Une histoire potentiellement sans fin
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- Mad Hatter
- JdL, c'est ma vie
- Messages : 2069
- Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: Une histoire potentiellement sans fin
<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
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- Inscription : 22 juil. 2015, 05:52
- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
- Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin - Localisation : ile de francce
- Contact :
Re: Une histoire potentiellement sans fin
<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps
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<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
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<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
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En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers
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<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
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Re: Une histoire potentiellement sans fin
<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au
- Mad Hatter
- JdL, c'est ma vie
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- Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: Une histoire potentiellement sans fin
<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au bord de l'éjaculation, une caresse de plus et ça part
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au bord de l'éjaculation, une caresse de plus et ça part
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
- Gwenboyfriend
- Fana de JdL
- Messages : 345
- Inscription : 22 juil. 2015, 05:52
- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
- Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin - Localisation : ile de francce
- Contact :
Re: Une histoire potentiellement sans fin
<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au bord de l'éjaculation, une caresse de plus et ça part dans sa bouche qui enveloppe déjà mon sexe sans que
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au bord de l'éjaculation, une caresse de plus et ça part dans sa bouche qui enveloppe déjà mon sexe sans que
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- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
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Re: Une histoire potentiellement sans fin
<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au bord de l'éjaculation, une caresse de plus et ça part dans sa bouche qui enveloppe déjà mon sexe sans que ce mouvement virevoltant effectué ne l'ait déséquilibrée, au contraire
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au bord de l'éjaculation, une caresse de plus et ça part dans sa bouche qui enveloppe déjà mon sexe sans que ce mouvement virevoltant effectué ne l'ait déséquilibrée, au contraire
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
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- Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
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<< Qu'est ce que je fais ici à attendre assis sur cette chaise que quelqu’un daigne intervenir, m'appeler, non personne ne viendra… Et bien ça suffit je passerai à la chasse, chaque personne sera étudiée jusqu’à ce que je trouve celle qui me plaira, mais comment procéder ? En prospectant dans la rue c'est ) évident, mais ensuite comment l'aborder ? Et qu'elle aime le monde vertigineux que je vais lui proposer de découvrir. >>
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au bord de l'éjaculation, une caresse de plus et ça part dans sa bouche qui enveloppe déjà mon sexe sans que ce mouvement virevoltant effectué ne l'ait déséquilibrée, au contraire elle se montre très à l'aise pour effectuer un précieux
En sortant je vois des mines soucieuses, absorbées par les artistes qui se produisent dans la rue sous leurs yeux contorsionnistes, musiciens, comédiens, en scrutant les spectateurs pour voir qui me plairait, je découvre la merveilleuse, l’incomparable, la prodigieuse heureuse élue de mon cœur, son regard est posé, attentif, ses lèvres sont pulpeuses, prête à recevoir l’hommage du bâillon, maintenant par quels moyens l'aborder ? Intéressant elle s’écarte du groupe des spectateurs, marche vers moi, nos regards se croisent, puis un sourire pour faire un nouveau pas vers moi. Ses fins poignets semblent faits pour les liens, en polypropylène, coton, jute, chanvre quelle matière choisir ? Le… elle change de direction, la rattraper, l'aborder, que lui dire ? Comment lui montrer adroitement l'intérêt que je lui porte et surtout la manière dont je veux le manifester, ah elle se retourne, voit que je continue à la mater et ne montre aucune gêne, au contraire elle passe sa main sur sa gorge avant de la tendre vers l'entrée de l'hôtel et de se diriger en sa direction en m'invitant avec son autre poignet à la suivre. Poignet que je saisis sans hésiter pour la conduire jusqu'à ce guichet, une chambre pour deux, nous nous caressons mutuellement, sa peau a bon goût, il est temps de passer à une étape avec un peu plus de cacao. En commençant par l'envelopper avec mes bras, tiens ? Elle croise ses poignets dans son dos, vite les lier, l'aguicheuse se laisse tomber en arrière, la rattraper tout de suite. Elle est contre moi, mes mains remontent vers sa poitrine pour défaire les boutons de son chemisier. Nous sommes collés l'un à l'autre, ses mains liées touchent mon entrejambe, le caressent et s'affairent à déboutonner mon pantalon pendant que j'insère un bâillon entre ses lèvres pulpeuses et veille à ne pas bloquer de mèches de cheveux dessous alors que ses doigts ont achevé leur travail et se sont frayés un chemin vers mes gonades qu'elles tâtent pendant que je caresse ses seins libérés de tout vêtement, pétrissant avec une paume tandis que l'autre titille un téton qui ne demande qu'à durcir et à pointer ce qui ne tardera pas à arriver, mon entrejambe cajolé réagit aussi durement que les tétons de la dame en transe maintenant, appuyant ses caresses, tout en reposant sa tête contre mon torse. Le contact de ses cheveux sur ma peau est doux, ils sont lisses et leurs odeurs m'enivrent au point que je me perd dans l'exploration du corps de cette créature envoutante qui reprend ses caresses érogènes alors que je retire son bâillon pour la diriger vers le lit mais, ses mains viennent de m'amener au bord de l'extase; que dis je, à l'extase et même au bord de l'éjaculation, une caresse de plus et ça part dans sa bouche qui enveloppe déjà mon sexe sans que ce mouvement virevoltant effectué ne l'ait déséquilibrée, au contraire elle se montre très à l'aise pour effectuer un précieux