Re: Soirée Halloween
Publié : 22 nov. 2020, 08:08
Bonjour à tous, voici la suite et la fin de cette épisode. J'espère que cela vous plaira.
Pour Mad Hatter, je voulais écrire comme si on était dans la peau d'Elisa mais je me suis un peu embrouiller les temps.
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Chapitre 6
- Tout va bien se passer à présent ma sœur. Vous êtes en sécurité.
Devant moi se tenait Nathalie, en chair et en os, toujours dans son costume de bonne sœur, avec sa coiffe sur sa tête. Je n’en croyais pas tellement pas mes yeux que Nathalie le remarqua, puis perdit sa concentration dans le rôle qu’elle semblait joué et rigola :
- Ahahahah! Tu verrais ta tête chérie, elle est à mourir de rire.
Elle rigola encore pendant 10 bonnes minutes avant de se reprendre.
- Bon, assez rigolé. Je suis sur que tu te demandes comment tu as pu en arriver là je me trompe.
Je suis resté statique face à sa déclaration, essayant de marmonner quelque mot pour au final n’obtenir qu’un faible gémissement à cause de ce foutu bâillon gonflable. Je remuais mes bras pour essayer de communiquer mais le frottement de la sangle en dessous me rappelait tout de suite de ne pas bouger.
- Hey ben, même si j’étais au courant de ce qu’il allait se passer, je suis quand même surprise du soin qu’il a appliqué en t'attachant comme ça. Puisque tu ne peux ni parler, ni même bouger, je pense que tu mérites quelques explications. Dit-elle en s’approchant de moi. Et puis de tout de façon, s’il ne t'avait pas bâillonné comme ça, tu m’aurais coupé la parole toutes les 2 secondes et franchement ça aurait été pénible.
à son annonce je hurlais de toute mes forces mais le résultat fut le même que tout à l’heure.
- Tu vois, qu’est ce que je t’avais dit. Par où commencer ? Ah oui, sache déjà que tout le monde va bien. Dis toi que tu n’es que la pauvre victime d’une farce qui est “peut-être” partie un peu trop loin.
“ Tu te moques de moi! Une blague peut-être partie trop loin. Je suis retenu à tes pieds dans une camisole de force ultra serrée, dans un legbinder qui m'empêche le moindre petit déplacement et je ne peux que faire des petits gémissements à cause de ce bâillon! “ Pensais-je dans ma tête tout en marmonnant dans mon bâillon et en la fusillant du regard.
- Hey ne me regarde pas comme ça, j’y suis pour rien. C’est de ta faute pour avoir paniqué comme ça toute à l’heure. Sache juste que le but de la soirée c’est de pouvoir s’amuser tous ensemble. Certes, c’était Samantha qui avait proposé l’idée de base de venir dans un hôpital abandonné, mais je lui ai proposé une petite alternative amusante, et elle a tout de suite accepté. D’ailleurs je pense qu’elle doit être entrain de s’amuser avec sa toute nouvelle meilleure amie. J’espère que sa déclaration à Laura s’est bien passée et qu’elle a accepté.
Ainsi Samantha a enfin décidé de sauter le pas et de demander à Laura de sortir avec elle. Ce n’était un secret pour personne que Samantha préférait les femmes et qu’elle avait des vues sur Laura, même si elle n’en avait jamais parlé. Je ne sais pas si Laura était au courant mais j'espère vraiment que tout va bien se passer entre eux.
- On saura toute l’histoire demain j’imagine. Maintenant, revenons sur ton cas, c’est moi et un invité mystère qui avons tout préparé pour ta petite séance de bondage.
Mon sang ne fit qu’un tour lorsqu’elle prononça ces mots, mon visage devenait de plus en en rouge de honte. J’essayais de contester à travers mon bâillon mais c’était toujours aussi inutile.
- Allons pas de ça entre nous. Dit-elle avec un petit sourire coquin. Si tu voulais vraiment que je ne sois pas au courant, essaye de faire plus attention à tes réactions lorsqu’on regarde un film. J’ai fait attention et à chaque fois qu’on voyait une demoiselle en détresse, t’était complétement différente, tu étais absorbé par le film, comme si tu voulais être à la place de la demoiselle. J’ai essayé de te parler dans ces moments-là mais c’était comme si j’avais disparu de ton champ de vision. Alors que pour les autres scènes, tu étais totalement normale.
Je devenais de plus en plus rouge à mesure de son explication. D’accord j’ai toujours voulu être à la place d’une demoiselle en détresse, attachée et bâillonnée, mais je ne pensais pas que cela m 'absorbait autant. Je me retournais sur moi-même pour essayer de cacher ma honte et mon embarras.
- Ce n’est pas si grave tu sais, chacun a ses petits secrets. D’ailleurs pour me faire pardonner, je vais te révéler le mien.
Elle s’approcha de moi, se mit à genoux devant ma tête, se baissa jusqu’à ce que je sentit son souffle sur mon oreille qui me fit frissonner.
- Moi aussi j’aime bien le bondage, mais alors que toi tu es du côté soumis. Je préfère être celle qui attache les personnes comme toi et qui s’amuse avec. Dit-elle tout en caressant mon corps de sa main.
Elle caressa ma tête en remettant mes cheveux en place, puis descendit sur ma poitrine, où elle titilla mes seins malgré la camisole. Je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher un petit gémissement qu’elle remarqua immédiatement. Elle descendit encore plus sa main jusqu’à atteindre mon ventre, puis mon bassin, pour au final se poser sur la sangle qui couvrait mon sexe. Tout en caressant mon entrejambe avec douceur et tendresse, elle souffla un petit sur mon oreille pour me faire frissonner.
Je ne pouvais rien faire à part accepter de me laisser aller à l’amour qu’elle me proposer. Sa main devenait de plus en plus énergétique et elle accéléra. Je gémissait de plus belle. Elle voyait mon visage rougir de plus en plus d’embarras mais je ne pouvais rien faire. J’étais complètement à sa merci. Je sentais au plus profond de moi que j’étais sur le point d’exploser, mais avant que je n’atteigne le point de non retour, l’homme de tout à l’heure toqua sur la porte. Nathalie s'arrêta immédiatement, me laissant au bord de la jouissance. Frustré qu’elle ne soit pas allez au bout, je hurla de plus belle dans mon bâillon.
- Désolé chérie, moi aussi j’aurais bien aimé continuer mais le patron a parlé. Peut-être que dans le futur il pourra me laisser m’amuser avec toi, voir s’amuser tous ensemble, mais pour l’instant je vais te laisser avec le monsieur que tu vois la et qui n’attend qu’une seule chose. Dit-elle avec un regard un regard plein sous entendu. Ah! Une dernière chose avant que je vous laisse ensemble. Regarde le coin en haut de cette pièce.
Elle pointait l’un des coins en hauteur de la pièce avec sa lampe torche, et je voyais alors une caméra qui filmait toute la pièce mais surtout moi. En la voyant, je suis devenu complètement rouge et essaya de couvrir instinctivement mon visage de mes mains. Cela a eu pour effet de soulever encore plus la sangle de camisole sur mon sexe et me procura un plaisir immédiat.
- Je sais que tu n’aimes pas trop être filmé mais je me suis dit que tu aurais bien aimé garder un petit souvenir de cette soirée. Bon cette fois-ci je vous laisse pour de bon. On se retrouve une prochaine fois pour continuer notre petit jeu chérie.
Elle sortit de la pièce et ferma la porte derrière elle, nous laissant seul l’homme et moi. Je le regardais un peu avec crainte en me demandant ce qu’il allait se passer.
Au bout de quelque seconde où l’on se regardait l’un l’autre. Il brisa soudainement le silence.
- J'espère que tu ne m’en voudras pas trop pour ce qui s’est passé.
Cette voix, mais c’est …
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Chapitre 7
L’homme enleva sa cagoule et je découvris alors que c’était mon homme à moi, Thomas.
- Surprise ! S’exclama-t-il.
Je suis resté quelque seconde immobile pour bien recevoir l’information. Une fois qu’elle fut complètement traité et stocké, je hurla de colère malgré mon bâillon qui transforma tous mes cris en petits gémissements. Je gesticulait dans tous les sens malgré mes liens et malgré la sensation sur mon sexe. J’étais bien trop énervé de découvrir la vérité.
Thomas attendit que la crise passe, ou que je me fatigue. Après 5 bonne minutes où je hurlais de toutes mes forces, où j’essayais de l’insulter pour ce qu’il m’a fait subir sans qu’il puisse comprendre malgré mon bâillon, je retrouvais enfin mon calme. J’étais épuisé et j’essayais de reprendre mon souffle. Puis pour lui montrer que j’étais toujours fâché contre lui, je me suis complètement retourné pour que je ne puisse plus le voir.
- Désolé, je me suis peut-être un peu trop pris au jeu de Nathalie. Mais sache juste que je n’ai rien fait pendant que tu étais endormi.
“AH, encore heureuse, tu vas voir quand je sortirais de mes liens ce que tu vas prendre”.
- J’étais triste lorsque tu m’as annoncé que tu voulais faire Halloween avec tes copines mais j’étais d’accord. Le lendemain, Nathalie m’a donné rendez-vous en disant qu’elle voulait vous faire une petite blague. J’étais très emballé à cette idée lorsqu’elle m’a expliqué son plan, mais tu n’imagines pas toutes les galères qu’on a eu pour mettre le plan en place.
Je ne voulais rien entendre de ce qu’il me disait mais je ne pouvais pas faire grand chose d’autre de toute façon.
- Sache juste que j’étais au courant de ta passion pour le bondage.
“Quoi, lui aussi il était au courant !?”
à ses mots, je me suis recroquevillé de honte et j’ai essayé de cacher futilement l’embarras sur mon visage.
- J’attendais que tu m’en parles la première, mais tu n’as pas vraiment osé sauter le pas. Même si je me doute que c’est loin d’être facile.
Je me suis retourné pour lui faire face, et j'essayais de lui dire d’enlever mon bâillon grâce à de pauvres petits gémissements.
- Tu veux que je t'enlève ton bâillon ? Demanda-t-il. Ca m'embête un peu car je trouve tes gémissements très mignons tu sais.
Je rougissais immédiatement et hurla de nouveau.
- Ok, Ok, mais tu promets de ne pas hurler ou de ne pas être en colère.
Je lui lançais un regard noir, puis finit par accepter ses conditions. Il se dirigea alors vers moi, dégonflât le bâillon, puis défait la sangle. J’étais enfin libéré de ce maudit bâillon.
- Merci, sache que si tu veux te faire pardonner pour ce soir, il va falloir être convaincant et te préparer pour ce qui va t’arriver. T’imagine pas à quel point j’étais paralysé par la peur tout à l’heure. Depuis combien de temps t’es au courant pour ma passion.
- Depuis un petit moment maintenant. Je ne dirais qu’une chose, tu sais que je t’aime et que j’ai confiance en toi, c’est pourquoi je te laisse globalement touché à toute mes affaires, mais la prochaine fois que tu veux faire des recherches personnelles sur mon ordinateurs, soit tu vas sur le tien, soit tu vas sur le navigateur privé, ou soit tu supprimes l’historique de ton passage.
- Tu te moques de moi c’est ça ?
Il fit non de la tête.
“ Je suis vraiment aussi idiote que ça ?! J’ai vraiment oublié d'aller en navigation privé lorsque j’ai fait mes recherches pour acheter des accessoires de bondage ?!”
Complètement embarrassé par la situation, je me retournais immédiatement pour me cacher dans ma honte. Si je pouvais creuser un trou pour m’y jeter je le ferais immédiatement.
- C’est pour cela que j’ai accepté la proposition de Nathalie. Non seulement pour découvrir ce monde que tu adores, mais aussi pour essayer de te faire plaisir. Mais je ne pensais pas qu’elle irait aussi loin dans sa mise en scène. Je suis un débutant dans tout ça, je n’ai fait qu’écouter ce qu’elle me disait de faire.
J’essayais de me calmer et de reprendre mes esprits. Je me retournais pour lui faire face.
- D’accord j’ai compris. Je te pardonne à moitié pour ce qui s’est passé. Mais attends toi à quelque chose de terrible pour ta punition. Lui dis-je avec un air hautain mais joueur.
- T’es sur que tu peux me parler comme ça vu ta situation actuelle ? Répondit-il en jouant le jeu.
- C’est quoi la suite du programme maintenant ?
- Ca c’est toi qui décide entre les choix suivants: soit je te libère immédiatement, on rentre à la maison et on oublie ce qui s’est passé ce soir. Soit on continue le jeu, je te laisse attacher comme tu es et on s’amuse rien que tous les deux.
Je réfléchissais aux deux propositions. On pouvait en rester là mais je ne sais pas ce qu’il se passera ensuite. Mais c’était une occasion en or de lui faire partager ma passion, et aussi que je puisse profiter encore un peu plus d’être attaché à la merci de quelqu’un, peut-être à la merci de mon maître si on allait plus loin.
Après quelques instants de réflexion, je le regarda droit dans les yeux, je m'approchai de lui, il comprit mon intention et m’embrassa de tout son être. Après un temps de pur bonheur qui me paraissait bien trop court, je lui ai dit de faire ce qu’il voulait et j'ouvris grand la bouche. Il sourit immédiatement et remit le bâillon gonflable, serré bien évidemment au dernier cran. Puis il gonfla le bâillon au maximum de sa capacité. Je me suis de nouveau retrouvée réduite au silence le plus total.
Nous avons débuté une des soirées les plus torrides ensemble. Je me laissais faire tout du long, je ne pouvais pas faire grand chose d’autre de toute façon. Il me caressait, me mettait dans tous mes états sans que je ne puisse rien faire d’autre que profiter de la situation. Je découvrais des plaisirs dont je n’avais pas encore conscience. Une fois épuisé, il se leva, ouvrit la porte, puis me porta comme une princesse. Une princesse complètement attachée.
- Nous rentrons à la maison finir ce que nous avons commencé. Et ne t'inquiètes pas pour ta camisole, ton bâillon ou le legbinder, Natacha te les as offerts comme cadeau d’excuse.
Heureuse par la situation, je le laissais faire. Je reposa ma tête sur son épaule et profita de la situation. Je fermais les yeux en profitant de son corps comme oreiller. Puis, sans m’en rendre compte, je me suis endormi dans ses bras.
Pour Mad Hatter, je voulais écrire comme si on était dans la peau d'Elisa mais je me suis un peu embrouiller les temps.
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Chapitre 6
- Tout va bien se passer à présent ma sœur. Vous êtes en sécurité.
Devant moi se tenait Nathalie, en chair et en os, toujours dans son costume de bonne sœur, avec sa coiffe sur sa tête. Je n’en croyais pas tellement pas mes yeux que Nathalie le remarqua, puis perdit sa concentration dans le rôle qu’elle semblait joué et rigola :
- Ahahahah! Tu verrais ta tête chérie, elle est à mourir de rire.
Elle rigola encore pendant 10 bonnes minutes avant de se reprendre.
- Bon, assez rigolé. Je suis sur que tu te demandes comment tu as pu en arriver là je me trompe.
Je suis resté statique face à sa déclaration, essayant de marmonner quelque mot pour au final n’obtenir qu’un faible gémissement à cause de ce foutu bâillon gonflable. Je remuais mes bras pour essayer de communiquer mais le frottement de la sangle en dessous me rappelait tout de suite de ne pas bouger.
- Hey ben, même si j’étais au courant de ce qu’il allait se passer, je suis quand même surprise du soin qu’il a appliqué en t'attachant comme ça. Puisque tu ne peux ni parler, ni même bouger, je pense que tu mérites quelques explications. Dit-elle en s’approchant de moi. Et puis de tout de façon, s’il ne t'avait pas bâillonné comme ça, tu m’aurais coupé la parole toutes les 2 secondes et franchement ça aurait été pénible.
à son annonce je hurlais de toute mes forces mais le résultat fut le même que tout à l’heure.
- Tu vois, qu’est ce que je t’avais dit. Par où commencer ? Ah oui, sache déjà que tout le monde va bien. Dis toi que tu n’es que la pauvre victime d’une farce qui est “peut-être” partie un peu trop loin.
“ Tu te moques de moi! Une blague peut-être partie trop loin. Je suis retenu à tes pieds dans une camisole de force ultra serrée, dans un legbinder qui m'empêche le moindre petit déplacement et je ne peux que faire des petits gémissements à cause de ce bâillon! “ Pensais-je dans ma tête tout en marmonnant dans mon bâillon et en la fusillant du regard.
- Hey ne me regarde pas comme ça, j’y suis pour rien. C’est de ta faute pour avoir paniqué comme ça toute à l’heure. Sache juste que le but de la soirée c’est de pouvoir s’amuser tous ensemble. Certes, c’était Samantha qui avait proposé l’idée de base de venir dans un hôpital abandonné, mais je lui ai proposé une petite alternative amusante, et elle a tout de suite accepté. D’ailleurs je pense qu’elle doit être entrain de s’amuser avec sa toute nouvelle meilleure amie. J’espère que sa déclaration à Laura s’est bien passée et qu’elle a accepté.
Ainsi Samantha a enfin décidé de sauter le pas et de demander à Laura de sortir avec elle. Ce n’était un secret pour personne que Samantha préférait les femmes et qu’elle avait des vues sur Laura, même si elle n’en avait jamais parlé. Je ne sais pas si Laura était au courant mais j'espère vraiment que tout va bien se passer entre eux.
- On saura toute l’histoire demain j’imagine. Maintenant, revenons sur ton cas, c’est moi et un invité mystère qui avons tout préparé pour ta petite séance de bondage.
Mon sang ne fit qu’un tour lorsqu’elle prononça ces mots, mon visage devenait de plus en en rouge de honte. J’essayais de contester à travers mon bâillon mais c’était toujours aussi inutile.
- Allons pas de ça entre nous. Dit-elle avec un petit sourire coquin. Si tu voulais vraiment que je ne sois pas au courant, essaye de faire plus attention à tes réactions lorsqu’on regarde un film. J’ai fait attention et à chaque fois qu’on voyait une demoiselle en détresse, t’était complétement différente, tu étais absorbé par le film, comme si tu voulais être à la place de la demoiselle. J’ai essayé de te parler dans ces moments-là mais c’était comme si j’avais disparu de ton champ de vision. Alors que pour les autres scènes, tu étais totalement normale.
Je devenais de plus en plus rouge à mesure de son explication. D’accord j’ai toujours voulu être à la place d’une demoiselle en détresse, attachée et bâillonnée, mais je ne pensais pas que cela m 'absorbait autant. Je me retournais sur moi-même pour essayer de cacher ma honte et mon embarras.
- Ce n’est pas si grave tu sais, chacun a ses petits secrets. D’ailleurs pour me faire pardonner, je vais te révéler le mien.
Elle s’approcha de moi, se mit à genoux devant ma tête, se baissa jusqu’à ce que je sentit son souffle sur mon oreille qui me fit frissonner.
- Moi aussi j’aime bien le bondage, mais alors que toi tu es du côté soumis. Je préfère être celle qui attache les personnes comme toi et qui s’amuse avec. Dit-elle tout en caressant mon corps de sa main.
Elle caressa ma tête en remettant mes cheveux en place, puis descendit sur ma poitrine, où elle titilla mes seins malgré la camisole. Je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher un petit gémissement qu’elle remarqua immédiatement. Elle descendit encore plus sa main jusqu’à atteindre mon ventre, puis mon bassin, pour au final se poser sur la sangle qui couvrait mon sexe. Tout en caressant mon entrejambe avec douceur et tendresse, elle souffla un petit sur mon oreille pour me faire frissonner.
Je ne pouvais rien faire à part accepter de me laisser aller à l’amour qu’elle me proposer. Sa main devenait de plus en plus énergétique et elle accéléra. Je gémissait de plus belle. Elle voyait mon visage rougir de plus en plus d’embarras mais je ne pouvais rien faire. J’étais complètement à sa merci. Je sentais au plus profond de moi que j’étais sur le point d’exploser, mais avant que je n’atteigne le point de non retour, l’homme de tout à l’heure toqua sur la porte. Nathalie s'arrêta immédiatement, me laissant au bord de la jouissance. Frustré qu’elle ne soit pas allez au bout, je hurla de plus belle dans mon bâillon.
- Désolé chérie, moi aussi j’aurais bien aimé continuer mais le patron a parlé. Peut-être que dans le futur il pourra me laisser m’amuser avec toi, voir s’amuser tous ensemble, mais pour l’instant je vais te laisser avec le monsieur que tu vois la et qui n’attend qu’une seule chose. Dit-elle avec un regard un regard plein sous entendu. Ah! Une dernière chose avant que je vous laisse ensemble. Regarde le coin en haut de cette pièce.
Elle pointait l’un des coins en hauteur de la pièce avec sa lampe torche, et je voyais alors une caméra qui filmait toute la pièce mais surtout moi. En la voyant, je suis devenu complètement rouge et essaya de couvrir instinctivement mon visage de mes mains. Cela a eu pour effet de soulever encore plus la sangle de camisole sur mon sexe et me procura un plaisir immédiat.
- Je sais que tu n’aimes pas trop être filmé mais je me suis dit que tu aurais bien aimé garder un petit souvenir de cette soirée. Bon cette fois-ci je vous laisse pour de bon. On se retrouve une prochaine fois pour continuer notre petit jeu chérie.
Elle sortit de la pièce et ferma la porte derrière elle, nous laissant seul l’homme et moi. Je le regardais un peu avec crainte en me demandant ce qu’il allait se passer.
Au bout de quelque seconde où l’on se regardait l’un l’autre. Il brisa soudainement le silence.
- J'espère que tu ne m’en voudras pas trop pour ce qui s’est passé.
Cette voix, mais c’est …
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L’homme enleva sa cagoule et je découvris alors que c’était mon homme à moi, Thomas.
- Surprise ! S’exclama-t-il.
Je suis resté quelque seconde immobile pour bien recevoir l’information. Une fois qu’elle fut complètement traité et stocké, je hurla de colère malgré mon bâillon qui transforma tous mes cris en petits gémissements. Je gesticulait dans tous les sens malgré mes liens et malgré la sensation sur mon sexe. J’étais bien trop énervé de découvrir la vérité.
Thomas attendit que la crise passe, ou que je me fatigue. Après 5 bonne minutes où je hurlais de toutes mes forces, où j’essayais de l’insulter pour ce qu’il m’a fait subir sans qu’il puisse comprendre malgré mon bâillon, je retrouvais enfin mon calme. J’étais épuisé et j’essayais de reprendre mon souffle. Puis pour lui montrer que j’étais toujours fâché contre lui, je me suis complètement retourné pour que je ne puisse plus le voir.
- Désolé, je me suis peut-être un peu trop pris au jeu de Nathalie. Mais sache juste que je n’ai rien fait pendant que tu étais endormi.
“AH, encore heureuse, tu vas voir quand je sortirais de mes liens ce que tu vas prendre”.
- J’étais triste lorsque tu m’as annoncé que tu voulais faire Halloween avec tes copines mais j’étais d’accord. Le lendemain, Nathalie m’a donné rendez-vous en disant qu’elle voulait vous faire une petite blague. J’étais très emballé à cette idée lorsqu’elle m’a expliqué son plan, mais tu n’imagines pas toutes les galères qu’on a eu pour mettre le plan en place.
Je ne voulais rien entendre de ce qu’il me disait mais je ne pouvais pas faire grand chose d’autre de toute façon.
- Sache juste que j’étais au courant de ta passion pour le bondage.
“Quoi, lui aussi il était au courant !?”
à ses mots, je me suis recroquevillé de honte et j’ai essayé de cacher futilement l’embarras sur mon visage.
- J’attendais que tu m’en parles la première, mais tu n’as pas vraiment osé sauter le pas. Même si je me doute que c’est loin d’être facile.
Je me suis retourné pour lui faire face, et j'essayais de lui dire d’enlever mon bâillon grâce à de pauvres petits gémissements.
- Tu veux que je t'enlève ton bâillon ? Demanda-t-il. Ca m'embête un peu car je trouve tes gémissements très mignons tu sais.
Je rougissais immédiatement et hurla de nouveau.
- Ok, Ok, mais tu promets de ne pas hurler ou de ne pas être en colère.
Je lui lançais un regard noir, puis finit par accepter ses conditions. Il se dirigea alors vers moi, dégonflât le bâillon, puis défait la sangle. J’étais enfin libéré de ce maudit bâillon.
- Merci, sache que si tu veux te faire pardonner pour ce soir, il va falloir être convaincant et te préparer pour ce qui va t’arriver. T’imagine pas à quel point j’étais paralysé par la peur tout à l’heure. Depuis combien de temps t’es au courant pour ma passion.
- Depuis un petit moment maintenant. Je ne dirais qu’une chose, tu sais que je t’aime et que j’ai confiance en toi, c’est pourquoi je te laisse globalement touché à toute mes affaires, mais la prochaine fois que tu veux faire des recherches personnelles sur mon ordinateurs, soit tu vas sur le tien, soit tu vas sur le navigateur privé, ou soit tu supprimes l’historique de ton passage.
- Tu te moques de moi c’est ça ?
Il fit non de la tête.
“ Je suis vraiment aussi idiote que ça ?! J’ai vraiment oublié d'aller en navigation privé lorsque j’ai fait mes recherches pour acheter des accessoires de bondage ?!”
Complètement embarrassé par la situation, je me retournais immédiatement pour me cacher dans ma honte. Si je pouvais creuser un trou pour m’y jeter je le ferais immédiatement.
- C’est pour cela que j’ai accepté la proposition de Nathalie. Non seulement pour découvrir ce monde que tu adores, mais aussi pour essayer de te faire plaisir. Mais je ne pensais pas qu’elle irait aussi loin dans sa mise en scène. Je suis un débutant dans tout ça, je n’ai fait qu’écouter ce qu’elle me disait de faire.
J’essayais de me calmer et de reprendre mes esprits. Je me retournais pour lui faire face.
- D’accord j’ai compris. Je te pardonne à moitié pour ce qui s’est passé. Mais attends toi à quelque chose de terrible pour ta punition. Lui dis-je avec un air hautain mais joueur.
- T’es sur que tu peux me parler comme ça vu ta situation actuelle ? Répondit-il en jouant le jeu.
- C’est quoi la suite du programme maintenant ?
- Ca c’est toi qui décide entre les choix suivants: soit je te libère immédiatement, on rentre à la maison et on oublie ce qui s’est passé ce soir. Soit on continue le jeu, je te laisse attacher comme tu es et on s’amuse rien que tous les deux.
Je réfléchissais aux deux propositions. On pouvait en rester là mais je ne sais pas ce qu’il se passera ensuite. Mais c’était une occasion en or de lui faire partager ma passion, et aussi que je puisse profiter encore un peu plus d’être attaché à la merci de quelqu’un, peut-être à la merci de mon maître si on allait plus loin.
Après quelques instants de réflexion, je le regarda droit dans les yeux, je m'approchai de lui, il comprit mon intention et m’embrassa de tout son être. Après un temps de pur bonheur qui me paraissait bien trop court, je lui ai dit de faire ce qu’il voulait et j'ouvris grand la bouche. Il sourit immédiatement et remit le bâillon gonflable, serré bien évidemment au dernier cran. Puis il gonfla le bâillon au maximum de sa capacité. Je me suis de nouveau retrouvée réduite au silence le plus total.
Nous avons débuté une des soirées les plus torrides ensemble. Je me laissais faire tout du long, je ne pouvais pas faire grand chose d’autre de toute façon. Il me caressait, me mettait dans tous mes états sans que je ne puisse rien faire d’autre que profiter de la situation. Je découvrais des plaisirs dont je n’avais pas encore conscience. Une fois épuisé, il se leva, ouvrit la porte, puis me porta comme une princesse. Une princesse complètement attachée.
- Nous rentrons à la maison finir ce que nous avons commencé. Et ne t'inquiètes pas pour ta camisole, ton bâillon ou le legbinder, Natacha te les as offerts comme cadeau d’excuse.
Heureuse par la situation, je le laissais faire. Je reposa ma tête sur son épaule et profita de la situation. Je fermais les yeux en profitant de son corps comme oreiller. Puis, sans m’en rendre compte, je me suis endormi dans ses bras.
Oh l'expert en manipulation ! 
Ça ou rien ! 
^^
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