
Je vous présente le début d'un nouvel épisode. En espérant que cela vous plaira.
--------------------------------------------------------
Chapitre 1
Je m’appelle Nathalie et je suis à la moitié de mes 26 ans. De taille moyenne (environ 1m65), brun avec les cheveux qui arrive à hauteur d’épaule. Toujours célibataires depuis que j’ai rompu avec mon ex à la sortie du lycée car nos opinions et nos envies divergeaient beaucoup trop. Je passe pas mal de temps sur les jeux vidéos avec des amies, dont Elisa avec qui je me suis très bien entendu quand nous nous sommes rencontrées en ligne. Lorsque mon travail en tant que développeuse me le permet, j’aime bien prendre mon carnet et dessiner ce qui me vient en tête. Je n’ai pas de talent particulier pour le 9éme art, mais ça me permet de me détendre et de penser à autre chose, de mettre en place mes idées, d’oublier le reste du monde.
Il m’arrive également de participer à certains événements particulièrement coquins. Car si le jour je suis de nature gentille et timide, la nuit je peux me transformer en maîtresse qui aime attacher ses soumis lors d’évènement organisé par une petite communauté que j’ai rencontré par hasard sur internet. Ça me permet d’avoir un petit plaisir secret, et peut-être de rencontrer quelqu’un avec qui partager le reste de ma vie (homme ou femme, peut m’importe).
C' est samedi, et pendant que je m’ennuie chez moi, que je ne sais pas quoi faire, je décide de sortir faire un petit tour. Après 15-20 minutes a erré au hasard des rues, je tombe sur une grande place de la ville où se tient le marché hebdomadaire. Je décide d’y aller pour voir ce qu’il y a. J’en profite pour acheter quelques fruits et légumes frais qu’on ne trouve généralement pas en grande surface.
Alors que je suis sur le point de partir, je passe devant un stand qui a soudainement attiré mon attention. Il était tenu par une dame qui avait l’air d’avoir dans les 40 ans passés. Mais le plus important, c’était les produits qui y étaient proposés. Des antiquités. Il y avait des vieux ustensiles en bronze, des petits jouets en bois, du tissu dont le style avait presque 50 ans de retard. Mais ce qui m' attirait dans tous ses articles, c’était le petit miroir qu’elle proposait. Il faisait environ 30 cm de haut pour 15 cm de largeur. Sa structure était faite de bronze et était de couleur orange. Je n’arrivais pas à savoir en quoi cet objet pouvait autant m’attirer mais plus je le regardais, plus j’avais envie de le prendre.
- Combien pour le miroir ? Demandai-je à la dame.
- Normalement je vous le vendrais pour 60€, c’est un objet qui a jadis appartenu à l’un des nobles de la région dans l’ancien temps. Mais comme vous êtes ma première cliente de la journée, je veux bien vous le vendre pour 20€.
Bizarrement mon esprit était complètement absorbé par le miroir et je n’arrivais plus à aligner deux pensées correctement.
- Vendu. Affirmai-je en donnant l’argent à la dame.
- Je vous remercie de votre achat. Dit-elle en rangeant la monnaie dans son coffre.
Je ne comprenais pas pourquoi j’ai acheté compulsivement cet objet. Je mis mon achat dans un sac et alors que j’étais sur le point de partir. J’entendais la vendeuse me dire :
- Bonne chance pour la suite.
Ne comprenant pas ce qu’elle voulait dire par là, je la remercia tout de suite après et je suis directement rentré chez moi.
Une fois rentré à la maison, je rangeais tout ce que j'avais acheté, puis j’ai décidé de mettre l’étrange miroir sur le bureau de ma chambre. La journée était quasiment finie. Je pris une douche bien chaude et me prépara une ratatouille grâce au légume que j'avais acheté sur le marché. Une fois la vaisselle faite et rangée, je me dirigea vers ma chambre, puis, prit d’une envie soudaine, je me mit à dessiner une jeune femme qui était complètement attaché dans un hogtied.
Ses mains étaient attachées ensemble, ses coudes et avant bras également. Un harnais de corde lui enserrait son buste, faisant ressortir sa poitrine volumineuse. Ses jambes étaient également liées entre elles, que se soit en dessous et au-dessus des genoux, et ses chevilles étaient étroitement attachées. Une corde venait lier les pieds et les mains de la pauvre victime entre elles, la forçant à se contorsionner. à tout cela se rajoutait une dernière corde qui avait attacher les cheveux de la jeune femme en une queux de cheval, cette dernière était également relier à la corde qui retenait ensemble les pieds et les mains de la femme. Cette dernière corde augmentait la pression du hogtied, forçant la jeune femme a relevait la tête et faisait davantage ressortir sa poitrine.
Une fois la base du dessein terminée, je réalisais soudainement qu’il était minuit passé. Etonné par le temps que j’ai pu passé dans la création de ce dessein, je me suis allongé, complètement épuisé par ce qu’il vient de se passer et m'endormi sans trop de difficulté.
___________________________________________________________________
Chapitre 2
J’étais actuellement dans une petite pièce complètement cernée par des rideaux rouges me coupant du reste du monde. Un énorme lit était entreposé dans un coin de la pièce. D’autres rideaux étaient attachés aux hauteurs du lit. Grâce à cela, les heureux élus pouvaient être tranquilles lors de leurs ébats. De l’autre côté de la pièce se trouvait une sorte de tapis de sol dont chaque coin était littéralement cloué au sol. Deux menottes en cuir pendait au-dessus de ce même tapis. Enfin, une croix de saint André était placée à l’opposé du lit. Comme ça, le maître ou la maîtresse pouvait observer son soumis droit dans les yeux, tout en étant confortablement installé sur le lit.
Je suis actuellement en plein milieu de la pièce, ne sachant comment je me suis retrouvé dans cet endroit. J’observe les environs et me dirige vers l’un des rideaux qui fait office de mur. Je pousse un petit peu le rideau pour regarder ce qui se cache derrière. Je ne vois qu’un amas de ténèbres qui semble sans fin. Ne comprenant pas ce qui se passe, je me rends soudainement compte que je porte la tenue de dominatrice que j’utilise habituellement lors des événements de soirée.
Elle était composée d’un harnais en cuir qui recouvrait l’ensemble de ma poitrine et qui faisait également ressortir ma poitrine. Je portais des gants en latex qui remontaient jusqu’au coude. Un corset en latex qui comprimait tout mon ventre et qui relevait encore davantage ma poitrine. Le bas était composé d’un porte-jarretelle en latex également, et je portais également de grandes bottes avec des talons hauts pour véritablement dominer mon soumis.
Soudainement, je voyais Elisa qui était attachée et complètement nue sur le tapis dans le coin de la pièce. De nombreux anneaux en métal enroulaient ses jambes. Ils étaient vissés directement sur le tapis, entravant les jambes de la jeune femme, obligeant la pauvre petite rouquine a être a genoux devant moi. Ses mains étaient attachées dans son dos aux deux menottes qui étaient reliées aux plafonds de la pièce. Malheureusement pour elle, la hauteur de ses menottes l'obligeait à se pencher en avant. Elle était donc à genoux devant moi, la tête baissée, signe de sa soumission.
Une cravache apparut naturellement dans ma main, cela ne m’étonna pas plus que cela. Je m’approcha à petit pas d’Elisa. Elle savait qu’elle n’avait pas le droit de me regarder dans les yeux, ni de parler sans mon autorisation. Une fois arrivé à son niveau, je posa le bout de la cravache sous son menton pour lui faire signe de lever la tête. Je vis dans ses yeux une soumission absolue, que je pouvais faire ce que je voulais d’elle. Je lui demandais alors.
- Qui es tu ?
- Je suis Elisa, votre jouet, votre objet, votre possession. Me répond-t-elle.
- Bien, mais tu as oublié quelque chose de primordial ma petite.
Je lui donna soudainement un coup de cravache sur les fesses en guise de punition.
- Tu as oublié de m'appeler Maîtresse à la fin de ta phrase.
à chaque fois qu’elle recevait un coup, elle disait :
- Pardonnez-moi Maîtresse. Merci Maîtresse.
Je m'arrêtais au dixième coup. Ces fesses étaient complètement rougies par les marques de ma cravache. Une nouvelle fois, je lui demandais avec un sourire coquin:
- Alors, qui es tu ?
- Je suis Elisa Maîtresse. Je suis votre jouet, votre objet, votre possession, Maîtresse. Me répond-t-elle de tout son être.
- Bien, je peux donc faire ce que je veux de toi ?
- Je suis à votre service et je n’existe que pour votre bonheur, Maîtresse.
Fière de sa réponse, je retirais la cravache de sous son menton, je me mit à sa hauteur, puis l’embrassa langoureusement. Elle accepta le baiser et nos langues s'enroulaient ensemble de plaisir. Tout en l'embrassant, mon autre main était descendue et venait titiller son entre-jambe. Elle apprécia sa récompense pour sa soumission, et ne tarda pas à convulser sous l’effet de l’explosion que venait de subir son corps. Son fluide se posa sur ma main. Fâché de son orgasme incontrôlé, je luis dis :
- Est ce que je t’ai autorisé à jouir ?
- Non maîtresse. Pardonnez-moi Maîtresse. Dit-elle complètement rouge de honte et en baissant la tête.
Je la fouetta de nouveau en guise de punition. Je mis ma main pleine de son jus devant sa bouche et lui dit :
- Nettoie toujours ce que tu salies.
Elle hésita un petit instant, mais voyant que je ne bougeais pas et fixant la cravache du coin de l’œil, elle ouvrit la bouche et avala ce qu’elle venait de relâcher quelque instant plus tôt. Elle continua pendant 5 bonnes minutes, elle mit dans sa bouche chacun de mes doigts où elle enroula sa langue autour de chacun d’entre eux pour être sûr de bien lécher et de bien nettoyer. Une fois sa tâche terminée, elle se mit un peu en arrière et dis :
- Merci Maîtresse.
Alors que je profitais de ce pur instant de bonheur, une voix s’éleva dans chaque recoin de la pièce.
- Ainsi donc c’est ce que tu désires ? Intéressant. Mais j’ai l’impression que tu oublies l’autre facette de ton cœur ma jolie brune.
___________________________________________________________________
Chapitre 3
Je fus soudainement propulsé en arrière par une force inconnue. Je m'arrêta sur la croix de Saint André. Chacun de mes membres furent attaché dans un anneau qui était vissé à la croix. En quelque seconde à peine, je suis passé de la Maîtresse à la soumise. Je voyais toujours Elisa attaché sur le tapis mais j’avais l’impression qu’elle avait les yeux vides telle une marionnette. J’essayais de hurler mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je n’étais pas bâillonné, mais c'était comme si mes cordes vocales ne produisaient plus aucune vibration. J’avais beau hurler de toutes mes forces, rien ne sortait de ma bouche.
- Allons ne t’excite pas comme ça Nathalie, je ne suis qu’un humble serviteur au service de son maître ou de sa maîtresse.
Je regardais autour de moi mais je ne voyais absolument rien ni personne. La voix semblait venir de chaque recoin de la pièce.
- Ne t’inquiètes pas, je vais me montrer à toi.
Soudainement, un homme apparut devant moi. Il semblait être dans la trentaine, portait une grande veste en satin bleu avec des manches à revers, un justaucorps, un baudrier et il avait un chapeau à plume sur la tête. En le voyant, je ne pouvais m'empêcher de rigoler face à son accoutrement digne du 17éme siècles.
- Je sais que la mode peut beaucoup changer en plus de 400 ans, mais la loi veut que je me montre comme j’étais avant à chaque fois que quelqu’un m’invoque.
Je n’ai écouté qu’à moitié son petit discours tellement j’étais occupé à rire.
- Bien j’imagine qu’on va directement commencer par les bases, à savoir le respect et l’écoute des autres. Dit-il d’un ton passablement énervé.
À la fin de sa phrase, il claqua des doigts et tous mes vêtements disparurent. La seconde d’après, j’essaya de hurler, et de couvrir mon corps qui a été mis à nue, mais aucun son ne sortit de ma bouche et mes mains et mes jambes étaient toujours attaché sur la croix derrière moi.
- Cela ne sert à rien ma petite. Vous êtes certes dans votre rêve, mais je contrôle tout ici. Laissez moi me présenter. Je suis le comte Louis Bartier, seigneur de la région dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Pour certaines raisons, je me trouve devant vous pour vous rendre un grand service. Mais avant de passer par les explications longues et compliquées, laissez-moi profiter du spectacle que j’ai sous les yeux.
J’essayais de remuer dans tous les sens pour me sortir de mes entraves, mais les anneaux de métal n’ont pas bougé d’un centimètre. J’ai beau gesticulé, gigoté dans tous les sens pour couvrir ma poitrine et mon sexe face à ce voyeur, je ne pouvais rien faire. Ce Louis Bartier pouvait profiter de la vue que je lui offrais aussi longtemps qu’il le voulait.
Soudainement, une sonnerie bizarre surgit de chaque recoin de la pièce, devenant de plus en plus forte.
- Ah, j’imagine que c’est maintenant l’heure pour vous de vous réveiller de ce doux rêve.
à ses mots, un profond soulagement m'envahit. Je vais enfin pouvoir me libérer de son regard lubrique.
- Je vois à votre regard que vous pensez que tout est fini. Que Nenni ma petite, je suis loin d’avoir rempli ma mission.
La sonnerie devient de plus en plus forte, tellement forte que je m’endormi sur place, toujours les bras et les jambes collé sur la croix. Tout devint noir autour de moi.
À suivre...