Histoire destinée aux personnes majeures. Thèmes principaux : Plant Vore, Sexe, Violence
Résumé : Alors que Sara se rends à son premier rencard, la planète Terre s’éveil, et pour se venger des humains les « absorbent » tous jusqu’au dernier.
Jeudi 8 avril 2104, 17 h 29 (heure de Paris) : Une météorite indétectée de tout télescope, et radar, pénètre dans l’atmosphère de la Terre.
18 h 09 : Le rocher flamboyant aux éclats violets percute la surface de l’océan Atlantique. L’onde de choc provoque une immense vague de plusieurs kilomètres de haut. Mais avant que les puissances mondiales ne détectent la catastrophe, l’immense vague est absorbé dans un silence macabre par une force invisible.
18 h 40 : La roche fumante s’écrase dans les obscurs fonds marins. Sous l’épaisse fumée soulevée par l’impact, un liquide d’une couleur néon violet s’écoule par les dizaines d’orifices en fusion de la pierre. Puis s’enfonce dans le sable et disparaît sans laisser de trace.
19 ans et quelques mois plus tard, tout le monde ignore encore ce qu’il s’est passé cette soirée-là, même Sara qui est né à l’instant où la météorite est entrée en contact avec l’océan. Pourtant tous en subiront les conséquences dans les prochaines heures.
Je me regarde, dans le miroir, satisfaite, j’essaye une robe noire de soirée avec une jupe descendant à mi-cuisse. Elle ressort parfaitement avec mes longs cheveux blonds. Les bottes noires à talons, montantes jusqu’au-dessus de mes genoux me donne un air bad bitch que j’adore.
Ça va être mon premier date et je veux lui en mettre plein la vue. Je ne pensais jamais pouvoir matcher un mec si parfait, je n’ai pas le droit à l’erreur. Déjà il était si beau, mais il avait l’air si intelligent et serviable, le combo normalement utopique.
En me déshabillant, je laisse mon esprit divaguer sur un futur couple idéal. 19 ans pour une première histoire c’est peut-être un peu tard, mais la tête dans mes études et dans mes bouquins, c’était loin d’être mon objectif. Mais disons que d’une part ma vie sexuelle a évolué, j’ai envie de d’explorer un peu plus que mes doigts, mais surtout le goût des livres m’a passé remplacé par la solitude que je ne supporte plus. Je deviens folle, seule dans mon appartement, j’ai besoin d’une présence, d’être amoureuse, d’être aimée.
L’occasion de rencontrer quelqu’un a mis tant de temps à arriver, en fait je me suis rendu compte que dans ce domaine subtilement codifié, le retard est très difficile à rattraper.
Je suis tellement peu habitué à ce genre de rendez-vous que ce n’est que seulement ce matin, que je me suis rendu compte que je n’avais rien d’approprié à porter.
Quand je passe à la caisse, le rendez-vous n’est que dans deux heures, j’ai passé la journée au centre commercial à trouver LA tenue. Avec les transports en commun, je vais juste avoir le temps de rentrer pour me préparer, et de repartir.
Dans le bus je serre le sac contre moi, imaginant tous les scénarios possibles du déroulé du rencard. Je ne sais pas vraiment comment réagir, quoi dire, que faire. Je pense que je vais juste me laisser guider le temps d’être en confiance, puis après on verra.
Une heure et demie plus tard, je suis habillé et maquillé devant ma porte, la boule au ventre. Pourquoi c’est si compliqué de rencontrer quelqu’un pour la première fois ?
J’ouvre la porte, sors, mais quand j’insère la clé dans la serrure, le ciel s’assombrit brutalement, deux tours de clés plus tard, sans pluie des orages grondent.
Le stress et la météo me font longuement hésiter à annuler le rendez-vous. Mais après quelques instants je me convaincs que j’ai mis trop de temps à me préparer pour me retourner sur mon pas de porte.
Je m’élance dehors déterminée sous l’orage qui se prépare. J’espère ne pas rentrer sous la pluie. Dans le bus, l’orage se met à gronder toujours plus fort avant qu’une puissante averse l’accompagne, je regrette fortement d’avoir oublié de prendre un parapluie.
Soudain, les nuages noirs assombrissant profondément le ciel, disparaissent d’un coup révélant brutalement le soleil d’été dans un flash éblouissant. Une puissante voix tonitruante s’écrit :
- Depuis 19 ans que je vis, vous m’avez ouverte, pénétrée, utilisé, pourrie, salie, sans jamais rien me rendre. J’ai été patiente mais je ne supporte plus, vous me faites trop mal. Je dois faire le ménage, vous devez me rendre ce que vous m’avez pris. Toutes vos vies m’appartiennent.
Je ne comprends pas ce qu’il se passe, qui parle, d’où vient cette voix ? De quoi parle-t-elle ? Soudain le sol se met à trembler. Le bus se met à piler devant une profonde faille venant d’apparaître.
Le sol tremble de plus en plus fortement, je suis terrifiée. Je regarde horrifié par la fenêtre des lianes sortirent des failles. Elles glissent sur le sol comme des serpents, d’ailleurs chacune se dirigent vers les premiers passants qu’ils croisent.
Quelques instants plus tard, leurs pointes s’ouvrent pour laisser sortirent de plus petites lianes qui, plus vivent, s’enroulent autour des chevilles de tout ce qui bouge. Les gens hurlent, se débattent mais tous impuissant s’effondre sur le sol. Les proies sont ensuite attirées dans la gueule des grosses lianes par les plus petites.
Plus les gens se rapproche de la gueule des lianes, plus les plus petites s’enroulent autour d’eux jusqu’à immobiliser quasiment totalement leurs cibles. Elles semblent laisser sur leur passage un dissolvant qui dissous tout leur vêtement, les laissant nu face à la mort.
Dans le bus, les gens s’affolent, hurlent, crie. Les plus fous sortent leurs téléphones et filment la scène comme s’ils pourraient la revoir plus tard… D’autres tentent de colmater les différents accès par des sacs et des manteaux. Moi je suis paralysé par la scène d’horreur et la peur.
Dans un élan de folie, le conducteur, ouvre les portes à l’avant, et s’enfuie en courant, malgré mes talons, je le suis désespérée.
Cent mètres plus loin, je me retrouve seul au milieu de la route, titubant maladroitement encore trop peu habitué à porter des talons, cherchant désespérément un refuge.
Soudain je me raidis, je sens s’enlacer quelques choses autour de ma cheville droite. Je baisse doucement les yeux, terrifié de ce que je risque de voir.
Mon cœur s’arrête quand je vois une liane s’enrouler autour de ma botte m’immobilisant, et une dizaine d’autres commencer à faire de même.
Je tire désespérément, impuissante avant qu’avec assez de prise sur mes deux jambes, les lianes tirent d’un coup sec et me font tomber à la renverse sur le bitume de la route.
Je m’accroche à tout ce que je peux, pour résister à la traction fatidique. Mais je sens les lianes remonter, s’enrouler autour de mon bassin puis autour de ma poitrine. Elles se saisissent finalement de mes poignets avant de les immobiliser dans mon dos.
Je me mets à sentir l’air frais sur mes chevilles, puis mes fesses, puis ma poitrine. Sur le moment, je suis stupidement dégoûté que cette plante bousille la super tenue que je viens d’acheter il y a seulement deux heures.
Mais quelques instants plus tard, je redescends brutalement sur terre quand pendant que mes seins frottent douloureusement sur la route, je me retourne pour voir, effarée, mon corps nu n’être qu’à quelques centimètres d’une gueule grande ouverte.
Je tente de me débattre, mais avec chacun de mes membres immobilisés, je ne fais qu’empirer les choses.
Quand mes pieds nus, rentre en contact avec la gorge chaude du monstre, les petits tentacules ont dissout toute ma tenue et je suis totalement nue. Le contact chaud et humide, me fait tressaillir. Je ferme les yeux, anéantie. C’est fini, je vais mourir.
Les liens organiques enserrant l’entièreté de mon corps, commence à se resserrer fermement. Je hurle de douleur, tellement le cisaillement me saucissonne. Là maintenant je ne peux même plus bouger un muscle, c’est même se demander si je peux sentir mon corps.
Le corps menu peine à me faire entrer dans sa gorge. C’est comme si j’essayais de rentrer à deux jambes dans une seule manche d’un collant.
La bête tire et lentement ses lèvres engloutissent mes chevilles puis remontent mes jambes. A ma grande surprise, la sensation est agréable. L’impression de rentrer dans une confortable couette chaude.
Mais pour autant cette sensation ne me rassure pas. Je tente désespérément de ramper dans le sens contraire, mais rien n’y fait. La bouche remonte et passe mes genoux. Je perds ainsi le peu de prise au sol que j’avais.
Une larme coule sur ma joue, alors que j’abandonne, tout espoir disparu. Je ferme les yeux, et relâche chaque muscle de mon corps crispé. La douleur cisaillante des lianes semblent alors s’adoucir.
Pour faire disparaître la peur et rendre agréable mes derniers instants, je me concentre sur l’aspect agréable de l’intérieur des joues de la bête. A nu sur le sol, je commence à être frigorifié et la bouche semble être le seul refuge à cette sensation désagréable.
Dans un à-coup, les lèvres passent mes petites fesses. Je sens alors me chatouiller un tentacule chaud remontant le long de mes jambes. Je me dandine pour tenter en vain de le repousser.
Il s’approche de mon entre-jambe, je hurle de frayeur quand je comprends ce qu’il veut faire. Je me débats, mais rien n’y fait je suis piégée et sans que je ne puisse rien faire, la liane perverse rentre dans mon vagin. Elle remut, gonfle, vibre. Sous le plaisir et les chatouilles non désiré je me débats, cri, pour tenter de retirer le ver.
Les lèvres aidées de mes mouvements, remonte rapidement jusqu’à ma poitrine avant de gober, un par un, chacun de mes deux seins.
Je me raidis une nouvelle fois quand une je sens un deuxième indésirable, remonter l’estomac du monstre. Cette fois il se glisse avec force dans mon anus. Et sans me laisser le temps de respirer après ce premier passage en force, il s’enfonce longuement, me démangeant terriblement.
Les lèvres de la plante, s’enroulent autour de mon cou, sans pour autant laisser du mou, et se colle fortement à ma peau, l’enserrant comme un cocon. Pendant que j’halète, fortement stimuler par les pénétrations vaginales et anales, je ne me rends pas comptes, que mon visage disparait sous la peau de liane. Avant que les lèvres ne se referment derrière ma tête.
Je suis alors asphyxié, ma bouche et mon nez obstrué par le corps du végétale.
Je cherche désespérément de l’air, sur le point de perdre connaissance, quand une troisième liane, s’engouffre dans ma bouche, gonflant pour la remplir entièrement avant de souffler un air chaud dans ma gorge.
Je sens sous la peau, du serpent végétal, le sol glisser. Peu après, peut-être à cause d’un gaz aphrodisiaque ajouté à l’air que je respire, je perds le fil du temps, la raison. Une seule chose occupe mon esprit : le plaisir que me procure les trois corps étrangers qui pénètrent mon corps.
Mon entre-jambe est à bout et n’attends que d’être libérer de ce plaisir si intense. Pourtant à chaque orgasme, la sensation semble empirer, à chaque respiration, à chaque fois que je mords nerveusement dans le bâillon, je perds un peu plus de ma personnalité et devient un peu plus dépendante du plaisir de cette plante.
Orgasme après orgasme, je me sens disparaître dans les entrailles de la terre, le corps brûlant.
La Terre a absorbé l’énergie de chaque homme et de chaque femme la peuplant, l’exfiltrant par le plaisir sexuelle des deux genres. En quelques années, elle répare tout ce que l’espèce disparue avait détruite et anéantie, repeuple les espèces animales en voie de disparition, et redevient le paradis sauvage d’avant l’arrivée destructrice des humains.
La vengeance est un plat qui se mange chaud
Règles du forum
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
-
- Régulier(ère)
- Messages : 17
- Inscription : 07 août 2022, 18:37
- Ce que j'adore : J'aime vivre, et ressentir les histoires que je lis, j'aime rentrer totalement dans la peau des personnages, et me sentir autant attaché et vulnérable qu'eux. Après avoir lu de nombreuses histoires en anglais et en français et notamment la plupart de ce forum, je voulais à mon tour participer à augmenter ce magnifique univers. J'aime voyager parmi les univers de tout les auteurs et découvrir de nouvelles inventions.
- Ce que je déteste : Les histoires qui n'ont pas de fin ou de début, qui ne se concentrent que sur les actes érotiques. Je trouve ça sans saveur, je préfère avoir un contexte, ça permet de ressentir plus d'émotion ;).
- Mad Hatter
- JdL, c'est ma vie
- Messages : 1988
- Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
Re: La vengeance est un plat qui se mange chaud
Pourquoi est-ce que je pense au Sarlac dans Star Wars ?= Dans son ventre vous découvrirez une nouvelle définition de la souffrance et de la mort en étant digéré pendant plus de mille ans.
- Tout compte fait je ne suis pas chaud là.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham

les synonymes de fou sont intéressants
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham

les synonymes de fou sont intéressants

-
- Régulier(ère)
- Messages : 17
- Inscription : 07 août 2022, 18:37
- Ce que j'adore : J'aime vivre, et ressentir les histoires que je lis, j'aime rentrer totalement dans la peau des personnages, et me sentir autant attaché et vulnérable qu'eux. Après avoir lu de nombreuses histoires en anglais et en français et notamment la plupart de ce forum, je voulais à mon tour participer à augmenter ce magnifique univers. J'aime voyager parmi les univers de tout les auteurs et découvrir de nouvelles inventions.
- Ce que je déteste : Les histoires qui n'ont pas de fin ou de début, qui ne se concentrent que sur les actes érotiques. Je trouve ça sans saveur, je préfère avoir un contexte, ça permet de ressentir plus d'émotion ;).
Re: La vengeance est un plat qui se mange chaud
Une bonne ref, certes mais celle dont je me suis inspiré. J'ai lu et vu beaucoup d'histoire à propos de Voreplant qui m'ont fasciné. Genre ce style là : https://www.deviantart.com/a-020/art/Ju ... -351883141
Je suis dégoûté j'ai pas trouvé ce que je voulais mais voilà un belle exemple.
Je suis dégoûté j'ai pas trouvé ce que je voulais mais voilà un belle exemple.