 3ème personne, ou différentes caméras extérieures, selon l'envie) qui est tombé en panne près d'un manoir avec sa copine, et ils ont la mauvaise idée de s'y aventurer pour chercher de l'aide.

Car dans ce bâtiment, ce sont des femmes qui attrapent des hommes pour les dominer sexuellelent....
Les scènes sont folles et dégentées par moments, et notre pauvre (ou chanceux selon les situations :twisted: ) esclave se retrouve prisonnier ou attaché dans divers positions afin d'être abusé sexuellelent.

Je me souviens d'une scène où il est transporté attaché sur un fauteuil roulant, et après avoir croisé un autre esclave attaché pareil, mais circulant dans l'autre sens, avec le visage choqué et très fatigué, il se retrouve branché à une machine le masturbant pour y prélever sa semence, avec un hologramme d'une femme devant lui pour le stimuler ...
On comprend alors l'état d'épuisement dans lequel était l'esclave qu'on vient de croiser :o
C'est cette scène qui m'a fait penser à ton histoire....

Voici quelques vidéos pris au pif sur le net pour s'en faire une idée (attention, pour public averti :twisted:)...

https://fr.redtube.com/40756431

https://www.xnxx.com/video-12gl4721/fem ... re_le_sein

Et pour finir, la vidéo avec le fauteuil roulant :
https://www.xnxx.com/video-12gkzl69/fem ... ce-fiction

Peut-être que tu pourrais y trouver de l'inspiration pour la suite.... ;)

Par contre, le jeu n'est pas donné : 40 eur, ça fait très cher.
Mais il y'a assez de vidéos qui circulent sur le net pour y découvrir les scènes sans payer ;)
Quand je pense qu'il existe des personnes dans ce monde qui peuvent toucher une corde sans penser un seul instant au bondage :shock:
Comme je les plains :tap: Elles ne savent pas ce qu'elles loupent :admire: :police: :bandeau: :gagged:

TheDeviantFlame
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Ce que je déteste : Les histoires qui n'ont pas de fin ou de début, qui ne se concentrent que sur les actes érotiques. Je trouve ça sans saveur, je préfère avoir un contexte, ça permet de ressentir plus d'émotion ;).

Re: D'un extrême à un autre

Message par TheDeviantFlame »

Merci beaucoup pour vos retours, je vais réfléchir à suite ! :D ;)

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