Néhalennia-3-détective privée, contre Caroline

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MacWilly
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Néhalennia-3-détective privée, contre Caroline

Message par MacWilly »

INTRODUCTION : Dans l’épisode précédent je racontai le sale tour que Caroline m’avait joué. Caroline est jalouse de mon petit ami. Elle avait manigancé de manière à ce je reste dans le studio de tournage. A la fin du tournage elle avait fait croire à tout je monde que j’étais rentrée chez moi ; que j’avais quitté les lieux. Dans la scène du film j’étais attachée et bâillonnée. Elle m’avait laissée attachée et bâillonnée.
Quelle garce !
Je n’avais pas réussi à me libérer et j’avais décidé de rentrer chez moi, toute attachée et bâillonnée.
En chemin je suis tombée sur une racaille qui a voulu profiter de l’occasion pour me violer !
J’ai réussi à échapper au péril, d’extrême justesse.
Je n’aime pas être attachée et impuissante. Je m’étais dit que je ferais bien de m’exercer à me libérer. Si jamais je devais de nouveau me retrouver attachée. Mon ami m’aidera dans mes exercices.


Encore cette garce de Caroline

Le lendemain, dimanche matin, je m’étais habillée d’un chemisier bleu comme mes yeux, sans manches, d’une petite jupe noire moulante, d’un collant brillant couleur chair et de petites chaussures noires. Après tout, mon ami aimait me voir habillée de cette manière.
J’avais préparé le repas. Puis après le repas suivi d’un bon café l’après-midi s’annonçait heureuse.

Je pris une petite corde satinée, récupérée d’un paquet cadeau et je demandai à mon ami de m’attacher les mains dans mon dos. Cela lui plaisait bien de m’attacher. Moi cela ne me plaisait pas mais j’avais déjà vécu deux expériences pénibles, attachée et bâillonnée. Je voulais tester des moyens de me libérer.
Essai numéro un. Je tente de me libérer en tirant un de mes poignets vers le haut. Je reste attachée. En guise d’encouragements mon ami m’embrasse sur les joues.
Essai numéro deux. Je tente de me libérer en tirant un de mes poignets sur les côtés. Même conséquence qu’avant.
Essai numéro trois. Je saisis un crayon et j’essaie de défaire le nœud avec.
Je me consacre à cet essai lorsque… On sonne !

- Vite ! Détache-moi !
- Tu es très bien comme ça !
- Non ! Détache-moi vite !

Mon ami me laisse attachée et va ouvrir !

Surprise ! C’est cette peste de Caroline !
- Coucou Néhalennia. Je venais voir si tu étais bien rentrée hier.

J’étais furieuse d’être attachée. Je tirai énergiquement sur mes liens. Je lui aurais bien mis une gifle. Caroline ne tarda pas à se rendre compte que j’étais attachée. Elle lança un air interrogateur à mon petit ami. Mon ami se pris au jeu.
- Oui, elle aime être attachée. Elle a ses mains attachées dans son dos.
Caroline : - Je vois. Alors je vais faire quelque chose pour elle.
Moi : - Non. Je veux qu’on me détache !

Caroline me couche sur le ventre et sur le canapé. Avec mes mains attachées dans mon dos je ne suis pas en mesure de résister. Caroline s’accroupi sur mes cuisses. Elle glisse mes bras dans un gant unique et commence à lacer le gant. Je sens progressivement le gant se coller contre mes mains, puis mes poignets.
Mais mon ami ne fait rien ??
- Chéri, ne reste pas là planté comme un piquet. Fais quelque chose ! Aide-moi !

Au lieu de m’aider, cet idiot prend son téléphone et commence à filmer la scène !

Le gant est maintenant lacé jusqu’au-dessus de mes coudes. Mes bras sont collés l’un contre l’autre. Caroline se lève. Je me redresse.
- Chéri, délivre-moi !
- Tu es vraiment sexy comme ça !

Je ne veux pas être traitée ainsi. Je pars.
Mais non. Je suis tellement ligotée que je ne peux même pas ouvrir la porte !

Caroline exhibe un bâillon-boule rouge.
- Maintenant la touche finale.
- Chéri ! Non ! Je ne veux pas être bâillonnée.

A ma surprise, mon ami aide Caroline à m’enfoncer la boule de caoutchouc dans la bouche. Je n’aurais pas cru ça de lui ! Je résiste du mieux que je peux, mais ligotée dans l’infâme gant unique je n’ai aucune chance.
La boule me bloque la bouche.
- mmmmff !!
Et mon mec me serre la fermeture du bâillon dans ma nuque.

Je suis surprise et déçue par le comportement de mon ami. Je suis furieuse d’être ligotée et bâillonnée. J’explique que je n’apprécie pas du tout ce traitement.
- mmmmppff !!, mmmmppff !!

Caroline s’amuse. D’un air enjoué elle s’adresse à mon ami.
- Viens, on va se faire une bonne après-midi !
- mmmmff ??
- Mais oui, tu peux venir !
- mmmmff !!, mmmmff !!

Ligotée, bâillonnée, je suis entrainée vers la sortie, malgré mes regards réprobateurs. Je ne suis pas en mesure de résister.


Le studio de cinéma

Me voilà dans le studio de cinéma. Dans la salle où se trouve un lit de très grande taille. Un lit baldaquin. Je suis couchée sur la couverture violette qui recouvre ce lit.
Caroline est en train de placer une caméra à côté du lit. Elle me nargue.
- Tu as de la chance. Tu vas pouvoir t’entrainer !

Je ne veux pas. Je lance des regards incendiaires à mon ami. Je proteste !
- mmmmff !, mmmmppff !!

Caroline a placé un grand écran à côté du lit, de l’autre côté, par rapport à la caméra.
- Tu es gâtée : tu peux suivre tes progrès sur l’écran.
Caroline ouvre une boîte et en sort un objet rose qui ressemble vaguement à une sorte de canard qui regarde derrière lui. Je ne sais pas quoi il s’agit.
Elle met mon sexe à nu, introduit l’objet dans mon… vous savez quoi.
Elle remet ma culotte, mon collant et ma jupe en place pendant que mon crétin d’ami se contente de regarder.
Enfin elle m’attache les pieds et les relie à un montant du lit.

Caroline :
- L’œuf vibrant est pour te donner du courage. Regarde comme c’est bien fait.

Caroline touche son téléphone et l’œuf se met à vibrer. Je proteste :
- mmmm !!

Caroline et le crétin s’en vont !

Ce n’est pas vrai !? Ils n’ont laissée ici, seule, attachée et bâillonnée ! Je suis furieuse ! Indignée !

Mais ? L’œuf change de fréquence. Maintenant il m’excite très rapidement. Non…
Je suis ligotée. Je ne peux pas retirer cette saleté. Mon excitation augmente ; l’œuf vibre à une fréquence qui me stimule. Je sens mes seins se raffermir, je me sens devenir humide… Un gémissement m’échappe.
- mmmmppff
Et je suis submergée par un orgasme qui me fait me tordre dans mes entraves.

Je reprends mon souffle. Sur l’écran je vois mon gant soigneusement lacé dans mon dos. Il est collé sur mes mains et mes avant-bras. Aucune chance de le retirer.
Sur un autre écran je me vois encore rouge de plaisir, rouge de colère et encore rouge de honte.
Si quelqu’un me trouvait dans cet état. Quelle honte.

La fréquence de l’œuf a changé. Mon excitation s’est apaisée. Mon ami, non, c’est maintenant mon ex-ami m’a trahi. Il m’a laissée. Il est parti avec cette peste de Caroline. Je ne me demande même pas où.

La fréquence change de nouveau et l’excitation revient. Non… Encore…
Et de nouveau un orgasme me submerge… Je hurle de plaisir et de colère :
- mmmm !!, mmmmppff !!

La fréquence a changé. Mon excitation s’est apaisée. Quel salaud. Il m’a laissée ligotée et bâillonnée dans cette situation écœurante. Incapable d’atteindre l’œuf dans mes parties intimes. Comment a-t-il pu me laisser ainsi ? Je me sens violée. Je ne suis pas vraiment violée, mais c’est l’impression que je ressens.

La fréquence redevient celle qui stimule mon corps… et c’est reparti…

J’ai l’impression d’être violée, torturée, humiliée…

Le cycle se reproduit et continue ses implacables répétitions. Entre les moments d’intense excitation j’essaie de me libérer de mon gant, de me libérer des liens qui attachent mes chevilles, de prévoir ce que je ferai quand je serai enfin détachée…


Ma revanche

Quatre heures plus tard l’œuf vibrant fonctionne toujours. Quand ses piles seront-elles enfin usées ?
Je ne compte plus les orgasmes que ce maudit appareil m’a provoqués.
Je suis épuisée. Je crois que je sens mauvais. A cause de la transpiration et des humeurs…

Les deux salauds reviennent enfin.
Mon ex-ami voit ma mine déconfite, ma colère dans mes yeux.
- Tu t’es bien entrainée et bien amusée, chérie ?
- mmmm

Je dois avoir l’air épuisée car il semble maintenant inquiet de mon état.
- Chérie, tu vas bien ?
Je fais signe que non, de la tête.

Il délace mon gant. Enfin ! Il me détache mes poignets, puis il me retire le bâillon.
Je m’assois pour délier mes chevilles. Il m’aide en me demandant :
- Chérie ?

A peine libérée je me lève. J’ai les bras courbaturés. Le gant m’a tordu les bras dans mon dos pendant quatre heures. Je saisis la lampe sur une des deux tables de chevet. Je suis en colère. Je lui frappe sa tête avec la lampe qui se brise. Caroline s’alarme :
- Tu es folle ?
Pendant que l’ex tombe par terre, je saisis Caroline et je projette sa tête contre un des montants du lit. Sans ménagement. Elle en est étourdie.

Je prends les menottes dans les tiroirs des tables de chevet et je menotte les deux infâmes.

Enfin je peux me sortir cet affreux œuf de mes parties intimes. Je respire profondément. Soulagée.

Je me suis remise en forme avec une bonne douche chaude, une bonne boisson, deux sandwich, une barre chocolatée (des appareils de distribution de ces friandises).

J’ai ligoté Caroline dans le gant unique. J’ai pris plaisir à serrer le laçage. Je l’ai vraiment bien serré. J’ai bien serré le nœud aussi. Caroline est bâillonnée. Elle est ‘équipée’ de l’œuf vibrant (j’ai mis des piles neuves dedans). Caroline est couchée sur son côté gauche, au bord du lit. Elle regarde vers le centre du lit. Elle doit rester ainsi. Je lui ai attaché les chevilles à un montant au pied du lit. Je lui ai passé une corde autour du cou que j’ai fixé au montant à la tête du lit. De l’autre côté du lit j’ai ligoté le crétin pour qu’il soit en face d’elle. Lui aussi doit rester en place, attaché au lit de la même manière que la peste. Je lui ai retiré son pantalon.
Quelle expression impayable il a. Il a l’air surpris !

Je leur explique :
- Le beau couple que vous formez aime les jeux. Je suis gentille. Je vous ai préparé un beau jeu. Je vous ai attachés l’un en face de l’autre. En tirant sur vos liens vous pouvez vous toucher. Je vais vous filmer. Je vais garder le film. Si par la suite je vous retrouve le film sera sur les réseaux sociaux.
Mon ex :
- Chérie, détache-moi. C’était un jeu. Pour t’amuser.
Moi : - Je me suis bien amusée. Tu peux t’amuser à ton tour. Avec ta nouvelle copine. Autant que tu voudras.

J’ai utilisé le téléphone de Caroline pour déclencher l’œuf vibrant. J’ai ‘un peu’ filmé le beau couple. Je me suis amusée à filmer l’effet de l’œuf vibrant sur Caroline. Je crois que j’ai réussi des gros-plans bien suggestifs.
Ensuite je suis partie.
Je suis allé retirer mes affaires personnelles qui étaient chez mon ex avant de rentrer chez moi.

Quel dimanche.
Ligotée encore une fois et je ne sais toujours pas comment retirer mes liens quand je suis ligotée. Epuisée par des orgasmes (j’ai arrêté de compter). J’ai découvert qu’une fréquence était capable de m’exciter beaucoup plus vite que ce que j’imaginais. J’ai appris qu’il existe des œufs vibrants connectés. J’avais un petit ami ce matin. Je n’en ai plus.
Oui, vraiment, quel dimanche. . .

Je vais aller me coucher…



FIN des histoires de Néhalennia. Ces histoires n'ont pas trouvé leur public. Elles ont même parfois franchement déplu ...

MacWilly p.o. Néhalennia

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Ce que je déteste : tout ce qui n'est pas convenu à l'avance

Re: Néhalennia-3-détective privée, contre Caroline

Message par chose »

Bonjour MacWilly,

eh bien elle m'a vraiment plu cette histoire.

Merci à toi,

Chose.
Bondage, bondage, quand tu nous tiens :gagged: :police:

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