elias_ a écrit :Et je participe également à l'effort, toujours un plaisir de te lire
Merci
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Stella
Presque finis ! On avait réussis à trouver ce qu'on cherchait chez Will. Une fois que les autres déposèrent au sens propre du terme le jeune homme et Meava dans la salle Miroir, je pu me détendre un peu dans la cuisine. Alex s'y trouvait.
- Tout s'est bien passé ? me demanda -t-il
- Oh que oui ! On aura même le droit à un petit extra avec ce qu'on a filmé. Un bon fin de mois en perspective.
- J'ai entendu parler de ces vidéos, ça a l'air sympa ! Sinon les 2 jeunes vont bien ? La drogue est pas trop puissante?
- Non on a fait attention, dans quelques minutes ils seront parfaitement réveillés !
- J'espère qu'on ne va pas mettre des plombes dit-il en regardant eric et une autre de notre groupe en train d'installer les 2 nouveaux. Comme pour les autres durant le repas, ils étaient aveuglés ainsi que menottés aux poignets et chevilles. Ils avaient juste l'air d'être un peu sonnés.
- Bien le réveil ? Pas trop serré dans le sleepsack ? demandais-je.
Je n'eu aucune réponse comme je m'y attendais. On déposa Maeva à ma gauche, en face de moi se trouvait Alex et à ma droite Will.
Le repas réchauffé était excellent. Il faudrait que je remercie Eric pour ses talents de cuisinier un jour ou l'autre. Le reste se déroula sans un bruit, je pense que l'effet de la drogue ralentissait encore le système nerveux des 2 "invités" et qu'ils ne s'occupaient qu'à manger de leur mieux.
Dès que ce diner fut terminé, on porta à demi les 2 lascars jusque dans la chambre "spéciale". La se trouvait Célia et Jessica. Elles avaient les jambes presque libre, les chaînes qui reliaient leurs chevilles étaient longue d'une trentaine de centimètres.
On décida de remettre à Maeva son bâillon boule blanc en n'oubliant pas de le cadenasser. On lui laissa les menottes sur ses poignets et ses chevilles. Seul détail qui changeait, on lui mis ses mains à l'arrière de son dos. Une fois fait, on la coucha à terre sur le tapis épais et moelleux. Nous n'avions pas envie de nous embêter donc on attacha Will exactement de la même manière que sa copine. Le bâillon, quant à lui, était une boule enfoncée dans un long morceau de tissus s'enfonçant dans sa bouche. Le tissus synthétique était très résistant et il était impossible pour lui de l'enlever. Je trouvais sympa l'idée à ce que les 2 nouveaux ne puissent se lever et ne rien voir contrairement à Célia et Jessica. Bon je l'admet, j'étais un peu fainéante de temps en temps. Alex me refit la conversation :
- Encore une vidéo de 5 minutes et on pourra coucher tout ce petit monde.
- Enfin c'est pas trop tôt ! Qui sera sur la vidéo ?
- Pauline et sa sœur.
Juste après, une plainte se fit entendre de la part de la jeune fille toujours à terre. Je souris :
- On va voir ce qu'ils font en haut ?
Il me désigna Maeva à terre.
- Allons-y !
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Pauline
Clac ... clac ... CLAC.
Le vingtième coup venait d'être porté et Aurélie pouvait enfin se dire que c'en était finit. Aux derniers coups, ses cris étouffés devenaient de plus en plus nombreux et long. De ses yeux verts émeraude, des larmes coulaient sur le long de ses joues devenues rouges. A cause de la chaleur ? La douleur ? L’humiliation ou encore autre chose ? L'homme n'y était pas allé de main morte sur la fin, surtout l'ultime coup.
Au bout de la dixième frappe, la femme avait opté pour une pause. Effectivement, plusieurs clients l'avaient demandé. S'ensuivit une discussion à laquelle il fut convenu d'un accord. Le ravisseur, pour quelques dollars en plus dut déboutonner les 3 premiers boutons de la chemise d'Aurélie pour laisser entrevoir sa poitrine tandis que la femme coiffa mon amie de telle sorte que ses cheveux blonds et lisses lui tombaient sur les épaules. Ainsi, elle était devenue beaucoup plus sexy.
Maintenant que c'était finit, l'homme enlevait les bracelets de fer des poignets d'Aurélie, les attachant dorénavant dans son dos à l'aide d'un tape noir. Ensuite, il décida de la porter sur son épaule droite et sortit de la pièce.
- MMpppphhmmmm !!
Je la voyais se débattre, plier ses jambes de bas en haut et donner des coups mais elle s'éloigna tout de même. Je ne savais pas où il l'emmenait mais je comprenais une chose, mon tour était arrivé.
- Parfait on va pouvoir continuer avec toi et ta sœur !
- Mpphmm ? fis-je avec une pointe de peur.
Au même moment, la porte s'ouvrit à la volée et apparurent deux personnes transportant ... Maeva !
Ils l'installèrent juste à côté de moi dans le grand lit. Je m'offusquais quand je vis le bâillon qu'elle portait, il était cadenassé ! Elle avait l'air un peu groggy , je devinais qu'ils ont dû la droguer pour l'habiller ainsi. Le nouveau venu lui enleva son bandeau. Il s'adressa à moi :
- D'abord on s'occupe de ta sœur et ensuite on viendra vers toi.
- MMpphmm ! fis-je en secouant ma tête. Soudain je préférais lorsque Aurélie et moi étions toutes les 2 allongées sur le lit.
Je pu voir en détail la suite des événements. Ils s'occupèrent tout d'abord à retirer le bâillon de Maeva en le décadenassant. Ensuite, ils sortirent le même bâillon que je portais, à savoir un ballgag avec une grande plaque en cuir placé à l'avant. Ma sœur ferma sa bouche volontairement.
- Tu sais aussi bien que nous que ça ne sert à rien. On y arrivera de toute manière.
Malgré ses dires, Maeva gardais obstinément la bouche fermée. La femme souffla.
- Comme tu voudras.
Elle lui pinça le nez, coupant donc sa respiration. Maeva essaya bien de dégager sa tête mais la femme lui maintenait trop fortement. Au bout d'une longue minute, ma sœur respira rapidement mais ne réussit pas à empêcher l'inévitable. La boule lui obstrua toute sa mâchoire et la plaque en cuir la mis presque définitivement au silence. Résignée, elle laissa faire la femme lorsque celle-ci lui serra la sangle fortement non sans un petit gémissement de douleur. Ses menottes aux chevilles lui furent retirées. La femme qui lui avait mis le bâillon exerça une forte pression sur le dos de Maeva pour mieux la caler sur le lit et son comparse saisis l'occasion pour commencer l'immobilisation. Il imposa à ma sœur 5 liens sur ses jambes. Deux tours de corde blanche relièrent ses hauts des cuisses, vint ensuite un lien au dessus et en dessous de ses genoux, une corde se rajouta au niveau de ses mollets et enfin la dernière attacha ses chevilles croisées au préalable. Au cas ou, l'homme resserra tous les nœuds des liens avant de s'exclamer :
- C'est bon, à toi Stella !
- Retiens ses jambes Alex !
La dite Stella relâcha la pression et ma sœur put respirer à pleins poumons. En réalité, elle haletait plus qu'elle ne respirait vu que l'air ne pouvait plus du tout passer par sa bouche. Le dénommé Alex s'assit tout bonnement sur les jambes de ma sœur, avec son poids elle ne pouvait presque plus bouger !
Stella vint sur son côté droit lui enlever les menottes.
- Si tu fais quelque chose d'idiot, ta sœur le paiera, tu m'as entendue ?
Maeava acquiesça en hochant la tête. La pauvre ne pouvait en faire plus, à vrai dire moi aussi. Stella lui enleva ses menottes et commença un deuxième ligotage. Elle plaça les bras de ma sœur côte à côte et lui noua les bras par 2 fois : au dessus des coudes et les poignets en les croisant évidemment. Stella suréleva ma sœur au niveau du bas du ventre et du tape s'enroula autour de son torse pour lui plaquer ses poignets et une partie des bras dans son dos. Elle rajouta un autre tour avant d'affirmer:
- Au tour de ta grande sœur
- MMpphmm !
-Si si ...
Comme pour Aurélie il y a quelques minutes, on m'enleva les sangles qui retenaient mes épaules au lit, vint ensuite le lien qui m'obligée à garder les gras vers le bas de mon corps et enfin celui qui me lié mes chevilles aux barreaux du lit. Dans l'ordre exacte que précédemment, je subis le même sort que ma petite sœur avec le même nombre de liens. C'était serré ! Les cordes ne me mordaient pas la chair douloureusement mais mon immobilisation était total. Enfin je pouvais tout au juste seulement remuer sur le lit, ramper et peut-être me retourner sur le dos. La matelas étant très mou, on s'enfonçais dedans très facilement et ça ne nous facilitait pas les choses. Alex reprit la parole :
- Que vous êtes belles à regarder ! J'aime particulièrement ton bas Maeva, il te va parfaitement. Il galbe tes jambes et ton fessier d'une sacrée manière ! C'est la création de notre cher collègue numéro 3 ? Je supposais que la question ne nous concernait pas.
- Oui répondit sa complice Stella. Il en invente des choses celui-là c'est dingue ! Ce qu'il y a sur Maeva en fait partie. Je n'ai pas tout saisis mais ça a la même forme qu'un collant, un mélange d' élasthanne, de polyester et d'une autre matière synthétique.
- J'aime particulièrement l'effet légèrement brillant et simili-cuir par certains endroits. Après on a de la chance que ces deux là soit bien gaulées, l'équitation ça muscle ! Il s'approcha et tapota les fesses de Maeva tout en les serrant de sa main droite.
-Mmpphmm !
- Je sens que l'argent va couler à flot !
- Tu l'as dit continua sa complice. Surtout que nous ne sommes plus à 5 minutes de vidéo mais à 15 ! Les clients et clientes sont plus gourmands que je ne le pensais. On prépare les caméras mesdemoiselles ne bougez pas !
Nos cris et protestations furent synchronisés.
- GGmmpphmmmmm !
Que nous réservaient-ils ? Qui sont "ces clients" ? Je commençais à paniquer de plus en plus.
Même si on ne pouvait rien faire pour les en empêcher, on essayait tout de même de tester nos liens pour s'en sortir. Mais avec le tape qui nous collait les bras au dos, nos espérances étaient proche de 0. Moi et Maeva étions allongées sur le lit "attendant" notre sort. Ils placèrent en tout 6 caméras. 2 au plafond coulissèrent sur des rails juste au dessus de nous, 2 autres furent fixées sur le mur en face de nos têtes aux 2 extrémités du lit. Elles étaient placées sur des points de fixation à un angle de 45°. Pour finir, les deux suivantes furent placées derrière nous, dans le même angle que les 2 précédentes.
Mais chose à laquelle je ne m'attendais pas, deux individus cagoulés se mirent à côté de nous (droite et gauche) et se préparèrent à prendre des photos. Voyant nos regards scruter l'équipement, Alex nous parla :
- Ils vont faire plusieurs photos pendant le tournage. Les meilleures seront vendues au meilleur prix, d'autres seront utilisées comme illustration aux annonces des "fiches produits".
J'étais choquée. En plus d'être enlevées, sévèrement attachées et humiliées, on était dorénavant considéré comme des marchandises ? Maeva fut celle de nous 2 qui protesta le plus.
- MMMMPPPHMMMMMM !!!!
- Il faut bien qu'on gagne notre vie. Tout cet équipement coûte cher vous savez. Vous ne voyez pas la régie qu'il y a dans la salle à côté ! Ils s'occupent à capturer les meilleures scènes en temps réels, c'est très difficile. S'ensuivra un montage pour ceux qui n'auront pas la chance de vous voir en direct, le programme Stella ?
- Alors on commence par du tickling et caresses ou l'inverse. On les change de position, une fois sur le dos, une autre sur le ventre etc. Un crotchrope après on les laisse se débattre pour qu'elles puissent s'en sortir et si elles n'y arrivent pas on les place en position de hogtied.
Hogtied ? Crotchrope ? Mais de quoi elle parlait ? En entendant ces mots, Maeva se débattit comme une furie et je me doutais vite qu'on était loin d'être sortis d'affaire. Stella pris la place du photographe et une voix se fit entendre dans la salle : " prêt" !
Les 2 hommes ou plutôt les 2 pervers commencèrent à se placer derrière nous. Comme on se défilé, ils nous prirent rudement par les hanches pour nous ramener à leur hauteur.
Après ça et nos gémissements, ils commencèrent à poser leurs salles pattes sur nos jambes pour remonter lentement vers nos hanches. Ils le faisaient tout en nous caressant de leurs gros doigts boudinés, c'était rageant ! J'entendais tous les clics des appareils photos et en me faisant retourner violemment sur le dos, je pu voir les points lumineux qui indiquaient que les caméras étaient en marche.
L'homme posa un genoux au niveau de mes chevilles et je ne pu plus bouger les membres inférieurs. Puis, il se mit à me chatouiller le bas du ventre en descendant lentement vers ma partie intime.J'essayais d'y échapper mais à part des couinements et des dandinements, je n'arrivais à rien encore une fois. Je regardais ma sœur et vit que son bourreau lui déboutonner sa chemise blanche. Elle se secouait dans tous les sens elle aussi mais nous étions à la totale merci de nos ravisseurs. Je fermais les yeux et espérais que ça n'irait pas plus loin.
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Stella
Magnifique ! Les photos que je tirais en mode rafale feraient merveilles j'en suis sûre ! Je sentais que ce weekend serait un des plus productifs car il faut le dire, notre repérage a porté ses fruits ! C'était rare de pouvoir kidnapper 4 jeunes filles en un laps de temps très court, en plus des cavalières et belles qui plus est.Sans oublier le jeune homme évidemment.
La deuxième raison est qu'il y avait une forte demande en ce moment et très peu d'offres de vidéos. Ceci veut dire qu'on a presque le pouvoir de fixer le montant de notre choix. Le prix d'entrée pour voir les 2 vidéos en direct est de 25 dollars. Pour le moment 400 personnes s'étaient inscrites ce qui nous fait 10.000 $ de chiffre d'affaires pour 2 petites vidéos. Et encore on était que vendredi soir, il restait les journées de samedi et de dimanche à tourner.
Ah ! Eric déboutonnait le haut de la chemise de Maeva pour laisser apparaître un décolleté. Il me regarda et hocha la tête. Il bascula la pauvre fille sur le côté et il la força à tenir cette position. Je pu la prendre en photo plusieurs fois d'affilé malgré son regard assassin. Je pris une photo de son visage en gros plan laissant voir sa peau nu jusqu'en dessous du coup. . Elle était très belle et adorable comme elle l'était. Ses yeux noisettes reflétaient toute sa détresse du moment, son bâillon la maintenait au silence (heureusement pour nous) et ses cheveux cuivrés en bataille lui donnait un air rebelle. Le mieux était le fait qu'elle n'arrêtait pas de lutter contre Eric, ça se voyait qu'elle ne voulait pas être entre ses mains !
C'était là l'intérêt que recherchait nos clients, voir des filles ou garçons réellement enlevés luttant pour se délivrer. Du côté « du nouveau », lui était en train de toucher tout le corps de Pauline. Celle-ci n'aimait pas non plus sa situation et si un regard pouvait tuer, les yeux bleus de Pauline l'auraient fait depuis bien longtemps. Je me demande comment on lui enlèvera sa tenue de voltige, elle n'avait pas de zip sur sa combinaison bleu et noir. Environ 5 minutes passèrent et on devait déjà commencer la suite. Elles étaient déjà en train de trembler et d'haleter. Les pauvres, elles étaient loin 'avoir finis ! Je m'exclamais :
- Crotchrope !
La petite sœur fut plus emmerdante que la grande pour une raison, celle-ci connaissait la signification de ce mot. Eric et "le nouveau" sortirent deux cordes et relièrent rapidement les poignets des victimes à leur torse. Pour se faire ils passèrent la corde à l'entrejambe en n'oubliant pas d'avoir fait un nœud à un endroit stratégique. Pour finir, ils enroulèrent le reste de leur corde respective sous les seins des 2 jeunes filles. Celles-ci ne pouvaient plus balancer en arrière leurs poignets au risque d'un petit picotement venant d'un endroit bien précis ... Je souris en pensant à ce qui allait suivre. Deux crochets pendaient au plafond. Les deux hommes se mirent debout sur le lit pour les prendre et les abaisser. Un câble relié à une poulie les maintenaient en place. Ils levèrent les pieds des prisonnières jusqu'à mi hauteur d'homme et avec le crochet accrochèrent les cordes reliant leurs chevilles.I ls lâchèrent et les filles furent automatiquement suspendues par les pieds. Beaucoup de petits couinements se firent entendre, plus elles se débattaient et plus elles ne faisaient que de tourner sur elles-mêmes. Je dis la suite du programme.
- Maintenant on va voir si elles arrivent à se délivrer. Si oui on les laisse tranquille et si non, on continue ... plus longtemps ! fis-je en souriant.
- GGppphhhhmmmmm !
Je l'avoue, elles n'avaient aucune chance.