Jeux de Liens

si tu préfère dévoila moi la suite en MP, comme ça je serai vraiment le seul à en profiter

tu as trop de talent pour t'arreter la caro

Caroline s'est trop surmenée, peut être qu'elle a eu peur de devenir dépendante et de se retrouver piégée par ce plaisir ( mauvais jeu de mot ) https://vimeo.com/28760579 , c'est un beau travail dans tout les cas.

caroline a écrit :Pour nono...et les autres

sans doute la dernière...je m'épuise..

AAARGH

Une expérience que je vous recommande.

J'ai adoré même si je m'essoufflais.

Je fais des gros bisous à alias. Il a eu une superbe idée

Désolée de laisser cette histoire en rade...mais vous le comprendrez.

No soucis
Protèges toi
Et merci pour l'existant

très déçu et triste que tu arrêtes, mais c'est compréhensible. Des bisous (en retard).

C'est un clap de fin de tournage ...

je continuerais peut etre l'autre version, mais j'avoue que l'intérêt sera moindre sans caroline

Comme vous le savez-tous, caroline a décidé de ne plus intervenir sur le forum.
Elle m'a tout de même envoyé un chapitre qu'elle a écrit pour le tournage d'alisson.
Le voici: Enjoy!

Treize heures et dix minutes.

Chapitre 10

Je dégouline. Mes vêtements collent à ma peau.

"Tu vas choper la crève si tu te réchauffes pas. Vas prendre une douche et mets tes vêtements à sécher sur le radiateur. Ce serait dommage que tu passes le restant de la journée à tousser et te moucher."

Eh ! Il pourrait me regarder au moins….Grrr...On dirait ma mère…

"Dommage pour qui ?...Et si j’ai les mains attachées dans le dos ou tirées vers le haut, comment je pourrais me moucher ?….Grrr…"

J’ai parlé à voix basse dans un chuchotement agacé, les lèvres serrées
Il ne m’a pas entendue sinon j’aurais été punie.
Arrête de le provoquer. A la douche !


Treize heures et trente minutes.

Je me souris dans le miroir.

Est ce toi Alisson?
Bah oui…
L’assistante stricte et modèle a enlevé son masque. Cheveux libérés autour d’un chignon rebelle planté sur la tête. Maquillage léger, yeux grand ouverts, sans lunettes.
Fraiche, rayonnante, corps nu enveloppé jusqu’à mi-cuisses dans une mince serviette blanche nouée sur le côté au dessus de mes seins.

« Arrête de te cacher » m’a dit la star.

Voilà c’est fait. Je ne me cache plus. Je m’affiche.

- A ton tour. La place est libre.

Je l’ai appelé d’une voix douce en sortant de la salle de bains.

Une main appuyée sur le mur, l’autre sur une hanche, souriante, discrètement aguicheuse. Je l’attends.

"- Tu as des affaires de rechange ou tu veux que je te prête quelque chose le temps que les tiennes sèchent?

- J'ai ce qu'il faut dans le sac, merci."

Même pas un petit mot gentil, genre « t’es belle ».

Il m’a croisée les yeux baissés, indifférent

Il ne sait pas parler aux filles.

"Ok dac…"

Tu parles d’un compliment !

Puisque c’est comme ça, je ne me change pas. Na !

Un quart d’heure plus tard, il descend.

Je me lève du fauteuil et lui tends une paire de menottes en le défiant du regard.

"Tu es sûre de pas vouloir t'habiller avant? Je veux dire, ça va être dur de tenir la serviette avec les mains attachées."

Je me retiens de crier genre « t’es con ou quoi ? »

Il ne comprend vraiment rien.
Je soupire.
Il menotte mes poignets.
Je serre les dents et change de sujet pour cacher mon irritation.

"- Bon et maintenant on mange? C'est que j'ai faim moi!"

Le ton de ma voix a laissé transparaitre mes états d’âme.
Les bracelets sont resserrés.

"- Réclamer, c'est la même chose que l'insubordination. Et qui dit même chose, dit même punition."

Il me tourne le dos et marche vers la cuisine.
Bah…C’est mieux que rien, même si ça fait un peu mal.
Au moins, il décide et arrête de poser des questions stupides et de me prendre pour une gamine débile.

Tu as choisi ton sort Ali. Ne fais pas la gueule. Laisse lui le temps.

Treize heures et quarante minutes.

Je le rejoins dans la cuisine. Il n’est pas très expert.
Ca m’amuse. Ca me plait.
Il aime ma présence, je le sens.
Je le taquine par des frôlements furtifs en bredouillant timidement des excuses hypocrites quand je fais exprès de trébucher contre lui.
Les menottes cliquettent quand je lève mes poignets devant lui. «  désolée, mais j’ai du mal à garder l’équilibre avec ces trucs… »
Ses mains effleurent ma peau.
Il n’ose pas se lâcher.
Il n’ose pas me toucher.
Patience.

Le repas est convivial. Pas vraiment de servitude.
Je mange avec appétit, gloutonne malgré la difficulté de l’exercice.
Des pâtes tombent sur mes cuisses.
Il me traite de bébé en les nettoyant sans se presser avec un torchon mouillé.
Dans ses caresses, je me sens fille.
Frissons légers. Si j’avais été menottée dans le dos, j’aurais été du coup vraiment bébé, incapable de manger toute seule…
Frissons-Regrets ?

On papote comme des vieux copains.
On rit beaucoup de mes maladresses.
A la fin du repas, il m’attire sur le canapé pour le bouquet final : les photos qui défilent sur son ordi.

"Oh mon Dieu ! C’est moi !" Je plaque mes mains sur mes yeux.
J’ai honte …Ali ! C’est quoi ce délire ? Tu es folle !
J’ai peur….Si tes parents ou tes amis voyaient ça…
Je kiffe… Parce que les photos sont belles ?

On se dispute gentiment pour s’attribuer le mérite des photos : le photographe ou l’actrice ?
On sait tous les deux que c’est tous les deux, mais ça me déstresse un peu.

"- Mouais…"

Je conclus notre duel verbal par une moue dubitative, les yeux fixés sur l’écran à travers mes doigts entrouverts.
Que me réserve t’il ?
Je ne tarde pas à le savoir…
Il démenotte mon poignet droit, le ramène brutalement dans mon dos et me fait basculer sur le ventre.

"- Aiieeuuhh..."

Sans ménagement.
Comme un vulgaire paquet, une poupée de chiffon.
Vexée. 
Les bracelets sont serrés sur mes poignets tordus sur mes reins.
Troublée.

"- Mmmm…"

Toute à sa merci…Il est peut être pervers, sadique…
Peureuse ?

"- Ah ! Les meilleures !"

Je gémis.
Il jubile.
Les photos défilent lentement exposant mon impudeur.
Allumeuse ?
Plus ou moins consciemment, j’ai tout fait pour m’exhiber.Pour que ma jupe se retrousse et dévoile ma culotte, pour que mon chemisier s’ouvre et se lève au dessus de mon nombril.
Quand je me suis retournée sur le dos, cuisses écartées, bras coincés sous mon dos, feignant la détresse.

Salope !

Je ferme les yeux pour ne plus voir ça pendant qu’il menotte mes chevilles et les enchaine à mes poignets.
Encore hogtied ! Attachée comme un porc !
J’ai appris ce mot sur le site JDL…
Cochonne ?
Je gigote pour évaluer ma situation.
Avec ce cliquetis de chainettes, jingle de ma captivité.
Je ne peux pas trop bouger, je risque de tomber.

La serviette a glissé sur le côté.
Du bout des doigts je veux la remettre en place. En vain.
J’étends mes mains sur mes fesses mais cet effort est dérisoire.
Crispée, gênée, je joue la fière pour donner le change.

- Je suis jolie comme ça hein…Attachée, avec une simple serviette de bain protégeant ma nudité... 

Je me trouve ridicule. Je dois être toute rouge.
Tais toi Ali ! Tu dis des bêtises et en plus tu le provoques. Tu cherches quoi ?

Dans ses yeux brillent des éclairs.
Il s’avance vers moi
Des idées dans la tête…
Perverses ?

encore du grand caro, toujours aussi agréable a lire

si tu l'occasion passe lui le bonjour de notre part ^^