Néhalennia-2-détective privée, retour au studio

Œuvres des membres (textes, histoires, dessins, photos...) Rappel du règlement du forum: Interdiction de publier des récits dessins photos etc...mettant en scène des mineurs.
Règles du forum
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
Avatar de l’utilisateur
MacWilly
Habitué(e)
Messages : 80
Inscription : 25 déc. 2023, 02:37
Ce que j'adore : Les ballerines, les histoires de filles en détresse, the gorean saga by John Norman.
Ce que je déteste : Les baskets, l'injustice et les fausses accusations, l'hypocrisie, les passages "esclaves" de la saga goréenne, les humiliations. Les interactions 'homo'.
Localisation : Grand Est (Moselle)

Néhalennia-2-détective privée, retour au studio

Message par MacWilly »

INTRODUCTION : Dans l’épisode précédent je racontai comment j’ai été oubliée, alors que j’étais ligotée et bâillonnée. Je jouai le rôle de Gwendoline dans un petit film. Le tournage a été interrompu par la météo. Je suis restée solidement attachée et bâillonnée sur le lieu du tournage. Oubliée !
J’ai vécu une expérience terrible. Je suis restée seule, dans une cabane en forêt, prisonnière de mes liens pendant une journée entière. Et encore, si je n’avais pas réussi à me libérer je serais restée ligotée pendant encore 24 heures de plus.
Je n’ai pas rapporté cette expérience à l’équipe. Il n’y avait pas vraiment un coupable unique à blâmer. Je voulais éviter la pitié, la condescendance que ma terrible expérience m’aurait valu. Je voulais aussi éviter de devenir une victime mélodramatique.
J’avais invoqué un prétexte pour cesser mon rôle dans le tournage. Après tout mon métier est celui de détective. J’avais été suffisamment attachée et bâillonnée pour un moment.
Je me suis reteint mes cheveux en châtain, ma couleur naturelle. La couleur blonde me rappelai trop mon rôle de victime attachée, bâillonnée et impuissante.

Du temps ayant passé, la vie devant continuer, je suis revenue au studio en tant qu’actrice. J’avais un rôle dans le film qui était en tournage…


Le studio de cinéma

Ce jour-là je jouais le rôle de la jeune fille enlevée par des bandits. Je portais des escarpins noirs à petits talons, un collant couleur gazelle, une mini-jupe noire élastiquée et moulante (et pour ne pas gâcher l’effet je n’avais pas mis de petite culotte), un chemisier blanc recouvert d’un mince pull mauve. J’avais laissé mes cheveux libres.
Pour les besoins de la scène l’accessoiriste Caroline m’avait attaché les poignets dans le dos avec une fine corde noire. Elle m’avait croisé les poignets et les avait bien entourés de liens. Horizontalement, verticalement, avec même des boucles supplémentaires. Caroline m’avait aussi enfoncé une boule de tissu dans la bouche. Elle avait entouré mes lèvres et ma bouche d’une longue et mince écharpe noire. J’étais bâillonnée.

Je savais que Caroline, une petite blonde, ne m’aimait pas. Elle n’était pas très sympathique et surtout elle était jalouse de moi. Elle était envieuse de mon petit ami. Caroline avait brutalement serré mes liens. Etre de nouveau attachée et bâillonnée me rappelai des souvenirs. Tout ceci me mettait mal à l’aise.

Mon oncle avait remarqué mon malaise mais il m’avait complimenté sur mes qualités d’actrice. Il pensait que je jouais très bien la fille en détresse.

Nous venions de jouer plusieurs scènes lorsqu’un « clap » retentit. Le réalisateur (mon oncle) s’écria.
- C’est bon pour cette scène. Un quart d’heure de pause puis on tourne la dernière scène pour aujourd’hui.

Toujours attachée et bâillonnée, je m’écartais du plateau de tournage. A cause de toutes les lampes le plateau de tournage était plutôt chaud. Il faisait plus frais plus loin dans le bâtiment.

Cela faisait déjà des heures que j’étais attachée. Une envie d’aller faire pipi se fit pressante. Je me rapprochais des toilettes et je désignais avec ma tête la direction des toilettes.

- mmmmff !! mmmmppff !!, mmmmppff ??

Tout le monde s’activait à ranger le matériel de la scène précédente, ou à installer le matériel de la scène suivante, ou à prendre rapidement un petit café.
C’est Caroline qui remarquait mes suppliques.
- Je vois. Viens.



Arrivées devant les toilettes je me retourna devant Caroline et je tirai sur mes liens.
- mmmmppff !!

Rien ne se passe. Je remue mes mains autant que mes liens me le permettent, je tire sur mes liens, je me demande ce qu’elle attend pour me détacher.
- mmmmppff ??
- Non ! Je ne vais pas te détacher. Il reste une scène à tourner et cela abimerait la continuité du film.

Je me dis qu’elle pourra m’attacher de nouveau. Je m’impatiente et je secoue mes poignets de dépit.
- mmmmff !!, mmmmppff ??

Elle me remonta ma jupe et descendis mon collant juste sous mon sexe.
Quelle humiliation. Je bouillais de colère. J’étais vraiment furieuse. Si je n’étais pas attachée je lui aurais mis une de ces gifles !
- mmmmppff !!, mmmmppff !!

- Je t’attends devant la porte.

Un peu tard, mon petit besoin assouvi, je ne voulais surtout pas subir une deuxième humiliation. Je me trémoussai pour remonter mon collant, puis je me déhanchai pour remettre ma jupe à sa place, enfin à peu près à sa place. Je ne pouvais pas vraiment l’ajuster avec mes mains attachées dans le dos.

Les lumières s’éteignent et tout devient noir. Pas tout à fait noir. Les veilleuses de sécurité indiquant les issues de secours restaient allumées.

Je sors des toilettes dans la faible lumière. Je vois que Caroline n’est pas là.
Je retourne dans la salle du tournage.
Personne !
Tout le monde est parti !

Ils m’ont laissée seule, attachée et bâillonnée !

Je devinais que l’équipe était fatiguée et avait décidé, comme souvent, de finir la journée en se retrouvant à la pizzéria du coin. L’équipe ne s’est pas étonnée de mon absence car en fin de tournage je quittais régulièrement le groupe pour aller rejoindre mon petit ami. Caroline avait certainement dit à tout le monde que j’étais partie de mon côté.

J’étais exaspérée par le tour que m’avait jouée cette peste.
Je tirais furieusement sur mes liens. Je me débattais. Je luttais.

Après plusieurs minutes je dus me rendre à l’évidence : je pensais que mes liens étaient du cinéma. Mais non, j’étais vraiment attachée. Solidement. Mes liens ne s’étaient même pas desserrés.

Je tentais de me débarrasser de mon bâillon. Je remuais la tête, je grimaçais, je tentais avec ma langue de rejeter la boule de tissu qui me remplissait la bouche. Après plusieurs minutes je devais de nouveau capituler. Cette garce m’avait aussi vraiment bâillonnée. Impossible de retirer mon bâillon.

Mon téléphone ! Je suis bâillonnée mais je n’ai qu’à envoyer un texto à mon ami pour l’appeler à l’aide.
Je suis sauvée !

Mais ? Où est mon téléphone ? Il n’est plus sur la table où je l’avais laissé ?

Cette garce l’avait soit emporté soit caché. Bien sûr. Si mon téléphone était toujours là les autres n’auraient pas cru que j’étais partie.

Je tirais encore sur mes liens. Désespérément.
Inutile. Je suis vraiment bien attachée.

Mon sac à main ! J’ai toujours un canif dans mon sac à main ! Je n’ai qu’à le prendre et à couper ces saletés de cordes.
Je suis sauvée !

J’allais au vestiaire.
Mais ? Où est mon sac à main ?

Cette peste l’a posé sur casier. En hauteur. Hors de portée de mes mains attachées dans mon dos. Je pensais prendre un bâton, par exemple un balai et faire tomber mon sac. Inutile d’essayer. Attachée comme je suis je ne pourrais pas atteindre mon sac. Mon sac est sur le casier, mais pas au bord du casier. Hors d’atteinte.

Je tirais rageusement sur mes liens. Mes liens ne cèdent pas. Je suis vraiment bien attachée.

Comment me libérer ?

Je me promenais dans le studio à la recherche d’un outil qui me permettrait de me libérer de ces pénibles liens. Peut-être un couteau ?
Je ne trouvais rien qui puisse m’être utile.

J’étais agacée d’être attachée et impuissante. Je ressentais de la rancœur contre Caroline. De la haine même. Je commençais à penser à ce je lui ferai subir une fois que je serai libre.
Non ! La vengeance est pour plus tard. Il faut d’abord que je me débarrasse de mes liens qui deviennent de plus en plus insupportables.

Après avoir encore et encore tiré sur mes liens je dus me résigner. Je ne peux pas me libérer toute seule et je n’ai rien pour me libérer. Je dois attendre que quelqu’un vienne me délivrer ou aller chercher de l’aide. Nous sommes vendredi soir. Donc je dois aller chercher de l’aide. Au moins je peux quitter facilement l’immeuble. Il me suffit d’appuyer sur la barre horizontale de la porte de secours pour déverrouiller cette porte. Pas difficile, même si mes poignets sont liés.


Le retour chez moi

Me voici dans la rue.
Ma voiture n’est pas très loin. Je pourrais ramper en-dessous. Je pourrais alors prendre la petite boîte aimantée cachée sous la carrosserie. La boîte contient une clé de secours. Mais avec mes mains solidement attachées dans mon dos je ne pourrais pas conduire.

Je pourrais aller rejoindre le groupe à la pizzéria. Je sais que plusieurs personnes se moqueraient bien de moi. Venir attachée et bâillonnée à la pizzéria. Je serais la risée de bien des gens. J’ai déjà été assez humiliée aujourd’hui.
Sûrement quelqu’un me délivrerait ? J’eus une appréhension. Et si par effet de groupe on s’amuserait de mon impuissance ? Avec l’influence de Caroline je pouvais bien être ridiculisée par le groupe. Aiguillonnés par cette vache de Caroline ils seraient capables de me laisser attachée et bâillonnée encore longtemps. Non, je ne voulais pas risquer ça.
Leurs ‘blagues’ me venaient à l’esprit : « si tu veux qu’on te détache tu le dis », « les folles à lier, il faut les… lier », « on a maintenant une ligotable dans l’équipe », « déjà prête pour la prochaine scène », « elle est mignonne quand elle fait mmmm, mmmm », « la nouvelle mode : s’habiller avec des liens », « elle sait déjà faire mmmm, mmmm, elle va bientôt se mettre à parler », « à quoi reconnaît-on les folles à lier ? Au fait qu’elles sont liées », « épouse idéale, pas de dispute avec elle » , « souris pour la photo », « enfin une femme qui comprend le conseil sois belle et tais-toi », « on te retire ton bâillon dès que tu nous le demande », « à quand ton numéro de reine de l’évasion ? »…
Assez ! Je n’avais pas envie de ça !

L’appartement de mon ami est à huit kilomètres. Deux heures de marche. C’est dans mes possibilités. Comme la nuit est en train de tomber je me dis que c’est la meilleure chose à faire.


Je marche dans la rue. Je ne tiens pas à attirer l’attention. Je rase les murs. Bien sûr j’ai une chance de croiser une personne sympathique qui me détachera mais j’ai aussi un risque de tomber sur une personne qui profitera de l’occasion. Peut-être pour me peloter ou pire. En mini-jupe je suis tentante, bâillonnée je ne peux pas appeler à l’aide, attachée je n’ai aucun moyen de me défendre.

Je rêve au moment où mon ami me délivrera. Si seulement j’étais déjà avec lui !


Oh non !
Je croise cette racaille de Lionnel. Je l’avais arrêté il y a un an. J’enquêtais au profit des magasins V. Il avait organisé un système de vol, de recel et de revente. Il avait été condamné à 10 mois fermes.
Il me reconnut.

En temps normal il ne me faisait pas peur. Mais attachée et bâillonnée je ne pouvais pas l’emporter sur lui en cas d’affrontement. Mes jambes étaient libres, mes escarpins à petits talons me permettaient de courir.

Je fuyais.

Saleté de bâillon. Il m’obstruait la bouche. Je ne pouvais respirer que par le nez. Je m’essoufflai vite et la racaille me rattrapa.
Je fus agrippée par les cheveux et par un bras.
J’appelai à l’aide.
- mmmmff !! mmmmff !!
Evidemment, bâillonnée et étouffée par le bâillon, mes appels étaient pitoyables. Le salaud était ravi.
- Salut poulette ! Comme on se retrouve.

Il m’entraina sans ménagement. Je n’étais pas en état de lui résister. Il m’entrainait chez lui.
- L’occasion est trop belle. Tu vas voir, on va bien s’amuser.
- Dix mois en taule par ta faute. Je vais savourer ma vengeance.

Je devinai ses intentions. D’abord me violer et puis après ? Puis me faire violer par un de ses complices ? Et après ? Je craignais que le salopard était capable de me tuer après.
« Il ne faut pas que je panique. Il faut que je garde les idées claires. »

Arrivés dans sa maison, il m’entraina à l’étage et me jeta brutalement sur son lit.
Je vis qu’il était bien excité. Me voir en mini-jupe, attachée, bâillonnée, à sa merci, sur son lit, l’excitait.
« Pas question de me laisser violer sans avoir tout tenté. »
Je sautai hors du lit. Lionnel s’amusait.

- Oh oui ! Résiste un peu, née alien ! C’est encore plus excitant comme ça.

Je m’approchai prudemment de lui. Il tenta de m’attraper mais aussi vite que le pouvais je lui mis un coup de boule et un coup de pied dans l’entrejambe. Il se pencha et je lui mis un violent coup de pied dans le diaphragme. Cela lui couperait la respiration pendant au moins 10 secondes.
Il avait laissé la lumière allumée. Je descendis les escaliers, ouvris un tiroir dans la cuisine. Chance ! Un couteau à lame dentée. J’ouvris la porte d’entrée, je sortis. Il me restai encore une ou deux secondes, je refermai la porte derrière moi. Ce crétin pensera que je me suis cachée dans la maison.
Je courrai à la maison voisine. Celle-ci avait un « jardin » d’environ 5 mètres entre elle et le trottoir. La propriété était limitée par une haie. Je m’introduisis dans ce « jardin » par le portillon. Je m’asseyais et me cachai accroupie derrière la haie.

Le salaud se précipitait dans la rue, à ma recherche. Le crétin ne me chercherait sûrement pas juste dans le jardin voisin.

Aussi calmement que possible je me mis à couper mes liens. Quel soulagement de sentir ces maudites cordes lâcher enfin mes poignets. Quel bonheur de retrouver l’usage de mes bras.

Enfin libre !

Je me débarrassai de mon bâillon. Et je maudissais encore une fois la salope de Caroline. Elle avait serré les nœuds rudement forts.

Maintenant que j’étais enfin libre, je me dirigeais calmement vers mon auto, sans me cacher.
Je croisais la racaille. En lui montrant le couteau je lui dis.

- Maintenant je suis libre et armée. Tu tentes ta chance ?

La racaille préféra renoncer.


Au volant de ma voiture, je rentrais enfin. Enfin libre, enfin débarrassée de mes horribles liens.
Quelle journée ! Je pensais que bientôt je me ferai cajoler par mon ami. Ensuite je réfléchirai à une bonne manière « d’expliquer » à cette chipie de Caroline que sa « blague » était de mauvais goût. Et après je demanderai à mon ami de m’attacher les mains. Pourquoi donc ? Pour que je puisse m’exercer à me libérer. Je l’ai échappée belle aujourd’hui, incapable de me libérer pendant des heures et des heures. Si jamais on m’attache de nouveau je veux être capable de me libérer de mes liens…



FIN de cette histoire.

MacWilly p.o. Néhalennia

Avatar de l’utilisateur
Mad Hatter
JdL, c'est ma vie
Messages : 2058
Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
Localisation : Partout et nulle part à la fois.

Re: Néhalennia-2-détective privée, retour au studio

Message par Mad Hatter »

MacWilly a écrit : 29 mars 2024, 11:23 INTRODUCTION : Dans l’épisode précédent je racontai comment j’ai été oubliée, alors que j’étais ligotée et bâillonnée. Je jouai le rôle de Gwendoline dans un petit film. Le tournage a été interrompu par la météo. Je suis restée solidement attachée et bâillonnée sur le lieu du tournage. Oubliée !
J’ai vécu une expérience terrible. Je suis restée seule, dans une cabane en forêt, prisonnière de mes liens pendant une journée entière. Et encore, si je n’avais pas réussi à me libérer je serais restée ligotée pendant encore 24 heures de plus.
Je n’ai pas rapporté cette expérience à l’équipe. Il n’y avait pas vraiment un coupable unique à blâmer. Je voulais éviter la pitié, la condescendance que ma terrible expérience m’aurait valu. Je voulais aussi éviter de devenir une victime mélodramatique.
J’avais invoqué un prétexte pour cesser mon rôle dans le tournage. Après tout mon métier est celui de détective. J’avais été suffisamment attachée et bâillonnée pour un moment.
Je me suis reteint mes cheveux en châtain, ma couleur naturelle. La couleur blonde me rappelai trop mon rôle de victime attachée, bâillonnée et impuissante.

Du temps ayant passé, la vie devant continuer, je suis revenue au studio en tant qu’actrice. J’avais un rôle dans le film qui était en tournage…

[/size][/color]

Alors en lisant ça. Je me suis dis qu'il fallait que je consulte ta présentation dans le registre MacWilly. J'ai vu qu'il n y en avait pas. Il serait de bon ton d'y remédier. :arrow: Aide pour la présentation Quant à ce qui est relaté dans ton récit ; soit c'est totalement une fiction ; soit c'est tiré de faits réels. Et même si il y a prescription, une main courante ou l'équivalent serait de bon ton.
La main courante est une déclaration par laquelle vous pouvez signaler des événements et les dater. La nature, la date et le lieu des faits sont consignés dans un registre de police ou de gendarmerie
https://www.service-public.fr/particuli ... its/F11182

:calin: Meilleurs vœux à toi MacWilly :calin:
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


Image
les synonymes de fou sont intéressants Image

Avatar de l’utilisateur
MacWilly
Habitué(e)
Messages : 80
Inscription : 25 déc. 2023, 02:37
Ce que j'adore : Les ballerines, les histoires de filles en détresse, the gorean saga by John Norman.
Ce que je déteste : Les baskets, l'injustice et les fausses accusations, l'hypocrisie, les passages "esclaves" de la saga goréenne, les humiliations. Les interactions 'homo'.
Localisation : Grand Est (Moselle)

Re: Néhalennia-2-détective privée, retour au studio

Message par MacWilly »

Hello,
à l'attention de Mad Hatter.

Mettons de côté les histoires qui sont sont clairement identifiées comme étant des fictions.

Il reste des histoires vraies, ou inspirées de faits réels ou peut-être vraies. Certaines de ces histoires sont assez 'crues', je pense.

Néhalennia me fait remarquer que dans sa première histoire il n'y a ni sexe, ni nudité, ni brutalité, ni violence, ni délit caractérisé, ni même d'intention délictueuse. La seconde est un peu moins 'gentille', mais elle reste plutôt anodine, comparée à certaines autres histoires.

Dans ce cas la réaction de Mad Hatter apparait comme un compliment à la précision du texte.

Il semble aussi que les lecteurs préfèrent les histoires plus 'tendues', si on en croit le compteur du nombre de vues. . . La troisième histoire (pas encore publiée ce 5/4/24) est encore un peu plus 'salée'. J'hésite maintenant à la poster.

Bien cordialement,

MacWilly

Avatar de l’utilisateur
Mad Hatter
JdL, c'est ma vie
Messages : 2058
Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
Localisation : Partout et nulle part à la fois.

Re: Néhalennia-2-détective privée, retour au studio

Message par Mad Hatter »

Je vais poser mes questions d'une autre manière.
  • La Néhalennia dont tu parles MacWily est-elle une personne qui a une existence physique ; charnelle ?
  • Est-ce que le compte au nom de MacWilly s'est présenté dans le registre ?
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


Image
les synonymes de fou sont intéressants Image

Avatar de l’utilisateur
MacWilly
Habitué(e)
Messages : 80
Inscription : 25 déc. 2023, 02:37
Ce que j'adore : Les ballerines, les histoires de filles en détresse, the gorean saga by John Norman.
Ce que je déteste : Les baskets, l'injustice et les fausses accusations, l'hypocrisie, les passages "esclaves" de la saga goréenne, les humiliations. Les interactions 'homo'.
Localisation : Grand Est (Moselle)

Re: Néhalennia-2-détective privée, retour au studio

Message par MacWilly »

Hello,

OK, j'ai négligé la partie présentation dans le registre, en pensant (peut-être à tord ? ) que ça n'intéressait personne.
Quoi qu'il en soit, la situation est maintenant corrigée.

MacWilly

Répondre