Deux soeurs mais un seul jeune homme

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MacWilly
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Deux soeurs mais un seul jeune homme

Message par MacWilly »

INTRODUCTION : Voici une histoire qui remonte à l’époque où ma petite amie était Cathy. Il y a déjà plus de 20 ans ! C’est Cathy qui m’a raconté cette histoire, en m’affirmant qu’elle est vraie. Je n’en suis pas totalement convaincu car je sais que Cathy était parfaitement capable d’inventer cette histoire pour me faire une leçon de morale.

Plantons le décor : Irina et Natacha sont des amies d’enfance de Cathy. Ces deux sœurs se ressemblent. Toutes les deux sont des brunes aux yeux verts. Irina a 25 ans, Natacha a 24 ans. Elles mesurent environ 1m75 et elles sont superbes, toutes les deux. Elles ont des parents très aisés. Pour donner une idée, l’étage de leur maison est traversé par un couloir et il y a quatre pièces de chaque côté du couloir. Trois de ces pièces sont des chambres à coucher, trois servent de chambre d’amis, une sert de grenier et la dernière sert de bureau-bibliothèque. Je ne parle même pas des salles de bains et salles d’eau.

A cette époque, Natacha était vraiment amoureuse de son petit ami, Paul. Paul était un gars bien, je pense. Il gagnait confortablement sa vie dans son cabinet vétérinaire. Natacha était sûre qu’il la demanderai prochainement en mariage. De son côté, Irina, bien qu’elle soit l’ainée, se désolait de ne pas avoir de petit ami. Belle et riche elle pouvait très facilement s’en trouver un mais elle voulait un fiancé qui soit un homme bien.

Je n’ai rencontré ces deux belles filles que deux fois dans ma vie. Cathy savait très bien qu’Irina rêvait d’avoir un ami intègre, qu’elle était seule, très belle et riche. Irina était vraiment beaucoup plus belle, plus élégante et plus riche que Cathy. Cathy me faisait confiance mais elle ne voulait pas tenter le diable.

Maintenant, laissons la parole à Natacha.


Natacha raconte

18h34

Je me réveille sur mon lit, dans ma chambre. Je suis couchée sur mon ventre. Je sens des cordes qui serrent mes poignets, des cordes qui serrent mes bras, sous mes coudes et au-dessus de mes coudes. Des cordes entourent mon buste au-dessus et en-dessous de mes seins, autour de mon abdomen. Je ne peux pas bouger mes bras. D’autres cordes entourent mes jambes, juste au-dessus de mes genoux. Des cordes retiennent mes chevilles croisées l’une contre l’autre. Des cordes relient mes chevilles à mes poignets et me plient les genoux. Je suis complètement immobilisée par ces cordes. Dans la position de la crapaudine (*). Une boule de mousse me remplit toute la bouche. Mes lèvres sont collées ensemble par des bandes adhésives qui entourent ma tête, de la bouche à ma nuque. Je suis efficacement bâillonnée.

Je portai un chemisier blanc imprimé de grandes fleurs bleues, une jupe courte en jean, un collant couleur ivoire semi opaque et des ballerines bleu marine.

Je me rappelai que vers 16 ou 17 heures je prenais une tasse de thé et une tranche de gâteau en compagnie d’Irina. Ensuite je me suis sentie très fatiguée. J’étais remontée dans ma chambre où je m’étais effondrée sur mon lit. Irina m’aurait-elle droguée ? M’aurait-elle administré un somnifère ? Pourquoi ?

Et surtout pourquoi suis-je ligotée et bâillonnée ?

(*) De nos jours les anglais disent hogtie.


18h41

Ma sœur Irina entre. Je l’appelle à l’aide.
- mmmmppff ??, mmmm !!, mmmmppff ??

Irina sourit nonchalamment :
- Ah, tu es réveillée. Tu aimes ma tenue ? Escarpins noirs à talons compensés, collant brillant de couleur argent, jupe en cuir noir, ceinture en cuir argentée, chemisier noir, en soie, à manches courtes, gants noirs de type opéra, collier en argent et cheveux teints en roux. Je précise, jupe faite sur mesure chez Rosa-Shoes. Elle est tellement étroite que je ne peux plus monter une marche d’escalier sans me tortiller. Regarde :

Irina me montre que vraiment elle ne peut écarter ses genoux que de quelques centimètres. Sa jupe est vraiment étroite.

- mmmmppff ??, mmmmppff ??


Irina me regarde sévèrement.
- Tu vois, je veux un fiancé qui soit beau, élégant, avec des valeurs morales, qui est attentionné, qui a un beau métier et qui gagne bien sa vie. Les hommes de ce calibre sont rares. Mes chances de rencontrer un homme célibataire de cette catégorie, sont faibles. Je suis ton ainée. Alors j’ai décidé de te voler Paul.
Ce soir !

- mmmmppff !!, mmmmppff !!
- Je sais, c’est indigne. Ce n’est pas correct.
Si j’échoue tu n’auras pas grand-chose à me pardonner.
Par contre si je réussi à séduire Paul, j’espère que tu pourras me pardonner. Tu vois, j’aime vraiment Paul. Si tu le veux, une fois que Paul sera avec moi, je quitterai pour de bon cette maison pour faire ma vie avec Paul.

- mmmmppff !!, mmmmppff !!

- J’ai soigneusement planifié la soirée. Regarde :
Nos parents sont en voyage et ne nous dérangerons pas. J’ai invité Paul pour 19 heures.
J’ai mis tes vêtements et je me suis coiffée comme toi pour me faire passer pour toi. Ensuite j’ai préparé des photos avec ce crétin de Gustave pour faire croire à Paul que tu le trompes.
J’ai étudié les passions de Paul pour l’entretenir ce soir. Par exemple je peux lui parler de vins blancs, rosés ou rouges. Je me suis aussi documentée sur les vins jaunes, gris et même les vins verts !
J’ai étudié ses gouts. J’ai préparé ou fait livrer les plats qu’il adore.

- mmmmppff !!, mmmmppff !!

- Je te laisse une chance de gagner. Libère-toi de tes liens et viens me confronter. Dans ce cas je me retire et tu gardes Paul.

- Regarde le clou final. Des bracelets en argent de la marque Gucci.

Irina sort un bracelet en argent d’un boitier et se le met au poignet. Puis un deuxième bracelet.

- mmmm ??, mmmm ??

- Oui ! Tu vois bien ! Je me suis réellement enchainée. Avec des menottes en argent de la marque Gucci. C’est classe, non ? Les menottes ne me permettent d’écarter les poignets que de 10 centimètres, au plus. La clé est dans ma chambre. Du diable si Paul me laisse enchainée.

Irina se dirige lentement vers la porte. Il est 18h50. Paul va bientôt arriver.
- Je passerai vers minuit pour te souhaiter une bonne nuit. D’ici là, amuse-toi bien dans tes liens.

18h53

Je n’en revenais pas ! Ma sœur m’a ligotée et bâillonnée. Elle a élaboré un stratagème pour me voler Paul. Et c’est pour ce soir.

18h59

Si cette teigne arrive à convaincre Paul que je le trompe il me quitte. Il n’y a pas de doute à ça.
Je tirais vivement sur mes liens. Je tirais furieusement sur mes liens. Je tentai de me dégager. Je gesticulais, je sautillais, je me tortillais, je me trémoussais de toutes mes forces. Bien sûr tous ces mouvements étaient peu importants.
Dix minutes plus tard je me laissais retomber sur mon lit. Essoufflée. Des gouttes de sueur perlaient sur mon front. J’étais toujours solidement attachée.

Pendant que je reprenais mon souffle je pensais qu’il me restait une petite chance. Paul ne me quitterais peut-être pas sans m’avoir questionnée. Mais j’étais sûre que cette vipère avait bien arrangé ses photos et je connaissais le pouvoir de persuasion de ma sœur. Je ne nourrissais que peu d’espoir.

19h15

Je tentais encore de me libérer. Désespérément. Je tirai de toutes mes forces sur mes liens. J’avais l’impression que plus je tirai sur mes liens plus ils se serraient.
Je soufflais.

Je comprenais que la peste de sœur a fignolé son plan. Paul a une fascination pour les cheveux roux. Je lui avais demandé s’il voulait que je me teigne les cheveux en roux. J’étais prête à le faire pour lui. S’il l’avait voulu je n’aurais pas hésité.
Il m’avait répondu :
- Tu as de très beaux cheveux noirs. J’aime regarder les reflets brillants dans tes cheveux.
J’avais compris qu’il m’aimait telle que je suis, avec mes cheveux noirs. J’ai gardé mes cheveux noirs. Cette emmerdeuse n’a pas hésité, elle. Elle s’est fait des cheveux roux.
Je regrettais maintenant de ne pas m’avoir teint les cheveux en roux.

19h26

J’appelais à l’aide. De toutes mes forces.

- mmmmppff !!, mmmmppff !!, mmmm !!, mmmmff !!, mmmmppff !!

Inutile.
Cette salope m’a bien bâillonnée. Peut-être même que la vipère a prévu une ambiance musicale. Aucune chance que Paul m’entende un étage plus bas. Aucune chance non plus de me débarrasser de mon bâillon. Elle a choisi les bandes adhésives les plus collantes qu’elle a trouvées et elle les a doublées avec les bandes les plus solides qu’elle a trouvés.

19h31

Il faut que je réfléchisse. Je dois absolument me libérer.
Comment faire ?
Je ne peux atteindre aucun nœud.
Mes mains sont solidement attachées dans mon dos. Je ne peux rien atteindre. Je pourrais me glisser en bas de mon lit. Je pourrais ramper ou rouler sur le sol mais quel intérêt ? Je ne pourrais toujours rien atteindre d’utile. Je pourrais aller jusqu’à la porte mais je ne pourrais pas atteindre la poignée, attachée comme je suis. Je ne pourrai pas ouvrir la porte.
Finalement autant rester sur le lit, ce sera toujours plus confortable que le sol.

J’ai une bague à mon doigt. Elle n’est pas coupante mais son chaton présente des arêtes. C’est tout ce que j’ai. OK. J’essaie d’user les cordes avec. Les cordes que je peux atteindre. Les maudites cordes qui relient mes chevilles à mes poignets.

20h03

Je pensai à toutes ces filles qui rencontrent un gars bien, avec une bonne situation. Elles l’épousent puis elles aiment la vie confortable que ce gars leur apporte. Oui, elles aiment bien ce gars, ou même elles l’aiment. Mais l’amour, le vrai est rare. Très rare. Le vrai amour est celui qui surmonte tous les obstacles. Il y a des exemples dans la littérature. Par exemple Esméralda et le bossu de Notre-Dame. Cette garce est en train de me voler le vrai amour, mon avenir, mon avenir à côté de Paul, en ce moment même, littéralement sous mes pieds, alors que je suis ici, attachée et impuissante.

La colère m’envahi. La rage me submergea.

Je tirai comme une folle sur mes liens. Je me tortillai, je gigotai, je me trémoussai, je luttai de toutes mes forces.
« Saletés de cordes, vous allez céder, oui ? »

Dix minutes tard, j’étais essoufflée, couverte de sueur, mais toujours aussi solidement attachée. Ces saletés de liens n’avaient même pas bougés.

Je pleurai.

Je comprenais qu’elle avait minutieusement préparé son plan. Je comprenais aussi pourquoi je n’arrivais pas à me libérer. Il y a cinq jours elle avait insisté pour que nous regardions ensemble le film qu’elle avait choisi. Dans ce film une jeune fille se faisait enlever puis ligoter. Elle se débattait mais elle restait attachée longtemps avant d’être sauvée par le héros. Le film terminé, Irina a feint d’être indignée.
- Ridicule ! Cette sotte n’avait qu’à tirer un peu sur ses liens pour se libérer. D’ailleurs je vais te le montrer !

A ce moment, comme par magie des cordes sont apparues dans les mains de ma sœur comme si elle les avait sorties d’un chapeau invisible. Elle m’avait tendu ces cordes, elle avait mis ses mains derrière son dos. Elle m’avait commandé de l’attacher.
Je l’avais attachée sans enthousiasme car cela ne m’amusait pas.

Après quelques minutes d’efforts ma sœur s’était libérée. Elle m’avait tancée :
- A mon tour. Je parie que toi aussi tu te libères en quelques minutes.
Ma sœur m’avait attachée mais elle avait soigneusement ajusté et serré les cordes.

Après dix minutes j’étais toujours solidement attachée et ma sœur me délivrait. Elle affichait une mine contrariée.
- C’est curieux, après dix minutes tu es toujours attachée ?

Je comprenais maintenant la perversion de cette manœuvre. En réalité ma sœur avait testé sa capacité à me ligoter.

20h14

Je tenais ma bague dans mes doigts. Je frottais péniblement les cordes avec. Avec des liens si rudement serrés autour de mes poignets mes doigts se fatiguaient vite. Je devais faire plus de pauses que je passais de temps à frotter mes liens.

20h17

J’enrageais. Elle avait méticuleusement préparé sa machination. Vêtements, maquillage, coiffure, elle n’avait rien négligé. Jusqu’à sa jupe entravée. Jusqu’à se mettre elle-même des menottes en argent. Paul pouvait-il réellement laisser une courtisane enchainée ? Je voulais garder un espoir au fond de moi-même mais cet espoir était minuscule.

Je tressautai violemment dans mes liens. Ces saletés de liens ne cédaient pas, ne se desserraient pas.
Je restais attachée.

Je me demandais ce que je donnerais pour être libre. Ou plutôt je me demandais ce que je ne donnerai pas pour être débarrassée de ces liens, pour pouvoir aller confondre ma rivale, pour sauver mon avenir aux côtés de mon aimé. Oui, à ce moment j’aurais tout donné pour être libre.
Mes liens étaient tellement solides, tellement serrés.

Je tenais ma bague dans mes doigts et j’usais lentement, très lentement les cordes qui m’attachaient les chevilles aux poignets. J’étais décidée à lutter jusqu’au dernier moment pour sauver mon amour. Pas question de renoncer sans avoir tout tenté.
Enfermée dans mes liens cruels je rageais de ne rien pouvoir tenter, sauf peut-être la dérisoire tentative avec ma bague.


23h00

La nuit est tombée. La Lune éclaire faiblement ma chambre. Je sens au toucher que les cordes qui attachent mes chevilles à mes poignets se sont bien effritées. Elles vont bientôt céder.

23h34

Les liens qui relient mes poignets à mes chevilles cèdent enfin. Enfin ! Je peux de nouveau étendre mes jambes. Il me reste encore une toute petite chance de sauver mon amour.
Je comprends pourquoi cette salope m’a croisé les chevilles. Je ne peux pas me mettre debout, les chevilles croisées. Je tire sur mes liens et j’arrive à décroiser mes chevilles. Je me mets debout. C’est vraiment douloureux. Tant pis, je serre les dents et je sautille vers la porte.

Je prends la poignée de la porte dans mes mains et je découvre que je suis enfermée dans ma chambre. Les liens de mes chevilles me brûlent. Je sautille vers mon lit. Je me laisse tomber dessus et je soulage la douleur de mes chevilles en les croisant de nouveau.

Quelle garce ! Elle m’a ligotée, elle m’a bâillonnée et elle m’a aussi enfermée.

00h08

Je suis épuisée. J’ai faim. J’ai soif. Mes cheveux sont décoiffés. Je sens mauvais (à cause de toute la transpiration). Je devine que mes yeux sont rouges à cause de toutes les larmes. Ma jupe est remontée sur mes reins, mes fesses ne sont plus couvertes que par mon collant (je ne portai pas de petite culotte ce jour). Mon chemisier ne couvre plus mon ventre. Mes doigts sont engourdis. Mes liens me sont rentrés dans les chairs et me brulent. Mes bras sont attachés dans mon dos depuis de longues heures et mes épaules me font mal. Je suis toujours solidement attachée et bâillonnée.
Que puis-je encore faire ? Plus rien !

Ce n’est même pas tout. Je vais devoir passer la nuit dans ce triste état. Attachée, bâillonnée, impuissante, misérable, seule, trahie, abandonnée.
Je frissonnai.

Le désespoir me gagne. Quelle chance reste-t-il que cette putain ne m’ait pas volé Paul ? A l’heure qu’il est ?

Mes yeux s’embuent.

00h17

Je suis couchée sur mon lit, les yeux remplis de larmes. J’entends une clé qui tourne dans la serrure de la porte. Paul entre. Il allume la lumière.

- Coucou Natacha, je venais voir si tu étais bien installée pour la nuit.
Je répondis faiblement.
- mmmm ??
- Ta sœur ? Elle est couchée sur son lit. Elle m’attend.

Paul s’approche lentement de moi. Je vois mes rêves, mes derniers espoirs s’envoler. La scélérate a gagné. Les larmes me coulent sur les joues.
Paul m’assoit délicatement sur le lit.
- Attachée pendant toutes ces heures, tu as bien sûr pensé que ta sœur faisait de son mieux pour me séduire ?
« Tu lui as cédé. N’en rajoute pas. »
Paul s’est placé derrière moi. Il commence à enlever les bandes adhésives du bâillon.
- Je lui ai donné ce qu’elle cherchait.
« Elle a gagné. »
Paul enlève la dernière bande adhésive. Il revient devant moi. Il voit mes larmes qui coulent sans retenue. Il a un brusque mouvement de recul.
La peur se lisait facilement sur son visage.

- Tu n’as tout de même pas sérieusement pensé que je te trahirais et que je te tromperais à la première occasion venue ? Natacha, c’est toi que j’aime.

Electrochoc ! Ces mots me firent comme un électrochoc !

La boule de mousse qui remplit ma bouche me plaque la langue ‘en bas’ dans ma bouche. Je ne peux pas la cracher et je suis toujours bâillonnée. Paul s’en rend compte et me sort cette fichue boule de la bouche. Je soufflais :
- Ma sœur ?
-Je l’ai enchainée sur son lit. Et pour faire bonne mesure je l’ai aussi bâillonnée. Elle l’a bien cherché, je pense ?

Je ressentis une immense envie de me jeter contre lui, de mettre mes bras autour de lui. Je murmurais :
- Détache-moi !

Je me tournai pour lui présenter mes liens qui m’attachent les bras et les poignets depuis si longtemps. Il commence à me délivrer.

Pendant que Paul me délivrait mon cœur explosait de bonheur.
« Enfin libérée de ces maudits liens. » « De ces satanés liens qui me retiennent prisonnière depuis près de 6 heures. » « Délivrée par l’homme que j’aime. » « L’homme qui vient de me prouver son amour de manière merveilleuse. »

Dès l’instant où mes bras furent libres, je me jetai contre lui. Sans attendre que mes jambes soient détachées. Je le serrais dans mes bras. Il m’entoura de ses bras.

Le bonheur que je ressentais à cet instant était au-delà de ce que je pensais possible.

Après de longues minutes, il me repoussa délicatement et pris ma main gauche dans ses mains. Il déposa des baisers sur ma main, la massait doucement. Il massait délicatement mon poignet toujours endolori.

-Laisse-moi essayer de me faire pardonner de ne pas être venu te délivrer plus tôt.
-Tu ne m’as pas quittée. Tu es venu me délivrer.

Il me tourne gentiment la main pour que je voie le dos de ma main.

J’y vis une bague sur mon annulaire. Une bague que je n’avais jamais vue. Une bague de fiançailles !

Une nouvelle vague de bonheur m’inonda. Je me laissais dériver dans la mer de bonheur que j’éprouvai. Un bonheur d’une ampleur que je ne savais pas être possible.


FIN de cette histoire.

Note finale : si Cathy ne m’a pas menti alors cette histoire est vraie. Si vous voulez, relisez la partie 18h41, puis cherchez Rosa Shoes sur YouTube et Gucci cuffs ou Gucci handcuffs sur Google/images pour vous faire une idée.

MacWilly

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