Jeux de Liens

Voici ma dernière histoire écrite il y a quelques jours et mise en page rien que pour vous! J'espère qu'elle vous plaira, n'hésitez pas à commenter, ça fait toujours plaisir!!! Enjoy...


Ce petit self-bondage est vraiment trop bon, les pieds menottés ensemble fixé au pied de ma chaise à roulettes, les genoux joints par une longue écharpe, les cuisses plaquées sur la chaise par une ceinture de robe de chambre, tout cela immobilise complètement le bas de mon corps. Mon torse est attaché au dossier de la chaise par une corde nouée devant moi pour que mes mains menottées et fixées au dos de la chaise ne soient pas tentées de détacher la corde. Dans ma bouche, un torchon épais me maintient la mâchoire ouverte et étouffe la plupart des sons sortants de ma bouche ne laissant sortir que de petits gémissements.

Je m'imagine être la victime d'un cambrioleur qui m'a ligoté sur ma chaise pour que je ne prévienne pas la police et pour pouvoir visiter mon appartement tranquillement avant l'arrivée de mon colocataire auquel il reste encore deux heures de ...

Mince, j'entends un bruit...
C'est la clé dans une clé qui tourne dans la serrure de l'appart! Merde! J'ai posé la clé des menottes à quelques mètres pour pouvoir l'atteindre sans trop de difficulté sur la chaise à roulettes mais ...
"Steven?" appelle mon colocataire
Je suis pétrifié, j'ai oublié de fermer la porte à clé car il ne devait pas rentrer si tôt!
"Steven, je peux rentrer?"

C'est horrible, je ne peux pas lui dire de rester dehors à cause de ce fichu bâillon! Je me débat mais les menottes sont des vraies et les clés sont trop loin!
Et c'est alors que je vis la porte de la chambre s'ouvrir lentement et laisser place à une petite tête scrutant la pièce et soudain ses yeux croisèrent les miens qui se baissèrent instinctivement de honte.
"Mais qu'es qui t'arrives?" dit-il en observant tout mon matériel de bondage posé en vrac sur le lit
"C'est toi qui t'ai fait ça?" me demande t-il en connaissant visiblement la réponse
"Alors c'est ton délire de t'attacher héhé tu permets que je prenne quelques photos?"
Il vas alors chercher son appareil photo numérique et commence à prendre des tas de photos sous tous les angles. Je me suis mis en boxer pour ce self et cela me rends encore plus honteux d'être ainsi photographié par cet enfoiré.

"Bon, je pense que ça fera l'affaire! me lance t-il menaçant. Cela fait un super moyen de pression! Tu n'est pas d'accord? Donc, soit tu me laisses faire ce que je veux, soit tout le monde verra ces humiliantes photos de toi, petit pervers!"

sam22 a écrit : Et c'est alors que je vis la porte de la chambre s'ouvrir lentement et laisser place à une petite tête scrutant la pièce et soudain ses yeux croisèrent les miens qui se baissèrent instinctivement de honte.
"Mais qu'es qui t'arrives?" dit-il en observant tout mon matériel de bondage posé en vrac sur le lit
"C'est toi qui t'ai fait ça?" me demande t-il en connaissant visiblement la réponse
"Alors c'est ton délire de t'attacher héhé tu permets que je prenne quelques photos?"
Il vas alors chercher son appareil photo numérique et commence à prendre des tas de photos sous tous les angles. Je me suis mis en boxer pour ce self et cela me rends encore plus honteux d'être ainsi photographié par cet enfoiré.

"Bon, je pense que ça fera l'affaire! me lance t-il menaçant. Cela fait un super moyen de pression! Tu n'est pas d'accord? Donc, soit tu me laisses faire ce que je veux, soit tout le monde verra ces humiliantes photos de toi, petit pervers!"

Il vas alors chercher son appareil photo numérique et commence à prendre des tas de photos sous tous les angles. Je me suis mis en boxer pour ce self et cela me rends encore plus honteux d'être ainsi photographié par cet enfoiré.
"Bon, je pense que ça fera l'affaire! me lance t-il menaçant. Cela fait un super moyen de pression! Tu n'est pas d'accord? Donc, soit tu me laisses faire ce que je veux, soit tout le monde verra ces humiliantes photos de toi, petit pervers!"

Et c'est alors que je vis la porte de la chambre s'ouvrir lentement et laisser place à une petite tête scrutant la pièce et soudain ses yeux croisèrent les miens qui se baissèrent instinctivement de honte.
"Mais qu'es qui t'arrives?" dit-il en observant tout mon matériel de bondage posé en vrac sur le lit
"C'est toi qui t'ai fait ça?" me demande t-il en connaissant visiblement la réponse

"Alors c'est ton délire de t'attacher héhé tu permets que je prenne quelques photos?"
Il vas alors chercher son appareil photo numérique et commence à prendre des tas de photos sous tous les angles. Je me suis mis en boxer pour ce self et cela me rends encore plus honteux d'être ainsi photographié par cet enfoiré.
"Bon, je pense que ça fera l'affaire! me lance t-il menaçant. Cela fait un super moyen de pression tu ne trouves pas? Soit tu me laisses faire ce que je veux soit tout le monde verra ces humiliantes photos de toi, petit pervers!"

C'est quoi cette impression de déjà vu ? [hidden]Matrix qui l'eut cru ?[/hidden]

C'est du vécu pour toi?

Pas vraiment c'est plutôt du déjà lu

C'est possible, il n'est pas toujours facile d'écrire sans s'inspirer de ce qui a déjà été fait et cela fait un moment que je n'ai pas écrit, alors désolé si cela manque d'originalité parfois...

C'est plutôt que j'ai l'impression que tu as fait un doublon dans ta narration, cela dit je n'ai encore jamais lu d'histoires qui reprenaient le thème de Matrix

Effectivement, je n'avais pas bien lu j'ai du faire une erreur en copiant mon texte, je corrige ça de suite.

Il ramasse alors la clé posée sur la table de chevet et la jette par la porte entrouverte. Il s'approche alors de moi et je frémis d'angoisse et d'excitation à la fois. Il teste mes liens, s'assure que mes menottes sont bien serrées. Ensuite, il commence à desserrer le nœud du torchon et je peux enfin remuer la mâchoire:

"S'il te plait arrête tes conneries c'est pas drôle"
"Au contraire mais de ton point de vue je comprends que ça ne soit pas aussi amusant que pour moi. Tu profites sans doute de mes absences pour te ligoter en cachette depuis un moment donc maintenant à mon tour de m'amuser. Tu ne t'ai jamais dis que moi aussi les petits mecs ligotés et bâillonnés ça m'excitaient?"
"Mais je croyais que tu étais hétéro!"
"Oui mais quand on parle de bondage, j'aime tous les genres, mêmes les petits mecs torse-poil comme toi"

Dans quelle galère je me suis mis... Enfin c'est la base du ligotage d'être contraint par la force des liens mais je ne m'attendais pas à ça en commençant ce self. Mon coloc attrape alors une bouteille d'eau qui trainait prés de mon lit et me fait boire une gorgée.
"Bon, si tu n'as rien d'autres à dire pour ta défense, je préfère te garder silencieux" me lance t-il en approchant le torchon de ma bouche. Comme je serre fortement les dents pour ne pas être bâillonné à nouveau, il me gifle et instinctivement j'ouvre la bouche dans un grand:

"Aïmmmmph"
"Allez pas de simagrée avec moi, le bondage c'est être contraint par quelqu'un d'autre, le self c'est pour les fillettes!" me lance t-il en rigolant.
Il se tourne pour farfouiller dans mes affaires de bondage que je n'ai pas utilisé pour mon self et d'un coup son visage s'illumine et il se tourne vers moi avec un regard qui me glace le sang. Tout en me fixant de son regard de prédateur sexuel, il sort d'un amas de foulards un mini-plug anal rose que j'ai acheté récemment pour découvrir une nouvelle sensation mais dont je ne suis pas particulièrement fan. Il s'approche alors de moi le plug à la main comme s'il s'agissait d'un couteau.

"Je te propose de commencer petit si je puis dire!"
"Mmmmmph!" criais-je en me débattant de toutes mes forces
Il attrape alors les bords de mon boxer et le tire jusqu'aux cuisses. Je vis la situation la plus gênante de ma vie mais non sans une certaine curiosité de se qui va m'arriver. Il me force à me pencher sur le côté et place délicatement le plug sous mes fesses et me fait alors asseoir lentement dessus. La sensation est différente de celle que j'avais ressenti lors de ma première expérience avec cet engin et je dois avouer que de se laisser faire de la sorte commence à me plaire. Je ne cris pas, je profite seulement.

Espérons qu'il aura l'occasion de lui rendre la politesse

"Alors houdini tu n'as plus envie de t'échapper à présent?"

Il saisit alors un foulard et des boules quies posés sur le lit et passe derrière moi. Soudain, c'est le noir complet. Et puis le silence le plus total. Je suis livré à moi même, à mes sensations, à mon seul plaisir d'être impuissant de ce qui va m'arriver par la suite et je m'en fiche. Je voudrais que cette sensation ne s'arrête jamais...

Puis, après un temps qui m'a semblé durer une minute, je sens des mains passé sur ma poitrine. Elles sont douces. Je me contorsionne pour tenter de leur échapper mais sans réelle conviction. Privé de mes autres sens, le toucher de ces mains me procure des sensations simplement magiques. Ces mains me caressent simplement, me forcent à me détendre, je ne sais pas à qui elles appartiennent et pourtant je m'en fiche. Elles viennent effleurer mon sexe et cela semble le sortir de sa torpeur. Je sens alors le délicat contact du foulard en soie sur ma peau, ce glissement doux hérissent mes poils et rend mon sexe si dur que j'aimerai défaire ces menottes qui maintiennent mes mains hors d'atteintes. Je suis fou de ces sensations, mes jambes et mes mains se débattent afin de participer aux réjouissances mais cela leur ai impossible et c'est un véritable supplice. Le foulard descend alors de mon torse en direction de mon sexe et l'entoure tendrement. Une chorégraphie bien connue commence alors au niveau de mon entrejambe mais les sensations sont bien différentes à ce dont elle est habitée. Ma tête est ailleurs au moment où j'atteins l'extase...

Puis alors que je suis encore dans la jouissance de ce moment, le foulard quitte lentement mon sexe et puis plus rien. Plus rien pendant un temps qui m'a semble durer une éternité cette fois car le rêve est fini. Je sens alors une clé se déposer entre mes doigts.
Les menottes quittent enfin mes poignets, tout comme mon bandeau mais alors que je le retire et que je m'attends à voir enfin mon bourreau, la pièce est vide. Etait-ce mon colocataire ou quelqu'un d'autre qui m'a fait ressentir toutes ces choses, je n'en serai jamais sûr...

FIN