Une journée imprévisible
Publié : 26 févr. 2016, 06:06
Bonjour, je me permets de publier une petite histoire.
Vous le remarquerez par le nom de l'héroïne, cette dernière est inspiré de ma propre personne. Il y a deux choses que je tiens à préciser avant de commencer:
-Cette histoire n'a absolument rien de réelle, même si j'incarne la fille principale, je n'ai jamais vécu d'évènements qui aient un quelconque rapport. Je l'ai juste vaguement imaginée lors de scénario avec mon partenaire.
-Je n'ai pas la prétention d'être une femme fatale ou des plus désirée au monde, je me suis quelque peu enjolivée dans mon récit pour pimenter d'avantage l'histoire.
Voilà, voilà, c'est parti avec la première moité!!!
Prénom: Nina
Nom: Averine
Age: 22 ans
Taille: 1m65
Poids: 50 kg
Couleur des yeux: brun foncé
Couleur des cheveux: chevelure brune
Autre: Peau blanche / Cheveux long /célibataire
Profession: journaliste / reporter
Une journée imprévisible
Mmmmm, samedi, enfin le weekend, un jour de congé. Je reste dans mon lit, alors qu'il est déjà passé 10h00 du matin, je suis une vraie flemme en weekend. Je suis déjà réveillée depuis au moins une demie heure, mais j'apprécie tellement me reposer quand je ne dois pas aller travailler. Je dois quand même me lever, j’ai deux ou trois courses à faire. D'abord une douche pour se réveiller. Je me traine sous la douche, puis je prends mon temps sous une eau assez chaude. Une bonne douche est le seul moyen de vraiment me réveiller en weekend. Pour m'habiller, je remets ma tenue de hier soir, lors d’une réunion pour le travail. Je commence par enfiler des collants noirs. Ensuite j’enfile mon soutien-gorge, blanc crème. Je remets cette jupe coupe droite, noire, assez serré et courte, moulant parfaitement mes hanches. Je remets également ma chemise de hier soir, blanche et bien assortie à ma silhouette. J'attache mes cheveux, faisant une queue de cheval. Enfin, je remets ma montre de couleure argentée sur mon poignet droit, puis trois autres bracelets joncs couleur argentée de la à mon autre poignet. Enfin je mets des talons noirs, assortis à cette jolie jupe. Cette fois je suis totalement réveillée. Je me mets en route pour mes courses, à cet épicier que je fréquente régulièrement. J'aime cet endroit, on y trouve un peu de tout pour des prix raisonnables. A travers la vitrine je vois un homme près de la caisse. C'est curieux, il ne fait rien, il semble attendre ici bêtement. Soudain, alors que le caissier tourne la tête, l'homme en profite pour voler une pile de billets. Il essaie de s'enfuir, mais le caissier l'a repéré, et tente de lui barrer la route. Et c'est alors qu'un autre homme frappe le caissier, ce dernier se retrouve alors à terre, mais semble toujours conscient. Les deux hommes s'enfuient, et semblent être rejoint par un troisième homme qui faisait visiblement le guet un peu plus loin. Je devrais les suivre, juste histoire de trouver où ils vont, puis j'alerterai la police. Je garde tout de même une certaine distance, environ 50 mètres. Les hommes sont sur le point de quitter la ville. Soudain l'un d'entre eux se retourne et semble m'avoir repérée!! Mon cœur bat si fort!! J'ai également des frissonnements. Je regarde ailleurs en espérant qu'ils continuent leur route. Heureusement les hommes continuent, sans faire d’avantage attention à moi. Quelle frousse, je viens d'avoir!!! Après environ 15 minutes de plus, nous avons quitté la ville, nous rejoignons un quartier que je ne connais pas. Les trois hommes semblent arriver à leur domicile, une banale maison en brique de deux étages. Par contre je ne vois maintenant plus que deux hommes, j'ignore où est passé le troisième. Peu importe maintenant je peux repartir.
"Bonjour ma ptite demoiselle".
"Heinhh !!", je m'écrie. C'est le troisième homme, il vient d'apparaitre derrière moi. Mon cœur bat encore plus fort que tout à l'heure. Puis les deux autres sont déjà vers moi également.
"Aller viens avec nous ma jolie" me fait l’un des deux autres. Je réplique effrayée :
"Non attendez...il...je dois y aller…"
Mais les trois hommes me tirent par le bras et me font entrer dans leur maison. Mon dieu, qu'est-ce que j'ai peur, j'arrive à peine à prononcer un mot. Ils ont fermé à clé.
"Ça faisait un bon moment qu'on t'avait repérée, tu croyais que tu allais nous suivre sans te faire remarquer" s'écrie le même homme.
"Va acheter ce qu'il faut, on la surveille jusqu'à ce que tu reviennes" s'écrie le même homme envers celui qui m'a surprise par derrière, lequel sort immédiatement.
L'homme qui me parle est vêtu d’un pull brun, tandis que le troisième qui ne m'a pas encore parlé, est vêtu d'un sweet vert. En plus de m’effrayer, ces trois hommes me répugnent quelque peu.
"Mais où est ce qu'il va?" je m'écrie, terrorisée.
"Je vais t'en dire plus" explique l’homme en pull brun. "En fait on a fait semblant de ne pas te voir pour t'amener ici. C'est clair qu'on ne voulait pas être repéré, mais... C'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de mettre la main sur une jolie poupée comme toi !"
"Eh, tu lui a demandé de prendre combien de cordes?" demande l'autre homme en sweet.
"Au moins 5, il en faut assez pour cette poupée" réplique l’homme en pull.
"Quoi!!" m'écris-je! " Non maintenant laissez moi partir, je ne dirais rien d'accord, mais laissez moi m'en aller".
" Tu crois qu'on va laisser filer un canon comme toi" s'écrie l'homme en pull.
Mon dieu, qu'est ce que j'ai peur, pitié un miracle, il faut je m'enfuie. Mais c'est impossible, ils ont verrouillé à clé, et les deux hommes sont tout près de moi, je ne peux pas m'enfuir!
" J'ai ce qu'il faut les gars" s'écrie le troisième homme qui revient à l’instant, qui lui porte un tee shirt blanc. L’homme en pull réplique :
"Nickel, on va pouvoir s'occuper de la fille" il saisit une corde et se met derrière moi, en me faisant : "Met tes mains derrière le dos ma chérie".
Je joins mes mains à l'arrière, j'ai si peur que je n'ose pas désobéir à tous ce qu'ils me disent. Je sens les cordes enlacer mes poignets. L'autre homme en sweet est également en train d'attacher mes chevilles. Les cordes sont vraiment très serrées.
"Assieds-toi par terre, pétasse" me dit l'homme en pull, ce que je fais lui me retenant par les bras.
"Passe-moi une autre corde" dit-il à l’homme en-t-shirt. Puis il m'attache au niveau des bras et du torse, passant les cordes au dessus et au dessous de mes seins. Le deuxième voyou attache également mes jambes, juste au dessus des genoux. Ils sont en trains de serrer les nœuds. Je pourrai toujours essayer de me dégager des cordes, une fois seule.
" Vous pouvez déjà y aller les gars, je termine et je vous rejoins" dit l'homme en pull. Il prend un long tissu blanc, et le met par dessus ma bouche, serrant très fort à ma tête. Me voilà maintenant bâillonnée.
" On a tout bouclé, alors fait pas la conne, on reviendra ce soir !" Me fait-il. Puis il me plote mes seins en me faisant: "à tout à l'heure poupée !!"
"Mmmmhhhh", je fais, incapable de parler, mon bâillon m'en empêchant.
Il est parti. Je tente de me dégager... ces cordes sont vraiment serrées, je n'y arrive pas. Puis j'y met toute mes forces... rien à faire, c'est impossible, ils m’ont bien ligotée. Je tente alors de crier:
"GGmmmhhh...Mmmmhhh...Mmmhhhh", c'est peine perdue, personne ne m’entends, puis la maison est presque isolée. Mon dieu, comment j'en suis arrivée là ?!!
Tout ce je peux faire c'est rester là attachée au sol. Je suis totalement effrayée, que va-t-il m'arriver!!? Tout mes atouts, mon corps est à leur merci. Ils vont peut-être me violer. Il faut à tout prix que je m'en aille, mais c'est impossible, ligotée comme je le suis. Pourquoi est-ce que je les ai suivis, si j’avais procédé autrement, je n'en serais pas là. Tout ça juste en allant faire les courses. Et maintenant me voilà dans de beaux draps.
Vous le remarquerez par le nom de l'héroïne, cette dernière est inspiré de ma propre personne. Il y a deux choses que je tiens à préciser avant de commencer:
-Cette histoire n'a absolument rien de réelle, même si j'incarne la fille principale, je n'ai jamais vécu d'évènements qui aient un quelconque rapport. Je l'ai juste vaguement imaginée lors de scénario avec mon partenaire.
-Je n'ai pas la prétention d'être une femme fatale ou des plus désirée au monde, je me suis quelque peu enjolivée dans mon récit pour pimenter d'avantage l'histoire.
Voilà, voilà, c'est parti avec la première moité!!!
Prénom: Nina
Nom: Averine
Age: 22 ans
Taille: 1m65
Poids: 50 kg
Couleur des yeux: brun foncé
Couleur des cheveux: chevelure brune
Autre: Peau blanche / Cheveux long /célibataire
Profession: journaliste / reporter
Une journée imprévisible
Mmmmm, samedi, enfin le weekend, un jour de congé. Je reste dans mon lit, alors qu'il est déjà passé 10h00 du matin, je suis une vraie flemme en weekend. Je suis déjà réveillée depuis au moins une demie heure, mais j'apprécie tellement me reposer quand je ne dois pas aller travailler. Je dois quand même me lever, j’ai deux ou trois courses à faire. D'abord une douche pour se réveiller. Je me traine sous la douche, puis je prends mon temps sous une eau assez chaude. Une bonne douche est le seul moyen de vraiment me réveiller en weekend. Pour m'habiller, je remets ma tenue de hier soir, lors d’une réunion pour le travail. Je commence par enfiler des collants noirs. Ensuite j’enfile mon soutien-gorge, blanc crème. Je remets cette jupe coupe droite, noire, assez serré et courte, moulant parfaitement mes hanches. Je remets également ma chemise de hier soir, blanche et bien assortie à ma silhouette. J'attache mes cheveux, faisant une queue de cheval. Enfin, je remets ma montre de couleure argentée sur mon poignet droit, puis trois autres bracelets joncs couleur argentée de la à mon autre poignet. Enfin je mets des talons noirs, assortis à cette jolie jupe. Cette fois je suis totalement réveillée. Je me mets en route pour mes courses, à cet épicier que je fréquente régulièrement. J'aime cet endroit, on y trouve un peu de tout pour des prix raisonnables. A travers la vitrine je vois un homme près de la caisse. C'est curieux, il ne fait rien, il semble attendre ici bêtement. Soudain, alors que le caissier tourne la tête, l'homme en profite pour voler une pile de billets. Il essaie de s'enfuir, mais le caissier l'a repéré, et tente de lui barrer la route. Et c'est alors qu'un autre homme frappe le caissier, ce dernier se retrouve alors à terre, mais semble toujours conscient. Les deux hommes s'enfuient, et semblent être rejoint par un troisième homme qui faisait visiblement le guet un peu plus loin. Je devrais les suivre, juste histoire de trouver où ils vont, puis j'alerterai la police. Je garde tout de même une certaine distance, environ 50 mètres. Les hommes sont sur le point de quitter la ville. Soudain l'un d'entre eux se retourne et semble m'avoir repérée!! Mon cœur bat si fort!! J'ai également des frissonnements. Je regarde ailleurs en espérant qu'ils continuent leur route. Heureusement les hommes continuent, sans faire d’avantage attention à moi. Quelle frousse, je viens d'avoir!!! Après environ 15 minutes de plus, nous avons quitté la ville, nous rejoignons un quartier que je ne connais pas. Les trois hommes semblent arriver à leur domicile, une banale maison en brique de deux étages. Par contre je ne vois maintenant plus que deux hommes, j'ignore où est passé le troisième. Peu importe maintenant je peux repartir.
"Bonjour ma ptite demoiselle".
"Heinhh !!", je m'écrie. C'est le troisième homme, il vient d'apparaitre derrière moi. Mon cœur bat encore plus fort que tout à l'heure. Puis les deux autres sont déjà vers moi également.
"Aller viens avec nous ma jolie" me fait l’un des deux autres. Je réplique effrayée :
"Non attendez...il...je dois y aller…"
Mais les trois hommes me tirent par le bras et me font entrer dans leur maison. Mon dieu, qu'est-ce que j'ai peur, j'arrive à peine à prononcer un mot. Ils ont fermé à clé.
"Ça faisait un bon moment qu'on t'avait repérée, tu croyais que tu allais nous suivre sans te faire remarquer" s'écrie le même homme.
"Va acheter ce qu'il faut, on la surveille jusqu'à ce que tu reviennes" s'écrie le même homme envers celui qui m'a surprise par derrière, lequel sort immédiatement.
L'homme qui me parle est vêtu d’un pull brun, tandis que le troisième qui ne m'a pas encore parlé, est vêtu d'un sweet vert. En plus de m’effrayer, ces trois hommes me répugnent quelque peu.
"Mais où est ce qu'il va?" je m'écrie, terrorisée.
"Je vais t'en dire plus" explique l’homme en pull brun. "En fait on a fait semblant de ne pas te voir pour t'amener ici. C'est clair qu'on ne voulait pas être repéré, mais... C'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de mettre la main sur une jolie poupée comme toi !"
"Eh, tu lui a demandé de prendre combien de cordes?" demande l'autre homme en sweet.
"Au moins 5, il en faut assez pour cette poupée" réplique l’homme en pull.
"Quoi!!" m'écris-je! " Non maintenant laissez moi partir, je ne dirais rien d'accord, mais laissez moi m'en aller".
" Tu crois qu'on va laisser filer un canon comme toi" s'écrie l'homme en pull.
Mon dieu, qu'est ce que j'ai peur, pitié un miracle, il faut je m'enfuie. Mais c'est impossible, ils ont verrouillé à clé, et les deux hommes sont tout près de moi, je ne peux pas m'enfuir!
" J'ai ce qu'il faut les gars" s'écrie le troisième homme qui revient à l’instant, qui lui porte un tee shirt blanc. L’homme en pull réplique :
"Nickel, on va pouvoir s'occuper de la fille" il saisit une corde et se met derrière moi, en me faisant : "Met tes mains derrière le dos ma chérie".
Je joins mes mains à l'arrière, j'ai si peur que je n'ose pas désobéir à tous ce qu'ils me disent. Je sens les cordes enlacer mes poignets. L'autre homme en sweet est également en train d'attacher mes chevilles. Les cordes sont vraiment très serrées.
"Assieds-toi par terre, pétasse" me dit l'homme en pull, ce que je fais lui me retenant par les bras.
"Passe-moi une autre corde" dit-il à l’homme en-t-shirt. Puis il m'attache au niveau des bras et du torse, passant les cordes au dessus et au dessous de mes seins. Le deuxième voyou attache également mes jambes, juste au dessus des genoux. Ils sont en trains de serrer les nœuds. Je pourrai toujours essayer de me dégager des cordes, une fois seule.
" Vous pouvez déjà y aller les gars, je termine et je vous rejoins" dit l'homme en pull. Il prend un long tissu blanc, et le met par dessus ma bouche, serrant très fort à ma tête. Me voilà maintenant bâillonnée.
" On a tout bouclé, alors fait pas la conne, on reviendra ce soir !" Me fait-il. Puis il me plote mes seins en me faisant: "à tout à l'heure poupée !!"
"Mmmmhhhh", je fais, incapable de parler, mon bâillon m'en empêchant.
Il est parti. Je tente de me dégager... ces cordes sont vraiment serrées, je n'y arrive pas. Puis j'y met toute mes forces... rien à faire, c'est impossible, ils m’ont bien ligotée. Je tente alors de crier:
"GGmmmhhh...Mmmmhhh...Mmmhhhh", c'est peine perdue, personne ne m’entends, puis la maison est presque isolée. Mon dieu, comment j'en suis arrivée là ?!!
Tout ce je peux faire c'est rester là attachée au sol. Je suis totalement effrayée, que va-t-il m'arriver!!? Tout mes atouts, mon corps est à leur merci. Ils vont peut-être me violer. Il faut à tout prix que je m'en aille, mais c'est impossible, ligotée comme je le suis. Pourquoi est-ce que je les ai suivis, si j’avais procédé autrement, je n'en serais pas là. Tout ça juste en allant faire les courses. Et maintenant me voilà dans de beaux draps.