Le cauchemar... éveillé

[whitegagmh]

Cette remarque est très intéressante et je vais en prendre compte. Je ne sais pas si je vais pouvoir mettre en oeuvre le point de vue de Jérôme dans cette suite, car j'ai déjà la trame en tête, mais pour la continuité des aventures de cette chère cavalière Cécile, pourquoi pas

Encore un peu de patience

[whitegagmh]

Vous l'attendiez depuis un petit moment, surtout depuis que j'ai annoncé qu'il y aurait une suite aux (més)aventures de la cavalière Cécile, et c'est chose faite. Bien sûr, je fais un peu durer en ne donnant que la première partie de cette suite.

Bonne lecture en tout cas

[whitegagmh]

1

Ce matin là, le réveil sonna assez tôt. Cécile ouvrit les yeux et appuya sur le réveil pour le faire taire. Elle retourna dans le lit et croisa le regard de Jérôme qui avait ouvert les yeux. Il lui déposa un petit baiser, sortit du lit et se dirigea vers la salle de bain.
Jérôme essaya de sortir du lit mais la chaleur sous la couette le retenait, et puis il pouvait dormir encore un peu.
Cécile revint dans la chambre et se dirigea vers une chaise où étaient posées ses affaires d'équitation et des cordes de chanvre encore déroulées. Elle enfila sa culotte d'équitation blanche, ses bottes et son k-way bleu-marine. Elle retourna près du lit et tendit les mains à Jérôme qui les agrippa et les renifla.
- Effectivement, il est temps que tu remontes à cheval ma petite cavalière, dit Jérôme encore à moitié endormi.
- Tu vas être content alors car aujourd'hui c'est saut d'obstacles, répondit Cécile. Mes mains vont garder une forte odeur assez longtemps et tu vas pouvoir les renifler à ta guise quand tu m'auras ligotée en rentrant.
- Je te réserve une petite surprise pour tout à l'heure. Mais tu ferais mieux de filer avant que je ne sorte du lit et que je te saute dessus.
Cécile retira vigoureusement ses mains que tenaient encore Jérôme et attrapa sa bombe et sa cravache avant de sortir de l'appartement.


2

Cécile arriva au centre équestre et commença à préparer son cheval pour le cours. Elle prenait bien le temps de manipuler tout ce matériel en cuir en pensant à l'excitation que Jérôme éprouvait lorsqu'il la regardait faire quand il était là. Un jour, elle avait préparé son cheval alors que Jérôme lui tenait la bouche. Une fois le cheval prêt, ce jour là, Jérôme avait sauvagement attrapé les mains de Cécile et les avait ligotées pendant quelques minutes avant le cours. Les autres personnes du manège ce jour là se demandèrent d'où pouvaient provenir les marques qu'elle avait sur les poignets.
Cécile entraîna son cheval dehors et rejoignit Sophie qui suivait le même cours qu'elle aujourd'hui. Il y a longtemps qu'elle avait pardonné la trahison de son unique amie de l'époque car, sans cette enlèvement, aussi brutal qu'il a été, elle n'aurait jamais trouvé l'amour, ni cette attirance pour le ligotage. Et comme Sophie était aussi dans le milieu du ligotage, elle n'hésitait pas à lui raconter leur séance et demander des conseils.
- Alors, Cécile, tu as mis ta tenue de cavalière prisonnière aujourd'hui. Les cordes t'attendent à ton retour de l'équitation ? Demanda discrètement Sophie avec un clin d'œil complice.
- Comme toujours, répondit Cécile avec un grand sourire avant d'enfiler sa bombe et de monter sur son cheval.
Sophie grimpa à son tour sur son cheval. Aujourd'hui, elle avait mis ses bottes d'équitation noires, une culotte d'équitation noire et une doudoune sans manche brune d'où dépassaient des manches d'un T-shirt vert. Elle agrippa les rênes de ses mains nues et trotta jusqu'au paddock.
Cécile regarda son amie s'éloigner et lui emboita le pas en pensant de manière amusée à la garce qu'elle pouvait être quand Jérôme était là. Elle connaissait ses fantasmes et elle aimait bien en jouer, notamment quand elle lui faisait la bise ; elle s'arrangeait toujours pour placer une de ces mains équitationnée près de son nez ce qui provoquait bien évidemment de l'effet en plus de la tenue. Mais Sophie aime attacher et seulement des filles. Les mecs ne l'intéressent pas mais elle aime bien les soumettre et surtout avec cette arme du charme et du désir. Elle avait quand même acceptée d'être complice de l'enlèvement de Cécile, de peur que ça lui tombe dessus. Et par chance, ça avait renforcé leur lien d'amitié.
Cécile arriva sur la paddock et commença le parcours d'obstacles.


3

Dans l'appartement, Jérôme prépara le lieu de leur prochaine séance. Il ferma les volets du salon et disposa, sur une chaise derrière la porte, les cordes de chanvre déroulées en les classant par ordre de longueur, le ruban adhésif et le bandana pour bâillonner Cécile, et, nouveauté dans leur séance, une cagoule en laine sans aucune ouverture.
Une fois la disposition terminée, Jérôme alla dans la chambre et mit sa tenue de ligoteur : la même que Cécile portait en ce moment. Puis il revint au salon avec une des cravaches de Cécile, s'assit dans le canapé et commença à se masturber pour faire libérer un peu la pression de l'excitation qui grimpait en lui. En même temps que sa main frottait son entre-jambe, le nez de Jérôme cherchait frénétiquement des odeurs de mains équitationnées sur la cravache... ce qu'il trouva assez facilement, surtout lorsqu'il sentit qu'un liquide chaud se déversait dans son slip.
La porte d'entrée claqua soudainement. Jérôme se leva du canapé et marcha en direction de la porte du salon.


4

Cécile était au box avec son cheval et l'avait entièrement débarrassé de ses accessoires et nettoyé. Le cours s'était bien passé et elle avait fait un sans faute. Sophie avait eu moins de chance et avait fait tomber deux barres, ce qui était assez rare. Elle devait être dans un de ses mauvais jour. Surtout que, d'habitude, elle invitait toujours Cécile à boire un verre au troquet du centre après chaque cours mais là, elle avait du partir précipitamment en s'excusant auprès d'elle. Cécile n'avait même pas eu le temps de lui demander si ça allait qu'elle avait déjà tourné les talons et s'était éloignée. Elle n'avait même pas eu le temps de s'occuper de son cheval, elle qui était si complice avec lui dans ce moment là.
Cécile termina le rangement et passa devant la grange où elle avait ressenti pour la première fois le contact des cordes qui enserraient et dont elle avait pris goût. Elle s'approcha de la porte et l'ouvrit. Sans entrer à l'intérieur elle chercha du regard les endroits où s'étaient cachés les complices de Jérôme et analysa mieux la situation dans laquelle elle s'était trouvée. Le constat était sans équivoque : elle n'avait aucune chance une fois la porte refermée derrière elle. Elle regarda ensuite en direction de la petite porte latérale qu'elle n'avait franchit qu'une seule fois et solidement ligotée et bâillonnée.
Ce souvenir donna à Cécile des frissons d'excitation et elle se dépêcha de retourner à l'appartement avec un grand désir de se faire ligoter et bâillonner.


5

Cécile entra dans l'appartement et se dirigea vers le salon. En chemin, elle déposa sa bombe et sa cravache sur un buffet dans le couloir. Elle ouvrit doucement la porte du salon et fit quelques pas sans se retourner, sachant que Jérôme se tenait toujours derrière la porte prêt à lui sauter dessus. Elle avait hâte que sa main vienne se plaquer sur sa bouche, mais cette fois-ci, c'est autrement que la séance commença. Elle venait de faire les quelques pas dans le salon et, soudain, tout est noir. Quelque chose venait de lui recouvrir toute la tête jusqu'au cou. Cécile ne voyait plus rien et sentit tout d'un coup une pression s'exercer au niveau de sa bouche : une main venait de s'y plaquer après la mise fulgurante de la cagoule. Elle poussa ses petits gémissements que Jérôme adorait entendre et commença à jouer son rôle de captive en faisant semblant de se débattre.
Cécile sentit la pression se relâcher au niveau de sa bouche, mais elle sentit une autre pression apparaître au niveau de ses poignets alors qu'ils étaient entraînés derrière son dos. Au contact de la première corde, Cécile, bien qu'elle n'était pas bâillonnée, poussa son gémissement de panique qui excitait beaucoup Jérôme. Elle fit ensuite semblant d'essayer de se dégager les mains, ce qui fit froisser son k-way, et, une fois ses mains ligotées, elle attendit le premier souffle chaud dans ses mains indiquant que Jérôme se rassasiait de l'odeur qui l'excitait tant. Mais rien ne se passa. Au contraire, à peine les mains, liées, les autres cordes s'enroulèrent rapidement autour de Cécile qui se retrouva solidement saucissonnée.
Dans sa cagoule, Cécile trouvait que quelque chose n'allait pas. D'habitude, Jérôme n'attendait jamais de la ligoter entièrement avant de lui renifler intensément les mains. Il lui était même un jour arrivé d'oublier de ligoter Cécile tellement il ne pouvait pas décrocher son nez de ses mains équitationnées qu'il tenait fermement. Là, elle était ligotée avant même d'avoir senti son souffle chaud dans ses mains.
Soudain, la cagoule se releva partiellement jusqu'à hauteur du nez de Cécile. Elle ne se douta pas de la raison de cet événement et attendit patiemment que quelque chose lui entrave la bouche. Un bandana se posa sur les lèvres de Cécile et des petits gestes manipulant le foulard lui intimèrent l'ordre d'ouvrir la bouche. Cécile ouvrit la bouche et laissa le bandana s'installer entre ses dents en poussant un petit gémissement de soumission. Elle sentit ensuite quatre morceaux de ruban adhésif se coller par dessus le cleave-gag, mais elle sentit surtout autre chose sur la main qui plaquait les morceaux de scotch contre sa bouche : une odeur de rênes et de cheval, ces mains étaient équitationnées. Ce n'était pas Jérôme qui se tenait derrière elle mais quelqu'un d'autre.

[whitegagmh]

La suite arrive bientôt. Encore un peu de patience et vous saurez ce qui attend cette chère cavalière Cécile

[beaugosse]

Moi aussi j'ai hâte de savoir ce que va devenir cette petite Cécile!