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AVERTISSEMENT : TOUT CE QUI SUIT N'EST QUE FICTION, IL EST BIEN EVIDENT QUE JE N'ENCOURAGE EN AUCUN CAS LE KIDNAPPING ET LA SEQUESTRATION. NE PRENEZ PAS CE QUI SUIT A LA LETTRE. CE N'EST QU'UNE HISTOIRE.


Voila une petite histoire qui je le concède s'accorde port peu avec la chaleur estivale qui va commencer à s'installer...
J'espère néanmoins* que vous aurez plaisir à la lire.

Ma Prisonnière.

J’ai su dés que je l’ai vue que je devais l’avoir !

Elle se hâtait dans la rue, elle sortait d’une brûlerie. Elle n’était pas très grande. Ce qui attira mon attention ce fut ses vêtements. Elle portait des collants en laine, noirs, avec un gros pull à col roulé, noir lui aussi. Je devinais plus que je ne vis, une jupe assez courte, le pull était la recouvrait presque totalement. Il était maintenu en place sur ses hanches par une large ceinture de cuir noir qui lui affinait la taille. Aux pieds, des chaussures à talon plats, noires elles aussi.
J’ai du passer en mode pause, figé dans une attitude stupéfaite, avec la bouche à moitié ouverte comme un idiot sûrement parce qu’elle me regarda bizarrement en passant à ma hauteur. Une fois mes esprits recouvrés je me dirigeais dans la même direction qu’elle et la vis entrer dans un grand bâtiment à l’allure officielle. Le vigile à la porte ne me donna pas envie de tenter de la suivre.

Cela faisait un petit moment que je n’avais enlevé personne. J’avais essayé de me contenir et de me tenir tranquille, mais cette demoiselle, elle me faisait approcher… non elle me poussait par-dessus le rebord qui me séparait du gouffre abyssal de mes anciennes habitudes. Elle était parfaite, jolie, dans la bonne tranche d’âge… et puis sa tenue… Par le diable !
Un petit mot à propos de moi ! J’approche de la quarantaine et j’ai un énorme fétiche pour les demoiselles qui portent des collants et de la laine… AH oui j’adore aussi les attacher.
Je suis financièrement indépendant ce qui me permet de passer mon temps libre de la façon dont je le souhaite et ou je le souhaite.
J’aime beaucoup capturer les jeunes femmes qui retiennent mon attention, les attacher de diverses manières et les prendre en photos. Je les relâche ensuite et je n’ai jamais eu à souffrir des conséquences de mon étrange hobby.
Ces derniers temps j’avais eu d’autres occupations et je ne voulais pas non plus trop tirer le diable par la queue. Mais cette demoiselle avait vraiment éveillé mon intérêt. Je devais l’avoir et j’allais l’avoir.

Je me hâtais vers mon hôtel et commençais à échafauder mon plan.
Ma quête de la mystérieuse demoiselle commençait
J’arrive toujours à obtenir ce que je veux…




* Comme disait Cyrano ^_^
[à suivre...]

C'est le début de l'autobiographie fictive de Grelots ?

Peut être bien qu'il fait 25° ici (et pourtant il est tôt), mais justement, ça rafraîchit un peu

À bientôt pour la suite

Enlever quelqu'un tout seul c'est pas facile !!! j'attends avec impatience la suite de l'histoire !!!

L'histoire commence vraiment bien,j'ai hâte de lire la suite

La suite ! La suite !

*Sur un air bien connu*

Allez Grelots, tu nous délaisses
ça fait longtemps qu'on les a pas vus
Allez Grelots montre-nous... *Bruit d'Haldé volant par la fenêtre, bouté par les bonnes moeurs*

J’ai trouvé le nom de l’endroit ou travaillait ma future captive. Un petit bureau d’une grosse agence officielle.
Je les ai appelé depuis mon portable. Il y avait un répondeur. J’ai découvert qu’ils étaient quatre à travailler, plus un/une réceptionniste. Deux personnes étaient des hommes… Bonne nouvelle je n’aurais qu’a appeler plus tard pour voir si la personne de la réception était ma future « victime ».
Je me suis changé, et je suis retourné au bureau, en traînant de çi de la, j’ai réussi à jeter un œil à l’intérieur. La jeune femme de l’accueil n’était pas ma prisonnière. Elle était jolie aussi. Peut être la prochaine fois ma belle ! Je suis repassé un peu plus tard, elle n’avait pas bougé… C’était bien elle la réceptionniste. parfait je savais donc que ma prisonnière était une collaboratrice du bureau... Je connaissais donc son nom.

Bientôt la fin de la journée, je me suis installé à la terrasse d’un café, non loin du bureau. J’avais vu sur la porte, je voulais la voir sortir et la suivre un petit peu. Oh bien sur cela retarderait sa capture, mais cela me laisserait aussi le temps de me préparer. La jeune fille de l’accueil sortit en premier, puis vint le reste du personnel. Ils saluèrent le vigile qui verrouilla la porte, se dirent au revoir et partirent dans différentes directions. Elle vint vers moi en compagnie d’un des hommes du bureau. J’envisageais rapidement la possibilité qu’ils soient en couple, mince je n’avais pas pensé à ça. Ils passèrent devant moi, je laissai un billet de 5 pour payer mon chocolat et leur emboîtai le pas.
Je fus soulagé de les voir se séparer à l’intersection suivante, ils se firent un petit signe de la main et allèrent leur chemins.
Je suivais ma proie alors qu’elle marchait d’un pas tranquille au milieu des piétons. Elle ne devait pas vivre bien loin car elle portait un parapluie, ce qui me fit penser qu’elle venait travailler à pieds.
Mon esprit échafaudait déjà différents scénarii et prévoyait les différentes façons dont j’allais la retenir.
Mon cœur loupa un battement quand elle s’arrêta à un feu rouge en attendant de traverser : Elle avait croisé les mains dans son dos… Bientôt, bientôt ma douce, cette délicieuse posture te sera imposée.

Finalement nous sommes arrivés devant un petit immeuble de huit étages. Assez vieux et dont la porte cochère ne semblait pas fermer à clé. Mais il y avait un interphone… Cela dit ç’est surprenant le nombre de personnes qui ouvent une porte sans se préoccuper de qui sonne. Je décidai de tester ma théorie en appuyant sur différents boutons, dont celui de ma captive en devenir. Elle répondit « Oui ?! Qui est la ? » Quelle jolie voix, même déformée par l’interphone. « Louise c’est moi nous avions rendez vous… » « Désolée Mr. Pas de Louise ici, vous devez vous tromper… »
La seconde personne chez qui je sonnai ouvrit la porte. Pendant un instant je fus tenter d’entrer et de La capturer tout de suite… Mais ce n’était pas raisonnable, je n’étais pas prêt et je n’avais pas mon matériel.

Demain serait une belle journée…

L'excitation monte ! la suite par pitié !!!

Ah ben la voilà la suite

Attention les enfants il ne faut pas faire la même chose en vrai, ça vous apporterai des soucis...