histoire san,s fin

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thierrydelille59800
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histoire san,s fin

Message par thierrydelille59800 »

Bonjour a tous
je vous p^ropose un petit challenge mais avannt je voudrais, savoir qui est interessé
je commence une histoire une 20 ainse de ligne puis une autre personne orend le relais 20 lignes également et ainsi de suite
qui est interessé

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Crazycoyote
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Ce que je déteste : Bon, les grands classiques, l’hypocrisie, le racisme et le disco. Le manque de respect dans une relation aussi bien intime qu'amicale.

Re: histoire san,s fin

Message par Crazycoyote »

C'est parti, j'attends, j'attends toujours... :)

thierrydelille59800
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Re: histoire san,s fin

Message par thierrydelille59800 »

ok voila le debut de l histoire

Thierry avait rencontré camille dans un bar
elle lui avait plu tout de suite c'etait une grande fille d 1 m85 avec de tres longs cheveux roux elle etait vetu d une mini jupe en jean et d un bustier trés decolleté
le courant etait passé trés rapidement
camile lui dit "j habite au desssus du bar si on allait chez moi prendre un dernier vere"
Thierry accpta volontiers

il se retrouva chez camllle qui lui demanda ce qu il vouliat boire
Thierry demanda un whisky et camille lui servit mais ajouta dans le verre un puissant somnifére
thieery but le verre et comenca a vaciller
il regarda camille qui lui sourit,; un sourire demoniaque
il comprit essaya de selever mais tomba sur le canapé endormit, la derniere chose qu il entendit fut le rire de Camille


voila au suivant

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Crazycoyote
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Re: histoire san,s fin

Message par Crazycoyote »

Ouahhh ma tête

La première pensée de Thierry fût la douleur occasionnée par ce foutu mal de crâne. Où était-il ? Qu’est-ce qui c’était passé ? Pourquoi ne pouvait-il pas bouger ?

Merde. C’est quoi ce bordel ?

Essayant de protester, il comprit vite que sa bouche était obstruée par un tissu ou un truc du genre. Ses lèvres étaient collées, probablement par du scotch. Il réalisa que ses poignets étaient aussi scotchés dans son dos. Ses jambes aussi étaient entravés par le même adhésif.
Reprenant peu à peu ses esprits, il entreprit de se rappeler les évènements. Oui, la jolie fille, il remonte avec elle…

La salope… Putain elle est où ?

Examinant la pièce, il constata qu’il n’avait pas bouger de salon, toujours allongée sur le canapé. Se dandinant pour essayer de se détacher, il s’aperçut que la salope en question avait pousser le vice d’ajouter une bande d’adhésif supplémentaire autour de son torse, le restreignant d’autant plus.
Pendant de longues minutes, Thierry tenta en vain de se libérer, Camille avait bien fait son affaire. Mais qu’est-ce qu’elle avait fait ? Qu’est-ce qu’elle lui voulait ? C’est la première fois qu’elle faisait ça ? Il y en a eu d’autre avant ? Elle habite au-dessus du bar. C’était probablement pas par hasard ? Autant de question que Thierry avait tout le loisir de se poser en attendant que sa geôlière ne revienne. Si elle revenait un jour d’ailleurs ?

A vous de jouer :biere:

thierrydelille59800
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Re: histoire san,s fin

Message par thierrydelille59800 »

j adore cette suite
elle laisse vraiment une porte ouverte a tous
a vous de jouer mesdames; et messieurs

thierrydelille59800
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Re: histoire san,s fin

Message par thierrydelille59800 »

alors personne veut relever le defi ?

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MacWilly
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Re: histoire san,s fin

Message par MacWilly »

AVANT PROPOS : Les histoires dans mes posts étant jugées extrêmement violentes (sic !), je tente cette fois un petit post avec des traces d’humour. Je me rappelle aussi des événements racontés récemment par thierrydelille59800 dans son post ‘l’autostoppeuse perverse’.
Libre à vous d’apprécier – ou pas – ce qui suit.



A quelque distance du pauvre Thierry, Camille et Katarina savourent leur whisky.
Camille a l’air heureuse :
- Ce crétin ne m’a même pas reconnue. Cette fois je vais avoir ma revanche !
- On va s’amuser ! On va d’abord le laisser se ramollir un peu puis on va commencer par le torturer un peu.
- Je m’en réjouis d’avance !
Katarina affiche une mine songeuse. Elle a l’air de réfléchir, puis elle dit :
- Attend un peu, que comptes-tu lui faire exactement ?
- Le torturer, le battre, lui faire subir des sévices, lui -
Katarina lui coupe la parole :
- Je suis avec toi, mais il nous faut faire attention ! Si nous nous égratignons à peine le Thierry, même accidentellement, et que les féroces Madater et Fredzel en aient vent ? Alors ils lancent immédiatement et impitoyablement contre nous la police, la gendarmerie, la brigade antigang, le GIGN et police-secours !
Katarina :
- Pire ; ils lancent aussi la censure contre nous !
- Tu plaisantes ?
- Hélas non ! J’ai entendu parler de quelqu’un qui avait accidentellement égratigné sa copine avec une ficelle. Ceci est extrêmement violent et il en a immédiatement été censuré par le commissaire Fredzel ! Le commissaire a aussi émis une sérieuse mise en garde au pauvre jeune homme !
- Je ne vais pas renoncer à ma vengeance !
Katarina :
- Oui, mais il nous faut réfléchir à une vengeance adaptée.

Camille : - Je pensais lui faire manger des escargots. Des escargots cuits avec du beurre et du persil finement haché !
Katarina s’affole !
- Non ! Madater le farouche nous accusera d’avoir disrecpected les rules de tugstories.com. Puis ipso facto et manu militari nous serons sentenced et sent dans une autre dimension !
- Une autre dimension ?
- Peut-être celle de la section des histoires fictives pour adultes pervers !
- Tu déconnes ou tu délires ?

En guise de réponse, Katarina tapote sur son téléphone. Elle explique :
- Je viens de t’envoyer des links. Il y a au moins un précédent !

Camille se concentre sur ses pensées. Elle se dit que le Thierry n’est pas un Anglais. L’idée de manger des escargots ne le terrorisera peut-être pas. Elle déclare :
- Je pourrais peut-être me glisser discrètement derrière le canapé sur lequel le Thierry est ligoté. Puis je me redresse subitement en disant « BOUH » !
- C’est trop cruel, à mon avis. Il pourrait avoir peur et nous serions accusées de violence mentale.
- Je sais ! J’ai un autre plan : j’ai un plumeau et une plume d’oie. Nous lui mettons les pieds nus et nous lui chatouillons inlassablement la plante de pieds pendant des heures !
Katarina : - Trop fatiguant pour nous. Il nous faut trouver autre chose.

Cette fois c’est Katarina qui réfléchit, puis :
- J’ai trouvé : nous le jetons en pâture aux araignées !
- Mais ? Nous n’avons pas d’araignées ?
- J’en ai vu une grosse, l’autre jour, dans la cave. Une noire, avec plein de pattes !
- Ça ne marchera pas ! Le Thierry est un homme et habituellement, les hommes n’ont pas peur des araignées.

Katarina fait la moue : - Tu as raison, en plus, je n’ai pas envie d’aller attraper la grosse araignée.

Camille réfléchit. L’affaire s’annonce plus compliquée que prévu. Mais sa sœur relance :
- J’ai trouvé : nous lui mettons du scotch sur les paupières pour l’obliger à garder les yeux ouverts, puis…
- … nous le torturons ?
- Oui, nous le mettons devant un écran qui diffuse des leçons de grammaire, puis des leçons d’orthographe, et pour finir nous lui mettons des leçons sur les correcteurs d’orthographe ! De nos jours, même un site comme jdl.fr a un correcteur d’orthographe ! Il souligne les mots suspects dans un texte qu’on envisage de poster !
- Peuh ! Comme le Thierry ne connaît pas les règles de français. Ça pourrait même lui servir. Tu n’as pas autre chose ?

Katarina prend une gorgée de whisky. Elle cherche une autre idée. Après une intense réflexion, elle sourit :
- Je sais ! Nous invitons la fille de Madater à venir martyriser le Thierry. Elle est qualifiée ! Elle peut le découper en rondelles, le clouter, le brûler, le violer, le mutiler, le tuer et autres cruautés du genre tout en étant louée par Madater et sa clique !
- Qui est cette fille ?
- Elle s’appelle Nina. Tu peux trouver ses exploits dans l’internet.
- On lui téléphone !
- Ah zut ! J’oubliai ! Elle a déménagé il y a deux ans environ, et je n’ai pas sa nouvelle adresse.
- C’était trop beau. Cherchons encore !

Katarina est plongée dans son verre de whisky et dans ses pensées. L’affaire est bien plus délicate que prévu.
Plusieurs minutes plus tard, Katarina sourit :
- Je vais aller voler l’ampoule de la lampe de chevet du Thierry !
- Ce n’est pas un Hollandais. Pas sûr que ça marche. (*)
- Tu as raison ! De plus, certaines personnes ont l’habitude de dormir dans le noir complet.

Plusieurs minutes s’écoulent encore. Le visage de Katarina s’illumine. Son sourire atteint ses oreilles :
- Cette fois je sais ! Je vais aller enlever l’être qui est le plus cher à Thierry. Ensuite nous menacerons de le noyer, de l’éventrer, de l’étrangler puis de le réduire en cendres. Si ça ne suffit pas, nous passerons à l’acte, avec détermination !
- Tu sais où il se trouve ?

Katarina se lève.
- Oui, et j’y vais tout de suite !
- Je t’aide ?
- Reste plutôt ici ! L’autre jour le Thierry s’est délié comme s’il était Houdini en personne. Je me demande d’ailleurs toujours comment il a pu faire ?

Katarina : - Et puis, une personne suffit pour aller enlever le nounours à Thierry !



Pendant que les ignobles perverses mettent en place leur immonde plan, plan d’une perfidie inouïe, que devient donc Thierry ?
Le pauvre, il est solidement ligoté sur un canapé. Il a mal à la tête. Il se dit que si cette Camille a coupé son whisky avec un somnifère, elle aurait pu y ajouter de l’aspirine. Euh, mais non ! Sinon elle ne serait plus vraiment perverse.
Thierry est soigneusement attaché. A croire que Camille a pris des leçons chez sir d’Arcy. Le fait est que Thierry peut à peine remuer. En tout cas il ne peut pas se libérer. D’autant moins qu’il ne voit rien à sa portée qui pourrait l’aider.
Thierry se rappelle comment une certaine Néhalennia était venue à son aide, de manière quasi-miraculeuse, il y a quelque temps.
Elle lui avait dit qu’elle était détective privée. Il a voulu la rencontrer pour lui exprimer sa gratitude, devant une tasse de café, ou mieux, devant un repas, ou peut-être d’un autre moyen ?
Thierry avait facilement trouvé l’agence de Néhalennia. Mais cette dernière semble s’être évaporée. Son agence est pourvue de la secrétaire et du détective, Nestor Plubas (quel nom curieux ?), mais la patronne n’est jamais là !
Cette agence, c’est Remington Steele à l’envers !
Autrement dit, il est très improbable que cette Néhalennia intervienne cette fois encore.

Pauvre Thierry, que va-t-il devenir ?

Que va-t-il se passer ? Que vont faire les deux perverses ?



(*) : Pour les lecteurs qui n’auraient pas saisi l’allusion, les maisons hollandaises ne possèdent que rarement des volets. Visitez le pays si vous ne le croyez pas !

thierrydelille59800
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Re: histoire san,s fin

Message par thierrydelille59800 »

l uidee de recouper cette histoire avec celle de l autostopeuse perverese est excellente j adore
qui veut ecrire une suite ?

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MacWilly
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Re: histoire san,s fin

Message par MacWilly »

En réponse à thierrydelille59800 :
oui, qui va écrire une suite à cette histoire ?
Il faut quelqu’un qui remplisse les cinq critères suivants :
1. Il doit être membre du site.
2. Il doit avoir le temps d’écrire [ cela prend du temps d’écrire ].
3. Il doit avoir envie d’écrire [ il y a tellement d’autres moyens de s’occuper ].
4. Il doit avoir des idées et être créatif [ sinon c’est difficile d’écrire quelque chose ].
5. Il doit être agréé par les modérateurs/administrateurs du site [ après tout, c’est leur site ].

Voyons mon cas :
Point 1 : OK
Point 2 : OK
Point 3 : OK
Point 4 : OK (mais c’est plutôt aux lecteurs de lire les 22 histoires originales que j’ai postées en 2024 et début 2025 et de valider – ou non - cet état)
Point 5 : OFF

Le 9/5/25 le site compte 412 membres.
Je me demande combien de personnes remplissent les 5 critères ?
Car j’aimerais bien savoir ce qu’il va advenir de Thierry ? Va-t-il rester une victime ? Va-t-il retourner la situation ? Les deux &#§@¤ inhumaines vont-elles mettre à exécution leur plan d’une violence surnaturelle ? Une autre personne va-t-elle intervenir ?

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Re: histoire san,s fin

Message par thierrydelille59800 »

bon si personne ne veut se lancer dans une suite j essaierai d 'en ecriire une en fin de semaine

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