Kidnappée

Œuvres des membres (textes, histoires, dessins, photos...) Rappel du règlement du forum: Interdiction de publier des récits dessins photos etc...mettant en scène des mineurs.
Règles du forum
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
HélèneBelle
Fantôme
Messages : 2
Inscription : 07 juin 2022, 12:46
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Ce que j'adore : ligotée bâillonnée en cuir et bottes
Ce que je déteste : la violence

Kidnappée

Message par HélèneBelle »

Premier jour
J'avais un rendez-vous bondage avec un ami, Marc, que je retrouvais assez souvent
Je suis partie de chez moi habillée en cuir, jupe, cuissardes et boléro de cuir noir, sans chemisier, mes seins pouvant être aperçus quand mon boléro s'écarte sur ma poitrine.
Pour mieux cacher cela, je passe un grand imper ciré noir par-dessus cette tenue. J'ai mis des cordes, des menottes, des baillons, …enfin tout ce qu'il va nous falloir dans un grand sac
Nous nous retrouvons un jeudi soir à la sortie de la gare. J'ai pris mon vendredi pour profiter et réservé la chambre jusqu'à dimanche. Je vois bien que ma tenue est efficace. Marc explose d'envie de moi et ces trois jours vont être torrides
Nous nous précipitons à l'hôtel Ibis d'Antony. Je sais qu'on y est tranquilles et qu'on peut prendre des chambres sans passer par l'accueil, ce qui est appréciable selon la tenue avec laquelle on arrive. J'enlève mon imper ciré et mon boléro et il commence à me caresser
Je suis les seins à l'air en cuissardes, jupe de cuir et longs gants de cuir noir
Je le déshabille en le caressant pour le voir bander. Il me lèche et pose sa queue sur ma jupe de cuir. Je la vois durcir à vue d'œil
Après quelques caresses, je lui propose de l'attacher nu, ligoté et bâillonné sur une chaise avec un bon gros bâillon boule noir, les mains derrière le dossier de la chaise et les jambes écartées attachées aux pieds de devant de la chaise
Je le caresse et me frotte contre lui, sa queue se dresse, il se met à gémir de plus en plus fort et tire sur ses liens
Je caresse sa queue entre mes mains gantées et l'excite avec quelques petits coups de langue
Tout à coup, la porte s'ouvre et un inconnu entre et se jette sur moi
"C'est pas fini tous ces bruits ?"
Il me jette sur le lit, m'immobilise sous lui
J'essaye de crier, mais il m'enfoui la tête dans les draps et m'attache les poignets dans le dos avant de récupérer le bâillon boule rouge qui trainait là et de me le mettre
Toujours à califourchon sur mes jambes, il me caresse alors les fesses, puis me retourne et me caresse les seins
"Tu voulais te la faire, dit-il en regardant Marc attaché. Je vais t'aider !"
Il me remet alors debout ligotée bâillonnée devant la chaise ou Marc est en train de se démener pour essayer de se libérer
J'essaye de me débattre, mais il est trop fort pour moi
Il me tient debout devant la chaise, enlève alors ma jupe de cuir et ma culotte
Il me caresse un peu la chatte et les seins puis me soulève pour m'assoir à califourchon sur Marc et me plante sur sa queue.
Il attache alors mes cuissardes aux pieds de derrière de la chaise pour que nous soyons obligés de rester plantés ainsi l'un sur l'autre
Ensuite avec une des cordes que nous avions amenées, il attache mon buste au cou de Marc, coinçant son visage entre mes seins et sa queue toujours en moi.
Nous ne pouvons plus nous séparer
Il contemple son travail et nous prends en photo longuement.
Je n'ose pas bouger, mais je sens sa queue bien raide. Il bandes comme un fou
"Bon maintenant soyez sages et ne me faites plus chier ! Le service de l'hôtel s'occupera de vous demain matin. Profitez bien de la nuit"
Il quitte alors notre chambre nous laissant ainsi, attachés ensembles dans le noir, empalée sur une queue en béton
Nous sommes ainsi, collés l'un à l'autre. En réaction à la surprise de ce qui vient de nous arriver, je commence à baver sous mon bâillon, Marc aussi surement, mais il profite à fond de la situation et sa queue sur laquelle je suis empalée n'arrête pas de faire des va et vient dans mon sexe.
Je ne sais pas combien de temps ça dure, je gémis et mon corps est parcouru de frisson
Malgré la situation, je jouis et profite de sa queue en aidant au mouvement de nos corps liés.
La nuit est tombée dehors, il doit être épuisé, mais il bande toujours autant, son visage coincé entre mes seins. Je sens sa bave couler entre mes seins et le long de mon ventre. Elle vient se perdre entre mes cuisses et le long de mon sexe
Je bave énormément. Mon menton est posé sur sa tête et ses cheveux sont trempés de ma bave
J'ai essayé pendant un moment de me détacher, mais je suis trop bien attachée, et puis j'aime le sentir coincé en moi
Impuissante et soumise aux soubresauts de sa queue, je me laisse aller contre lui. Je sens que je m'effondre, ma tête glisse sur le côté, je ne suis plus retenue que par les cordes qui me bloquent contre lui.
J'essaye de lui dire de se calmer, d'arrêter de bouger, mais je ne peux pas parler
Je l'entends marmonner, mais lui aussi est incompréhensible. Ces baillons sont bien efficaces
Je voudrais tant que cela cesse et pouvoir coller mes lèvres contre les siennes, car l'excitation a pris le pas sur la peur du départ. Quelqu'un viendra bien nous libérer demain matin et on en rira
Je n'ai plus conscience du temps, je pense que nous finissons même par nous endormir.
Quand j'ouvre les yeux, il fait jour et je vois que Marc me regarde
Sa queue est toujours en moi
La porte s'ouvre. C'est l'inconnu d'hier soir
Il vient nous voir, caresse mon corps trempé de sueur
Il demande à Marc : "Tu as bien profité on dirait ? Je me serai bien faite ta copine aussi, mais j'ai du boulot. Tchao, bonne journée "
Il prend encore quelques photos et s'en va en laissant la porte de la chambre ouverte
Les gens passent dans le couloir sans s'arrêter, car on ne peut pas nous apercevoir dans notre recoin à côté du lit
Je n'arrête pas de bouger pour essayer de détendre nos liens et ça refait bander Marc qui se remets à me ramoner la chatte
Je n'en peux plus et essaye de lui demander d'arrêter. J'essaye de crier "Stop, arrête" sous mon bâillon et il gémit encore plus
C'est alors qu'un homme qui passait dans le couloir et nous a entendus, entre dans la chambre et nous découvre
Marc s'arrête net. Je me tortille pour essayer de le voir, car il est dans mon dos
Je l'entends siffler d'admiration ou d'étonnement puis dire "Ben mes cochons vous avez l'air de vous être bien amusés"
Enfin, je le vois. Il me regarde, me détaille, puis ses mains viennent caresser mes seins
"Tu es superbe, je te prendrais bien pour moi. Qu'en penses-tu ?"
Je crie "Détachez moi" sous mon bâillon. Ça doit être incompréhensible
C'est alors qu'il commence à défaire la corde qui bloque ma poitrine contre la tête de Marc
Je peux enfin m'écarter un peu de lui et je sens sa queue se rétracter. Pendant ce temps, l'inconnu caresse mes vêtements de cuir étalés sur le lit dans mes affaires et explore mon sac. Il découvre le reste de mon attirail de bondage
"Que vais-je faire de toi ma belle ? Je vois que tu t'appelles Hélène Belle ! je dois dire que ça te va très bien ! J'ai envie de te garder pour moi"
Il vient vers moi et commence à détacher mes chevilles.
Il me prend ensuite sous les bras en m'écarte de Marc pour me poser sur le lit, offerte portant mes seuls gants et mes cuissardes, toujours attachée et bâillonnée … et épuisée
Avec une serviette récupérée dans la salle de bain, il commence à m'essuyer doucement la poitrine, puis la chatte.
Il me retire le bâillon boule et me fait boire longuement. J'en redemande. J'étais assoiffée, bâillonnée depuis la veille
Toujours posée sur le lit et les poignets liés dans le dos, s'allongeant à côté de moi, il me caresse le ventre et les seins et me demande de lui raconter ce qui s'est passé
Il trouve tout ça très excitant.
Comme il a fini son déplacement à Paris et qu'il va rentrer chez lui, il me demande si je voudrais continuer ce genre de jeu avec lui
Comme je lui dit que je suis trop fatiguée et je voudrais pouvoir me reposer, il me met assise et passe dans mon dos
Je pense alors qu'il va me détacher les poignets …. Erreur, il me remet le bâillon boule bien serré, puis me retourne sur le ventre
J'essaye de ma débattre, mais il est trop fort, à cheval sur moi et je suis trop fatiguée. J'abandonne. Je suis de nouveau prisonnière
"Je vais m'occuper de toi avec douceur. J'ai vu que vous aviez prévus de rester jusqu'à dimanche, changement de programme, je t'enlève. Je ne te ferai pas mal, juste jouir, me dit-il"
"Sois calme, tout ira bien !"
Il me rassied et m'attache les seins et le haut du torse avec mes bras grâce à la corde récupérée dans mon sac
Il m'aide à me mettre debout et me renfile ma jupe de cuir. Il récupère mon imper ciré qu'il me pose sur les épaules et referme sur le devant.
"Tu es hyper sexy dans cet imper, j'adore, me dit-il. Je vais te ramener chez moi, on sera plus tranquilles qu'à l'hôtel et ton ami (Marc est toujours attaché et bâillonné à se débattre sur ta chaise) doit avoir envie de calme !"
Il me met un masque covid sur le visage pour cacher mon bâillon. Il ramasse le reste de mes vêtements, accroche le petit panneau "Ne pas déranger" et m'emmènes avec lui. Je le suis mécaniquement, exténuée et assommée par tout ce qui m'arrive
Nous retrouvons sa voiture dans un coin du parking. Il me fait assoir après avoir retiré mon imper qu'il pose sur le siège arrière avec mes autres affaires
Il me passe la ceinture de sécurité entre les seins et m'attache les jambes avec un reste de corde.
Juste avant de démarrer il enlève mon masque et je me retrouve bâillonnée, torse nu les seins attachés à la place du passager imaginant que tout le monde me regarde
"Tu es vraiment très belle et cette tenue te mets encore plus en valeur, dit-il en passant sa main sur ma cuisse. Je m'appelle Paul et j'adore faire jouir les belles femmes comme toi"
"Repose toi. Nous avons un bout de chemin jusqu'à chez moi"
De toutes façons, je suis complètement HS et ne tarde pas à m'endormir après avoir placé au mieux les menottes dans mon dos
Des bruits me réveillent en sursaut. Je fais un bond sur mon siège retenue par la ceinture de sécurité et découvre que nous sommes arrêtés à la caisse d'un drive MacDo
Je suis toujours attachée à moitié nue et bâillonnée dans cette voiture. Mon réveil brusque a attiré sur moi le regard de la jeune femme qui est en train de nous servir
"Bien reposée ? me dit mon chauffeur ? On va passer une super après-midi, dit il à la jeune femme qui lui tends le sac de MacDo"
Nous reprenons la route. Je voudrais savoir où nous sommes, mais je ne peux pas articuler sous mon bâillon
Il s'arrête à la sorte de Château du Loir (j'ai vu le panneau) et m'enlève mon bâillon et me fais boire longuement. J'essaye alors de crier. Grave erreur, je me fais rebâillonner
"On va arriver chez moi, ce sera plus tranquille"
Après quelques kilomètres, nous arrivons à une grande maison isolée au milieu d'un genre de parc entouré d'une grande clôture
Il me sort de la voiture. Je suis debout attachée contre sa voiture.
Il enlève mon bâillon, je n'ose rien dire, car il le laisse attaché autour de mon cou prêt à resservir
"Tu dois avoir faim. On va déjeuner sur la terrasse tous les deux"
Il me soulève et va m'assoir sur un grand fauteuil à côté d'une table de jardin
Il sort alors le sac de MacDo et commence à me faire manger un hamburger
Je suis affamée et ne fais pas la difficile.
Drôle de sensation que de manger ligotée nue (il m'a retiré ma jupe de cuir pour ne pas la tacher soi-disant) et de mordre dans la nourriture qui m'est tendue.
Quand de la sauce coule de ma bouche et commence à descendre entre mes seins, il s'approche de moi et me lèche …… je frissonne …. et il s'en rend compte
Ce jeu dure bien longtemps, mais j'ai trop faim pour râler et on est bien au soleil.
Je pense alors aux cordes qui m'enserrent les seins et la poitrine
"Je vais avoir des marques de bronzage avec les cordes. C'est pas possible, détache moi"
"Hors de question, tu es à moi jusqu'à dimanche soir comme tu avais prévu avec ton copain !"
"Que vas-tu me faire ?"
"Rien de violent, je veux juste te garder prisonnière rien que pour moi. Tu dormiras attachée, tu mangeras attachée, tu te feras laver attachée, tu te promèneras dans le parc attachée et si tu n'es pas sage tu seras rebâillonnée et ligotée plus fortement. Tu resteras nue en cuissardes sauf quand je te laverais et je pourrai t'envelopper dans ton grand imper ciré pour te promener
Je veux jouir de ta soumission et de la vue ton corps superbe. Si tu veux qu'à un moment, on fasse l'amour ce sera avec grand plaisir, mais je n'abuserai de toi pas plus que maintenant.
Tu veux te reposer ou faire un tour ?"
"Je voudrais me dégourdir les jambes, car je suis attachée depuis hier soir"
Je le vois alors se mettre nu pour être comme moi dit-il, puis il me détache les jambes et m'aide à me lever
Nous commençons le tour du parc. Il me tient par la taille
C'est une sensation inouïe de se promener nue attachée dans la nature sans savoir vraiment ou l'on est
Mes cuissardes à talons haut ne sont pas l'idéal pour marcher dans l'herbe et je manque plusieurs fois tomber
Il m'amène alors directement vers sa piscine ou il y a un chemin dallé et m'installe dans un hamac immense. Il vient s'allonger à côté de moi, sa jambe posée sur mes cuissardes pour m'immobiliser encore plus
Il titille la pointe de mes seins et me demande de lui dire comment j'ai rencontré l'homme de l'hôtel et ce que je fais dans ma vie
Pendant que je lui raconte ce que je recherche d'habitude, ses mains descendent le long de mon ventre pour atteindre ma chatte qu'ils caressent avec douceur, titillant doucement les lèvres de mon sexe.
Je fais celle qui n'a pas remarqué, mais quand sa langue commence à titiller mes seins je sens que je m'électrise
Je ne peux plus parler. Ses doigts rentrent davantage dans ma chatte et sa langue remonte dans mon cou, puis sur ma joue
Je n'en peux plus, je prends sa bouche et y enfoui ma langue au plus profond
Ses doigts sont encore plus entreprenants, je gémis, le lèche, je deviens folle
Je crie, je gémis : "oui, oui, oui …"
Il passe alors sur moi, m'écarte les cuisses et me pénètre
Je l'entoure de mes jambes et croise mes cuissardes dans son dos pour l'enfoncer davantage en moi. Je ne veux plus le lâcher et je hurle tant que je peux jusqu'à ce qu'il me repasse le bâillon qui attendait autour de mon cou
Il continue, je mords mon bâillon comme une folle. Je n'avais jamais connu ça aussi fort.
Je suis attachée depuis bientôt 24 heures, j'ai été enlevée par un inconnu qui me baise dans son hamac au milieu de nulle part. Je disjoncte complètement.
Je joui, une fois, deux fois, je ne sais plus encore
Il se retire enfin. Je m'effondre, épuisée
Il sort du hamac et me caresse encore sur tout le corps. Mes tétons sont électrisés et ma chatte ne supporte plus les attouchements
Il renonce et m'attache à nouveau les jambes et aussi au niveau des cuisses
"Je vais aller faire quelques courses pour ce soir, reste tranquillement là à récupérer.
Quand je reviendrais je t'enlèverais les cuissardes et les gants et de mettrai dans la piscine toute attachée pour te caresser impuissante dans l'eau. Tu aimeras surement ! A + belle Hélène"
Au bout d'un moment j'entends sa voiture partir et reste seule impuissante totalement ligotée.
Je m'imagine découverte par un cambrioleur comme dans certaines vidéos de sexe et je reste à fantasmer sur ce qu'il me réserve pour la suite du week-end

Je me laisse aller, je suis bien, balancée doucement dans le hamac
Le temps passe et le soleil tournant vient sur moi.
Zut ! Vais-je avoir des traces de bronzage mal placée avec ces cordes enserrant ma poitrine et le bâillon qui me quitte rarement depuis hier soir
Je m'imagine avec les marques de bâillon sur la figure…. La cata !
Je commence à me démener pour essayer de sortir du hamac qui se met alors à se balancer de plus belle.
J'arrive enfin me mettre en travers et passer mes jambes par-dessus le bord
J'essaye de m'appuyer sur mes poignets toujours attachés dans le dos pour essayer de me soulever. Je n'y arrive pas, mais petit à petit j'arrive à approcher mes fesses du bord du hamac.
Un dernier effort et je suis presque assise au bord. Je transpire abondamment avec tous ces efforts. Il faut maintenant que j'arrive à me lever. Les talons de mes cuissardes touchent le sol. J'ai peur de me casser la figure en me relevant car chevilles et cuisses attachées je ne serai jamais assez stable
J'ai maintenant le soleil dans le dos et plus sur ma figure (je ne risque plus le bronzage bâillon !) et je vais donc pouvoir prendre mon temps davantage
Je n'avais jamais été autant ligotée impuissante, aussi fermement ligotée, mais j'arrive progressivement à me redresser
Je me retrouve enfin debout chancelante dans l'herbe. Malheureusement, les talons aiguille de mes cuissardes commencent vite à s'enfoncer dans l'herbe et je bascule en arrière. Le hamac me retient un peu dans ma chute et je me retrouve sur le dos en plein soleil
De nouveaux efforts me permettent de me tourner sur le côté dos au soleil. Il ne me reste plus qu'à attendre sagement que mon kidnappeur revienne me libérer
Au bout d'un moment je vois un chat arriver vers moi et venir me renifler
Puis, il se met à me lécher. Je suis couverte de sueur et donc aussi couverte de sel.
Il commence par les seins qui pointent comme des obus sous leurs cordes. Je me tortille, mais ça ne le fait pas fuir et il vient me lécher le visage. Je gigote encore plus, mais toujours sans succès. Je replie alors mes jambes pour cacher au mieux mon sexe, car excitée par ses coups de langue sur mes seins je ne tiens pas à ce qu'il fasse de même avec ma chatte et j'arrête de bouger
A ce moment-là, la voiture revient et le chat se précipite alors vers son maitre
Paul, mon kidnappeur, m'ayant aperçue par terre se précipite vers moi
"Que t'est-il arrivé ? Tu es tombée ? Ça va ?"
J'essaye de faire sortir mon bâillon de ma bouche, sans succès, pour lui faire comprendre que je veux qu'il me l'enlève
Une fois débâillonnée, je lui raconte ce que j'ai fait par peur de bronzer avec une trace de bâillon sur le visage. Ça le fait bien marrer, quand en plus je lui parle du chat
Il me prend dans ses bras et me porte vers la maison ou il me pose assise sur le bord de sa grande baignoire, on dirait un genre de spa.
Il commence à me laver les seins et le visage avec un gant un gant pour enlever la sueur qui me recouvre, c'est très agréable.
Il me détache ensuite les jambes et me lave le sexe qui est encore plus trempé que le reste du corps … et rempli de sperme.
"Voilà, c'est mieux. On prendra un bain ensembles, mais demain seulement. Tu commences à sentir très fort la femme en chaleur ma belle Hélène. Je veux que tu sentes encore plus fort.
…. as-tu déjà porté une ceinture de chasteté ma belle ?"
"Non jamais ! Tu en as une ?"
Il en sort effectivement une d'un meuble. Je n'en avais jamais vu en vrai et c'est très excitant.
Il me fait écarter les jambes, la passe entre mes cuisses et je sens un genre de gode rentrer dans ma chatte avant qu'il referme la ceinture sur ma taille et ferme le cadenas. Drôle d'effet, mais pas désagréable.
"Oui, dit-il, c'est un super modèle avec un gode intégré pour que tu puisses te faire jouir en remuant ton bassin. Il faut aussi que tu puisses profiter, non ?"
Il me passe aussi un énorme collier en cuir avec un anneau sur le devant. Je suis de plus en plus sa chose
De retour dans le salon, il me place en plein milieu et m'attache les chevilles
J'oscille dangereusement ligotée debout jambes serrées
"Je vais d'aider à mieux tenir dit-il"
Il passe une corde par-dessus la poutre du salon et l'attache à l'anneau qui se trouve sur le collier qu'il m'a passé au cou
Il passe dans mon dos et me rebâillonne sans que je puisse l'en empêcher, puis approche une petite table basse, me soulève pour me placer droite dessus, puis tire sur la corde pour que je me retrouve suspendue juste un peu sur la pointe des pieds, les talons de mes cuissardes restant à quelques millimètres du sol
"Voilà, moi qui voulais redécorer mon salon, je crois que j'ai enfin l'idéal, tu ne trouves pas ?"
Il commence alors à me caresser longuement et je frémis sous ses mains habiles qui s'attardent sur mes fesses, mes cuisses, mes seins, …. Partout
Soudain, une voiture se gare à l'extérieur et klaxonne ! Je sursaute violement
"Merde, je les avais oubliés ! J'ai des amis qui viennent prendre un pot tous les vendredi soir"
Je me tortille violement et essaye de lui demander de me détacher, de m'enlever de là. Peine perdue ligotée bâillonnée comme je le suis
"Ne bouge pas, je vais aller régler ça et leur dire que je ne peux pas ce soir"
Malheureusement, à cet instant, la porte s'ouvre et 3 gars entrent et me découvrent suspendue, nue en cuissardes, ligotée et bâillonnée en plein milieu du salon
Sifflements admiratifs. Je me tortille suspendue comme un jambon
"Génial ta déco Paul !"
Je suis vite entourée et avec des mains baladeuses partout sur le corps
Paul s'interpose et les écarte
"Laissez là tranquille ! Je l'ai kidnappée ce matin à coté de Paris et me la suis amenée ici pour me la faire. Pour le moment, je l'assouplie et la rend plus docile. Barrez-vous avant qu'elle ne vous ai trop vu et puisse vous reconnaitre !" et il les pousse vers la porte.
Je les entends discuter dehors
"Merde, tu l'as enlevée ? Vraiment ?"
"Oui, vous pensez qu'une aussi belle femme puisse se laisser faire comme ça ? Elle ne sait pas où elle est et ça serait mieux qu'elle ne puisse pas vous reconnaitre. Barrez-vous, je vous raconterai. Promis !"
Je les entends partir et Paul revient.
Il s'approche de moi toujours suspendue, me décroche, me porte sur le divan et m'assieds sur ses genoux, me caresse doucement les seins
"Ne t'en fais pas, je les ai fait partir. Je leur ai raconté n'importe quoi. Je ne voulais pas qu'ils te touchent, ni abusent de toi. Je veux que tu gardes un souvenir agréable et inoubliable de notre week-end. Tu as bien compris que je n'abuserai pas de toi sans ton consentement et que je chercherai tous les moyens de te faire jouir"
Je me blottis encore plus contre lui, quémandant encore plus de caresses.
Je frissonne sous ses caresses. J'approche ma tête de son visage et colle mon bâillon contre ses lèvres. Il comprend, me débâillonne et nous nous embrassons longuement
"Tu es gentil. Je veux être ta soumise, ne me détache pas. Prends-moi !"
"Tu es sûre de toi ma belle ?"
"Oui, de suite, maintenant. Rebâillonne moi avant"
Une fois rebâillonnée, il me met debout pour m'enlever la ceinture de chasteté, puis il me porte sur un lit, me couche sur le côté, se met dans mon dos et commence à se frotter contre moi
Je sens sa queue durcir au bas de mes reins et ses mains me pétrissent les seins.
Je me cambre et essaye de me déplacer pour lui présenter mes fesses et mettre sa queue en moi. Peine perdue, je suis trop bien immobilisée et j'ai beau essayer de crier "Viens, viens …" sous mon bâillon. Je ne suis que sa chose
Mes mains arrivent à attraper sa queue, mais je n'arrive pas, ligotée comme je le suis, à m'amener dans mon sexe
Enfin, je le sens me replier davantage les jambes pour dégager mes fesses. Ses doigts trouvent ma chatte, je gémis …. Je sens son sexe chercher son petit coin douillet et il me pénètre enfin. Je rugis de plaisir
J'ai l'impression que sa queue est dure comme du bois et je la sens me fouiller en profondeur.
Je suis chauffée depuis hier soir et je joui presque immédiatement, trop vite à mon gout, mais ne pouvant m'échapper, je ne peux que subir.
Je mords mon bâillon, je hurle. Je prends des décharges chaque fois que sa queue me pénètre, mais je ne peux pas le faire arrêter. Je crie, je crie, je crie.
Je suis à 2 doigts de m'étouffer en bavant comme une folle sous mon bâillon
Il finit par me remplir de son sperme et se retire, épuisé lui aussi
Il me retourne, haletant, lèche la bave de mon visage, me caresse les cheveux, puis me débâillonne enfin. Je lui demande à boire, j'ai une soif terrible
"Je veux être ta chose tout le weekend, ne m'épargne rien, tu m'as faite craquer. Je n'avais jamais ressenti aussi fort, aussi impuissante"
"Avec plaisir belle Hélène, c'est bien ce que j'espérais"
Il m'emporte alors dans sa cuisine, m'assied sur une chaise. Mes bras liés sont passés derrière le dossier et les talons de mes cuissardes coincés sur les barreaux de la chaise. Je ne risque pas de filer, ni de tomber.
Il me fait manger et boire sans cesser de me caresser, puis il me passe un gant sur les seins et le visage
"Es-tu déjà allée au cinéma ligotée et bâillonnée ?"
Evidemment que non
"Et bien on va y aller. Je vais t'emmener voir cinquante nuances de gris. Tu devrais aimer"
Il me détache les jambes, puis me sors de ma chaise et me mets debout au milieu du salon
"Je vais te préparer"
Il commence à me détacher les bras
"Non, lui dis-je. Je veux rester attacher"
"Ne t'en fais pas je te rattacherais, mais il faut que je te mette quand même quelque chose sur les épaules. Tu ne peux pas sortir attachée torse nu"
Il me détache les bras, m'enfile ma jupe de cuir et mon boléro de cuir noir, puis me rattache les bras croisés dans le dos
Comme avec le boléro, qui ne se boutonne pas et est d'ordinaire porté avec un chemisier, on ne peut pas cacher que j'ai les seins attachés, il me passe mon grand imper ciré sur les épaules et le referme pour cacher ma poitrine. Il place les manches dans mes poches pour faire croire que ce sont mes mains.
"Je t'enlèverais l'imper une fois arrivés au cinéma. Maintenant grande question : bâillon boule ou scotch sur la bouche ?"
Comme je n'aime pas la sensation du scotch sur le visage je me retrouve de nouveau bâillonnée avec un bâillon boule noir ajouré sorti d'un de ses tiroirs, ce qui me permet de respirer un peu plus facilement
Un masque Covid sur tout ça pour cacher mon bâillon et nous voilà partis.
Une fois arrivés au cinéma, il m'emmène dans une rangé proche du fond. Il m'enlève l'imper qu'il pose sur le fauteuil à ma droite, puis m'aide à m'assoir, car mes bras attachés me rendent maladroite. Une fois assise, évidement, mon boléro s'écarte et dévoile ma poitrine. Il s'assied à ma gauche et pose son bras sur mes épaules. Je me blottis contre lui en essayant de cacher au mieux ma poitrine tant que la salle est éclairée
Peine perdue, sa main gauche commence alors à caresser ma poitrine, excitant mes tétons déjà bien dressés par les cordes qui les enserrent et les exposant aux regards des gens qui arrivent. Je vois dans certains regards que cela fait son effet
Quand la salle enfin s'éteint, il m'enlève le masque Covid et commence à me caresser les seins
Je ne me souviens pas du film, mais je sais que j'ai du gémir un peu fort sous ses caresses car un couple placé devant nous s'est retourné à plusieurs reprises, mais j'étais sur un petit nuage de plaisir
Lorsque la salle s'est éclairée à la fin du film, le couple qui nous avait regardé faire est venu vers nous
"Bonjour, c'est génial. Nous adorons le ligotage de votre femme. Nous aimerions savoir faire pareil. Pourriez-vous m'apprendre à attacher ma femme Sophie comme vous le faites pour la vôtre ?"
"Bien sûr. Nous allons rentrer. Je dois attacher mon Hélène sur le lit pour la nuit et je vous montrerai comment attacher votre Sophie. Suivez-nous !"
Pendant ce temps, la salle s'était vidée. Paul m'a aidée à me lever et il leur a montré mes bras attachés dans le dos
La Sophie a commencé à me regarder sous tous les angles et a écarté mon boléro pour mieux voir mes seins attachés. Ses mains douces sur ma peau m'ont faite frémir et elle l'a bien senti
"Oh Georges, je voudrais que tu me prennes attachée comme elle, a-t-elle dit. Allons-y pour qu'il nous montre"
Paul ne m'a remis ni le masque, ni l'imper qu'il a pris sous son bras et je suis sortie à moitié nue et bâillonnée encadrée par les trois
Nous avons repris la voiture et sommes rentrés.
Georges et Sophie nous ont suivis.
Arrivés à la maison de Paul, il a voulu me coucher avant de s'occuper de Sophie
Paul a sorti des sangles et avec Georges, ils ont préparé le lit avec des sangles aux quatre coins
Après avoir retiré ma jupe de cuir, j'ai été couchée, manipulée par Paul et Georges qui m'ont attachées les jambes aux coins du lit avec les sangles.
Ensuite, Paul m'a assise, jambes écartées, les cuissardes attachées aux coins du lit et la chatte offerte
"Tu nous aideras à la tenir, a-t-il proposé à Sophie, pour qu'elle ne s'enlève pas le bâillon pendant qu'on je lui enlève son boléro et qu'on lui attache les poignets aux coins du lit avec ton mari"
Sophie s'est mise à califourchon sur moi et m'a prise dans ses bras pendant que les deux mecs finissaient de me clouer au lit
Je me suis retrouvée bras et jambes écartées attachée au lit, nue en cuissardes, et toujours gantée, avec toujours mon bâillon boule pour me garder muette
"Bon, maintenant on va s'occuper de toi Sophie, a dit Paul. Déshabille-toi !"
"Vous allez me mettre nue ? Je croyais que vous alliez m'attacher toute habillée !"
"Bien sûr, tu vas être nue pour que ton mari puisse profiter de toi. Regarde Hélène. Que crois-tu qu'il va lui arriver ?"
Son mari l'a alors aidée à enlever sa robe, sa culotte et son soutien-gorge. Elle s'est retrouvée nue en bottes au milieu de la pièce à essayer de cacher ses seins et son sexe
Paul a alors attrapé une corde qu'il a fait passer par-dessus une poutre et lui a attaché les mains sur le devant avant de tirer sur la corde pour lui lever les bras au-dessus de la tête
"Non, non, pas comme ça, criait-elle"
Son mari, lui, se régalait et ne demandait qu'à continuer
Une fois suspendue, la poitrine offerte, Paul lui a ligoté les seins en expliquant les astuces à Georges
"On va ensuite lui croiser les bras dans le dos et les lui attacher. Tu voudras la prendre par devant ou par derrière, a demandé Paul ? Si tu veux la prendre par derrière on peut lui attacher les jambes aussi, mais il faudra que vous restiez ici pour baiser. Pas de soucis si vous le voulez. Si tu veux la ramener chez toi il faut par contre lui laisser les jambes libres"
Je voyais bien que Georges n'en pouvait plus. "Attache la complètement. On reste"
Elle a bien essayé de gigoter, mais elle s'est vite retrouvée les chevilles attachées
"Tiens la bien maintenant on va lui redescendre les bras et avec les chevilles attachées elle pourrait tomber"
Pendant que Georges tenait sa femme en commençant à la tripoter, Paul lui attache les bras dans le dos
"Voilà elle est presque prête, laissons là se remettre avant de la bâillonner. Aide-moi à la mettre sur le lit entre les cuisses d'Hélène et allons prendre une petite mousse"
Je les vois alors soulever Sophie et la placer couchée sur le ventre entre mes cuisses, sa tête sur ma chatte. Sophie a commencé à se débattre, mais ligotée comme elle l'était c'était mission impossible
"Tiens la un moment, le nez et la bouche sur la chatte d'Hélène qu'Hélène profite un peu aussi"
Georges a alors pris la tête de sa femme et a commencé à lui frotter la bouche et le nez sur mon sexe. Il n'a pas fallu longtemps pour qu'elle y prenne gout. Au plus je réagissais à ses coups de langue, au plus elle y mettait d'ardeur.
Je gémissais et me débattais sous les assauts de Sophie quand les hommes revinrent
"Bon, maintenant qu'elle est chaude on va finir de préparer ta femme et ensuite à vous de vous débrouiller"
Paul s'approcha et m'enleva le bâillon
"Ça va ma belle. On va prêter ton bâillon à Sophie et on va les laisser s'amuser ensemble. D'abord vous allez vous faire la bise et vous souhaiter bonne nuit"
Ils prirent Sophie en poids et la posèrent sur moi. Nos bouches se touchèrent et nous nous embrassâmes goulument. Elle m'avait faite jouir et j'avais adoré. Ma bouche pleine de bave et la sienne pleine de mon foutre se mêlèrent sauvagement
Ils se mirent à tous les deux pour dresser Sophie debout au milieu de la pièce, Georges la soutenant car excitée comme elle l'était, elle ne tenait plus sur ses jambes
"Maintenant on va bâillonner Sophie dit Paul"
"Je ne veux pas disait Sophie"
Pas de mais, Paul lui enfonça le bâillon boule et le serra derrière sa tête
"Tu es superbe comme ça ma chérie, je meurs d'envie de te prendre lui dit Georges. Je t'enlèverais le bâillon quand on aura fini de baiser, je te le promets"
"Hors de question, dit Paul. Elle doit le garder jusqu'au petit déjeuner" et il ferma un petit cadenas sur le serrage du bâillon de Sophie
Il aida ensuite Georges à porter Sophie dans une autre chambre puis il vint se coucher contre moi, la tête contre ma poitrine et la main sur mon bas ventre
"On va se reposer et dormir un peu avant que je m'occupe de toi ma belle Hélène"
Je n'ai pas tardé à m'endormir, épuisée, couverte de sueur et de bave, du foutre plein mon entre jambes

Avatar de l’utilisateur
Mad Hatter
JdL, c'est ma vie
Messages : 2054
Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
Localisation : Partout et nulle part à la fois.

Re: Kidnappée

Message par Mad Hatter »

Une petite présentation dans la section registre s'il vous plait. :menottes: Merci bien.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


Image
les synonymes de fou sont intéressants Image

operalove
Fantôme
Messages : 2
Inscription : 11 juin 2023, 06:26
Pratique : Oui
Ce que j'adore : Une belle femme sensuelle ligotée et bâillonnée. De préférence avec les yeux bandés aussi.
Ce qui est important c'est d'avoir une tenue féminine ou sexy. J'adore les gants et les bottes en particulier.
Ce que je déteste : Le niveau dark du BDSM, tout ce qui est torture, objets métalliques etc...

Re: Kidnappée

Message par operalove »

J'ai adoré cette histoire!
Tellement d'éléments inattendus et des situations excitantes.
En plus, des gants et des cuissardes en cuir, ma tenue préférée :bravo:
Même si l'histoire a déjà un an, j'espère qu'il y a une suite

stephanie
Amateur(trice) de JdL
Messages : 130
Inscription : 04 juin 2015, 08:24
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Ce que j'adore : Beaucoup de choses en fait, même si je suis une fan des blouses nylon et de la soumission. Surtout être ligotée strictement et bâillonnée, à la merci d'un maître ou une une maîtresse exigeant(e), avec caresses et punitions alternées. Mais j'aime aussi dominer et avoir à mes pieds une soubrette attendant mon bon plaisir.
Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: Kidnappée

Message par stephanie »

Très belle histoire, bien écrite.
On espère une suite, avec cette fois-ci l'utilisation de paragraphes pour nous permettre de respirer, même et surtout avec un scénario comme celui-ci qui nous tient en haleine.
Bises à toutes et tous,
Stéphanie

Avatar de l’utilisateur
MacWilly
Habitué(e)
Messages : 76
Inscription : 25 déc. 2023, 02:37
Ce que j'adore : Les ballerines, les histoires de filles en détresse, the gorean saga by John Norman.
Ce que je déteste : Les baskets, l'injustice et les fausses accusations, l'hypocrisie, les passages "esclaves" de la saga goréenne, les humiliations. Les interactions 'homo'.
Localisation : Grand Est (Moselle)

Re: Kidnappée

Message par MacWilly »

Ai-je bien compris ?
Marc est un minable qui se fait ligoter et oublier aussi vite qu'on boit un verre d'eau.
Hélène se soumet de manière impudique et immorale au premier dominateur qu'elle croise. Elle n'hésite pas à tromper son ami "intime".

La morale est donc : messieurs ne vous faites ni ligoter ni dominer mais montrez votre détermination à votre compagne.

Ou est-ce que je n'ai pas bien compris ? (dans ce cas dites-moi).

Répondre