Très librement inspiré d'une proposition de Corde.
Corde a écrit : ↑26 nov. 2012, 15:26
Je vous propose une nouvelle idée. Voici le concept, vous publiez une photo et chacun donne son avis.
Il ne s’agit pas de diffuser simplement le cliché en écrivant : J’aime, je n’aime pas, mais de le commenter en indiquant par exemple ce qu’il ressent, ce qu’il affectionne, ce qu’il déteste,
ce qu’il trouve intéressant ou mauvais, ce qu’il ferait à la place du ligoteur(se) ou ce qu’il aimerait subir,
MAIS toujours en rapport avec la photo en question dans le sujet.
J'apprécie le setiment que les cordes laissent un jeu d'action, le visage appaisé et savourant la situation de la personne.
Mon seul regret est qu'il n'y ait pas de cordes passant à la base des seins.
Mais peut-être que les cordes liant le torse aux poignets seraient dans la réalité moins ésthétiques.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim. L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin
Pas facile de choisir un seul dessin. J'ai choisi un dessin issu de "Gwendoline et la princesse disparue" de John Willie (https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Willie)
J'aime bien le côté soubrette et la façon de jouer avec les problèmes de censure de l'époque (on est dans les années 50) en soulevant légèrement la robe de la captive.
J'aime aussi les détails apportés au ligotage et au bâillon ainsi qu'à la façon dont les cheveux sont noués. Le dessin illustre le désarroi de la prisonnière.
Enfin comme dans la plupart de ces récits, j'aime le calme et l'assurance de la ravisseuse qui ne doute pas de la qualité de son travail.
Très charmant dessin, ce ligotage de soubrette est très astucieux pour suggérer la lingerie qu'elle porte et une manière orignale d'être mise sur les genoux, quant à la ravisseuse c'est un sacré corset qu'elle porte.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
Sur le dessin de Gwendoline, la soubrette est effectivement parfaite. Peut être qu'elle aurait pu être mieux ligotee encore.
La maîtresse par contre manque de réalisme (le dessin du corset et les bottes...)
Question : elle en fait quoi de sa corde...?
Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim. L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin
Le manque de réalisme de la maîtresse est sans doute lié à l'époque de l'histoire. D'une certaine façon, les personnages féminins dominants devaient se montrer comme des adeptes des contraintes.
Pour savoir ce qu'elle fait avec la corde, le plus simple est de voir le dessin suivant:
Beaucoup de personnes cherchent à tirer des bachelières des griffes des enfourneurs, mais ils doivent faire preuve d'une grande prudence, surtout si une bachelière s'y essaie seule.
Lena était une bachelière très athlétique et courageuse. Lorsqu'elle apprit que son amie avait été enlevée, elle partit sur le champ pour trouver la pauvre enfant. Peut-être parce qu'elle était une fanatique de Lara Croft dans Tomb Raider.
Mais la réalité est bien différente des fantasmes cinématesques. Elle ne savait pas que les enfourneurs se servaient d'une enlevée pour appâter une autre victime.