Jeux de Liens

Je me lance avec une histoire tirée de faits réels mais très romancée.

Je m'appel Kim j'ai actuellement 28 ans mais l'histoire que je vais raconter prend place alors que je n'avais que 22 ans.

Je suis une fille de taille moyenne plutôt fine et sportive aux cheveux roux et à la poitrine que d'aucuns qualifieraient d’opulente. Je suis fan de bondage depuis un bon moment déjà même si mes proches n'en avaient alors aucune idée.
A cette époque beaucoup de garçons me tournaient autour et la plupart d'entre eux m'ennuyaient copieusement. Après tout je ne suis pas qu'un physique mais aussi et surtout un esprit. La plupart de mes camarades de l'époques étaient des imbéciles vains gère intéressants à mon sens. Sauf un...

Mathieu était intelligent, cultivé et pas désagréable à regardé. Nous discutions souvent des heures durant de cinéma et d'art, d'histoire ou de sujets moins sérieux. Nous étions tous les deux dans une association de cinéma de notre école et depuis quelques temps nous étions lui et quelques autres sur un projet de film: "L'invincible Bikini Ninja Girl".

Passionnés par la culture du nanar et les films cheaps , nous avions décidé de tourner un film du genre. Evidemment la ninja girl était incarnée par moi. Le concept était simple je me contentait de faire semblant de taper sur d'autres ninjas, terroristes, criminels en tout genre le tout vêtue d'un simple bikini. Je portais alors un bikini noir qui se nouait avec des lanières.

Bref, passons au cœur du sujet. Alors que l'équipe de tournage était indisponible Mathieu décida de tourné une des scène ou la ninja girl était ligotée et torturée par des chatouilles.

Je me réjouissais de cet instant d'intimité avec Mathieu. Nous tournions la scène chez lui. La scène se déroulait dans sa chambre que nous avions alors décorée pour l'occasion.

Je me changeais dans sa salle de bain tandis qu'il préparait les projecteurs et la caméra. J'entrais dans sa chambre avec mon "costume de scène".

- Je suis prete.

Il se tourna vers moi et sembla se figer quelques instants avant de me sourire.

- Tu es parfaite comme d'habitude!
-Merci bien.

Je souris intérieurement. Je ne lui étais pas indifférente. Lui non plus d'ailleurs. Quoi de mieux pour séduire un homme que de se livrer à lui dans des liens?

-Prend place je vais t'attacher.

Je m'allongea sur le lit tandis qu'il entreprit de me ligoter les membres aux quatre coins du lit. Il s'avéra un ligoteur doué à mon grand étonnement. Je ne m'attendais pas à un ligotage aussi réussi. Les liens étaient serrés et aucun échappatoire n'était possible sans aide extérieur à ma grande joie.

"On se calme ma fille, ce n'est pa le moment de s'emballer."

-Ce n'est pas trop serré?
-Non c'est efficace en revanche je ne peux pas du tout me libérer. dis je en tirant sur mes liens

Me voir me débattre sembla lui plaire.

- Il faut que ça à l'air crédible.

A ces mots une jeune fille entra, je reconnu aussi tôt sa jeune sœur Aurélie de 18 ans. Ces deux là ne pouvaient pas se renier tant ils se ressemblaient. Aurélie était petite mais parfaitement bien formée, ses longs cheveux noirs tombaient sur son visage d'ange. Nous nous connaissions bien sur et il lui arriva bien des fois de participer à nos longues conversations ou au tournage. Sa présence ne me choqua pas car j'avais pour elle une attirance au moins équivalente à celle que j'avais pour son frère. Sa tenue me surpris quelque peu. Aurélie portait un short de sport moulant ainsi qu'un soutien de sport, laissant sa peau largement découverte. Elle ruisselait de sueur.

- Salut Kim! dit elle

- Bonjour Auré. dis je un peu gênée qu'elle me voit ainsi.

-Tiens tu tombes bien entre je vais avoir besoin d'aide. Je ne parviens pas à tout faire.

Aurélie entra et me dévora littéralement du regard. Mathieu lui tendit un rouleau de scotch.

- Tiens baillone Kim on va pas tarder à commencer.

- Avec plaisir.

Elle s'assit près de moi et commença à tirer sur le scotch tout en me souriant. Elle s’arrêta et sortit quelque chose de sa poche. Elle déplia une culotte rose devant moi. Je compris qu'il s'agissait d'une des siennes. Avant meme que je puisse réagir elle enfonça la culotte dans ma bouche et me plaqua un morceau de scotch sur mes lèvres.

"MAis que fait elle!!!"

- Hmmfmm. fis je
- Et bien c'est efficace. Dit elle.
- Oui le réalisme est important. rétorqua son frère en me regardant tendrement. J'ai oublié la batterie de rechange à la cave je reviens.

Mathieu nous laissa seul toute les deux.
Aurélie me regarda comme un prédateur observant sa proie.

- A nous!

A suivre

c'est un bon début.
vivement la suite

Coucou Kim! je fais un bref retour sur le forum en rattrapant le retard que j'ai prit depuis bientôt 3 mois ... Pour ce qui est de ton histoire, je trouve que tu nous a donné un très beau début! J'ai hâte de lire la suite!

Tourner un nanard, et prétendre que "le réalisme c'est important", c'est totalement incompatible

J'en conviens mais bon il fallait bien une excuse!^^

Et ça s'écrit nanar. ^^ Nanard c'est l’abréviation de Bernard, et je n'ai rien contre les Bernards.

Attention on parle à une pro de la culture nanardesques.

Pas mal Kim, cela a l'air intéressant j'attends de voir la suite !

Haha le sous débat du Nanar! Mais Bouyah a raison, avant (au XIXème) une œuvre iconographique ou littéraire de piètre importance portait le nom de Nanard (avec un D ^^) c'est l'origine du Nanar d'aujourd'hui! Bref tout ça pour dire que ce Nanar en production promet!

Ton histoire m'a l'air sympa, continue comme ça !

La suite
La situation était surréaliste. Je ne m’imaginais pas un jour me retrouver en bikini ligotée et bâillonnée par Mathieu et encore moins me retrouver ainsi devant sa sœur.
Cette dernière se tenait à mes cotés me toisant comme un enfant le ferai avec ses cadeaux de noël. Je tentais de lui sourire à travers mon bâillon sans grand succès.
- Hmmfmfm fis je à l’intention d’Aurélie.
Celle-ci sourit devant mon impuissance
- Tu es superbe come ça. Et c’est tellement agréable d’entendre tes petits gémissements derrière ton bâillon. D’ailleurs en parlant de bâillon, j’espère que tu aimes mes rajouts. Mathieu comptait juste sur le scotch mais bon ca allait manquer d’efficacité. Cette culotte je l’ai porté hier et je me suis caressée en pensant à toi. J’espère que tu apprécie cette attention délicate.
A ces mots je fus prise d’un haut le cœur, et tenta de me libérer en grognant sous mon bâillon,.
- Hmmfmfmfmf !!!
« Quelle petite peste perverse ! »
- Chut calme-toi.
Elle posa sa main sur mon ventre, ce geste délicat me stoppa net dans mon élan. Elle se mit à passer son doigt autour de mon nombril tout en continuant à me parler comme si de rien n’était.
- Je ne voudrai pas que tu te fasses mal.
Déboussolée je ne fis rien, son contact était agréable après tout. Sa main caressa mon ventre puis remonta vers ma poitrine qu’elle se mit à caresser sans vergogne.
Gênée j’au un sursaut et me mis à lui faire comprendre ma désapprobation.
- Gnonnffmm. Fis je en secouant la tète.
- Allons allons si j’en crois tes téton ça ne te gène pas tant que ça.
Effectivement après un bref coup d’œil je pu constater que mes tétons pointaient largement à travers mon haut de maillot. Malgré moi évidemment mais je ne pouvais contrôler mon corps.
Elle s’en amusa et les pinça entre ses doigts.
- Hmmfmfmfmmf !!! Je lui jetai un regard noir.
Elle se positionna au dessus de moi et se mis à embrasser mes épaules mon coup. Mes grognements se transformèrent en gémissement, ma volonté parti en fumée.
- Hmmmmm. Fis je
Elle embrasse tendrement mon bâillon. Son parfum m’enivrai et m’envoutait à a foi. Elle prit ma tète et la plongea entre ses sein. Je ne pouvais que sentir son odeur sans pouvoir faire un geste. J’étais à la foi en colère et excitée par cette situation.
Elle se releva tout à coup et sourit à nouveau.
- Il faut que je me débrouille pour que Mathieu ne nous gène pas. Je m’absente ne bouge pas d’ici.
- Hmmmmm !!! « Je déteste ce genre de blagues ».
Elle sortit son téléphone de sa poche et prit une photo de moi en si délicate posture.
- Ca sera parfait en fond d’écran.
- Hmfmfmgmgmfmdmm !!! fis je mécontente
- Ceci te tiendra compagnie.
Elle glissa le téléphone à l’intérieur de mon maillot de bain et le pressa contre mes lèvres.
- A plus tard !
Elle sortit de la chambre me laissant seule dans mes liens.
« Quelle cinglée »
A cette pensée le téléphone ce mit à vibrer contre mon entre jambe.
« Non c’est pas vrai »
Mon état d’excitation était tel que la moindre vibrations me faisaient un effet dingue.
- GNfmmfmfmf !!!
A suivre..