très bien alors...voici la suite
Pendant que nous roulons, je les entends parler:
"Quand même sexy, la petite, tu m'étonnes que personne n'ait rien remarqué!" dit Victor.
"Les voleuse sont de plus en plus craquantes ces jours, c'est pire que les putes je te dis!" répond Denis. Je leur dit:
"Hey, qu'est ce qui va se passer pour, moi!?"
"Mais t'es une petite curieuse toi en plus, t'as peur de la prison ma jolie!?" répond Victor.
"Bon c'est bon, sérieusement, je vais avoir une amende, je vais être retenue?" je réplique. Victor me répond:
"On va aller gentiment au poste, et gentiment faire ta déposition. Une fois qu'on aura ton identité on t'adressera une amende avec un avertissement". Denis réplique:
"Dommage, on l'aurait bien gardé un peu plus longtemps au poste celle-là".
Nous arrivons au poste, ils me descende de la voiture et me font accéder au bâtiment. Il n'y a personne d'autre à l'intérieur. Ils m’enlèvent les menottes, le temps d'enlever ma veste, puis me les remettent instantanément. Je leur dit:
"Vous avez vraiment besoin de me laisser ces trucs même ici?"
"Pour l'instant t'a juste besoin de répondre à nos questions" me dit Victor.
Je suis maintenant en débardeur, menottée les mains derrière le dos. Victor me pose les questions, pendant que Denis prend les notes:
"Alors nom, prénom et profession ma jolie" me fait Victor.
"Alicia Duca, streaptiseuse" je réponds.
"Ohooo, ça doit être très intéressant. Ton adresse maintenant."
"Rue de potier 23" je réponds en indiquant également la ville.
"Ok, très bien. Ca fait loin, dis-moi. Etat civil?"
"Célibataire"
"Depuis combien de temps tu t'amuses dans les trains ma jolie?"
"C'est la première fois, d'ailleurs j'ai vraiment de la poisse de me faire chopée la seule fois ou j'aurais essayée"
"Ouais ouais, bien sûr" me répond-il. Même si ils savent que j'ai menti, ils ne pourront pas prouver que ce n'est pas la première fois. Victor s'entretiens avec son collègue:
"On est seul jusqu'à quelle heure?"
"On fini maintenant en théorie, les collègues s'amènent dans une heure"
"Ecoute, on a une bombe sexuelle pour nous, personne sait où elle est, personne n'en a rien à foutre d'elle..."
"A quoi tu pense?"
"C'est pas tous les jours qu'on a une telle opportunité. Mon chalet, vers les hauteurs, personne n'en saurait rien".
"C'est parti, je prends son dossier avec nous, faut pas laisser une seule trace d'elle ici, je dirais à ceux de la gare que c'était rien, et qu'on l’a laissé filer"
"Allez, on bouge" me fait Victor.
Je m'écrie:
"Vous êtes sonné ou quoi, j'ai quand même des droits, vous....MMMMmmmmhhhhh" Victor vient de me bâillonner avec un tissu noir, le passant dans ma bouche.
"C'est bon, elle va fermer sa gueule comme ça, allez on y va" réplique-t-il.
Et voilà qu’ils m’emmènent de force, je ne peux pas prononcer un mot, inutile de crier, les gens n'y feraient pas attention. Nous sortons du poste et ils me rembarquant dans une voiture privée, à l'arrière. Pendant les trajets, ces deux enflures se parlent:
"ça c'est de la veine, putain une bombe pareille, on aurait quand même été con de laisser passer une si bonne occasion"
"Striptiseuse en plus, ça va être du sacrément chaud"
"Dès que je l'ai vue, j'en avait envie. Ah, vivement qu'on arrive!"
Je suis à l'arrière, menottée et bâillonnée, je ne peux que les écouter pour le moment. Là je suis dans la merde. Putain, mais pourquoi je me suis pas barrée tout de suite de cette gare, maintenant ces deux cons vont me violer, il va falloir que j'essaie de me tirer au plus vite. Nous arrivons vers le chalet, il n'y a rien ni personne dans les environs. Victor réplique:
"Attend, tient la en joue" ce que Denis fait instantanément. Victor me détache un poignet mais passe la menotte dans la poignée passager en haut, puis re menotte mon poignet à l'avant, je suis maintenant menottée, les bras en haut. Il fait à Denis:
"Va déjà dans le chalet et attend moi là-bas, j'ai envie de le faire ici, dans la voiture, je te l'amène au chalet après"
"Haha, ça marche, après ce sera mon tour, allez, amuse toi bien" réplique Denis, avant de nous laisser seuls.
Victor commence à ploter mes seins, se tenant derrière moi. Il me fait:
"Toi, t'es une sacrée chaudasse !!"
Puis il commence à ploter mes fesses. Il prend son temps, il me plote comme une pute. Puis il déboutonne mon jeans en me disant:
"Tu as été une mauvaise fille, tu dois être punie, ma mignonne, je vais te punir!" puis il baisse mon short. Je ne peux pas m'empêcher de crier:
"MMMMMMHHHHHH....GMMMMHHHHH...MMMMMHHHHH" il me répond:
"Personne ne peux t'entendre, il y a que toi et moi, je vais bien m’occuper de toi ma jolie petite pute !"
Il continue, plotant directement mes fesses, puis baissant doucement mon string. Je sens ces fichues main sur mon cul. Puis je l'entends baisser sa braguette. Espèce d'enfoiré de ripoux. Je sais à quoi m'attendre maintenant. Et voilà qu'il m'attrape au sein derrière moi, et enfonce son engin dans mes fesses, ça fait mal, vraiment mal. Je l'entends jouir:
"Oh, oui, punie...oui...SALOPE!!!"
Puis il commence à répéter le mouvement, ça fait vraiment mal, mais je suis obligée d'encaisser, je suis toujours menottée. Il va de plus en plus vite, il jouit de toutes ses forces, je crie de douleur, ma voix est étouffée par mon bâillon. Soudain, il semble terminer, il fait:
"AAAAaaaaaaahhhhh...putain de salope" puis voilà que je sens son sperme. Au moins, maintenant c'est fini, j'ai pourtant déjà fait pas mal de chose, mais je n'ai jamais été sodomisée.
Et dire que je ne pouvais rien faire avec ces saletés de menottes. Il essuie son éjaculation, essuie mes fesses, en profitant pour les ploter à nouveau, puis il remonte mon short, et le reboutonne.
Il détache mon poignet, mais re menotte mes mains derrière le dos de suite. Je suis trop épuisée pour me défendre. Il me sort de la voiture et me fait entrer dans le chalet. Il s'adresse à Denis:
"Faudra que t'attende un peu, j'y suis pas allé de main morte".
"Ah merde, putain. Bon on va déjà l'attacher dans la chambre d'amis, j'ai des cordes"
Puis ils me font monter à l'étage. Enfoiré, attends que je récupère, crois-moi tu va le payer. Ils me font assoir sur une chaise, ils commencent à m'attacher: Denis attaches mes chevilles pendant que l'autre attache mes bras. Une fois les nœuds serrés, Denis attache mes jambes passant les cordes au dessus des mes genoux, pendant que Victore m'attache à la chaise, passant les cordes autour de ma taille. Les nœuds sont serrés, Victor enlève mes menottes, puis attache mes poignets ensemble à l'arrière. Je suis toujours bâillonnée. Denis me fait:
"Je te laisse un moment pour récupérer, puis je reviens m'occuper de toi ma jolie" puis Victor me fait également:
"On en a pas encore fini, ma mignonne, après ce sera de nouveau mon tour".
Puis ils quittent la pièce me laissant ligotée sur cette chaise.
J'ai déjà récupéré, j'ai encore mal, mais je me sens à nouveau en forme. Seulement voilà, je ne peux pas bouger, avec ces saletés de cordes, je suis prisonnière. Je tente de me dégager des cordes....en y mettant toutes mes forces...impossible, elles sont trop serrées. J'ai déjà couché avec des hommes qui me dégoutait, j'ai même déjà été violée étant plus jeune, mais jamais étant attachée, et ni en me faisant sodomisée. Ah, elle est bien la justice d'aujourd'hui. Normal que j'ai jamais eu de scrupule à enfreindre la loi, vu les pourris qui sont sensé l'appliquer. Je regarde dans la pièce, rien, pas un objet coupant, ni quoi que ce soit pour me détacher, pi en plus je ne peux pas bouger, je suis immobilisée sur cette chaise. J'entends des pas, surement Denis qui vient, va falloir que j'encaisse mieux cette fois, peut-être que j'arriverai à m'enfuir une fois qu'il en aura fini avec moi. Il ouvre la porte, c'est bien Denis, il me fait:
"T'a le droit à une pause supplémentaire ma jolie, je t'aurai bien fourré sans capote, mais une truand dans ton genre, tu dois être infecté de virus, je veux pas choper le VIH à cause de toi.
Je file acheter des capotes, reste bien sage, ma jolie".
Puis il s'en va avec son collègue me laissant ici attachée. Au moins, je sais que c'est pas à mes fesses qu'il va s'en prendre. Et malgré tout ce que j'ai fait, je n'ai jamais eu le SIDA, mais au moins ça me laissera un peu de répit. D'ailleurs, si je n'arrive pas à me libérer, ça m'arrange aussi, au moins je ne choperai pas de saloperie non plus, pi il me mettra pas en cloque. Tant mieux, d'un côté, parce que je ne vois pas comment je pourrais m'en tirer. En plus, je ne devrai pas seulement m'enfuir, il faut que je récupère mon dossier, et même si je m'enfuie, je compte bien retrouver cet enfoiré qui m'a violée. Bon réfléchissons, je ne pense pas qu'il me virolerait sur cette chaise, quoi que... bon je pense qu'il me mettrait sur ce lit plutôt, me passerait les menottes, mais avant il devra me détacher. Je pourrai en profiter à ce moment là. Mais il risque d'être vigilent. Je tente tout de même de crier:
"GGGMMMMMHHHHH.....MMMMMMMMHHHHH...MMMMMMMMHHH". Non, peu importe, ça ne sert vraiment à rien, en plus il n'y avait rien ni personne dans les environs.
Et voilà déjà deux heures que j'attends sur cette chaise, ligotée et bâillonnée. Quand je pense que j’allais simplement piquer deux trois portables dans les trains, je l'ai déjà fait des dizaines de fois, jamais je n'ai été chopée, et voilà qu'aujourd'hui, non seulement les flics me mettent la main dessus, mais maintenant je suis leur prostituées prisonnière. Quand j'y pense, je suis peut être pas la première à être violée par ces pourris, enfin par un de ces deux pourris pour l'instant. Je dois dire que ma tenue n'a pas arrangée les choses non plus. Mais qu'est ce qu'ils foutent, voilà plus de deux heures que j'attends prisonnière. Bon en même temps je préfère être attachée à attendre, que violée, je suis pas sûr d'être impatiente qu'ils soient de retour.
Une heure de plus c'est écoulée, c'est bientôt le soir. Soudain, j'entends le bruit d'une voiture, ça ne peut être que eux, par réflexe, je tente de me dégager des cordes, sans effet bien entendu.
Je les entends ouvrir la porte, il est temps d'essayer mon plan, je ferme les yeux et fait semblant d'être endormie. Après quelques minutes, j'entends Denis ouvrir la porte. Espérons qu'ils ne tente pas me réveiller. Je l'entends faire:
"Bien, bien, parfait, surtout fini ton dodo ma jolie, j'ai le temps".
C bon signe, il va peut-être vouloir me mettre dans le lit avant de me rattacher. Je l'entends poser ses affaires sur la commode. Aller, détaches moi abrutis, enlève moi ces cordes si tu veux me mettre sur le lit. Il s'approche vers moi, et commence à détacher mes mains: gagné. Plus qu'à attendre, surtout faire semblant d'être endormie jusqu'au bout. Mes mains sont déjà détachées, allez c'est bien, continue connard! Il détache mes bras...et les voilà libres. Mais maintenant il plote mes seins, aller, ne réagis pas, de toute façon j'ai connu bien pire, laisse le faire. Et voilà qu'il continue, détachant mes pieds...puis mes jambes... et voilà qu'il détache la cordes reliant ma taille à la chaise...parfait, je suis totalement détachée. Maintenant je vais pouvoir réagir. Je le sens approcher vers moi, je sens qu'il colle sont visage contre ma poitrine, j'ouvre les yeux, j'attrape ses parties génitales, je serre de toutes mes forces, et je tire un coup sec. Il s'écroule en hurlant et se tenant les parties, je prends une des cordes et l'enroule autour de son coup, je serre de toutes mes forces. Il essaie de se débattre, mais est déjà affaibli, et il ne peut pas crier alors que je l’étrangle...puis je serre de toute mes forces, je sens qu'il en a de moins en moins, il étouffe... et voilà qu'il ferme les yeux. Je continue tout de même à serrer pendant au moins 5 minutes encore. Enfin, quand je suis à bout de force je le relâche, il ne respire plus du tout, il est mort. Je prends son arme à feu, et je descends doucement l'escalier. Victor est dans le salon en train de regarder la télé, il a probablement pris les cris de son collègue pour des orgasmes. Je m'approche doucement de lui, quand je suis assez proche je lui tire une balle derrière le genou, il s'effondre en criant de douleur. Avant qu'il n'ait terminé de crier, je lui tire une autre balle dans son deuxième genoux, il hurle de douleur!! Enfin cette enflure commence à payer. J'attends environ un quart d'heure qu'il crie un peu moins fort, il me dit en pleurant:
"Pitié, je suis désolé, si tu savais comme j'ai mal, on est quitte je crois, pitié, arrête..."
Avant qu'il ne continue de se plaindre encore, je prends une bouteille d'alcool fort et en verse sur ces plaies, il recommence à hurler de douleur, et est incapable de marcher. Je lui tire encore deux balles, une dans chacun de ses bras, il ce qui le rend incapable de bouger, pendant qu'il crie de douleur. Je regarde un peu partout dans sa cuisine, je trouve le mixer, ça devrait suffire pour la suite. Je reviens vers lui avec cet appareil, je met cet ordure sur le côté, puis je met le mixer en marche, il me dit:
"Non, tu fais quoi là, arrête, pitié, je te paierais, tu veux quoi, de l'argent, un casier vierge, je peux tout t'accorder, je t'en supplie, laisse moi, et appelle une ambulance."
"Tu voulais faire rentrer ta queue dans un trou non, tu voulais des sensations fortes" je lui réponds. Je continue:
"Tu vas en avoir des insoutenable maintenant enfoiré!!"
Il crie, alors que je rentre son organe génital du mixer:
"Non, salope, pitié,pitié,pitié,PITIE,PITIE...AAAAAARARGGGAGAAAAAAARRARGGAAAARRGGG!!!!!"
En quelques secondes, le mixer transforme son arme en morceau de confettis. Il y a du sang partout! Je le laisse agoniser pendant une demi-heure, puis je prends mon arme, le pointe sur sa tête, pendant qu'il me supplie, criant toujours de douleur. Je tire, lui trouant la tête d'une balle. Je reprends mon butin et le remet dans la voiture, j'ai également pris leurs insignes, ça pourra peut-être me servir un jour. Je verse leurs alcools forts partout dans la maison, et après avoir regardé mes deux cadavres une dernière fois, je mets le feu à la maison, les laissant dedans. Ensuite, je repars avec leurs voitures. J'ai également repris le dossier contre moi, personne n'ira penser que j'y suis pour quelque choses, ils ont déjà dit à leur collègue qu'ils m'avaient relâché, que c'était une erreur. Ils prendront tout ça pour un banal incendie. Après deux bonnes heures de routes, je rentre chez moi, ma sœur est en train de dormir, je vais me coucher également, satisfaite de m'être venger de ces deux ripoux.