Le destin des soeurs Rigdon

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Yopo1

Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Yopo1 »

Marlène n'a pas l'air si méchante finalement.... A moins que...

Vivement la suite !

Yopo1

Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Yopo1 »

Marlène n'a pas l'air si méchante finalement.... A moins que...

Vivement la suite !

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Gwenboyfriend
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

Dans lequel Kathryn rencontre la taupe

Dans la salle d'interrogatoire, Marlène libère Kathryn de ses chaînes et de son carcan. La prisonnière réalise qu'elle est seule avec sa geôlière et qu'elle a un chance de s'échapper. Parmi les objets dans la pièce, elle avise une matraque, s'en saisit et assomme Marlène qui s'écroule.

Sans même enlever son bâillon, la jeune femme se précipite vers la sortie et réalise que la porte est fermée et ne peut pas s'ouvrir de l'intérieur. Marlène doit avoir la clef sur elle. Kathryn retourne son adversaire inconsciente.

Du moins, la croit-elle inconsciente.

Car deux mains fermes saisissent les poignets de la jeune femme et les tournent dans son dos. Kathryn se retrouve à nouveau plaquée au sol, son adversaire installée à califourchon sur son dos. Des cordes enserrent ses poignets puis ses bras puis son torse sous les seins.

- Tu te crois vraiment capable de m'assommer, petite dinde. Cela mérite une leçon.

Marlène ligote ensuite les cuisses et les chevilles de son infortunée adversaire. Elle attache une corde aux liens de ses poignets qu'elle passe entre ses chevilles. Elle tire sur la corde. Kathryn essaie de résister mais elle ne peut pas empêcher ses jambes de se plier jusqu'à ce que ses pieds soient au niveau de ses mains. Marlène relie alors la corde aux liens des bras de sa victime. Puis la porte sous un portique.

- Tu sais ce que j'aime dans tes cheveux, ma chérie ?
La malheureuse jeune femme regarde sans comprendre.
- Ils sont blonds mais surtout ils sont longs.

Kathryn sent que sa tortionnaire réunit ses cheveux dans et les attache à une corde accrochée au portique. La tension sur ses cheveux augmente, elle est soulevée. D'abord sa tête, son torse, se cuisses. Elle est droite appuyée sur ses genoux. La tension sur ses cheveux est déjà douloureuse mais Marlène tire sur la corde jusqu'à ce que les genoux de la malheureuse jeune femme effleurent à peine le sol. Ses gémissements et protestations sont étouffés par le bâillon.

- Bien je vais te laisser réfléchir. Cela va être un peu long. La taupe va s'assurer que tu n'es pas surveillée avant de venir te voir.

Restée seule Kathryn s'agite en vain. Elle ne réussit qu'à resserrer ses liens et à rendre la tension de ses cheveux insupportable. Comprenant la stupidité de ses efforts, elle cesse et tente au contraire de ne plus bouger. La tension de ses cheveux demeure douloureuse. Combien de temps va-t-elle devoir attendre ?

La porte s'ouvre. Un homme masqué la franchit. La taupe. Il s'approche de la captive. Descend légèrement le lien qui enserre la chevelure de la jeune femme. La douleur s'apaise légèrement. L'homme s'accroupit face à elle.

- Je ne t'enlève pas ton bâillon pour l'instant parce que je ne veux pas que tu m'interrompes.

L'homme, comme prévu, est la taupe et explique à Kathryn ce qu'elle doit dire pour convaincre la commission que c'est elle qui a trahi. Quand il a fini, il enlève le bâillon et demande à la captive si elle a compris et obéira. La jeune femme répond que oui. L'homme lui fait répéter plusieurs fois l'histoire qu'elle doit raconter. Une fois qu'il est satisfait, il la bâillonne et surélève à nouveau la captive qui gémit malgré elle.

- Je comprends que ce n'est pas très agréable pour toi mais il ne faut pas que Marlène se doute que quelqu'un est venu te voir.

A nouveau seule, Kathryn espère que Marlène va bientôt venir la délivrer. Mais plusieurs heures s'écoulent avant que la porte s'ouvre enfin. La prisonnière n'aurait jamais cru être aussi heureuse de voir sa geôlière. Malgré son bâillon, elle tente de crier que la taupe est venue. Qu'elle lui a donné des instructions. Mais ces tentatives se transforment en borborygmes incompréhensibles qui amusent beaucoup Marlène.

- La taupe est venue, c'est ça ? Tu es prête à avouer ? Cligne des yeux une fois pour oui, deux fois pour non.
Kathryn cligne des yeux.
- Parfait, je vais prévenir la commission.

La prisonnière ne veut pas croire qu'elle va rester ainsi suspendue. Elle tente de protester. Marlène se retourne sourit.

- Tu as raison tu as mérité une position moins inconfortable.

La captive sent enfin la tension de ses cheveux s'apaiser. Sa tortionnaire la retient quand elle bascule vers l'avant et la dépose au sol. Kathryn attend que les liens qui unissent ses bras, ses poignets et ses chevilles soient coupés. Mais rien ne se passe. Elle entend sa geôlière qui s'active dans son dos. Une barre passe derrière ses genoux. A nouveau, elle est tirée vers le haut sans pouvoir résister et finit suspendue la tête en bas. Marlène s'amuse à pousser sa victime qui se balance malgré elle. Puis sort de la pièce.

Seule à nouveau, la malheureuse jeune femme suspendue tête en bas continue de se balancer.
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Malys
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Malys »

Superbe histoire et merci ce joli récit.

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Gwenboyfriend
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

Nous retrouvons Fergie en fâcheuse posture

Fergie regarde le sol approcher depuis le hublot. Pendant le vol, elle a entendu ses ravisseuses rire plaisanter à son sujet comme si elle était un objet.
L'hôtesse se penche vers elle pour vérifier que la ceinture est bien attachée.
- C'est bien vous avez été sage pendant tout le vol.
Fergie la regarde sans comprendre. L'hôtesse s'installe à côté d'elle.
- Il ne faut pas croire que toutes les prisonnières se comportent comme vous. C'est comme si le fait d'être ligotée et bâillonnée les excitait. Et ça s'agite et ça grogne. C'est inutile bien sûr. Vos ravisseuses sont des expertes en nœuds et en bâillons. Vous avez du vous en rendre compte. Parfois c'est amusant, mais ça peut être agaçant. Ça fait vraiment plaisir une captive comme vous qui obéit et ne proteste pas pour rien.

Ces compliments résonnent comme des insultes aux oreilles de la malheureuse jeune femme. Humiliée, désespérée, elle ne peut pas retenir ses larmes. L'hôtesse sourit cruellement. Sort un petit flacon dans lequel elle recueille quelques gouttes des pleurs de la captive.
- Merci ma chérie, j'adore avoir un souvenir de chacune des prisonnières qui sont passées dans cet avion.

Les roues de l'avion touchent le sol. La ceinture de Fergie est détachée. Elle se lève. Un collier de cuir est fixé à son cou auquel pend une bande de cuir. Des chaînes sont fixées à ses chevilles. Les liens de ses bras sont retirés le temps de la dépouiller de ses vêtements et sous-vêtements. Des chaînes se ferment sur ses poignets dans son dos. La jeune femme a eu beau se débattre protester à travers son bâillon. Ses adversaires ont été impitoyables et se sont amusées de sa résistance.

Mona, la chef de ses ravisseuses, la conduit à la sortie de l'avion. Face à l'escalier qui mène au tarmac, la captive a un mouvement de recul. Elle n'y arrivera jamais avec ses pieds enchaînés. Sans pitié, Mona tire sur sa laisse alors qu'un coup de cravache s'abat sur le postérieur dénudé de la captive. La malheureuse jeune femme comprend qu'elle ne peut qu'obéir et descend péniblement chaque marche. La traction de la laisse ne cesse jamais et elle sent continuellement la cravache effleurer ses fesses. Arrivée au pied de l'escalier, elle est épuisée mais son supplice ne fait que commencer. Elle doit traverser le tarmac sous les regards de dizaines de personnes manifestement complices des criminelles. Une fois, à l'intérieur de l'aérogare, elle comprend qu'elle n'est entourée que d'ennemis. Quelque soit le pays où elle se trouve, la comtesse est entourée d'alliés. Les douaniers sourient en voyant passer leur groupe. Aucun papier n'est demandé.
Soudain un homme fait un signe. Mona s'arrête. L'homme s'approche. Va-t-il s'opposer au traitement infâme que subit Fergie ? L'infortunée jeune femme déchante quand l'homme embrasse passionnément sa ravisseuse sur la bouche.
- C'est l'invitée de la comtesse ?
Mona approuve. L'homme s'approche de la captive, lui caresse les fesses, les seins.
- Bienvenue en Bordurie, mademoiselle.

Une fois hors de l'aérodrome. Mona décide de se rendre à pied jusqu'au château de la comtesse. Fergie subit l'humiliation d'être conduite, en laisse, nue, bâillonnée, enchaînée, à travers la ville sous le regard avide des passants et passantes. Manifestement, la comtesse tient à ce qu'on sache qu'elle a été capturée. Le château domine la ville. La montée est très difficile pour la jeune femme entravée qui marche de plus en plus lentement. Mona s'arrête un instant.
- Je te conseille de faire un effort. La comtesse déteste que l'on soit en retard.
Fergie lance un regard suppliant à sa ravisseuse. Comment pourrait elle marcher plus vite ?
- Qu'est-ce-que tu veux me faire comprendre. Tu ne peux pas aller plus vite avec tes pieds enchaînés ?
Fergie hoche la tête affirmativement en bredouillant dans son bâillon. Elle n'obtient en retour qu'une traction sur sa laisse. Comprenant qu'elle ne doit attendre aucune pitié, la malheureuse captive obéit et s'efforce de marcher plus vite malgré ses chaînes.
Au bout d'une marche épuisante, elle arrive enfin dans le château et s'écroule à genoux aux pieds de la comtesse. La criminelle passe l'extrémité de sa cravache sous le menton de la captive qui relève la tête.
- Ainsi, voici notre chimiste. Qui va se montrer raisonnable et nous donner la formule de l'arme chimique.
Fergie sait qu'elle doit résister et hoche négativement la tête.
- Une jeune femme obstinée. C'est une maladie que nous savons soigner. Mona conduit cette demoiselle dans les sous-sols. Nous allons lui apprendre les vertus de l'obéissance.
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stephanie
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par stephanie »

Jolies suites.
Bravo,
Stéphanie

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Gwenboyfriend
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

Dans lequel Kathryn court

Kathryn s'efforce de suivre la vitesse imposée sur le tapis de course. Ses chevilles enchaînées ne lui facilitent pas la tâche. Le bâillon de cuir qui maintient un boule de caoutchouc enfoncée dans sa bouche non plus. Une large ceinture d'acier entoure sa taille. Ses poignets sont enfermés dans des anneaux fixés à l'avant de la ceinture métallique. Ses bras liés dans son dos au niveau des coudes. Des chaînes relient la ceinture d'acier aux bords tapis de course. Tout ce que peut et doit faire la captive, c'est courir sur le tapis pour le maintenir en mouvement et éviter que les petites roues équipés de minuscules fouets derrière ses fesses se mettent en marche. Elle doit respecter la vitesse minimum de cinq kilomètres par heure pour empêcher les fines lanières de cuir de fesser son postérieur.

Depuis le début de la séance, cela n'est arrivé qu'une fois quand elle a cessé de marcher en l'absence de sa gardienne. Elle ignorait alors que les roues démarraient automatiquement si le tapis défilait moins rapidement que la vitesse indiquée. Elle ne devait marcher qu'à deux kilomètres par heure mais elle avait voulu profiter de ce qu'elle croyait être une défaillance de ses geôliers. Elle avait compris son erreur quand les fouets s'étaient abattus sur ses fesses, elle avait repris sa marche mais les coups avaient continué pendant cinq minutes.

A son retour, la surveillante lui avait expliqué que c''était normal. Il fallait bien qu'elle soit punie pour sa désobéissance. Elle avait fixé la nouvelle vitesse à trois kilomètres par heure et supprimé un maillon à la chaîne des chevilles de la captive. Kathryn n'avait pu retenir un cri de protestation étouffé par le bâillon qui envahissait sa bouche mais malheureusement suffisamment audible pour que sa tortionnaire l'entende. Celle-ci resserra davantage les sangles du bâillon et passa la vitesse à cinq kilomètres par heure puis sortit sans lui dire quand elle reviendrait.

Ce que subit Kathryn est un apprentissage. Elle doit réussir à se déplacer rapidement avec ses chevilles entravées. C'est le choix qui lui a été proposé après qu'elle ait fait de faux aveux face à la commission. Soit être enfermée dans une prison secrète soit travailler dans le bâtiment des services sous la surveillance de Marlène. Elle a choisi la seconde proposition. Elle ignorait alors que ce travail signifierait qu'elle serait nue, bâillonnée et enchaînée. Et qu'elle devrait apprendre à marcher rapidement avec ses chevilles entravées.

Et c'est ainsi qu'elle court sur l'infernal tapis sans savoir quand finira ce supplice que ses tortionnaires osent appeler un entraînement.

La porte de la salle s'ouvre, un des membres de la commission entre dans la pièce et coupe la commande de la roue fouetteuse. Kathryn comprend qu'elle peut cesser de courir mais s'interroge sur la raison de la présence de cet homme.

L'individu sort une seringue d'une boîte. La captive devine alors qu'elle a affaire à la taupe. Il vient à visage découvert. Cela ne veut dire qu'une chose.
- Je vois que tu as compris. Ce qui t'arrive est injuste. Tu as fait ce que je t'ai demandé mais je n'ai pas le choix. Tu pourrais changer d'avis et décider de dire que je t'ai ordonné de mentir à la commission.
Kathryn essaie d'appeler à l'aide mais l'infernal bâillon étouffe ses cris.
- Ce ne sera pas douloureux. Je vais t'injecter ce produit et tu vas d'endormir. Cela ressemblera à une crise cardiaque.

L'homme s'approche. Kathryn le supplie du regard. Cela ne l'arrête pas. Affolée, désespérée elle se débat vainement dans ses chaînes.Ses appels à l'aide, filtrés par le bâillon deviennent de pitoyables gémissements. L'homme applique une main derrière la nuque de la captive.
- Tu ne fais que rendre les choses plus difficiles. Je te promet que tu ne souffriras pas.
L'aiguille approche du cou de la jeune femme sans qu'elle puisse s'y opposer. Soudain, la porte s'ouvre et Marlène apparaît un revolver à la main.
- A votre place, je laisserais tomber cette seringue.
L'homme hésite un instant puis obéit. Des gardes pénètrent dans la pièce et l'emmènent.

Des larmes de soulagement coulent des yeux de la captive. Le cauchemar est fini, elle va être libérée. Marlène s'approche. Lui caresse les cheveux.
- Tu as eu peur ?
Kathryn hoche la tête affirmativement.
- Ne t'inquiète pas. Tu ne risques plus rien. Je vais te laisser quelques minutes avant de relancer les fouets.
La jeune femme regarde sans comprendre. Elle ne va pas être libérée ? Marlène éclate de rire.
- Tu croyais qu'on allait te libérer. Mais il n'en est pas question. Nous devons encore garder le secret. Et puis…
Marlène dépose un baiser sur les seins de la prisonnière.
- … Je tiens à ce que tu restes auprès de moi.
Elle appuie sur un bouton.
- Les fouets sont de nouveaux actifs. Tu as dix minutes pour reprendre la vitesse de cinq kilomètres par heure. Inutile de me remercier. A tout à l'heure.
Marlène sort de la pièce.

Restée seule, la captive, folle de rage et de désespoir, se débat inutilement dans ses chaînes. Crie sa colère à travers son bâillon. Mais il est impossible de se libérer de ses entraves. Personne n'écoute ses cris pitoyables.Elle ne fait que s'épuiser vainement. Soudain une sonnerie retentit. C'est le signal qui lui rappelle qu'elle n'a pas commencé sa course. Elle commence à marcher sur le tapis. Mais elle a perdu trop de temps et elle n'atteint pas à temps la vitesse imposée. Les fouets se mettent en marche. Cinglent ses fesses.Elle continue de marcher. Elle atteint enfin les cinq kilomètres par heure. Mais les lanières continuent de la frapper. Des larmes de rage de désespoir et de douleur coulent sur son visage. Enfin les roues infernales cessent de tourner.

Les fesses brûlantes, épuisée, Kathryn continue sa marche sans fin.
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stephanie
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par stephanie »

Une histoire avec deux soeurs, toutes deux dans de sales draps, l'idée est géniale.
Ton style me fait penser aux BD de Stanton.
J'espère qu'elles sont dans des pays chauds parce qu'être ligotées nues…
Brrr, j'en frissonne pour elles.
Bravo, et l'on attend la suite avec gourmandise.
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Gwenboyfriend
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

Merci de tes encouragements.

En effet, j'aime les BD de Stanton de la période Irving Klaw. Ses héroïnes en péril entravées de toutes les façons possibles et soumises à toutes sortes de supplices. Mais aussi ses "méchantes" quand elles se montrent calmes, déterminées.
Cela m'a donc certainement influencé dans l'écriture de cette histoire.

Dans le prochain chapitre, Fergie va avoir chaud... et froid :)
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

Où Fergie tourne en rond

Fergie est aveuglée un instant par la lumière du jour. Passer de l'obscurité des cachots à l'air libre est douloureux. Pourtant, une fois ses yeux habitués à cette clarté, cela lui semble supportable. Bien sûr, elle est toujours nue, bâillonnée, ligotée, tenue en laisse par Mona qui la mène sans s'inquiéter de ses chevilles enchaînées. Mais le parc du château, le chaleur du soleil sur sa peau, l'herbe sous ses pieds sont autant d'agréables sensations après les tourments qu'elle a subis. Depuis son arrivée au sinistre château, elle a été suspendue par les bras, puis par les pieds, puis par les genoux pliés. Ces fesses semblent beaucoup intéresser ses ravisseuse et elles s'en sont occupé de beaucoup de façons. Les mains, les battoirs, le fouet. Tout semble bon à prendre pour ses tortionnaires. Aussi cette promenade forcée ressemble à une accalmie dont elle entend profiter

Mona et sa victime arrivent près d'un moulin à eau. Le lieu semble idyllique. La comtesse et ses assistantes attendent à côté d'une table dressée pour un pique-nique. La captive commence à se demander ce qui lui vaut tant d'attentions. La comtesse prend la parole.
- Je vois que notre attraction est arrivée.

Fergie devine avec effroi que c'est elle l'attraction. Elle est conduite jusqu'à la roue à aubes du moulin. Une planche est appuyée contre les pales de cette roue. Les bras de l'infortunée jeune femme sont liés dans son dos ; ses geôlières la déposent entre des anses fixées dans la planche de chaque côté de son corps. Elles ligotent son torse, sa taille, ses cuisses, ses chevilles en faisant passer les cordes dans les anneaux. La captive est totalement immobilisée. Plus elle se débat dans les cordes plus les liens se resserrent.
Mona se penche sur elle.
- C'est très agréable de te voir te débattre mais tu devrais te calmer. Tu auras bientôt besoin de toute ton énergie.
Une des complices de Mona intervient
- Elle continue de remuer la tête et on ne peut pas utiliser les cordes sur son cou sans risquer de l'étrangler.
- Nous avons ce qu'il faut.
Mona pose une large bande de métal sur le cou de sa prisonnière qu'elle fixe dans le bois avec deux rivets. Fergie est surprise de ne pas sentir le froid de l'acier sur son cou.
- L'intérieur et les bords sont recouverts de mousse pour éviter que tu te blesses. Quand je pense à quel point je prends soin de toi et que tu ne montres pas la moindre reconnaissance; tu es vraiment une ingrate.
Mona retire le bâillon de sa victime qui, effrayée par le supplice qui l'attend, supplie sa tortionnaire. Celle-ci lui met un doigt sur la bouche.
- Chut, c'est inutile et agaçant.
La criminelle place sur les lèvres de la captive une bande de métal comparable à celle du cou. A deux différences près. Un ergot placé sous le menton bloque la bouche de la jeune femme et l'empêche de parler ou de crier. Des fixations mobiles sur le côté permettent de retirer la bande d'acier. Enfin une dernière lanière métallique est fixée sur le front de l'infortunée jeune femme qui constate qu'elle est totalement collée à la planche de bois et que son corps forme un arc de cercle suivant la courbure de la roue. Les cordes très serrées la brûlent autant que l'humilient les regards avides et ravis de ses tortionnaires.
- On va faire un essai.
- Il ne faut pas retirer son bâillon ?
- Pas pour un ou deux tours.
En entendant ces mots, Fergie se débat dans ses liens, tente de hurler à travers son bâillon d'acier. Une des ravisseuses met la main sur le levier qui va ouvrir la trappe et permettre à l'eau de s'écouler, entraîner la roue et la malheureuse jeune femme ligotée. Des larmes de rage et de peur coulent des yeux de la captive. Mona lève la main. Sa complice attend. Mona appuie sur le torse entravé de sa victime.
- Nous allons lancer la roue, ma petite. Et tu ne peux rien faire pour l'empêcher. Par contre si tu t'agites comme ça, tu vas avaler de l'eau et t'étouffer. Nous ne le voulons pas. Nous serons obligés de te détacher, peut-être de te ranimer et cela nous mettra en colère. Et tu ne veux pas nous mettre en colère n'est-ce pas ?
Terrifiée, Fergie cesse de se débattre et de crier.
- Voilà, respire normalement. C'est bien. Prépare toi, nous allons lancer la roue.
Mona baisse la main. La trappe s'ouvre, la captive impuissante entend l'eau se déverser. La roue commence à bouger. Tourne, entraîne la jeune femme dans son mouvement. Fergie voit l'eau s'approcher de son visage. Bloque sa respiration. Elle est plongée dans le liquide glacial. Le temps semble se ralentir. Enfin elle ressort. Mais le mouvement continue. Elle a à peine le temps de voir un coin de ciel bleu, la lumière du soleil. Elle est de nouveau dans l'eau. Ses tortionnaires ont dit deux tours, elles vont fermer la trappe dès qu'elle sortira. Mais le mouvement continue, elle est de nouveau dans l'eau. Elle sort. La roue ne s'arrête pas. Encore une fois le contact avec l'eau glaciale. Elle est hors de l'eau, la trappe se referme. La roue infernale cesse de tourner. Mona se penche sur l'infortunée jeune femme et l'examine.
- C'est bien. Tu as su économiser ton souffle. Tu verras, ce sera plus facile sans le bâillon. Repose toi et profite bien du soleil.
Elle se tourne vers ses complices
- Allons nous restaurer les filles.
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