Les aventures de Gwendoline suite 10 courte [première fois]

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MacWilly
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Les aventures de Gwendoline suite 10 courte [première fois]

Message par MacWilly »

INTRODUCTION : Voici une histoire courte de Gwendoline. En attendant la prochaine aventure de Gwendoline ( à paraitre bientôt ). Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, en particulier les épisodes 2 et 8, je vous suggère de le faire avant de lire l’histoire ci-dessous.

Episode 10. Gwendoline est attachée pour la première fois

J’avais 16 ans. J’approchai de mes 17 ans. Le printemps approchait et comme tous les ans à cette époque on fête Carnaval. Cette année-là le conseil municipal avait décidé d’organiser un bal. Plus exactement une fête costumée, sur la place du village.
Mes amies, Dolly et Molly, ainsi que moi-même nous pensions participer.
La première question était le choix du déguisement. Nous avions beaucoup d’idées. Par exemple fille des cavernes, indienne, princesse des mille et une nuits, princesse Blanche-Neige, Robine-des-bois (la compagne de Robin-des-bois), hôtesse de l’air, astronaute, amazone, infirmière, femme en uniforme (pompier, police, militaire), princesse de Moyen-Age, fermière, Fantômette. . . la liste est longue.

Molly avait fait son choix. Elle se déguiserait en flibustière. Avec des cuissardes, une épée, un chapeau, une jupe courte en cuir, un chemisier blanc avec un beau décolleté. . .
Dolly porterait une perruque noire. Elle s’inspirait d’une célèbre bande dessinée et se déguiserait en Phantom lady.
Après avoir réfléchi c’est aussi une bande dessinée qui m’inspirait. Une bande dessinée de Stanton, titrée Priscilla reine de l’évasion. Cette courte bande dessinée, en noir et blanc, raconte une aventure d’une artiste de cirque. Elle se fait ligoter et bâillonner sur scène, souvent dans des situations périlleuses, elle se libère de ses liens, juste à temps pour éviter une tragédie et réapparait devant le public, sous les applaudissements. Ce thème me plaisait.

La deuxième question était de réaliser le costume. Ce ne serait pas très difficile. Priscilla portant habituellement une robe courte, moulante, rouge, un collant couleur chocolat, des escarpins noirs, des gants noirs de style opéra qui remontent au-dessus des coudes. Je pouvais aisément trouver une cordelette dorée pour m’attacher les poignets.

Notre petite cabane venait d’être installée. Sous les arbres qui bordent la rivière, dans un coude de la rivière qui longe les champs de nos parents. C’était notre refuge. Nous pouvions nous y retrouver, profiter de moments tranquilles, oublier les tracas. C’était aussi l’endroit pour confectionner sereinement nos tenues.


Le jour de la fête, ma cousine Clarisse devait nous rejoindre à notre cabane, nous devions revêtir nos costumes puis nous rendre ensemble, toutes les quatre, à la fête. Clarisse avait choisi une combinaison intégrale noire. Elle voulait évoquer un monte-en-l’air femme. Je tendais la cordelette dorée à Dolly et je mis mes poignets l’un contre l’autre. Dolly les entoura de la corde. J’étais attachée. Molly avait fait un beau nœud simple. Le genre de nœud que l’on fait pour lacer une chaussure. Il me suffisait de prendre en bouche l’extrémité de la corde, de tirer dessus pour défaire le nœud.
Clarisse me demanda de regarder de plus près la cabane. Pendant ce temps Dolly et Molly n’avaient qu’à nous précéder pour aller à la fête.
La construction de la cabane était récente. Il y avait encore quelques outils à portée de main ainsi qu’un peu de matériel, y compris quelques cordes.

Clarisse me regarda d’un air indéchiffrable :
- Ainsi tu t’es habillée en reine de l’évasion ?
- Oui. J’ai trouvé que c’était original.
- Je suis d’accord avec toi. Mais ta tenue est très incomplète. Je vais t’aider.

Clarisse me poussa sur la table. Mon ventre sur la table. Rapidement elle entoura mes cuisses d’une corde placée au-dessus de mes genoux. Elle serra fortement. Un soupir m’échappa. Elle noua la corde, puis elle passa la corde entre mes genoux, pour entourer les boucles déjà autour de mes cuisses. Elle refit un nœud. Je protestais :
- Arrête ! Tu me fais mal. Ce n’est pas peine de m’attacher les genoux.
Clarisse saisit une autre corde. Je dénouai la corde qui m’entourait les poignets. Clarisse attrapa mes poignets, me les plaça dans mon dos en position croisée. Elle m’attacha les poignets. Mon ventre sur la table, surprise, les cuisses attachées, je n’avais pas pu résister.
Clarisse serra fortement les liens autour de mes poignets. Un soupir de douleur m’échappa.
Clarisse me relâcha et je me redressai.
- Détache-moi ! Je ne peux pas aller à la fête attachée comme ça.
- Ingrate. Je complète ta tenue. Je te fais ressembler à une vraie artiste, experte dans l’art de l’évasion.

Clarisse me liait les coudes. Elle tira sur la corde pour que mes coudes se touchent. C’est à ce moment que je découvris que j’étais souple au point que mes coudes pouvaient se toucher dans mon dos. Clarisse serrait les cordes. Elle entoura mon buste, ma poitrine, mon abdomen, mon ventre de cordes. Les cordes, très serrées commençaient à me faire mal. Je luis demandai d’arrêter :
- Arrête. Je suis déjà trop ligotée. Détache mes genoux. Il est temps de partir pour aller à la fête.

Sourde à mes réclamations, Clarisse me fit m’asseoir sur une chaise, me croisa les chevilles et les lia tout aussi fermement.
Ce n’est que maintenant que je compris que Clarisse me ligotai, pour me priver de me rendre à la fête.
- Détache-moi ! Ce n’est pas drôle. Tu as tellement serré mes liens qu’ils me font mal.

Pour toute réponse Clarisse pris des mouchoirs, les enroula en une grosse boule qu’elle m’enfonça dans ma bouche. Elle entoura ma tête (ma bouche surtout) d’une écharpe. Je lui expliquai mon désaccord.
- mmmm, mmmmff !!

Clarisse recula de quelques pas pour me contempler.
- Voilà ! Ta tenue est parfaite. Tu es splendide. Priscilla ne demanderait pas mieux.

Je pensais que non, que j’étais horriblement ligotée et bâillonnée. Je protestai :
- mmmmff, mmmmff, mmmmff ??

Clarisse sourit : - Mais non, tu n’as pas besoin de me remercier. Bon, tu viens ?
- mmmmppff ??
Clarisse se tient à la hauteur de la porte. Je remue mes jambes attachées, littéralement collées ensemble.
- mmmmppff !!
- Tu ne veux plus venir ? Ce n’est vraiment pas gentil. Après tout le mal que je me suis donné pour perfectionner ta tenue. Je suis sûre que ton numéro d’évasion te vaudra un succès sans pareil. Tu es la reine de l’évasion et tu vas être la reine de la fête.
- mmmm ??
- Allons, viens maintenant, sinon je pars sans toi.
- mmmm, mmmmppff !!, mmmmff ??

Attachée comme je suis je ne peux pas bouger. A peine quelques mouvements insignifiants. Je remue pour que Clarisse le comprenne.
Clarisse grimace de dépit.
- Puisque tu ne veux pas venir je pars sans toi. Amuse-toi bien.

Clarisse s’en va, me laissant seule, attachée et bâillonnée. Elle s’est bien moquée de moi. Comme si je pouvais venir, saucissonnée comme je suis.

Je vais me libérer. Je tire sur mes liens. Clarisse a terriblement serré les cordes. Elles me rentrent dans les chairs et me brûlent. J’essaie de me dégager de mes liens en me tortillant, en me contorsionnant. Je n’arrive à rien. Je suis solidement attachée.
J’appelle à l’aide.
- mmmmff !!, mmmmppff !!
C’est inutile. Il n’y a personne à proximité et je suis sévèrement bâillonnée.
Je grimace, je remue ma langue, ma mâchoire pour retirer le bâillon. Je n’arrive à rien. Cette garce m’a solidement bâillonnée.

Je suis maintenant agacée d’être attachée. Curieusement j’éprouve aussi une sorte d’excitation d’être attachée.
Je me rappelle que suis habillée en Priscilla, experte en évasion. Je tire encore sur mes liens. Furieusement. J’ai l’impression que mes liens se resserrent encore.
Je vais chercher un couteau et couper les cordes. Je me lève.
- mmmm !!, mmmm !!
Je crie de douleur. Les cordes serrent mes chevilles. Elles sont croisées. Je ne peux pas être debout. Mes liens me brûlent.

Je suis assise. Je suis attachée, je suis bâillonnée. Mes liens sont solides et bien serrés. Ils me rentrent dans les chairs.

Après encore bien des tentatives je suis restée ligotée et bâillonnée. Incapable de me libérer.

C’était la première fois que j’étais attachée. C’est horrible d’être réduite à l’impuissance, sans possibilité de se libérer. Sans savoir quand quelqu’un viendra me délier. C’est bizarrement excitant.
Je ne pouvais rien faire. Je m’interrogeai, je me demandai ce que mon destin me réservait. Si le sort voulait que je sois de nouveau attachée un jour. . .

Clarisse avait expliqué à Dolly et à Molly que je ne viendrai que bien plus tard à la fête.
Mes amies ont passé un bon moment. Elles ont attiré beaucoup d’attention, elles ont été de nombreuses fois invitées à danser, pendant que je me désespérais dans mes liens. Ce n’est que bien des heures plus tard qu’elles sont venues à ma recherche et qu’elles m’ont enfin détachée. Mes relations avec Clarisse étaient déjà ternes. Après le tour qu’elle m’avait joué nos relations sont devenues littéralement inexistantes. . .


FIN de cette histoire.

MacWilly p.o. Gwendoline

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Mad Hatter
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Re: Les aventures de Gwendoline suite 10 courte [première fois]

Message par Mad Hatter »

Le sujet est temporairement verrouillé.

La raison : les personnages participant au ligotage sont mineurs.

Nous avons eu une personne qui a quitté un forum parce qu'elle ne souhaitait pas que ses histoires beaucoup moins bon enfant, ne se retrouvent à côté de celle de personnes mineures entravées.

Je propose donc de diviser la section Air d'affichage en trois catégories :
  • les témoignages [toute violence ou non respect du consentement sera considéré comme étant véridique]
  • Une section fiction avec personnages entravées et entravant mineures.
  • Une section fiction avec personnages entravées et entravant majeures.
  • Les majeures et les mineures ne s'entravent jamais !
    Un.e mineur.e même si iel est à une seconde d'être majeur.e reste mineur.e.
    Les mineur.e.s attendront d'être majeur.e.s pour entraver ou se faire entraver par des majeur.e.s.
    Et inversement.
Je m'inspire des règles de ce forum. https://tugstories.com/viewtopic.php?f=70&t=14048
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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