Jeux de Liens

Bonjour à tous,

Point de méprise ! Ni voyeurisme, ni annonce déguisée !

Je compte sur votre gentillesse pour ne pas me laisser trop longtemps lier au pilori si mes questions vous heurtent ...
J'ai cru comprendre en vous lisant ici où là que certains pratiquent le bondage souvent en couple, parfois seul, jamais en groupe.
Question(s) qui me turlupine... Pourquoi se lier seul ?
Est-ce par manque de partenaire ? Parce que le plaisir est décuplé ? Par manque de confiance en "l'autre" éventuel ?
De même, jamais en groupe ( à partir de trois)... Les jeux de liens ne se partagent pas ? Doivent-ils rester enfouis au tréfonds du "sur-moi" ?

Point de voyeurisme dans ces questions... A tout vous avouer, s'il existait d'autres joueurs, voire un couple, en Anjou, j'échangerai volontiers (pas ma partenaire !) ce que j'ai découvert afin d'apprendre, de comparer, avoir d'autres avis...
Certes, et merci à Karamel, le forum est déjà un grand plus en la matière, je suis moins seul...
A vous lire,
Cordialement,
Luc.

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Comme au dessus à mon avis pour la majorité des personnes le bondage est un jeu sensuel, voir érotique ou même sexuel. Dans ces conditions le groupe passe pour de l'échangisme ou autre... Pas forcément ce qui est recherché.

Pour ma part également, le self est assez limité par rapport aux ligotages à plusieurs, mais ça ne doit être que mon avis puisque j'ai déjà vu des spécialistes du self sur internet (que j'ai oublié, ne me demandez pas l'adresse). Reste à savoir par contre si le self leur présente un réel intérêt ou si c'est plus par manque de partenaire, faute de mieux en quelques sortes. Le self reste quand même différent d'où l'intérêt qu'il peut susciter par rapport à deux.

Pour le groupe, la comparaison est peut être un peu décalée mais dans mon enfance il était assez rare de jouer juste à deux, même si en général le ligotage ne s'effectuait que sur une seule personne. À deux ou à plusieurs l'ambiance est un peu différente.

Pour conclure je dirais que tout est dans l'ambiance voulue. Comme l'a dit Parti juste au dessus pour le coté sensuel, tendresse et tout ça il vaut mieux ne rester qu'à deux, pour un coté plus et ouvert (contraire d'intimiste) mieux vaut être plus que deux. Il y a peut être juste plus de monde qui recherche la première ambiance que la seconde.

Il n'est hélas pas toujours facile de trouver des partenaires pour du bondage, que soit avec des personnes du même sexe où du sexe opposé.

D'où sans doute, le fait que certains se ligotent tout seul.

Mais outre que cela n'est guère pratique et qu'en procédant ainsi, on ne peut pas aller bien loin, c'est en plus dangereux, car si la personne seule ne parvient pas à se libérer, cela peut engendrer des problèmes...

Un autre problème et aussi que, parmi les amateurs, ceux qui aiment le bondage uniquement sous forme de jeu sont assez rares. Souvent, ceux qui aiment le bondage relient aussi cette pratique avec le sexe, et souvent le sm, et quelquefois très hard. Ce qui est loin de plaire à tout le monde...

Ceux qui n'ont pas la chance d'avoir un partenaire qui partage leur passion ont donc souvent du mal à la pratiquer...

personnelement j'etais en couple il ya deux mois ,et cela ce passez plutot bien ,on etait bien petit jeu de ligotage
pour les preliminaires et on prenez beaucoups de plaisir en variant les jeux .
Mais maintenant je suis celibataire donc tout seul et je dois dire que se ligoter c'est pas genial je n'eprouve pas un grand plaisir et j'aimerais bien trouver du monde mais la confiance reste un obstacle

Je ne pratique pas le self-bondage très souvent mais lorsque ça m'arrive je le fais pour laisser divaguer mon esprit et mes fantasmes sans avoir à tenir compte d'éléments extérieurs (partenaires). Je n'y pense pas spécialement comme un paliatif mais plutôt comme une variante qui vient en complément de la pratique en couple ou à plusieurs.
Le bondage étant quelque chose d'assez cérébral, je n'ai jamais considéré le self comme étant fondamentalement différent du reste.

Bonjour les joyeux ligoteurs teuses.
Je pratique le self bien souvent, non en total si je puis dire mais parfois juste sur une partie de mon corps. C'est par choix oui et non n'ayant pas de partenaire qui aime me ligoter et quand elle le fait, je me libère si rapidement...
J'aimerais bien pratiquer en groupe mais c'est en solitaire que je le fait le plus souvent. Je ne sais si ça se fait de le dire mais je pratique cette activité avec la pratique de l'auto-satisfaction, pour moi les deux activités sont intimement liées si je puis dire. Je rêve de passer de longues journées attaché et devoir demander pour tout mais il mest aussi arrivé, et j'aimerais renouveler la chose, de prendre soin de ma femme 3 jours durant à sa propre demande, quel régal !

Bonjour,

Je pratique presque quotidiennement le self bondage, lorsque ma copine n'est pas là. C'est un peu devenu une habitude qui date d'il y a un moment ou je ne trouvai pas de partenaire.
J'ai, avec le temps, découvert que je prenais également un certains plaisir à me le faire moi même, car je sais ce que j'aime, et je peux presque tout me faire moi même.
Mais c'est vrai que ce n'est pas pareil et que ça n'égale que très rarement le plaisir que l'on ressent lorsque l'on ce fait attaché par un ou une partenaire.
Comme on dit on est jamais mieux servit que par soi même, d'ou l'existence du self bondage. Par contre, et pour ma part, je pratique le self bondage car ma copine me fait déjà beaucoup de chose, mais elle n'est pas encore à la hauteur de ce que j'espère, et je ne veux pas la brusquer, on prend notre temps. Cela dit je ressent un certain manque, d'où le fait de pratiquer par moi même.
En espérant avoir répondu en partie à tes questions !

Je n arrive pas à éprouver quoique ce soit si j essaye de m attacher seule. Cependant d avoir quelques cordes qui me suivent partout me rassure et me procure un certain plaisir. Et puis qui sait si je me retrouve seule et isolée de tout un jour, j en viendrais peut etre à jouer avec mes cordes

Je ne pratique jamais le self- bondage déjà parce je suis avant tout davantage bondageur que bondagé. Tout au plus, je peux essayer une position ou un bâillon pour anticiper sur le degré de confort ou d'inconfort imposé à ma DID et placer le curseur de manière idéale. Ensuite, je pratique au plus à deux, jamais au-delà car je veux être en parfaite communion avec ma DID et que personne ne vienne perturber ou altérer le degré de confiance ou d'abandon que me confère ma soumise. C'est déjà un sacré challenge d'entrer en communion avec une DID, c'est quasiment infaisable avec du public, sauf à renoncer à son propre plaisir et à se consacrer entièrement à celui de notre public auquel nous transmettons notre expérience.