Re: Madame est servie
Publié : 10 oct. 2018, 15:44
Oui, c'est vrai que j'aimerais bien vivre ces (més)aventures.
Pour l'heure je les vis en rêve et couche mes rêves sur le papier.
Bonne nuit à toutes et tous,
Stéphanie
9
Stéphanie n’eut pas le temps de se poser plus de questions, les pas de la bonne retentissaient à nouveau dans l’escalier. Catherine apparut son téléphone portable à la main. Cherchait-elle à joindre son employeur pour l’informer de la situation qu’elle venait de découvrir ? Si c’était le cas, Stéphanie pensa rassurée qu’elle ne pourrait le joindre, car à l’heure actuelle son mari était dans un avion, au-dessus de l’Atlantique.
Mais brandissant son portable devant elle, Catherine visa Stéphanie et un flash partit : elle venait de la prendre en photo ! Grognant dans son bâillon, Stéphanie baissa la tête tout en la secouant de gauche à droite pour manifester son refus.
-« Je ne crois pas que Madame soit en position de me refuser quoi que ce soit. Je peux laisser Madame attachée ainsi pendant des heures, jusqu’à ce qu’elle accepte, à moins que Madame préfère être cravachée pour revenir à la raison ? » Et, joignant le geste à la parole, Catherine saisit sur le lit la cravache et la brandit devant Stéphanie qui avait relevé la tête à ces mots. Est-ce que sa bonne était sérieuse ? Oserait-elle la laisser attachée ainsi des heures ou la cravacher ? Catherine plaça l’extrémité de la cravache sous le menton de sa patronne, la forçant à relever la tête et à la regarder dans les yeux. Quand elle vit la détermination dans les yeux de son employée, Stéphanie sut qu’elle ne plaisantait pas. Il valait mieux qu’elle cède pour que cesse au plus vite cette situation humiliante. Stéphanie se figea, tête droite pendant que Catherine reposait la cravache pour saisir à nouveau son portable et prendre des photos de sa patronne de face, en gros plan. Des sanglots dans la voix, Stéphanie essaya de dire à sa bonne qu’elle n’aurait pas dû être là, qu’elle lui avait dit de ne pas venir aujourd’hui. Mais en raison du bâillon elle ne réussit à produire que quelques grommellements inarticulés et incompréhensibles qui firent sourire Catherine qui lui répondit tranquillement « Mais oui, mais oui.. ». Du coup, Stéphanie ne put retenir ses larmes qui commencèrent à rouler sur ses joues avant de glisser sur le bâillon qui lui obturait la bouche, suscitant de nouveaux clichés et une remarque ironique de Catherine : « Félicitations Madame, cela donne plus de réalisme aux photos ».
Catherine posa son portable, sortit la clé de la poche de sa blouse et, passant derrière Stéphanie, lui ôta la paire de menottes qu’elle lui avait passé quelques minutes auparavant. Stéphanie crut que sa délivrance était proche. Mais posant la paire de menottes sur le lit, Catherine reprit son portable et entreprit cette fois-ci de photographier sa patronne de profil, de dos, sous toutes les coutures, prenant des gros plans de ses chevilles, de ses poignets…
Il fallait donc attendre qu’elle ait terminée toutes ses photos, avec lesquelles elle allait certainement la faire chanter… Comment avouer à son mari ce fantasme ? Comment sortir des griffes de cette maîtresse chanteuse ? Machinalement Stéphanie essaya à nouveau de dégager ses poignets mais ceux-ci restaient fermement reliés l’un à l’autre dans son dos.
10
Catherine revint devant sa maîtresse un grand sourire sur le visage et mit l’écran de son portable devant les yeux de sa maîtresse : « Madame désire certainement voir les photos que j’ai prises ?», et sans attendre la réponse, Catherine fit défiler les photos prises. Son portable dernier cri prenait des photos très nettes et Stéphanie ne put que constater qu’elle était aisément reconnaissable en dépit du bâillon muselière et des sangles qui recouvraient une partie de son visage. Les photos étaient de qualité et dans un tout autre contexte Stéphanie aurait aimé qu’elles soient prises.
Elle se dit qu’une fois libérée elle allait s’emparer du portable de sa bonne, effacer ces photos voire même briser le téléphone ou le faire disparaître dans ses toilettes pour que soient effacées toutes les traces de ce moment. Et c’est avec plaisir qu’elle congédierait ensuite avec pertes et fracas cette mijaurée qui espérait sans doute la faire chanter.
-« Madame n’a pas eu le temps ou ne sait pas encore s’attacher les bras et la poitrine ? ». La question posée par sa bonne qui s’était penchée vers elle surprit Stéphanie et la tira de ses réflexions.
-« C’est une des premières fois que madame se livre au self-bondage ?». Troublée par les questions de sa bonne, Stéphanie releva la tête et la hocha doucement de haut en bas sans même s’en rendre compte.
-« C’est même la première fois ? ». Nouveau hochement de tête de Stéphanie.
«-Comme c’est mignon ! Madame débute dans la soumission et le self-bondage. Madame peut dire qu’elle a de la chance d’être tombée sur une bonne comme moi qui adore le bondage. Je vais pouvoir compléter le ligotage de Madame pour qu’elle en profite encore plus ». Sur ces mots, Catherine se releva, fit glisser son portable dans la poche de sa blouse et se dirigea vers le lit sur lequel elle saisit une longue corde blanche. Réalisant ce que sa bonne projetait, Stéphanie se mit à grogner dans son bâillon tout en gigotant le plus qu’elle le pouvait pour manifester son opposition à ce que Catherine projetait. Mais sans prêter la moindre attention, Catherine passa derrière Stéphanie et entreprit de doubler la corde qu’elle tenait entre les mains : « Allons, allons, je suis sûre qu’au plus profond d’elle Madame brûle d’envie d’être plus solidement ligotée. Et Madame est-elle en mesure de refuser une telle proposition ? ». Catherine jeta un regard goguenard à sa maîtresse et passa un premier tour de corde dédoublé juste au dessus des coudes de Stéphanie. Puis passant un bras dans le dos de sa patronne elle lui rapprocha les deux coudes presqu’à se toucher, l’autre main resserrant la corde au fur et à mesure. Lorsque Catherine retira son bras, Stéphanie sentit la corde tendue maintenant ses coudes serrés dans son dos, liés l’un contre l’autre. Observant sa bonne dans la glace, elle la vit s’activer derrière son dos et sentit la corde s’enrouler en plusieurs tours autour de ses coudes. Catherine farfouilla ensuite derrière son dos, plusieurs tractions plus fortes pour les nœuds, puis Catherine se releva l’air satisfaite avant de se saisir d’une seconde corde qu’elle doubla également.
Pour l'heure je les vis en rêve et couche mes rêves sur le papier.
Bonne nuit à toutes et tous,
Stéphanie
9
Stéphanie n’eut pas le temps de se poser plus de questions, les pas de la bonne retentissaient à nouveau dans l’escalier. Catherine apparut son téléphone portable à la main. Cherchait-elle à joindre son employeur pour l’informer de la situation qu’elle venait de découvrir ? Si c’était le cas, Stéphanie pensa rassurée qu’elle ne pourrait le joindre, car à l’heure actuelle son mari était dans un avion, au-dessus de l’Atlantique.
Mais brandissant son portable devant elle, Catherine visa Stéphanie et un flash partit : elle venait de la prendre en photo ! Grognant dans son bâillon, Stéphanie baissa la tête tout en la secouant de gauche à droite pour manifester son refus.
-« Je ne crois pas que Madame soit en position de me refuser quoi que ce soit. Je peux laisser Madame attachée ainsi pendant des heures, jusqu’à ce qu’elle accepte, à moins que Madame préfère être cravachée pour revenir à la raison ? » Et, joignant le geste à la parole, Catherine saisit sur le lit la cravache et la brandit devant Stéphanie qui avait relevé la tête à ces mots. Est-ce que sa bonne était sérieuse ? Oserait-elle la laisser attachée ainsi des heures ou la cravacher ? Catherine plaça l’extrémité de la cravache sous le menton de sa patronne, la forçant à relever la tête et à la regarder dans les yeux. Quand elle vit la détermination dans les yeux de son employée, Stéphanie sut qu’elle ne plaisantait pas. Il valait mieux qu’elle cède pour que cesse au plus vite cette situation humiliante. Stéphanie se figea, tête droite pendant que Catherine reposait la cravache pour saisir à nouveau son portable et prendre des photos de sa patronne de face, en gros plan. Des sanglots dans la voix, Stéphanie essaya de dire à sa bonne qu’elle n’aurait pas dû être là, qu’elle lui avait dit de ne pas venir aujourd’hui. Mais en raison du bâillon elle ne réussit à produire que quelques grommellements inarticulés et incompréhensibles qui firent sourire Catherine qui lui répondit tranquillement « Mais oui, mais oui.. ». Du coup, Stéphanie ne put retenir ses larmes qui commencèrent à rouler sur ses joues avant de glisser sur le bâillon qui lui obturait la bouche, suscitant de nouveaux clichés et une remarque ironique de Catherine : « Félicitations Madame, cela donne plus de réalisme aux photos ».
Catherine posa son portable, sortit la clé de la poche de sa blouse et, passant derrière Stéphanie, lui ôta la paire de menottes qu’elle lui avait passé quelques minutes auparavant. Stéphanie crut que sa délivrance était proche. Mais posant la paire de menottes sur le lit, Catherine reprit son portable et entreprit cette fois-ci de photographier sa patronne de profil, de dos, sous toutes les coutures, prenant des gros plans de ses chevilles, de ses poignets…
Il fallait donc attendre qu’elle ait terminée toutes ses photos, avec lesquelles elle allait certainement la faire chanter… Comment avouer à son mari ce fantasme ? Comment sortir des griffes de cette maîtresse chanteuse ? Machinalement Stéphanie essaya à nouveau de dégager ses poignets mais ceux-ci restaient fermement reliés l’un à l’autre dans son dos.
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Catherine revint devant sa maîtresse un grand sourire sur le visage et mit l’écran de son portable devant les yeux de sa maîtresse : « Madame désire certainement voir les photos que j’ai prises ?», et sans attendre la réponse, Catherine fit défiler les photos prises. Son portable dernier cri prenait des photos très nettes et Stéphanie ne put que constater qu’elle était aisément reconnaissable en dépit du bâillon muselière et des sangles qui recouvraient une partie de son visage. Les photos étaient de qualité et dans un tout autre contexte Stéphanie aurait aimé qu’elles soient prises.
Elle se dit qu’une fois libérée elle allait s’emparer du portable de sa bonne, effacer ces photos voire même briser le téléphone ou le faire disparaître dans ses toilettes pour que soient effacées toutes les traces de ce moment. Et c’est avec plaisir qu’elle congédierait ensuite avec pertes et fracas cette mijaurée qui espérait sans doute la faire chanter.
-« Madame n’a pas eu le temps ou ne sait pas encore s’attacher les bras et la poitrine ? ». La question posée par sa bonne qui s’était penchée vers elle surprit Stéphanie et la tira de ses réflexions.
-« C’est une des premières fois que madame se livre au self-bondage ?». Troublée par les questions de sa bonne, Stéphanie releva la tête et la hocha doucement de haut en bas sans même s’en rendre compte.
-« C’est même la première fois ? ». Nouveau hochement de tête de Stéphanie.
«-Comme c’est mignon ! Madame débute dans la soumission et le self-bondage. Madame peut dire qu’elle a de la chance d’être tombée sur une bonne comme moi qui adore le bondage. Je vais pouvoir compléter le ligotage de Madame pour qu’elle en profite encore plus ». Sur ces mots, Catherine se releva, fit glisser son portable dans la poche de sa blouse et se dirigea vers le lit sur lequel elle saisit une longue corde blanche. Réalisant ce que sa bonne projetait, Stéphanie se mit à grogner dans son bâillon tout en gigotant le plus qu’elle le pouvait pour manifester son opposition à ce que Catherine projetait. Mais sans prêter la moindre attention, Catherine passa derrière Stéphanie et entreprit de doubler la corde qu’elle tenait entre les mains : « Allons, allons, je suis sûre qu’au plus profond d’elle Madame brûle d’envie d’être plus solidement ligotée. Et Madame est-elle en mesure de refuser une telle proposition ? ». Catherine jeta un regard goguenard à sa maîtresse et passa un premier tour de corde dédoublé juste au dessus des coudes de Stéphanie. Puis passant un bras dans le dos de sa patronne elle lui rapprocha les deux coudes presqu’à se toucher, l’autre main resserrant la corde au fur et à mesure. Lorsque Catherine retira son bras, Stéphanie sentit la corde tendue maintenant ses coudes serrés dans son dos, liés l’un contre l’autre. Observant sa bonne dans la glace, elle la vit s’activer derrière son dos et sentit la corde s’enrouler en plusieurs tours autour de ses coudes. Catherine farfouilla ensuite derrière son dos, plusieurs tractions plus fortes pour les nœuds, puis Catherine se releva l’air satisfaite avant de se saisir d’une seconde corde qu’elle doubla également.