Travaux de printemps
Publié : 31 mars 2014, 10:57
Les travaux de printemps peuvent parfois se révéler intéressant. Le beau temps était une occasion de redonner un coup de peinture en ouvrant un peu les fenêtres pour que l’odeur n’envahisse pas la maison. J’ai donc commencé à préparer mon mur en posant des protections, du scotch au plafond et dans la largeur pour éviter les débordements.
Sandra traînait depuis qu’elle était levée, dans son vieux T-shirt, même pas habillée, sirotant son thé en feuilletant un magazine. Je crois que c’est le craquement du scotch qu’on déroule qui l’a attirée jusqu’au bureau où j’allais peindre, en demandant ’tu fais quoi?’. Ca m’a surpris - on venait d’en parler un quart d’heure plus tôt - mais une longueur de scotch en main, mon esprit mal tourné à fait le rapprochement. Elle aussi d’ailleurs, qui s’est mise à rougir un peu. Parfois, un échange de regards dit tout.
J’ai appliqué rapidement le scotch, en lui répondant que je préparais le mur pour peindre et en ajoutant que ce serait mieux que je puisse le faire au calme, tout en posant mon rouleau par terre pour en prendre un autre dans la caisse, résistant celui-là et qui colle bien, un adhésif orange PVC. Elle a pris son air surpris mais sans rien dire, le regard figé sur mes mains qui grattaient le scotch.
Je me suis approché. Je lui ai dit de se tourner et puis j’ai attrapé ses bras pour les amener dans son dos, poignets croisés l’un sur l’autre. J’ai enroulé l’adhésif autour et je l’ai déchiré d’un coup de dents. Ensuite, j’ai passé autour d’elle et déroulé le ruban juste en-dessous de ses petits seins trois ou quatre fois pour lui coller les bras contre le dos, et puis quelques tours au-dessus des seins. Et comme elle ne disait toujours rien - moi non plus d’ailleurs - j’ai recommencé à hauteur du nombril et par-dessus les avant-bras.
On dit que l’appétit vient en mangeant. C’est sûrement pour ça que, toujours dans son dos, je me suis baissé pour lui enlever sa petite culotte. Ca au moins ça l’a surprise. Quand même! Je lui ai fait faire demi-tour et j’ai mis un index sur sa bouche pour qu’elle se taise, et puis j’ai roulé sa culotte en un tout petit paquet que j’ai approché de ses lèvres. ’Ouvre grand, ma chérie’ j’ai dit, ce qu’elle a fait en me laissant la lui enfoncer dans la bouche. Elle faisait quand même les gros yeux.
Je me suis ensuite mis à genoux, ramassant mon adhésif, pour en découper trois morceaux que je collais sur la jambe de mon pantalon en attendant. J’ai gardé le quatrième en main, je me suis relevé et je l’ai bâillonnée avec, un par un.
C’en était presque fini des préparatifs. Je l’ai ensuite juste allongée par terre, en la tenant par les épaules, et puis je lui ai scotché les chevilles, les genoux et même les cuisses. Pris dans mon élan, j’avais presque du mal à m’arrêter.
Enfin, j’ai pu commencer le vrai travail, après avoir changé de vêtements. Mais pour ça, j’ai dû enjamber Sandra deux ou trois fois, allongée sur la moquette épaisse du couloir. J’en avais pour une heure à peine à peindre ce mur, sans compter le nettoyage des pinceaux, et de l’intérieur du bureau, je pouvais la surveiller. Un bon compromis...
Sandra traînait depuis qu’elle était levée, dans son vieux T-shirt, même pas habillée, sirotant son thé en feuilletant un magazine. Je crois que c’est le craquement du scotch qu’on déroule qui l’a attirée jusqu’au bureau où j’allais peindre, en demandant ’tu fais quoi?’. Ca m’a surpris - on venait d’en parler un quart d’heure plus tôt - mais une longueur de scotch en main, mon esprit mal tourné à fait le rapprochement. Elle aussi d’ailleurs, qui s’est mise à rougir un peu. Parfois, un échange de regards dit tout.
J’ai appliqué rapidement le scotch, en lui répondant que je préparais le mur pour peindre et en ajoutant que ce serait mieux que je puisse le faire au calme, tout en posant mon rouleau par terre pour en prendre un autre dans la caisse, résistant celui-là et qui colle bien, un adhésif orange PVC. Elle a pris son air surpris mais sans rien dire, le regard figé sur mes mains qui grattaient le scotch.
Je me suis approché. Je lui ai dit de se tourner et puis j’ai attrapé ses bras pour les amener dans son dos, poignets croisés l’un sur l’autre. J’ai enroulé l’adhésif autour et je l’ai déchiré d’un coup de dents. Ensuite, j’ai passé autour d’elle et déroulé le ruban juste en-dessous de ses petits seins trois ou quatre fois pour lui coller les bras contre le dos, et puis quelques tours au-dessus des seins. Et comme elle ne disait toujours rien - moi non plus d’ailleurs - j’ai recommencé à hauteur du nombril et par-dessus les avant-bras.
On dit que l’appétit vient en mangeant. C’est sûrement pour ça que, toujours dans son dos, je me suis baissé pour lui enlever sa petite culotte. Ca au moins ça l’a surprise. Quand même! Je lui ai fait faire demi-tour et j’ai mis un index sur sa bouche pour qu’elle se taise, et puis j’ai roulé sa culotte en un tout petit paquet que j’ai approché de ses lèvres. ’Ouvre grand, ma chérie’ j’ai dit, ce qu’elle a fait en me laissant la lui enfoncer dans la bouche. Elle faisait quand même les gros yeux.
Je me suis ensuite mis à genoux, ramassant mon adhésif, pour en découper trois morceaux que je collais sur la jambe de mon pantalon en attendant. J’ai gardé le quatrième en main, je me suis relevé et je l’ai bâillonnée avec, un par un.
C’en était presque fini des préparatifs. Je l’ai ensuite juste allongée par terre, en la tenant par les épaules, et puis je lui ai scotché les chevilles, les genoux et même les cuisses. Pris dans mon élan, j’avais presque du mal à m’arrêter.
Enfin, j’ai pu commencer le vrai travail, après avoir changé de vêtements. Mais pour ça, j’ai dû enjamber Sandra deux ou trois fois, allongée sur la moquette épaisse du couloir. J’en avais pour une heure à peine à peindre ce mur, sans compter le nettoyage des pinceaux, et de l’intérieur du bureau, je pouvais la surveiller. Un bon compromis...