Un couple particulier

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Alexandra_TV
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Un couple particulier

Message par Alexandra_TV »

Depuis maintenant vingt-cinq ans, Sandrine et François formaient un couple solide, uni par les liens sacrés du mariage depuis déjà deux décennies. Mais il y a dix ans, leur relation avait pris un tournant inattendu et passionnant lorsque Sandrine avait introduit le BDSM dans leur vie sexuelle. Elle était la Maîtresse, dominatrice et impérieuse, et François, son soumis dévoué, se pliant à ses moindres désirs avec plaisir et enthousiasme.

Ce matin-là, comme à son habitude, François dormait, les poignets et les chevilles entravés par des bracelets de cuir, un collier autour du cou, symbole de sa soumission et un bandeau sur les yeux. Sandrine, quant à elle, entra dans la chambre, vêtue d'une nuisette en dentelle qui laissait deviner la lingerie coquine qu'elle portait en dessous.

"François, réveille-toi," murmura-t-elle d'une voix suave. "Il est temps de commencer ta journée."

François frémit au son de sa voix. Il adorait quand elle prenait le contrôle de cette manière. Il se leva et la suivit docilement jusqu'au sous-sol, où se trouvait leur donjon, un espace dédié à leurs jeux érotiques.

"Aujourd'hui, j'ai des projets particuliers pour toi," lui dit-elle, un sourire espiègle aux lèvres. "Je reçois des invités et tu passeras la journée ici, ligoté et bâillonné, en attendant mon retour."

Sandrine attacha soigneusement François à une croix de Saint-André, fermement, mais sans lui causer de douleur. Elle s'assura que ses poignets et ses chevilles étaient solidement liés, l'empêchant ainsi de bouger. Puis, elle sortit un bâillon en forme de boule qu'elle avait préparé spécialement pour lui.

"Tiens, mon chéri, ouvre la bouche," dit-elle en lui caressant la joue.

François obéit et elle glissa sa petite culotte, qu'elle venait tout juste de retirer.

Je l'ai portée pendant trois jours, dit-elle. Elle voulait qu'il goûte ses fluides, qu'il sente son odeur, et que cela le rende fou de désir. Elle attacha ensuite la culotte avec du ruban, s'assurant qu'il ne puisse pas la retirer.

"Tu resteras ainsi en attendant mon retour," dit-elle en passant une main dans ses cheveux. "Et n'oublie pas qui est la Maîtresse ici."
Après lui avoir lancé un regard plein de promesses, elle remonta à l'étage pour se préparer. François, de son côté, attendit patiemment, son corps tendu par l'excitation et l'anticipation de ce qui allait suivre. Il savait que Sandrine avait toujours des idées passionnantes pour le stimuler et le faire frémir.

Le temps passa et François put entendre Sandrine se doucher et s'habiller. Il imaginait le soin qu'elle apportait à sa toilette, le choix de ses vêtements, et son parfum qui embauma bientôt toute la maison.

Après ce qui lui parut une éternité, il entendit enfin ses pas redescendre vers le sous-sol.
Sandrine apparut, vêtue d'une tenue sublime qui fit monter la température d'un cran. Elle portait une jupe en cuir moulant ses courbes, un blouson blanc laissant apparaître un soutien-gorge séduisant, et des bas nylon retenus par un porte-jarretelles, le tout rehaussé par des talons aiguilles qui accentuaient la longueur de ses jambes.

François frémit en la voyant, son désir montant encore d'un cran.

Sandrine s'approcha de lui et caressa doucement ses fesses nues avant de passer une main le long de sa cage de chasteté.

"Mon pauvre chéri, tu es sûrement impatient, n'est-ce pas?", murmura-t-elle. "Mais il va falloir apprendre à contrôler tes envies."
Elle sortit alors un petit vibrateur et l'attacha entre ses jambes, sous la cage.

"Ceci va te rappeler qui est la Maîtresse," dit-elle en allumant le jouet. "Et il se déclenchera aléatoirement pendant la journée."

Sandrine en profita pour réajuster ses bas nylons et François pu entrevoir une partie de son porte-jarretelles.

"C'est tout ce dont tu pourras voir". Sandrine plaça un bandeau sur les yeux de François et il fut dans la noirceur totale.

François ressentit une décharge électrique en l'entendant s'éloigner et en entendant le cliquetis de la porte du donjon se refermer derrière elle. Il savait qu'elle avait sûrement des invités particuliers en tête, des personnes qui partageraient peut-être leur jeu érotique, et l'idée l'excita encore plus.

Quelques heures passèrent, et François tenta de se calmer, mais le vibrateur se déclenchait régulièrement, le faisant frémir et tressaillir à chaque fois. Il était maintenant totalement à la merci de Sandrine et de ses caprices. Il ne pouvait qu'attendre, les yeux bandés, imaginer ce qu'elle tramait et se laisser emporter par le désir qui le consumait.

Soudain, la porte s'ouvrit de nouveau et il entendit plusieurs paires de pas descendre les escaliers. Sandrine entra, accompagnée de deux autres personnes dont François ne pouvait voir les visages.

"Mes invités sont arrivés, François," dit-elle d'une voix enjouée. "Et ils sont impatients de faire ta connaissance."

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