Néhalennia, détective privée, joue le rôle de Gwendoline

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MacWilly
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Néhalennia, détective privée, joue le rôle de Gwendoline

Message par MacWilly »

INTRODUCTION : Je suis Néhalennia. Je suis une jeune fille d’1m78, 85 kg, aux cheveux châtain longs et foncés, aux yeux gris-bleus. Ceux qui me connaissent me trouvent plutôt gracieuse, sportive et jolie. Après avoir fini mes études j’ai ouvert une agence de détectives privés. Mes parents sont plutôt aisés et m’ont apporté du capital qui m’a bien aidé à réaliser mon rêve d’ouvrir une agence de détectives.
Mon oncle a acheté un ancien entrepôt qu’il a transformé en studio de cinéma. Il a aménagé toutes sortes de décors dans ce grand bâtiment. Mon oncle s’est entouré d’une petite équipe. Le studio réalise divers films, y compris des films publicitaires ou documentaires. Par exemple c’est mon oncle qui a tourné, au profit du syndicat d’initiative, le film qui présente la région. Le studio réalise des films pour la télévision mais aussi des courts-métrages qui sont ensuite projetés dans les salles de cinéma, avant le film principal. La production du studio est régulière mais je pense que mon oncle tourne ses films plus pour son plaisir que pour les bénéfices. Pour tourner un film il faut un gros budget et je ne pense pas que mon oncle y gagne beaucoup d’argent. Après tout, il exerce un métier qui le passionne et il fait vivre un petit groupe de personnes.
Lorsque la demande policière dans mon agence est faible je suis une actrice supplémentaire dans le groupe de mon oncle. Ce dernier apprécie mes qualités d’actrice et de mon côté cela me complète mes revenus.


Le projet de film

Un beau jour mon oncle s’est mis en tête de porter à l’écran les aventures de Gwendoline, de John Willie. En réalisateur expérimenté il a décidé de tourner un pilote, c’est-à-dire un court-métrage destiné à tester l’idée. Le court-métrage devant être présenté aux investisseurs d’une part et d’autre part à un public testeur.
Selon les deux réponses, L’oncle envisageait soit un long métrage, soit un feuilleton, soit une série.

Une question importante était évidemment de savoir qui jouerait le rôle principal ; celui de Gwendoline. Mon oncle et les membres de son équipe étaient unanimes. Ils disaient que ma figure, plus précisément les courbes de mes seins et de mon derrière, ma silhouette et aussi ma souplesse devaient me valoir le rôle. Précisons encore ce que signifie souplesse. Je suis assez souple pour pouvoir joindre mes deux coudes derrière mon dos. Tout le monde n’y arrive pas. Mon oncle m’a alors invitée à me teindre en blonde. Cela ne me tentait guère mais bon, après tout, pourquoi pas ? Je me trouverai peut-être plaisante en blonde ? Je pouvais faire l’essai. Mon oncle m’a aussi bien expliqué que le tournage du pilote ne m’obligeait à rien pour la suite mais peut-être qu’il ne permettrait de démarrer une grande carrière d’actrice (dans le rôle de Gwendoline ou non). Je n’avais pas grand-chose à perdre.

Enfin le tournage devait avoir lieu à un moment où la demande de mon agence de détectives était faible. Ce tournage me donnait alors de l’occupation et me rapportai un complément de finances. C’est toujours bon à prendre.

Je tourne une scène du film

Me voici donc, par cette belle journée de début d’été, debout au bord d’une route, les cheveux teints en blond, à reflets dorés. Mes cheveux sont coiffés et ramenés derrière ma tête par un nœud papillon bleu. Je porte un chemisier gris-bleu, de la même couleur que mes yeux. Le chemisier est affublé d’un impressionnant décolleté. Un peu plus de décolleté et il ne recouvrirait plus mes seins. Ma petite jupe noire, très courte ondule avec le vent. Mes jambes sont habillées de bas fins, à couture, de couleur gazelle. Ils remontent jusqu’en haut de mes cuisses. Avec le flottement que le vent imprime à ma courte jupe un observateur attentif peut entrevoir mes jarretelles bleues, tout en haut des cuisses. Je porte des escarpins noirs, à talons hauts et fins.
Une petite précision : la journée est agréablement chaude et ensoleillée mais de gros nuages se forment dans le ciel, à l’ouest.

Conformément au scénario, je fais du stop. Une voiture s’arrête. Je monte à bord, à l’arrière. Je me dispute avec une femme et un homme en uniforme de chauffeur. Je finis ligotée, les poignets attachés dans le dos, quelques cordes m’attachent les bras contre mon buste, mes cuisses sont attachées (au-dessus des genoux) et mes chevilles sont attachées. Ma bouche est bourrée par une grosse boule de tissu. Des bandes de tissu me recouvrent la bouche.
Je suis aussi bâillonnée.

L’automobile m’emmène dans une forêt. Son conducteur, ‘sir d’Arcy’ m’emporte dans la forêt.
Quelle étrange sensation d’être portée, en étant attachée et bâillonnée.
Je me retrouve couchée sur mon ventre, dans une pièce, plutôt dans la cave d’une petite maison abandonnée et isolée en pleine forêt.

Je suis devant plusieurs caméras, solidement attachée. Mes liens sont solides et bien serrés. Je tire sur mes liens pour tenter de me libérer. Mes liens résistent et ne bougent pas. Je n’ai même pas besoin de jouer la fille confuse d’être en détresse. Je suis réellement confuse !

Cela me déplait d’être attachée, bâillonnée, impuissante devant les caméras. J’essaie réellement de me dégager de mes liens. En vain.

Après ce qui m’a semblé être des heures, le réalisateur s’exclame.

- C’est bon pour cette scène. On passe à la suivante.

Tout le monde remonte au rez-de-chaussée. Je suis ligotée et bâillonnée ; je n’échappe pas à la blague facile :
- Reste-là. On revient.

Je suis maintenant seule dans la cave, assise, appuyée contre le mur sur mon épaule droite. Cela devient pénible d’être immobilisée par des liens. J’espère que la scène suivante, la scène n°3 ne va pas tarder. Dans cette scène U69 doit venir me détacher. Je m’impatiente de voir cette scène.

J’entends les paroles échangées dans la pièce (la pièce au-dessus de la cave).
« Françoise n’est pas encore là ? »
« Non, elle nous as prévenue qu’elle aurait un peu de retard. »

Je grimace. C’est Françoise qui joue le rôle d’U69. Maintenant je voudrais vraiment que quelqu’un me délivre de mes stupides liens.

J’entends encore les paroles qui descendent.
« Comme Françoise n’est pas encore arrivée, nous n’avons qu’à tourner la scène n°4 »
« Oui, bonne idée, faisons ça ! »

Me voilà rassurée. Dans la scène n°4 je ne suis pas attachée et j’affronte ‘la comtesse’ et ‘sir d’Arcy’. On va enfin me délier.

Les bruits que j’entends m’apprennent que l’on s’affaire dans la maison. J’entends :
« Eh ! Nous sommes en alerte orange pour orages ! »
« Le ciel se couvre rapidement. Des gros nuages noirs »
« Il va bientôt pleuvoir. L’orage approche »
« En tout cas le Soleil est parti et la luminosité chute »
« Puisque c’est comme ça, on range. On reprendra lundi matin ! »

Je suis sur les lieux du tournage

Mais je suis toujours attachée et bâillonnée !
- mmmmff !!, mmmm !!, mmmmppff !!

Les bruits que j’entends m’apprennent que tout le monde se dépêche de rentrer pour éviter la pluie.

Vite ! Retirer mon bâillon. Je frotte vivement mon bâillon sur mes genoux.
Mais ? Mais !? Mais ?!?
Le bâillon ne bouge pas ! Il est vraiment bien enfoncé.
Vite ! Appeler à l’aide. De toutes mes forces !
- mmmmff !!, mmmm !!, mmmmppff !!, mmmm !!
Le bâillon me bâillonne sévèrement. Je suis vraiment bien bâillonnée. Incapable de parler, incapable de crier, impossible d’appeler à l’aide.

Attachée comme je suis je ne peux pas remonter de la cave.
Non ! Vous n’allez pas me laisser ici, attachée et bâillonnée ! Nous sommes samedi matin.
J’appelle encore à l’aide, effrayée à l’idée d’être oubliée ici !
- mmmmff !!, mmmm !!, mmmmppff !!

Plus de bruit.
Je suis seule. Tout le monde est parti.
Ils m’ont oubliée.
Et je suis ligotée et bâillonnée.
De rage je tire furieusement sur mes liens.
Affolée à l’idée de rester attachée je tire frénétiquement sur mes liens.

Après de longs efforts j’ai des gouttes de sueur sur mon front. Je reprends mon souffle. Mes liens ne se sont pas desserrés. Ils sont toujours bien serrés. J’ai l’impression qu’au contraire ils se sont encore resserrés !

Je redoute de devoir rester attachée jusqu’à leur retour. Lundi ! Je risque de rester attachée pendant deux jours !
Non, je vais me libérer !
Mais comment ?
Je regarde dans la pièce où je suis. Il y a une caméra, rien d’autre. La pièce est vide. Il n’y a rien qui puisse m’aider à me libérer.

Je roule, je rampe, je me traine vers l’escalier. D’une saccade je pose mes fesses sur la première marche puis la deuxième. Puis je remonte mes pieds sur la première marche.
Je monte lentement l’escalier et je me retrouve dans la pièce de la maison. La seule pièce de la maison. Il y a une table et des chaises dans la pièce.
Je me lève. Je me lève après avoir plié mes jambes et avoir imprimé des élans à mon corps. Ensuite en pliant et en tirant sur mes jambes. Croyez-moi, ce n’est pas facile de se lever quand on est ligotée comme je le suis. Je m’assois sur une chaise. Je regarde autour de moi. Je ne vois rien qui pourrait m’aider à me libérer.

Je soupire. Je suis seule, je suis solidement attachée et bâillonnée. Que faire ?

La pluie se met à tomber. Mes larmes se mettent à couler.
Non ! Pleurer ne sert à rien. Je dois trouver un moyen de défaire ces saletés de liens. Réfléchissons.
Quand la pluie aura cessé j’irai à la route en sautillant.

Est-ce possible ? Mes chevilles sont attachées et je porte des talons hauts. Le sol est mouillé, détrempé. Je ne pourrai pas sautiller jusqu’à la route dans ces conditions. Je peux enlever mes escarpins. Le sol est jonché de brindilles, de glands, de pierres. Je ne pourrai pas sautiller jusqu’à la route dans ces conditions.
Il y a aussi un risque. Imaginons que je parvienne au bord de la route. Je serais une fille ligotée, bâillonnée, impuissante, dans des vêtements aguichants. Je passe pour être belle et désirable. Une belle fille attachée et offerte sur le bord de la route. Il y a le risque que l’automobiliste profite de la situation. Je ne pourrai rien faire pour résister, pour me défendre.
Je voudrais tant être délivrée de mes liens qui me brûlent. Je n’ai pas envie de courir le risque d’être abusée, violée…

Le temps passe.
Peut-être que quelqu’un de l’équipe va revenir et me délier ? Je ne le crois pas. Tout le monde préparait la scène n°4 dans laquelle je ne suis pas attachée. Ensuite je ne suis qu’une actrice occasionnelle de l’équipe. Tout le monde doit penser qu’on m’a détachée après la scène n°2.
Mais je suis toujours ficelée. Toujours incapable de bouger.

Le temps passe. Je pense que quelqu’un a déjà porté les aventures de Gwendoline sur le grand écran. Qui était-ce déjà ?
Un certain Juste clampin ?
Non, je crois que c’était Juste La Clim.
Ce film était d’ailleurs aussi brillant qu’un film inspiré du Titanic tourné au fond d’une mine de charbon.
Aucun ami de Gwendoline ne pouvait décemment apprécier ce navet. D’ailleurs ce film est totalement oublié de nos jours.

Il ne pleut plus. Le Soleil revient.
J’en ai assez d’être saucissonnée. Je veux être libre. Je veux agir, bouger.
Si je pouvais retirer mes liens. Si seulement je pouvais m’en défaire. Mais non. Mes liens sont solides. Bien serrés. Je reste attachée. J’ai déjà essayé cent fois de me détacher. Je n’y arrive pas.

Le temps passe encore.
Je suis attachée. J’appréhende de rester attachée jusqu’à lundi. Que faire ? Attachée comme je suis, je ne peux rien faire.

La nuit commence à tomber. Je suis toujours aussi solidement attachée que ce matin. Une grosse araignée noire vient vers moi. Une grosse. Je n’ai pas peur des araignées mais je ne les aime vraiment pas. Je lui dis de partir.
- mmmmff !!, mmmm !!, mmmmppff !!
Je remue mes pieds. L’araignée part dans une autre direction.
Quelle nuit. Je vais passer la nuit en compagnie des araignées, assise et couchée sur la table. Je ne peux rien faire d’autre.

C’est la nuit. Quelle position inconfortable. La tête posée sur la table. Mes mains attachées dans le dos me tiraillent les bras. Les jambes attachées. Je pense qu’une autre position serait encore plus inconfortable. Pauvre Gwendoline. Elle a été saucissonnée si souvent !

Je ne dors pas. Le vent s’est levé. Quelle importance vous pensez ? Si vous avez déjà passé une nuit venteuse dans une forêt alors vous savez la réponse.
Le bruissement des feuilles, la nuit, c’est sinistre. Vraiment sinistre. Et être attachée seule, la nuit, dans la forêt, quand il y a du vent c’est horrible et sinistre. Essayez, si vous ne me croyez pas !

Un grattement sinistre m’arrache des cris d’effroi.
- mmmmff !!, mmmmff !!, mmmmppff !!

Je me calme. Ce n’était probablement qu’un lapin qui grignotait un bout de bois de la cabane.

L’aube arrive. Je me réveille courbaturée et mal reposée. Je suis encore prisonnière de ces saletés de cordes. Mes abominables liens sont toujours aussi serrés que… hier matin !
Je fais quelques mouvements pour me réveiller et pour essayer de réduire mes courbatures. Des petits mouvements. Je suis toujours attachée et bâillonnée, vous savez ?

- mmmmppff !!, mmmmppff !!, mmmmppff !!
Je crie de douleur ! Une crampe a surgi d’un coup. Une crampe dans le pied droit. Je me mets debout pour essayer de faire diminuer la douleur.
- mmmmff !!, mmmmff !!, mmmmppff !!
Je crie de douleur ! Une deuxième crampe ! Dans le pied gauche !
C’est atroce ! Avec mes mains attachées dans le dos je ne peux pas masser mes pieds.
A cause des crampes je ne peux pas non plus retirer mes escarpins. Quelle douleur insupportable. J’avais gardé mes escarpins aux pieds. J’ai froid aux pieds sans chaussures. Si je ne marche pas je peux facilement avoir des escarpins aux pieds. Je respire vivement. Pour oxygéner mon sang au maximum, pour faire passer ces crampes douloureuses.

Les crampes finissent par passer mais mes pieds restent douloureux. Des suites des crampes.

Le Soleil se lève.
Le Soleil darde quelques rayons dans la pièce. Oh ? Quelque chose brille sur le mur, près du sol. Je sautille pour aller voir, ce qui me rappelle les tiraillements dans mes pieds. C’est douloureux.
Je vois une tête de clou qui dépasse du mur.
Voilà ma chance. Je frotte les liens de mes poignets sur la pointe du clou. C’est toujours mieux que d’attendre encore plus de 24 heures, sans rien faire, attendre que quelqu’un vienne enfin me délier.

Une heure plus tard je pousse des cris de joie.
- mmmmff !!, mmmm !!, mmmmff !!
Mes mains sont libres ! Enfin !

Mais ? Mais !? Mais !?? Mes autres liens sont toujours là ! Je suis toujours prisonnière. Je suis toujours attachée. Mes doigts n’atteignent aucun nœud.
- mmmmff !!, mmmmppff !!, mmmmppff !!
Cette fois je crie de rage et de frustration.
Ce n’est pas vrai ! J’ai réussi à me libérer mes mains mais je reste attachée. Non, ce n’est pas possible…

J’ai trouvé ! Mes mains ne sont plus attachées. Je prends un de mes escarpins, je me contorsionne et avec le talon je tire sur mes liens pour les faire glisser. C’est douloureux. Tant pis. Je suis ligotée depuis trop longtemps. Je veux me libérer. Je finis par dégager un bras, puis l’autre.
Enfin mes bras sont libres !

Maintenant détacher mes jambes. Mais ? Mais !? Mais ?!? Les nœuds étaient bien serrés, j’ai tiré sur mes liens et maintenant les nœuds sont tellement serrés que je n’arrive pas à les dénouer.
Ce n’est pas vrai ? Maintenant que mes mains et mes bras sont enfin libres je n’arrive pas à me détacher mes jambes ? Et avec mes pieds qui me font toujours mal je ne peux pas me mettre à sauter.
- mmmmff !!, mmmm !!, mmmm !!
Je crie désespoir.

Que faire ?
Je réfléchis.

J’ai trouvé !
Je retire la fine ceinture de ma jupe. J’utilise l’ardillon pour m’aider à défaire les nœuds.

Enfin ! Maintenant le bâillon. Cette fois la boucle de ma ceinture m’aide.

Libre ! Enfin ! Enfin ! Oui, enfin. Je suis restée attachée et bâillonnée pendant près de 24 heures. Une journée entière. Quelle affreuse expérience. Je frissonne en pensant que si je n’avais vu le clou dépasser du mur je serais encore attachée et bâillonnée. Pour encore 24 heures ! Je frémis.

Maintenant je me dirige tranquillement vers mon auto. Je savoure le bonheur d’avoir réussi à me libérer de mes ignobles liens, d’être libre. Chez moi il y a de la nourriture, des boissons, un bain chaud, un lit qui m’attendent…


FIN de cette histoire.

MacWilly p.o. Néhalennia
Dernière modification par MacWilly le 18 févr. 2024, 13:22, modifié 1 fois.

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Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin
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Re: Néhalennia, détective privée, joue le rôle de Gwendoline

Message par Gwenboyfriend »

L’idée du tournage interrompu où l’actrice ligotée et bâillonnée est oubliée est très amusante. J’apprécie beaucoup l’allusion à Just Jaeckin et à son adaptation catastrophique des aventures de Gwendoline.
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Re: Néhalennia, détective privée, joue le rôle de Gwendoline

Message par mmlea »

Bonjour merci pour ce très bon scénario bien raconté et bien écrit, un plaisir.

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