Re: Noël entre amis
Publié : 29 juil. 2025, 11:44
Le choix est cornélien, mais finalement assez facile, par habitude. Je prends la petite boite noire, qui s'ouvre très facilement, c'est un couvercle qui s'ouvre en pivotant vers le haut, sans résistance. Il y a bien les deux éléments. J'en prends pour l'instant un. Il s'allume dès que j'enlève du socle. Et je le mets à l'oreille droite. La prise est facile. C'est la bonne taille. S'il y a un effet, ce n'est pas forcément franc. Il faudra que j'occupe les deux oreilles pour commencer à analyser.
Je prends donc le deuxième, qui est pour la gauche. C'est tout comme la droite. Mais là, dès que les deux oreilles sont prises, c'est massif, je suis couvert. Je n'entends plus la musique, et encore moins tout autre bruit. C'est comme si j'avais débranché mes oreilles. J'entends quand même un peu mes compagnons, qui savent très bien ce qu'il doit se passer. Ils se sont mis à discuter. Et si je perçois leurs voix, ce n'est qu'un murmure.
Ces écouteurs à réduction active de bruit m'installent vraiment dans un autre monde. Ça va plus loin que les banales boules Quies. Je vais être un peu seul, tant qu'on ne s'occupe pas de moi. Il ne manquerait plus que ça tient ! Que je m'isole et qu'on me laisse dans mon coin.
La performance m'impressionne, mais je m'attendais à ça. Je passe donc à la suite. Je repousse la boite des atténuateurs bien à part. Je mets le reste bien au propre, bien organisé. Ce ne sera pas bien compliqué, mais ça me fait un peu peur. En faisant toute cette partie moi-même, j'exprime vraiment mon consentement à la suite. J'ouvre aux autres la possibilité de profiter de mon consentement. Les sécurités sont toujours là, évidemment. Mais ce soir c'est Noël, c'est spécial. Et je vais avoir droit à je ne sais quoi !
J'inspire une fois, deux fois, et je dévisse les deux couvercles, que je repose à côté. Cette fois-ci je m'occuperai d'abord de la gauche. J'enlève mes lunettes, que je pose aussi un peu n'importe où. Ils se débrouilleront bien, après que je sois tout équipé. Je saisis le petit disque, avec l'autre main j'ouvre grand les paupières, et je pose le truc. Comme pour les écouteurs, je ne cherche pas ce que ça donne pour un seul côté. Une fois que je suis parti, je fais l'autre côté, histoire d'en finir.
Et là, plus de son et plus d'image. Ce n'est pas comme un simple masque où on va toujours trouver un brin de lumière vers le nez ou la bouche. Ce n'est pas comme juste fermer les yeux, où la lumière passe toujours un peu, et on voit le monde en rose dès qu'on est face à la lumière. Ces lentilles occultantes sont d'une très bonne facture.
Les oreilles, les yeux, et ensuite la bouche. Un bâillon m'attend. Je sais où il est. Je tends mes bras. Je dois un peu tâtonner, mais il n'a pas bougé. C'est le dernier du trio d'accessoires de Noël, celui qui va sceller mon sort. Avec lui, je serai bien hors jeu, ou bien entièrement dans le jeu, c'est comme on veut. En tout cas, je pourrai si peu intervenir.
Je prends donc le deuxième, qui est pour la gauche. C'est tout comme la droite. Mais là, dès que les deux oreilles sont prises, c'est massif, je suis couvert. Je n'entends plus la musique, et encore moins tout autre bruit. C'est comme si j'avais débranché mes oreilles. J'entends quand même un peu mes compagnons, qui savent très bien ce qu'il doit se passer. Ils se sont mis à discuter. Et si je perçois leurs voix, ce n'est qu'un murmure.
Ces écouteurs à réduction active de bruit m'installent vraiment dans un autre monde. Ça va plus loin que les banales boules Quies. Je vais être un peu seul, tant qu'on ne s'occupe pas de moi. Il ne manquerait plus que ça tient ! Que je m'isole et qu'on me laisse dans mon coin.
La performance m'impressionne, mais je m'attendais à ça. Je passe donc à la suite. Je repousse la boite des atténuateurs bien à part. Je mets le reste bien au propre, bien organisé. Ce ne sera pas bien compliqué, mais ça me fait un peu peur. En faisant toute cette partie moi-même, j'exprime vraiment mon consentement à la suite. J'ouvre aux autres la possibilité de profiter de mon consentement. Les sécurités sont toujours là, évidemment. Mais ce soir c'est Noël, c'est spécial. Et je vais avoir droit à je ne sais quoi !
J'inspire une fois, deux fois, et je dévisse les deux couvercles, que je repose à côté. Cette fois-ci je m'occuperai d'abord de la gauche. J'enlève mes lunettes, que je pose aussi un peu n'importe où. Ils se débrouilleront bien, après que je sois tout équipé. Je saisis le petit disque, avec l'autre main j'ouvre grand les paupières, et je pose le truc. Comme pour les écouteurs, je ne cherche pas ce que ça donne pour un seul côté. Une fois que je suis parti, je fais l'autre côté, histoire d'en finir.
Et là, plus de son et plus d'image. Ce n'est pas comme un simple masque où on va toujours trouver un brin de lumière vers le nez ou la bouche. Ce n'est pas comme juste fermer les yeux, où la lumière passe toujours un peu, et on voit le monde en rose dès qu'on est face à la lumière. Ces lentilles occultantes sont d'une très bonne facture.
Les oreilles, les yeux, et ensuite la bouche. Un bâillon m'attend. Je sais où il est. Je tends mes bras. Je dois un peu tâtonner, mais il n'a pas bougé. C'est le dernier du trio d'accessoires de Noël, celui qui va sceller mon sort. Avec lui, je serai bien hors jeu, ou bien entièrement dans le jeu, c'est comme on veut. En tout cas, je pourrai si peu intervenir.